Beaumont-en-Véron
Beaumont-en-Véron | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Chinon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Chinon, Vienne et Loire | ||||
Maire Mandat |
Vincent Naulet 2020-2026 |
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Code postal | 37420 | ||||
Code commune | 37022 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bellimontois | ||||
Population municipale |
2 688 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 143 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 11′ 48″ nord, 0° 11′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 28 m Max. 81 m |
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Superficie | 18,83 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Beaumont-en-Véron (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Chinon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chinon | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | beaumontenveron.fr/ | ||||
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Beaumont-en-Véron est une commune française située près de Chinon dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Beaumont-en-Véron est une commune d'Indre-et-Loire bordée par la Vienne, située dans le canton de Chinon, entre Bourgueil et Chinon, à 25 km de Saumur, 50 km de Tours et 70 km d’Angers.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est bordée sur son flanc sud par la Vienne (2,86 km), qui constitue la limite communale. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 6,91 km, comprend en outre deux petits cours d'eau[1],[2].
La Vienne, d'une longueur totale de 363,3 km, prend sa source sur le plateau de Millevaches, dans la Creuse, à une altitude de 859 m et se jette dans la Loire à Candes-Saint-Martin, à 30 m d'altitude, après avoir traversé 96 communes[3]. La station de Chinon permet de caractériser les paramètres hydrométriques de la Vienne. Le débit mensuel moyen (calculé sur 10 ans pour cette station) varie de 49 m3/s au mois d'août à 352 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 1 610 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 5,39 m le [4],[5]. Sur le plan piscicole, la Vienne est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 678 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Savigny-en-Véron à 3 km à vol d'oiseau[9], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 637,8 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,8 | 2,4 | 4,2 | 6,1 | 9,6 | 12,6 | 14 | 13,8 | 10,7 | 8,7 | 5,2 | 3,1 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,7 | 6,2 | 9 | 11,6 | 15,1 | 18,5 | 20,3 | 20,2 | 16,7 | 13,2 | 8,8 | 6,1 | 12,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,5 | 9,9 | 13,8 | 17 | 20,6 | 24,4 | 26,5 | 26,6 | 22,8 | 17,7 | 12,3 | 9 | 17,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−14,8 07.01.09 |
−12,7 12.02.12 |
−10,4 01.03.05 |
−2,8 04.04.22 |
−0,7 03.05.21 |
2,6 01.06.06 |
5,4 10.07.04 |
4,5 29.08.1995 |
1,1 21.09.12 |
−5 30.10.1997 |
−8,7 24.11.1998 |
−10 30.12.1996 |
−14,8 2009 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,9 01.01.23 |
22,8 27.02.19 |
25,7 31.03.21 |
29,9 20.04.18 |
33,6 27.05.05 |
41,5 29.06.19 |
41,7 25.07.19 |
40,3 10.08.03 |
36 14.09.20 |
31,7 02.10.23 |
23,5 07.11.15 |
18,6 07.12.00 |
41,7 2019 |
Précipitations (mm) | 57,9 | 44,8 | 46,2 | 52,4 | 52 | 45,6 | 49,2 | 44,1 | 49,8 | 63,8 | 67,3 | 64,7 | 637,8 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Beaumont-en-Véron est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Beaumont-en-Véron[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chinon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[15]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (20,4 %), terres arables (18,7 %), cultures permanentes (17 %), zones urbanisées (15 %), forêts (13,8 %), prairies (11,2 %), eaux continentales[Note 4] (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Beaumont-en-Véron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, la rupture d'un barrage et le risque nucléaire[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Négron, la Vienne. Ainsi, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2013[21],[19].
Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Véron, est classée au niveau de risque 2, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[22].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[23]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 72 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 390 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 928 sont en aléa moyen ou fort, soit 67 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2013[19].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Une partie du territoire de la commune est en outre située en aval d'une digue. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].
En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre réflexe de 2 km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[27].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La commune s'est appelée Bellis Mons, puis Bellis Montis en 1290, d'où le nom de ses habitants : les Bellimontois et les Bellimontoises. Puis elle a pris définitivement son nom, Beaumont-en-Véron, en 1314.
Histoire
[modifier | modifier le code]La famille du Commandeur de l'Ile Bouchard Isaac de Razilly (Gouverneur de Nouvelle-France) possédait plusieurs châteaux dont un à Beaumont-en-Véron, un à Cuon et également un à Roiffé alors généralité de Touraine.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Dans son palmarès 2016, le Conseil national des villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[28].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2021, la commune comptait 2 688 habitants[Note 5], en évolution de −0,41 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Beaumont-en-Véron se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.
La commune compte une école maternelle (école La Souris Verte) et une école élémentaire.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Île à Seguin
- Château de Coulaine
- Château de Détilly
- Château d'Isoré
- Château de Pontourny, devenu en 2016 le premier centre de déradicalisation ouvert par l'État en France[33].
- Château de Razilly
- Château de Velors
- Manoir de la Courtinière (XVIe siècle)
- Manoir de Montour
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Île à Seguin.
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Château de Coulaine.
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Château d'Isoré.
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Château de Razilly.
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Château de Velors.
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Manoir de la Courtinière.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Le comédien et humoriste Thomas VDB, lycéen à Chinon, a passé son adolescence à Beaumont à la fin des années 1990[34].
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Beaumont-en-Véron, il y a une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Carte hydrologique de Beaumont-en-Véron », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche Sandre - la Vienne », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Station hydrométrique L7220610, la Vienne à Chinon »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Beaumont-en-Véron et Savigny-en-Véron », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Savigny-en-Véron », sur la commune de Savigny-en-Véron - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Savigny-en-Véron », sur la commune de Savigny-en-Véron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Beaumont-en-Véron », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Beaumont-en-Véron ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chinon », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Beaumont-en-Véron », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « À Beaumont-en-Véron, l'Etat tente de vendre les mérites de son premier centre de déradicalisation », sur Marianne.net, .
- https://www.lanouvellerepublique.fr/chinon/sur-scene-a-chinon-thomas-vdb-de-retour-au-bercail