Couvron-et-Aumencourt
Couvron-et-Aumencourt | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Laon | ||||
Intercommunalité | CC du Pays de la Serre | ||||
Maire Mandat |
Carole Ribeiro 2020-2026 |
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Code postal | 02270 | ||||
Code commune | 02231 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Covéronnais(es) | ||||
Population municipale |
949 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 38′ 37″ nord, 3° 31′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 60 m Max. 91 m |
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Superficie | 13,33 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Laon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Marle | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Aisne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.couvron.fr/ | ||||
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Couvron-et-Aumencourt est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Ses habitants sont les Covéronnais[1]
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Couvron est située à 11 km de Crécy-sur-Serre, à 15 km de Laon, à 19 km d'Anizy-le-Château et à 32 km de Saint-Quentin.
L'accès à l'A 26, qui tangente au nord le territoire communal, en direction de Saint-Quentin est à 9 km de Couvron.
Couvron-et-Aumencourt est desservie par la gare de Crépy - Couvron située à Crépy, sur la ligne d'Amiens à Laon et desservie par des trains régionaux TER Hauts-de-France.
-
Entrée de Couvron-et-Aumencourt.
-
La gare de Crépy-Couvron.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
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Remies | ![]() | ||
Monceau-lès-Leups | N | Chéry-lès-Pouilly | ||
O Couvron-et-Aumencourt E | ||||
S | ||||
Fourdrain | Crépy | Vivaise |
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Le territoire communal est drainé par le Broyon, un affluent de la Serre et donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pouilly-sur-Serre », sur la commune de Pouilly-sur-Serre, mise en service en 1959[8] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 735,9 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 28 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Couvron-et-Aumencourt est une commune rurale[Note 6],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laon, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 106 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20,7 %), forêts (12,2 %), zones urbanisées (4 %)[20].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 396, alors qu'il était de 378 en 2014 et de 367 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 92,4 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,7 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Couvron-et-Aumencourt en 2019 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,3 %) inférieure à celle du département (3,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 64,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (62,7 % en 2014), contre 61,6 % pour l'Aisne et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Couvron-et-Aumencourt[I 1] | Aisne[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 92,4 | 86,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2,3 | 3,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,3 | 9,9 | 8,2 |
Toponymie[modifier | modifier le code]
Histoire[modifier | modifier le code]
Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]
Le , Couvron fusionne avec Aumencourt par arrêté du Directoire de l'Aisne et prend son nom actuel[21].
Époque contemporaine[modifier | modifier le code]
Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
Durant la première Guerre mondiale, l'armée allemande implante un champ d’aviation à quelques centaines de mètres de la base actuelle[22].
Pendant la guerre, l’église de Couvron subi des dégradations, sans être démolie. Le , les vitraux sont soufflés et les cloches de l'église furent enlevées par les Allemands pour être fondues[23].
En 1917 est installée dans le bois entre Couvron et Crépy, après le passage à niveau, une Grosse Bertha qui bombarde Paris[23].
En 1918, dans le cadre des destructions systématiques des sites industriels opérées par les Allemands, les deux sucreries d’Aulnois ainsi que la râperie qui se trouvait à cheval sur Couvron et de Vivaise, qui avaient été occupées par l’ennemi, sont démolies et vidées de tout leur matériel pour être expédiéen Allemagne[23].
Par ordre du général allemand qui logeait au château (actuellement démoli), tous les habitants du village sont évacués à pieds le vers Vervins[23].
Le village est libéré le . La rue principale du village, autrefois dénommée rue Saint-Nicolas, porte depuis 1919 le nom de rue du Colonel Chépy, officier français tué ce jour-là lors d'une inspection du front, qui se trouvait à la hauteur de la ferme d’Aumencourt, victime d’éclats d’obus tirés par les Allemands qui se retiraient[23].
Le village est considéré comme largement détruit à la fin de la guerre[24] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [25].
L'Entre deux guerres[modifier | modifier le code]
En 1936, l'armée française implante une plate-forme d’opérations pour les besoins opérationnels de l'Armée de l'Air, qui deviendra la base aérienne de Laon-Couvron[22],[26].
Le calvaire érigé en 1902, démoli lors des bombardements allemands, est restauré le , devant une foule nombreuse[23].
Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
La base aérienne connaît une grande activité durant la Drôle de guerre puis la Campagne de France de mai-juin 1940[22].
