Bosmont-sur-Serre

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Bosmont-sur-Serre
Bosmont-sur-Serre
Église fortifiée de Bosmont-sur-Serre.
Blason de Bosmont-sur-Serre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de la Serre
Maire
Mandat
Laurent Duchêne
2020-2026
Code postal 02250
Code commune 02101
Démographie
Gentilé Bosmontois(es)
Population
municipale
178 hab. (2021 en diminution de 10,1 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 43′ 57″ nord, 3° 51′ 37″ est
Altitude 85 m
Min. 87 m
Max. 172 m
Superficie 9,68 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Marle
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bosmont-sur-Serre
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Bosmont-sur-Serre
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Bosmont-sur-Serre

Bosmont-sur-Serre [bomɔ̃ syʁ sɛʁ] est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Cartographies de la commune
Carte
La commune dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Panorama de la place montrant un vaste échantillon de belles constructions typiques de Thiérache.
Panorama de la place montrant un vaste échantillon de belles constructions typiques de Thiérache.
  • 1Carte dynamique
  • 2Carte Openstreetmap
  • 3Carte topographique
  • 4Panorama

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 796 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Vervins à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bosmont-sur-Serre est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,8 %), forêts (15,2 %), prairies (12,9 %), zones urbanisées (5,2 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village apparaît pour la première fois en 1137 sous l'appellation de Bolmunt puis Bealmont dans un cartulaire de l'abbaye Saint-Martin de Laon en 1165. L'orthographe variera encore ensuite : Territorium de Boulmont, Boemont, Boumont, Bomont, Boomont, Beaumont en 1405, Paroise Saint-Remy de Bomont, et Bomont vers 1750 sur la Carte de Cassini . Au XIXe siècle, le nom officiel deviendra Bosmont puis Bosmont-sur-Serre au XXe siècle[13].

La Serre est une rivière française, affluent de la rive gauche de l'Oise, donc sous-affluent de la Seine. Elle coule dans les départements des Ardennes et de l'Aisne, dans les anciennes régions Picardie et Champagne-Ardenne, donc dans les nouvelles régions Hauts-de-France et Grand-Est.

Le nom Serre est issu d'un mot celtique pour plusieurs toponymistes comme Albert Dauzat, Ernest Nègre, Charles Rostaing. Le nom vient d'une variante féminine d'un radical pré-celtique ser signifiant « couler, mouvoir rapidement et violemment »[14],[15]. Une racine indo-européenne *ser- de même signification a été conjecturée[16],[17]. On retrouve une origine étymologique similaire avec la Sarre et la Sère[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).
Dessin du château de Bosmont-sur-Serre au XIXe siècle.

Carte de Cassini
La carte de Cassini montre qu'au XVIIIe siècle, Bomont est une paroisse située sur la rive droite de la Serre. Le château est représenté sur la carte.
A l'est, le moulin à eau, dont les bâtiments sont encore présents de nos jours près de la rue du Moulin de Bosmont, est représenté par une roue dentée sur la Serre.
La ferme et la chapelle Saint-Antoine sont sur le terroir de Saint-Pierremont tandis que le ferme de Richemont est sur la commune de Cilly.
Le châteu fort de Bosmont
En 1346, les Anglais s'emparèrent du château fort de Bosmont que leur livra Jean de Coucy-Vervins, seigneur de Bosmont. Les Français vinrent aussitôt en faire le siège, le prirent et le rasèrent[18].
Fortifications des églises
Au XVIe siècle, lors des affrontements entre François 1er et Charles Quint, et lors de la Guerre franco-espagnole de 1635 à 1659, les villages de la Thiérache furent constamment ravagés aussi bien par les troupes françaises qu'étrangères. C'est à cette époque que la plupart des villages de Thiérache, comme Bosmont-sur-Serre, fortifient leurs églises pour permettre aux habitants de s'y réfugier an cas d'attaque. Le clocher ou la nef, faits de hauts murs et surmontés d'un étage, sont flanqués de tours percées de meurtrières. En cas d'attaque de bandes de pillards, les habitants du village s'y réfugiaient avec provisions pour tenir un siège de plusieurs jours[19].
Le moulin de Bosmont et la briqueterie
Comme la plupart des villages de Thiérache situés près d'une rivière, Bosmont a possédé un moulin à eau qui a fonctionné jusqu'à la fin du XIXe siècle.
Vente aux enchères le samedi 15 juin 1861, du château et du moulin de Bosmont comprenant l'usine, le moulin à farine, les ustensiles et les bâtiments d'habitation pour le meunier, ainsi que d'une briqueterie de 6 ha sise au lieu-dit les Garennes [20].
Première Guerre mondiale
Le 29 août 1914, soit moins d'un mois après la déclaration de la guerre, le village est occupé par les Allemands après la défaite de l'armée française lors de la bataille de Guise. Pendant toute la guerre, Bosmont-sur-Serre restera loin du front qui se stabilisera à environ 150 km à l'est aux alentours de Péronne. Les habitants vivront sous le joug de l'ennemi : réquisitions de logements, de matériel, de nourriture, travaux forcés.
Ce n'est que le 6 novembre 1918 que le village sera libéré[21].
Sur le monument aux morts sont écrits les noms des 18 soldats de la commune morts au Champ d'Honneur lors de la Grande Guerre et des 4 victimes civiles décédées de faits de guerre[22].

Passé ferroviaire du village[modifier | modifier le code]

Carte postale de la gare avant 1914 avec mention des horaires.
L'ancienne gare en 2020 devenue habitation.
L'ancien café de la gare de Bosmont évoque l'importance de la ligne au début du XXe siècle.

