La commune est essentiellement connue pour sa centrale nucléaire et pour être le plus grand musée à ciel ouvert de la Ligne Maginot. En effet, lors de l'édification du célèbre système de fortifications, un nombre impressionnant d'ouvrages militaires de différents types et aux fonctions variées a été construit dans la forêt communale et ses abords, aménagée pour l'occasion comme un véritable saillant défensif renforcé. Ainsi la commune de Cattenom bénéficie-t-elle de la présence de deux projets d'ingénierie majeurs du XXe siècle.
La ville est située à neuf kilomètres environ au nord-est de Thionville, à 42 km de Metz et à onze kilomètres de la frontière franco-luxembourgeoise. Cattenom est réputée pour ses plans d’eau.
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselle, la Moselle canalisée, le ruisseau la Kiesel, le ruisseau de Warpich, le ruisseau de Weihergraben, le ruisseau le Ganzenbruch, le ruisseau le Mirgenbach, le ruisseau le Tenchebach et le ruisseau le Waldgraben[Carte 1].
La Moselle canalisée, d'une longueur totale de 135,2 km, prend sa source dans la commune de Pont-Saint-Vincent et se jette dans la Moselle à Kœnigsmacker, après avoir traversé 61 communes[2].
Le ruisseau la Kiesel, d'une longueur totale de 18,7 km, prend sa source dans la commune de Kanfen et se jette dans la Moselle sur la commune, après avoir traversé cinq communes[3].
Réseaux hydrographique et routier de Cattenom.
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Moselle, de la Moselle canalisée et du ruisseau la Kiesel, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 828 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 18 km à vol d'oiseau[6], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].
Au , Cattenom est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11].
Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (39,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (41,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (35,4 %), terres arables (24,2 %), prairies (12,8 %), eaux continentales[Note 3] (12,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,9 %), zones urbanisées (4,7 %), cultures permanentes (1,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %), mines, décharges et chantiers (1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le nom de Cattenom est attesté sous les formes : Cathenem (1182), Kettenem (1214), Kettenhem (1329), Kettenheim (1400), Kerthenhem (1426), Katenem (1432), Kettenheim (1481), Keluchem / Ketenhon / Cetenhem / Kentuchen / Kettenoffen (1544), Kettenhoven (1568-1570), Cettenhouen (1589), Kattenhous (1594), Catnum (XVIe siècle), Katenom (1668), Catnom (1685), Kethenoven (1686), Cathenom (carte de Cassini), Cattenom (1793)[16],[17]. Par ailleurs, durant le XIXe siècle, Cattenom était également connu au niveau postal sous l’alias de Kettenhowen[18].
Le premier élément est probablement l’anthroponyme germanique Catto que l’on retrouve dans Catonvielle et dans Chatonrupt. Le second élément est apparemment le germanique haim « foyer, village » (cf. allemand Heim). Il semble qu’une forme en -hof / -hoven « cour, ferme » ait coexisté, comme c’est parfois le cas en toponymie ; Il s'agit en ce cas d'une paire toponymique. Il y a homonymie avec Kettenheim en Rhénanie-Palatinat (Allemagne).
Selon Ernest Nègre, *Cattonhem serait devenu Catten(h)om par interversion de o et e.
En allemand : Kattenhofen[16]. En francique lorrain, cette ville est traditionnellement appelée Kättewen par ses habitants[19], ainsi que Kättenuewen dans les localités voisines situées sur la rive gauche de la Moselle et Kättenowen dans les communes situées sur la rive droite[19]. Au Luxembourg, la ville est appelée Kettenuewen[20],[21].
Quelques noms de voies en francique lorrain[Note 4] : d'Iirzegaass (rue de la République), Bäi der wäsch (rue de la Fontaine), d'Groussgaass (rue Kennedy), d'Péiteregässel (impasse des Lilas), Muselstrooss (rue Général de Gaulle), d'Kiirchstrooss (rue Jeanne d'Arc), d'Hënneschtgaass (rue des Tulipes), d'Potchämpegaass (rue Saint-Étienne), d'Schlass strooss (rue des Châteaux)[19].
