Phalsbourg

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Phalsbourg
Phalsbourg
La place d'Armes, avec, au fond, la mairie.
À droite, la statue Lobau.
Blason de Phalsbourg
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Sarrebourg-Château-Salins
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Phalsbourg
Maire
Mandat
Dany Kocher
2014-2020
Code postal 57370
Code commune 57540
Démographie
Gentilé Phalsbourgeois
Population
municipale
4 683 hab. (2021 en diminution de 0,97 % par rapport à 2015)
Densité 356 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 07″ nord, 7° 15′ 33″ est
Altitude Min. 200 m
Max. 384 m
Superficie 13,15 km2
Élections
Départementales Phalsbourg
Localisation
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Phalsbourg
Liens
Site web phalsbourg.com

Phalsbourg est une commune française située dans le département de la Moselle, région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique de Lorraine et fait partie du pays de Sarrebourg.

Ses habitants sont appelés les Phalsbourgeois.

Géographie

Petite ville d'environ 4 800 habitants, créée en 1570 par la comte palatin Jean-Georges de Veldenz à qui elle doit son nom, fortifiée par Vauban, Phalsbourg se situe à la limite entre la Lorraine et l'Alsace. Elle fait partie du parc naturel régional des Vosges du Nord et de la réserve de biosphère transfrontalière des Vosges du Nord-Pfälzerwald.
Linguistiquement la commune est coupée en deux : étant à l'ouest en zone francique et à l'est en zone alémanique.

Phalsbourg est distante de 41 km de Strasbourg, de 79 km de Nancy, de 88 km de Metz et de 360 km de Paris (distance orthodromique)[1].

Communes limitrophes

Carte de la commune.

Écarts et lieux-dits

  • Buchelberg au nord,
  • Les Maisons Rouges (Rothhäuser) à l’ouest,
  • La Roulette (Rollweiler) à l’est,
  • Bois de Chênes (Eichwälder ou Eichbaracken),
  • Trois-Maisons (Dreihäuser) au sud.

Voies de communication et transports

Entrée de la ville par la route de Sarrebourg (ancienne RN4).

Voies routières

Phalsbourg est traversée par la route nationale 4 (qui devient la route départementale 604 entre l'entrée ouest de la commune et la limite entre les départements de la Moselle et du Bas-Rhin), l'autoroute A4 et la route départementale 38 ; elle constitue également l'origine de la route départementale 661 (ancienne route nationale 61).

Voies ferrées

Affiche des Chemins de fer d'Alsace et de Lorraine, la porte de France à Phalsbourg.

La gare de Phalsbourg était située sur l'ancienne ligne à voie métrique de Lutzelbourg à Drulingen aujourd'hui déclassée et déposée. Une autre gare se trouvait à l'ouest de la commune au lieu-dit Maisons-Rouges. Le quartier La Horie disposait d'un embranchement ferroviaire qui le reliait à la ligne de Réding à Drulingen.

Aujourd'hui, la gare ouverte au service voyageurs la plus proche est celle de Lutzelbourg.

La commune est traversée, au nord, par la ligne à grande vitesse Est européenne.

Toponymie

  • Phalsbourg : du germanique Pfalz « palais / dignité de comte palatin » et Burg « bourg du prince palatin »[2]: Pfalzburg (1576), Pfaltzbourg (1591), Pfalzburgum et Pfalzburg (1751), Pfalzburg (1871-1918) ;
  • Buchelberg : Spiegelberge (XVe siècle), Buchel (1719), Pigelberg (Cassini). Bichelberj en francique lorrain[4] ;
  • Les Trois-Maisons : Drej Hiser en francique lorrain[4].
  • Les Baraques du Bois de Chênes : Eich-Baracken (1845)[5]. Eich-Baraques en francique lorrain[4].

Sobriquet

  • Surnoms à propos des Phalsbourgeois : Les Ramp-pis / Les Ramp-chis[6]. Ramp est une abréviation de rempart, Pis et Chis sont des abréviations évoquant une besogne dégoûtante.

Histoire

Époque moderne

Porte fortifiée. — Les portes des villes fortifiées sont munies de ponts-levis jetés sur les fossés qui entourent les remparts ; quand on lève les ponts et qu’on ferme les portes, nul ennemi ne peut entrer dans la ville. — Phalsbourg a été fortifiée par Vauban et démantelée par les Allemands. Traversée par la route de Paris à Strasbourg, elle n’a que deux portes : la porte de France à l’ouest et la porte d’Allemagne au sud-est, qui sont des modèles d’architecture militaire.
G. Bruno : Le Tour de France par deux enfants, première illustration de l'édition de 1904.