Après l'armistice du 22 juin 1940, la base est utilisée et agrandie par la Luftwaffe jusqu’en 1944[22],[26].
Couvron-et-Aumencourt est libéré le [27].
L'après-guerre[modifier | modifier le code]
- 1944 : des militaires américains relâchent des ratons laveurs qui leur servaient de mascottes. Ces derniers se sont depuis très bien acclimatés à la forêt de Saint-Gobain[réf. nécessaire].
- 1953 : implantation par l'OTAN d'une base aérienne pour les Américains, la base aérienne de Laon-Couvron[22],[26].
- 1966 : départ des Américains à la suite du retrait de la France du commandement militaire intégré de l'OTAN. La base est affectée en 1969 aux besoins de l'Armée de terre[26].
- 2012 : Fermeture de la base aérienne[28].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]
La commune se trouve dans l'arrondissement de Laon du département de l'Aisne[29].
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Crécy-sur-Serre[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Marle[29].
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Aisne[30].
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Penvénan est membre fondateur de la communauté de communes du Pays de la Serre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1992 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité succède au Syndicat du Pays de la Serre créé en 1986.
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Équipements et services publics[modifier | modifier le code]
Enseignement[modifier | modifier le code]
La commune dispose d'une école de 6 classes, de la maternelle au CM2, dotée d'un accueil périscolaire et d'une cantine[35].
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2020, la commune comptait 949 habitants[Note 8], en augmentation de 5,33 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Église Saint-Privat.
- Monument aux morts, édifié en 1923, grâce à une souscription lancée dans la population par les anciens combattants de l’époque en mémoire de leurs camarades tombés au front, la municipalité ayant participé aux dépense[23]
- Calvaire.
- L'astroboule, sculpture monumentale de Claude Viseux.
- Base aérienne de Laon-Couvron occupée par l'armée américaine de la Seconde Guerre mondiale jusqu'en 1967 et restituée alors à l'armée française à la suite de la sortie de la France du commandement centralisé de l'OTAN.
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Église Saint-Privat.
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Église Saint-Privat.
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Monument aux morts.
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Calvaire.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Agathon Hennique (1810-1870), général de brigade et gouverneur de la Guyane, y est né.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes et cartes[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
Site de l'Insee[modifier | modifier le code]
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Couvron-et-Aumencourt » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Couvron-et-Aumencourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Couvron-et-Aumencourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Aisne » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources[modifier | modifier le code]
- « La commune en quelques mots », Vie locale > Histoire de la commune, sur https://www.couvron.fr/ (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Pouilly-sur-Serre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Couvron-et-Aumencourt et Pouilly-sur-Serre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pouilly-sur-Serre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Couvron-et-Aumencourt et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « De l’avion au char : le camp militaire », Vie locale > Histoire de la commune, sur https://www.couvron.fr (consulté le ).
- Marcel Vives, « Centenaire de la Libération de Couvron » [PDF], Vie locale > Histoire de la commune -, sur https://www.couvron.fr, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 3 août 1921, p. 9097.
- DGAC, « Plate-forme d'opérations de LAON - COUVRON (Aisne) », Atlas historique des terrains d'aviation de France métropolitaine 1919-1947, sur https://www.anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
- « Libération de Couvron (39-45) », Vie locale > Histoire de la commune, sur https://www.couvron.fr/ (consulté le ).
- « Il y a dix ans, la base de Laon-Couvron fermait. Le départ des militaires a laissé un vide (1/4) : La base militaire de Couvron-et-Aumencourt a fermé ses portes il y a dix ans, laissant un vide dans le village après le départ de nombreuses familles », L'Union , (lire en ligne, consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Couvron-et-Aumencourt », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- « Les Maires de Couvron », Vie locale > Histoire de la commune, sur https://www.couvron.fr (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2008-2014 : Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
- « Second mandat de maire pour Carole Ribeiro à Couvron-et-Aumencourt », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
- « Ecole primaire et maternelle », Jeunesse > L'école > Ecole primaire et maternelle, sur https://www.couvron.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Michel Pierrot, « De l'avion au char: le camp militaire » [PDF], Vie locale > Histoire de la commune, sur https://www.couvron.fr (consulté le ).
- « Dossier complet : Commune de Couvron-et-Aumencourt (02231) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Couvron-et-Aumencourt », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Couvron-et-Aumencourt » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 SE, Laon [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.