En 1984, il a été proposé au maire d'installer des plaques bilingues dans la commune, mais celui-ci a refusé[22].
Au lieu-dit Unterhausen (lotissement Les Tanneurs), des fouilles archéologiques préventives ont mis en évidence un habitat rural du Néolithique ancien et de la fin de l'âge du bronze[23].
À Sentzich, en 2000, au lieu-dit Seeveren, des fouilles préventives ont mis au jour deux fosses circulaires datées de l’époque de la Tène pouvant s’apparenter à des silos et des morceaux de céramique[24]. Le lieu est situé dans la zone de chevauchement entre l’aire d’influence des médiomatriques au sud et celle des trévires au nord.
La grande voie romaine qui relie Divodurum Mediomatricorum à Augusta Treverorum par la rive gauche de la Moselle traverse la forêt de Cattenom et forme une des limites de la commune à l’ouest. Il est admis qu’un diverticulum entre cette voie et la grande voie de la rive droite traversait la Moselle entre Cattenom et Basse-Ham.
À partir de la fusion en 1214 du comté d'Arlon avec le comté de Luxembourg, la seigneurie de Cattenom disparait comme telle et se trouva réunie au territoire dit prévôtal de Thionville[26].
Siège d'une cure de l'archiprêtré de Thionville, qui dépendait de l’abbaye de Munster[précision nécessaire] de Luxembourg[16] ;
En 1638, l'ancienne seigneurie ayant été aliénée par l'État à titre d'engagère au profit de Guillaume de la Marguille, seigneur de Copel ; la seigneurie de Cattenom reparut comme telle avec son ancien territoire et ses anciennes prérogatives.
La commune passa sous la domination française en 1643 après la victoire de Condé à Thionville. Fief de Valter de Meuerbourg jusqu’à la Révolution.
Le , cinquante et une maisons de Sentzich brûlèrent par l’imprudence d’un soldat Hessois qui mit le feu à un toit de chaume, en tirant des coups de fusil sur le coq du clocher.
En 1817, à Cattenom, village sur la Moselle fermé de murailles, il y avait à cette époque 1 015 habitants répartis dans 190 maisons. Et à Sentzich, à la même époque, il y avait 739 habitants répartis dans 127 maisons[28].
Entre 1930 et 1940, aménagement des ouvrages militaires défensifs de la ligne Maginot. La population de la ville augmente fortement du fait de la présence des ouvriers travaillant sur les nombreux chantiers, ainsi que par l’aménagement du camp de sécurité de Cattenom, avec des équipements collectifs, des baraquements pour les soldats et des villas pour les cadres de métiers et leur famille. Ce casernement était dénommé quartier Boler. Il sera occupé par des éléments de la Kriegsmarine durant les années d’annexion au 3e reich[29].
En septembre 1939, au moment de la déclaration de la guerre, la population de Sentzich est évacuée. En mai 1940, c’est au tour de la population civile de Cattenom d’être évacuée de la zone des combats[30].
En 1944, entre le 9 et le 14 novembre, la forêt de Cattenom est le point de départ du franchissement de la Moselle par la 90e division d’infanterie américaine « Texas-Oklahoma ». Le couvert végétal et les ouvrages de la Ligne Maginot ont été utilisés pour dissimuler soldats et matériels. Au cours de cette bataille, un pont flottant est installé sur la rivière pour permettre au matériel lourd et au ravitaillement de rejoindre la rive droite[31]. Les combats sont menés alors que la Moselle est en crue, la plaine complètement inondée et par un temps effroyable (pluie, vent, froid). L’observatoire (bloc 5) de l’ouvrage du Galgenberg, qui domine le champ de bataille semble avoir été utilisé à la suite d’une reconnaissance effectuée par des officiers du 359th Infrantry regiment[32]. Ils ont pu accéder à l’intérieur de l’ouvrage depuis le créneau JM/AC 47 endommagé de l’entrée des munitions. Les derniers occupants allemands avaient en effet procédé au sabotage des canons anti-chars de l’ouvrage.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2022, la commune comptait 2 593 habitants[Note 5], en évolution de −3,75 % par rapport à 2016 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Les dialectes de Cattenom, Husange et Sentzich sont pratiquement identiques[19] ; un peu plus au nord, à partir de Gavisse, il y a une zone de diphtongaison intense dans laquelle le dialecte est très différent. À l'inverse, au sud de Cattenom et sur la rive droite de la Moselle, les diphtongues sont moins nombreuses[19]. À titre d'exemple, le dialecte de Rodemack (au Nord) a 10 diphtongues[40], alors que celui de Haute-Yutz (au Sud) n'a que 2 diphtongues[41].