La ville de Phalsbourg est créée en 1570 par le comte palatin Georges-Jean de Veldenz, prince protestant, grâce à la dot de son épouse Anna-Maria, fille du roi de Suède Gustave Ier Vasa. La fondation est motivée par l’accueil des réformés, alors indésirables dans le très catholique duché de Lorraine. Le comte palatin possède déjà le château d'Einartzhausen dans son comté de la Petite-Pierre, enclavé en Lorraine. Il fait tracer à proximité de ce château le plan d’une ville nouvelle, en damier, symbole alors d’ordre et de modernité, et accorde des franchises aux nouveaux habitants qui viennent peupler la ville. La création de Phalsbourg est reconnue le par l’empereur Maximilien II du Saint-Empire. La ville prend le nom de Pfalzburg, « Pfalz » signifiant Palatinat et « Burg », forteresse.

Toutefois, par manque d’argent, la ville est cédée au duc de Lorraine dès 1590 et les tentatives d’expulsion des réformés se multiplient, non sans se heurter à une farouche résistance de la population. Le comte palatin Georges-Gustave, fils aîné et héritier de Georges-Jean, fonde alors Lixheim en 1608, qui connaît le même sort que Phalsbourg en 1623.

Phalsbourg et Lixheim forment une éphémère principauté de 1629 à 1660, au profit de Henriette de Lorraine, sœur du duc Charles IV de Lorraine, et de ses maris successifs, au premier rang desquels Louis de Guise, baron d'Ancerville.

De 1634 à 1697, la Lorraine est occupée presque sans discontinuer par les troupes françaises. Les fortifications de la ville sont remaniées et complétées par Vauban. La commune est annexée au royaume de France en 1661 via le traité de Vincennes. Par la suite, le bailliage et la prévôté de Phalsbourg dépendent de la généralité de Metz. À la suite de la Révolution française, la ville est intégrée au département de la Meurthe en 1790 et devient alors chef-lieu de canton[7].

XIXe siècle

Au XIXe siècle, Phalsbourg voit la naissance du maréchal Mouton, comte de Lobau, ainsi que la rencontre entre les deux auteurs régionalistes Émile Erckmann et Alexandre Chatrian.

La ville subit trois sièges (1814-1815-1870), valant à la ville le surnom de « Pépinière des Braves ».

Le 10 août 1870, lors de la guerre franco-prussienne, Phalsbourg est défendue par le 63e régiment d'infanterie de ligne et le 1er bataillon de la garde nationale mobile de la Meurthe sous le commandement de Pierre Taillant. Elle est assiégée jusqu'au 12 décembre, date à laquelle les défenseurs succombent sous le nombre.

Après le traité de Francfort le , la ville est annexée à l’Empire allemand. Rebaptisée Pfalzburg, elle est alors rattachée à l'arrondissement de Sarrebourg, nouvel arrondissement du Reichsland Elsass-Lothringen. Durant la période allemande, une première ligne de chemin de fer est mise en service le avec l'ouverture de la section Lutzelbourg - Phalsbourg de la ligne de Lutzelbourg à Drulingen. En 1914, les conscrits phalsbourgeois, comme la plupart des Mosellans, se battent sous les couleurs de l'Empire.

Depuis 1900

En 1918, après la fin de la Première Guerre mondiale et la signature du traité de Versailles, Phalsbourg redevient française comme le reste de l'Alsace-Lorraine, et fait désormais partie du nouveau département de la Moselle. Le , le président de la République Raymond Poincaré vient décerner à Phalsbourg la croix de chevalier de la Légion d’honneur pour son comportement héroïque lors du siège de 1870.

Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville est de nouveau annexée, cette fois par le IIIe Reich allemand. Son nom redevient Pfalzburg et elle est rattachée au Gau Westmark.

Le [8], malgré la combativité des troupes allemandes qui s'accrochent en Lorraine depuis septembre, la ville est prise par la 7e armée américaine. Un odonyme local (rue du 23-Novembre) rappelle cet évènement.

En 1953, l’United States Air Forces in Europe entreprend la construction de la base aérienne de Phalsbourg-Bourscheid à trois kilomètres à l'ouest de la commune. La cité Clark est construite pour loger les militaires américains et leurs familles. La base est utilisée par les Américains jusqu’en 1967, date du retrait de la France du commandement intégré de l’OTAN. Le site est alors renommé quartier La Horie et devient une base d'hélicoptères de l'Aviation légère de l'Armée de terre.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Premier Empire   Charles-Joseph Parmentier    
XIXe siècle   Désiré Parmentier   Fils de Charles-Joseph Parmentier
1860 1867 M. Germain   Gendre du précédent
Avant 1870   François Alexandre Bender [9]    
         
Oscar Gérard DVD puis UDF Professeur d’histoire-géographie
Conseiller général du canton de Phalsbourg (1972 → 1982)

(démission)
Jean Riehl    
En cours Dany Kocher UDF puis MoDem Président de la CC du Pays de Phalsbourg (depuis 2014)

Sécurité

La commune dispose d'une brigade de gendarmerie.

