Volmerange-les-Mines

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Volmerange-les-Mines
Volmerange-les-Mines
Mairie et église Saint-Denis.
Blason de Volmerange-les-Mines
Blason
Volmerange-les-Mines
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Thionville
Intercommunalité Communauté de communes de Cattenom et environs
Maire
Mandat
Maurice Lorentz
2020-2026
Code postal 57330
Code commune 57731
Démographie
Gentilé Volmerangeois
Population
municipale
2 288 hab. (2021 en augmentation de 6,12 % par rapport à 2015)
Densité 177 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 35″ nord, 6° 04′ 52″ est
Altitude Min. 294 m
Max. 429 m
Superficie 12,92 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Volmerange-les-Mines (ville isolée)
Aire d'attraction Aire d'attraction de Luxembourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Yutz
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Volmerange-les-Mines
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Volmerange-les-Mines
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Volmerange-les-Mines
Liens
Site web https://volmerangelesmines.fr/
Volmerange-les-Mines, l'hôtel de ville
Volmerange-les-Mines, l'église Saint-Denis

Volmerange-les-Mines (en luxembourgeois : Wuelmereng) est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est. Ses habitants sont appelés les Volmerangeois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Grâce à une courte pénétration en territoire français des chemins de fer luxembourgeois, Volmerange-les-Mines, bien que commune française, a la particularité d'avoir sur son sol une gare étrangère (non SNCF), qui est desservie uniquement par des trains des CFL et bénéficie donc de la gratuité de la seconde classe des trains en vigueur au Luxembourg.

Volmerange-les-Mines est située dans le département de la Moselle, à la frontière franco-luxembourgeoise. Les communes avoisinantes sont Kanfen, Ottange et Escherange côté français et Dudelange et Rumelange côté luxembourgeois.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Les lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les lieux-dits relevés sur les documents du cadastre de 1937, dont la plupart figurent encore sur celui d'aujourd'hui : « Alheck, Bauschiger Weg, Birlenschutt, Gerden, Gontzeler, Heide, Hoschtert, Hutberg, Haupenberg, Kirchental, Langenberg, Mann, Molvinger Anten, Rosenberg, Schlammfeld, Village, Widem, Wonnersberg, etc. » ne constituent qu'un pâle reflet des toponymes locaux qui se trouvent dans divers documents anciens ou conservés par la mémoire locale. Les noms d'origine, relevés sur le cadastre napoléonien, dans les aveux et dénombrements et autres documents, sont en principe transcrits à partir du francique (moyen-haut-allemand), dialecte vernaculaire des autochtones, mais certains peuvent dériver du bas latin (Kem), du Celte (Rüm, Kaas), voire du pré-indo-européen (« Simara », plus ancienne dénomination du ruisseau attestée dans une charte de 799). Ils ont parfois été transcrits suivant la phonétique française puis « re-germanisés » (avec parfois des traductions incorrectes) en allemand (= haut-allemand), ce qui rend certaines interprétations hypothétiques. À ces difficultés s'ajoutent les attractions paronymiques[réf. nécessaire]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Volmerange[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Volmerange-les-Mines.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification, dont le territoire correspond aux anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants associés, d'une superficie de 2 418 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[1]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 857 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 21 km à vol d'oiseau[5], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Volmerange-les-Mines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française)[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (48 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,5 %), terres arables (21 %), prairies (20,8 %), zones urbanisées (6,5 %), mines, décharges et chantiers (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Wurmeringen en 909[16]; Wallmeringen en 1305; Walmeringa en 1335; Woilmeringen ou Wollmeringen en 1472; Wolmering en 1506; Walmerange en 1725[17]; Volmerange en 1793[18]; Wolmerange au XIXe siècle; Volmerange-lès-Œutrange en 1868-1920.

  • En allemand : Wollmeringen (1871-1918)
  • en luxembourgeois : Wöölmeréng[19], Wuelmeréng/Wuelmeréngen, Wollmeréng et Wëlmeréng.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale de type germanique en -ing[20] (comprendre -inga ou -ingen), dont le premier élément Volmer- représente un anthroponyme de même origine[20]. Albert Dauzat propose le nom de personne Wolmar qu'il croit renconnaître également dans Volmerange-lès-Boulay (Wolmerenges XIIe siècle) et les types romans Vomécourt (Vosges, Volmaricurt 1003) et Vomécourt-sur-Madon (Vosges, Volmari curte au XIe - XIIe siècle)[20].

Volmérange se trouve dans une couche toponymique géographique de toponymes germaniques[21],[22],[23].