Par ailleurs, il existe beaucoup de cas où les voyelles et les diphtongues sont les mêmes en dialecte de Cattenom et en luxembourgeoisstandard[19]. Les mots en cattenomois sont par exemple : de Summär (l'été), t Duurf (le village), hiren (entendre), d'Meent (les mois), de Fusspaacht (le sentier) et schlanks (à gauche)[19]. Aussi, à Cattenom, le verbe donner se conjugue au prétérit de la manière suivante : ech guff, dou guffscht, hee guff, mir guwwen, dir gufft, säi guwwen[19].
Comme ailleurs en Moselle germanophone, chaque habitant de Cattenom avait, en plus de son nom officiel, un Bäinumm (surnom francique) à l'origine souvent obscure[19]. La revue Hemechtsland a Sprooch de 1983 consacrée à Cattenom donne pour exemples une liste non exhaustive de 79 Cattenomois avec leurs noms et surnoms.
Dans les villages voisins, les habitants de Cattenom étaient surnommés : d'Bounesäck (les sacs de haricots dans le sens « gros mangeurs de haricots »), d'Mouken (les crapauds) et d'Schlecken (les escargots)[19].
Sommet de la colline du Galgenberg ; en français, le mont de la Potence. Promontoire visible de loin, il devait servir de lieu d'exposition des condamnés à mort dans les temps anciens. La base d'une croix est encore visible sur le site. Situé à une altitude de 238 m, le Galgenberg offre un point de vue unique sur la vallée de la Moselle. Le panorama s'étend du Luxembourg à gauche et l'Allemagne, en passant par les hauteurs de Sierck-les-Bains, Kœnigsmacker et la vallée de la Canner, Yutz et Thionville. Par beau temps, on peut y observer la tour de radio-communication du mont Saint-Quentin à Metz. On peut y voir également les éléments caractéristiques du bloc observatoire no 5 de l'ouvrage du Galgenberg, construit pour la ligne Maginot. Une table d'interprétation historique aménagée au sommet de la colline permet d'y comprendre l'évolution des fortifications dans le secteur de Thionville (Festen, ligne Maginot) et la bataille livrée par l'armée américaine en 1944 pour la traversée de la Moselle.
Centrale nucléaire de Cattenom, mise en service entre 1987 et 1991, 7e centrale nucléaire au monde par sa puissance installée (quatre réacteurs de 1 300 MW chacun) et 2e en France par sa production (34 000 milliards de watts en 2009, soit 8 % de la production d'EDF).
Église paroissiale Saint-Martin : anciennement chapelle Saint-Étienne de l'Ordre Teutonique construite durant les XIe et XIIe siècles, démolie en 1830, excepté le chœur et la tour clocher qui sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [43]. Édifiées par-dessus cette chapelle, les constructions du nouveau chœur et de la tour du clocher furent achevées en 1831. Cette église devint l'église paroissiale Saint-Martin en remplacement de l'ancienne située sur le site du cimetière actuel. L'église est dotée d'un orgue d'Aristide Cavaillé-Coll (1857), composé de deux claviers de 54 et de 37 notes ainsi que d'un pédalier de 30 notes[44].