Santé

L'hôpital de Phalsbourg a fermé fin 1991. Ses anciens locaux sont désormais utilisés par une clinique de psychologie médicale[10].

Garnison

Le groupe d'aviation légère du 1er corps d'armée (GALCA 1) est formé au quartier La Horie le . Il devient le 1er régiment d’hélicoptères de combat (1er RHC) le .

La garnison de la base comprend également le groupement de soutien de la base de Défense de Phalsbourg (GSBdD) et l'unité de soutien de l'infrastructure de la Défense de Phalsbourg (USID).

Autres unités ayant tenu garnison à Phalsbourg :

Économie

Depuis 1976, Phalsbourg accueille le siège du groupe FM Logistic et ses 300 employés[11].

L'usine de fabrication de panneaux de particules Depalor, qui comptait une centaine de salariés, a été détruite par un incendie le . En novembre de la même année, le groupe Swiss Krono, propriétaire de l'usine, décide de fermer définitivement le site[12].

La zone d'activité Maisons-Rouges, à l'entrée ouest de la commune, regroupe une trentaine entreprises et plus de 500 emplois[13].

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[15].

En 2021, la commune comptait 4 683 habitants[Note 1], en diminution de 0,97 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 9343 2003 5653 4673 6113 7223 5403 6343 675
1856 1861 1871 1875 1880 1885 1890 1895 1900
4 1253 6854 1453 8573 3793 6354 4143 8443 733
1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
3 7213 1543 0732 4762 6023 0523 0933 4383 343
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
3 3793 9053 8484 1894 4994 6304 6084 7534 745
2019 2021 - - - - - - -
4 7294 683-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[16]. |recens-prem=2004 |.)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Culture locale et patrimoine

En 2017, Cédric Jung, a créé l'application mobile « Découvrir Phalsbourg » permettant de faire découvrir la commune à ses visiteurs[17].

Vie culturelle

Le théâtre et la littérature ont droit de cité à Phalsbourg. La commune accueille en effet depuis plus de trente ans un festival consacré au théâtre[18]. La ville a également un lien privilégié avec la littérature. Le Tour de la France par deux enfants, livre de lecture pour l'école primaire, première édition en 1877, par G. Bruno, commence à Phalsbourg, dans la province perdue cédée à l'Empire allemand en 1870. Les romans d’Erckmann-Chatrian mettent parfois en scène Phalsbourg : c’est entre autres la ville natale du soldat de l'Histoire d’un conscrit de 1813.

Lieux et monuments

Édifices civils

  • Musée historique et Erckmann-Chatrian ;
  • Les portes de France et d’Allemagne (les fortifications ont été complétées par Vauban à partir de 1679) ;
  • Château d'Einartzhausen, le premier château fondé en 1390 par le comte Henri de Lutzelstein fut construit afin de commander le passage des cols vosgiens. En 1568, le comte Georges-Jean de Veldenz fit reconstruire le château dans le style Renaissance. Vendu en 1588 au duc de Lorraine Charles III de Lorraine (ISMH) ;
  • Hôtel de Ville - ancien corps de garde (ISMH) ;
  • Ensemble des maisons de la place d’Armes (ISMH) ;
  • Maison - 2 rue du Collège ;
  • Maison - 1 rue du Général-Micheler ;
  • La place d’Armes (Site inscrit) ;
  • Immeuble - 2 rue Lobau (ISMH) ;
  • Caserne Lobau ;
  • Ancien cimetière militaire, créé vers 1750 ;
  • Le char Bourg-la-Reine, situé à l'entrée ouest de la commune, ce char Sherman faisait partie de la 2e division blindée. Il a été touché par plusieurs tirs d'obus de 88 mm le lors de la libération de l'Alsace-Moselle, le premier tir causant la mort de son pilote le brigadier-chef Lucien Barrau[19].