De 1907 à 1959, Bosmont a été traversée par la ligne de chemin de fer de Marle à Montcormet qui passait au sud du village sur la rive gauche de la Serre.
Chaque jour, quatre trains s'arrêtaient dans chaque sens dans la gare pour prendre les passagers qui se rendaient soit à Marle, soit à Montcornet.
L'ancienne gare, devenue habitation, existe encore de nos jours, ainsi que l'imposant café de la gare sur lequel on peut lire : Café de la Gare - Construit en 1908 - Détruit en 1918 - Reconstruit en 19268 -Vive la Paix[23].
Après la fermeture de la ligne, les rails , les traverses et le ballast ont été vendus et de nombreuses sections du tracé ont été rendus à l'exploitation agricole.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Bosmont-sur-Serre est membre de la communauté de communes du Pays de la Serre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Crécy-sur-Serre. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[24].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[25]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Marle pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[25], et de la troisième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[26].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La mairie datée de 1847.
Le monument aux morts.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Dans les années 1930   Humbert La Tour du Pin
Chambly de la Charce
(1869-1951)
  Ancien officier
mars 2001 mars 2008 Jacky Mangelinck    
mars 2008[27] 2014 Gérard Pennes    
mars 2014[28] juin 2020 Amélie Loiseau SE  
juin 2020[29],[30] En cours
(au 7 novembre 2020)
Laurent Duchêne    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 178 habitants[Note 2], en diminution de 10,1 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
335405458494749473477483485
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
436425406385400356338354360
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
345320314342311324309280272
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
309313270251197190206207196
2021 - - - - - - - -
178--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Rémi.
  • Château de Chambly du XVIIe siècle avec façades et toiture classées depuis 1966.
  • Ancien abri allemand dit du Kaiser : bunker enfoncé de trois mètres dans le sol, aujourd'hui couvert par la végétation, dans lequel Guillaume II est venu superviser les opérations militaires de la Première Guerre mondiale. Classé depuis 1921.
  • Site fossoyé du Châtelet[35].
  • L'Île aux quatre pigeonniers : parc privé de 15 ha ouvert à la visite qui réunit un potager redessiné en 2000, des volières abritant des dindons, des faisans dorés et argentés, vingt-quatre carrés plantés de fleurs et d'agrément : euphorbes, gauras, anémones, iris, une roseraie avec plus de cent variétés, un verger avec cerisiers, abricotiers, cassissiers et groseilliers, des arbustes taillés en topiaire et quatre pigeonniers.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Décadi Dupuy né à Bosmont-sur-Serre en 1848 (docteur en médecine, député de l'Aisne, maire de Vervins) à qui un buste rend hommage dans le cimetière communal[36].
  • Tombes de la famille De la Tour du Pin Chambly dans le cimetière[37].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bosmont-sur-Serre Blason
Coupé d'argent à la croix engrêlée d'azur chargé de cinq fleurs de lys d'or, et du second au mont du premier chargé d'un rencontre de bœuf de sable accorné d'or et langué de gueules[38].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Bosmont-sur-Serre et Fontaine-lès-Vervins », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Fontaine-les-Vervins » (commune de Fontaine-lès-Vervins) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Fontaine-les-Vervins » (commune de Fontaine-lès-Vervins) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes », sur Gallica, (consulté le ).
  14. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Librairie Droz, Genève, , 704 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 44.
  15. Albert Dauzat, Gaston Deslandes et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de rivières et de montagnes en France, Paris, Klincksieck, , 233 p. (ISBN 978-2-252-01914-6).
  16. (de) Julius Pokorny, Indogermanisches etymologisches Wörterbuch, Berne, (lire en ligne), p. 909-910.
  17. (de) Gerhard Köbler, Indogermanisches Wörterbuch, (lire en ligne).
  18. « Histoire de la ville de Marle et des environs », sur Gallica, (consulté le ).
  19. « La Thiérache : recueil de documents concernant l'histoire, les beaux-arts, les sciences naturelles et l'industrie de cette ancienne subdivision de la… », sur Gallica, (consulté le ).
  20. « Journal des débats politiques et littéraires », sur Gallica, (consulté le ).
  21. « Annales catholiques : revue religieuse hebdomadaire de la France et de l'Église », sur Gallica, (consulté le ).
  22. « Bosmont-sur-Serre - Monument », sur Geneanet (consulté le ).
  23. Bosmont-sur-Serre Ancien Café de la gare.jpg|Bosmont-sur-Serre Ancien Café de la gare
  24. « communauté de communes du Pays de la Serre - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  25. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Bosmont-sur-Serre », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  26. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  27. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  28. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  29. Virginie Guennec, « Un maire suppléant jusqu'aux élections à Bosmont-sur-Serre », L'Union,‎ « Après la démission de six élus sur sept, le dernier élu, Laurent Duchêne, a accepté d'être maire « suppléant ». Une situation inacceptable pour Alain Nice, tête de liste ».
  30. Virginie Guennec, « Laurent Duchêne, élu dans la douleur à Bosmont-sur-Serre », L'Union,‎ « La commune aura connu des élections à rebondissements. Après un deuxième tour annulé et des démissions collectives, des élections partielles ont eu lieu en octobre. Laurent Duchêne, maire par intérim depuis le printemps, a été élu maire le 23 octobre. ».
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 32 (cf. Bosmont).
  36. « 02101 Bosmont-sur-Serre (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]