Église paroissiale Saint-Rémi à Husange. Église paroissiale pour l'écart de Husange et les écarts de Kœking et Garche (commune de Thionville), construite en 1708 (date portée sur le linteau du portail), restaurée en 1726 (date portée sur le 1er contrefort côté sud). Dernier niveau de la tour clocher, portail, plafonds de la nef et des bas-côtés, décor stuqué refait, sacristies sont construits en 1881 (date portée sur le portail).
Église paroissiale Saint-Jacques à Sentzich, construite en 1828 (date portée sur la façade occidentale). La date 1846, portée sur la clef de la porte au chevet rappelle sans doute l’érection de la croix qui la surmonte. Tour clocher 4e quart XIXe siècle.
Ossuaire, sous la chapelle du cimetière, inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [45].
Synagogue à Sentzich, construite au XIXe siècle ; transformée en atelier de menuiserie au XXe siècle, située rue de la Synagogue.
Carte des constructions de la Ligne Maginot dans le bois de Cattenom et la forêt domaniale de Garche
La commune abrite sur son territoire plusieurs ouvrages de la ligne Maginot. Lors de l'élaboration du projet de ligne de défense, il a été reconnu stratégiquement indispensable d'englober la forêt et ses hauteurs dans le territoire défendu, sous peine de voir l'adversaire s'y installer en cas de guerre et tenir les vallées de la Moselle et de la Canner sous son contrôle et son feu d'artillerie. Un saillant a donc été aménagé dans le tracé de la ligne avec pour corollaire, afin d'en limiter la faiblesse potentielle (attaque par deux côtés), une concentration d'ouvrages inédite et impressionnante sur un petit périmètre. Ainsi trouve-t-on cinq ouvrages importants sur le ban de Cattenom :
Outre ces ouvrages, on a aménagé également sur le ban de la commune une casemate d'infanterie (Sonnenberg), deux abris de surface pour la troupe (bois de Cattenom, Rippert), un observatoire et des nombreux petits blockhaus chargés de renforcer la ligne de front. Il y avait aussi, en lieu et place de la centrale nucléaire, un casernement de temps de paix pour accueillir les militaires. D'autres ouvrages avaient été planifiés pour renforcer le saillant mais, faute de crédits, ils n'ont jamais été mis en chantier.
En ajoutant les constructions situées sur les bans voisins (Boust et Breistroff la Grande) et qui sont à proximité (abri du Bois Karre, casemates de Basse-Parthe, blocs de combats du Kobenbusch), cette forte concentration d'ouvrages à vocation différente fait de la forêt communale de Cattenom et de la forêt domaniale de Garche le plus grand musée à ciel ouvert de la ligne Maginot.
Coupé d'argent et de sable, à l'escarboucle de huit rais d'or, fleurdelisée sur la croix, pommetée sur le sautoir et ouverte du champ en abîme, brochant sur le tout[46].
Détails
C'est le blason de la famille Kettenhoven, d'ancienne chevalerie luxembourgeoise[41]. L'escarboucle n'a aucun rapport avec la centrale nucléaire de Cattenom[41].
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Les noms en francique sont plus anciens que les noms en français, les noms français ont souvent aucun rapport avec les noms franciques d'origine.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑« Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ abcd et eErnest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.
↑Administration générale des postes, Dictionnaire des postes aux lettres, contenant les noms des villes, communes et principaux lieux habités de la France, Paris, Imprimerie royale, 1845.
↑ abcdefghi et jAlbert-Louis Piernet (dir.), Hemechtsland a Sprooch : Kättewen laanscht der Musel, H.A.S. (no 3), (ISSN0762-7440)
↑ ab et cThéodore de la Fontaine, « Essai étymologique sur les noms de lieux du Luxembourg germanique : troisième division, Luxembourg français », Publications de la Société pour la recherche et la conservation des monuments historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, Luxembourg, V. Buck, vol. XVIII, .
↑Historique de Cattenom, sur le site de la mairie de Cattenom. Consulté le 19 décembre 2007.
↑Viville, Dictionnaire du département de la Moselle, 1817.