Édifices religieux

  • Église Notre-Dame-de-l'Assomption, 1876, néo-gothique. La façade sur la place d'Armes est inscrite au titre des monuments historiques ;
  • Église de l'Immaculée-Conception, à Trois-Maisons ;
  • Chapelle Saint-Jean ;
  • Chapelle du collège Saint-Antoine ;
  • Chapelle moderne de l'hôpital ;
  • Église luthérienne, rue du Collège, ancienne salle de danse désaffectée qui servit de salle de prière, construction du XVIIe siècle. Celle-ci fut transformée en lieu de culte en 1822, clocheton avec deux cloches en 1835, un orgue en 1844, l'autel en 1857 ;
  • Église néo-apostolique, rue de la Gare ;
  • Synagogue, rue Alexandre-Weill, reconstruite en 1857 sur l'emplacement d'une ancienne datant de 1772, désaffectée en 2008[20] ;
  • Vieux cimetière israélite, lieu-dit Schlossbrunnen. Présence d'une communauté juive dès la fin du XVIIe siècle. Important rabbinat pendant le XIXe siècle. Le cimetière, créé en 1796, agrandi entre 1867 et 1871, également utilisé par les juifs de Mittelbronn (auparavant, le secteur dépendait de Saverne). Comporte plus de 500 tombes, ainsi que des rangées de stèles du XIXe siècle et de la première moitié du XXe siècle [21].

Espaces verts

Le sentier botanique du Brunnenthal, d'une longueur d'environ 4 kilomètres, compte une trentaine de panneaux permettant de découvrir les principales essences des Vosges du Nord.

Personnalités de la commune

Personnalités nées à Phalsbourg

Personnalités liées à Phalsbourg

Héraldique

Blason de Phalsbourg Blason
Parti : au 1er de sable à la croix d'argent, au 2e d'azur à la fleur de lis d'or.
Devise
Pépinière des braves[Note 2] (c'est Napoléon Ier qui se plaisait à appeler Phalsbourg ainsi)[22].
Détails
La ville de Phalsbourg utilise ces armoiries depuis le début du XVIIIe siècle. Elle adopta par erreur ce blason qui figurait dans l'armorial de la généralité d'Alsace de 1696 sous le nom de Philisbourg alors qu'il s'agissait en réalité de Philippsbourg, dans le pays de Bade[23].
Alias
Blason à dessiner
Blason à dessiner
D'azur, à la forteresse donjonnée d'argent, sur le sommet de laquelle flotte un panonceau d'or, chargé d'un alérion de gueules.
Les anciennes armoiries de Phalsbourg, c'est-à-dire les armes de 1608, sont un écu sur lequel on voit un château donjonné, surmonté d'un drapeau chargé d'un alérion. Les couleurs font défaut, mais il semble possible de les rétablir de cette manière[22].

Notes et références

Notes

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. Pour avoir été le berceau d’un nombre impressionnant de généraux.

Références

  1. Distances mesurées grâce à Google Earth.
  2. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France 2, volume 2, p. 725.
  3. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, 1862.
  4. a b c et d Geoplatt
  5. Administration générale des postes, Dictionnaire des postes aux lettres, Paris, Imprimerie Royale, 1845.
  6. Passé-Présent : La Moselle dévoilée, n° 4, novembre-décembre 2011.
  7. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994, p. 15.
  9. Recherches de Robert Depardieu
  10. La santé, sur le site de la commune (consulté le 10 octobre 2017).
  11. « FM Group se déploie », article des DNA du 29 septembre 2015.
  12. « Les Depalor saisissent les Prud’hommes  », article Le Républicain Lorrain du 22 juillet 2015.
  13. Les zones d’activités sur le site de la commune (consulté le 10 octobre 2017).
  14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  17. « Cédric Jung fait découvrir la place d’Armes de Phalsbourg au monde avec son appli », Le Républicain Lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le )
  18. Le festival de théâtre sur phalsbourg.fr.
  19. Phalsbourg : Sherman "Bourg-la-Reine" sur le site Matériels Terrestres 39/45 (consulté le 24 novembre 2017).
  20. La Communauté de Phalsbourg
  21. Histoire du judaïsme en Alsace-Lorraine.
  22. a et b Constant Lapaix, Armorial des villes, bourgs et villages de la Lorraine, du Barrois et des Trois-Évêchés, Nancy, Chez l'auteur
  23. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=10280

Annexes

Bibliographie

  • Henri Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique, volume 2, Nancy, 1853, « Phalsbourg » p.  273 à 287. (BNF 36386877)
  • Arthur Benoît, Le blocus de Phalsbourg : histoire du 9e bataillon des gardes nationaux d'élite du département de la Meurthe (armée du Rhin, 1815), Metz, 1868 lire en ligne sur Gallica
  • Arthur Benoît, « Nouvelles recherches historiques sur Phalsbourg et ses environs », dans Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, 1871, p. 130-158 (lire en ligne)
  • Charles Hollender, Siège de Phalsbourg en 1870, Paris, 1899 lire en ligne sur Gallica

Articles connexes

Liens externes

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