Le suffixe -ange est la forme donnée (renommage administratif) à la place du suffixe germanique -ing (« domaine »), lors de l'avancée du Duché de Bar vers 1200[24]. Le nom des villages ayant leur finale en -ing ou -ingen a été francisé par onomatopée en -ange[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Archéologie[modifier | modifier le code]

Les prospections archéologiques menées sur le ban communal ont permis de recueillir une quantité non négligeable d'outils et d'armes préhistoriques, artefacts attribuables à diverses périodes préhistoriques s'étendant du Paléolithique moyen à l'Âge du bronze. Il en va de même pour la période gallo-romaine. Du matériel protohistorique non datable avec précision a également été mis au jour lors de sondages archéologiques. Des trouvailles anciennes attribuées à la période mérovingienne sont également à signaler.

Histoire récente[modifier | modifier le code]

Anciens domaines de l'abbaye de Saint-Denis de Paris, avec prieuré, Volmerange et Kanfen étaient placés sous la protection des ducs de Lorraine. En 1531, l'abbaye royale vend ses biens à Bernard d'Elz, seigneurs d'Ottange. Aux Eltz succèdent les Hunolstein. En 1777, la seigneurie de Volmerange s'inscrit dans le comté d'Ottange.

Cet endroit dépendait autrefois en partie de la seigneurie de Rodemacher, une autre partie resortissait de la prévôté de Thionville et enfin, une troisième partie du territoire de la commune constituait une seigneurie autonome avec justice moyenne et foncière et droit à un château féodal, dépendante du siège prévôtal de Thionville[26]. Ancien fief luxembourgeois, Volmerange passera sous obédience française en application du traité des Pyrénées (1659).

Avec le traité de Francfort, Volmerange (Wollmeringen) est annexée de droit à l'Allemagne, de 1871 à 1918. En application du traité de Versailles, la localité redevient française.

En , et pour une durée de près d'un an, la population de Volmerange est évacuée à l'arrière de la ligne Maginot, en Lorraine mais aussi et surtout dans les départements de la Vienne (Saint-Genest d'Ambière, Scorbé-Clairvaux), le Calvados, l'Orne ainsi qu'en Bourgogne. En mai et , de violents combats opposent Allemands et Français. Le député Félix Grat est tué au combat au lieu-dit Hetschenberg.

En 1940, la région est occupée (annexion de fait) par l'Allemagne nazie et ce, pendant cinq ans environ. À la Libération, Volmerange-les-Mines repasse dans le giron français.

Le francique, langue vernaculaire du Nord-Mosellan, présente des particularités locales. Ainsi, le langage des Volmerangeois se distingue de celui de ses voisins (vocabulaire, expressions spécifiques, diphtongues etc.). Il a survécu aux diverses annexions, malgré les actions répressives menées par l'école de la République, le diktat prussien et le régime nazi.

L'essor démographique de la commune est alors consécutive à l'arrivée massive d'ouvriers allemands, luxembourgeois, italiens et polonais, embauchés dans les exploitations locales de minerai de fer.

Après-guerre, des liens de sympathie, d’amitié, de reconnaissance se sont créés avec Saint-Genest-d'Ambière dans le Poitou et le Lencloitrais. Quelques mariages entre jeunes des deux communes se sont concrétisés. Pour conforter ces relations amicales, à l’initiative de messieurs Willy Backes, Dino Balestra et Maurice Thile, les Volmerangeois sont invités, à l’occasion des fêtes de la Pentecôte 1958, à venir disputer une rencontre de football. Ce fut l’occasion pour bon nombre de personnes de se retrouver. Les Ambigariens leur rendirent visite à leur tour en 1959, et depuis, les rencontres se sont répétées tous les deux ans.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Nicolas Schüller SFIO Employé, Président de la Commission fédérale des mineurs de fer
André Leick    

(décès)
Raymond Locatelli PS  

(décès)
Jean-Claude Henck DVG Instituteur et directeur d'école retraité
Nicole Clause    
En cours Maurice Lorentz   Cadre supérieur

Jumelages[modifier | modifier le code]

La ville de Volmerange-les-Mines est jumelée avec : Drapeau de l'Italie Calusco d'Adda (Italie) et Drapeau de la France Saint-Genest-d'Ambière (France)[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 2 288 habitants[Note 4], en augmentation de 6,12 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
508470565681840842782769750
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
7226918228338809061 0431 3861 207
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
1 4761 6331 5191 3151 4201 5461 5111 6071 767
1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021 -
1 7551 7251 9731 9901 9872 1562 3082 288-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[30]. |recens-p.)
Histogramme de l'évolution démographique

Les Volmerangeois sont surnommés les "Attrapeurs de Grenouilles"[31] depuis de longues années

Économie[modifier | modifier le code]

À la fin du XIXe siècle, l'économie locale se tourne vers l'exploitation du minerai de fer. La commune a connu deux mines importantes : Langenberg et Kræmer, toutes deux mises en activité en 1874. Il y avait également une troisième mine, Éduard-Stollen, qui fonctionna entre 1903 et 1913. L'exploitation minière devient alors le principal moteur économique de la commune. Les deux principales mines fermèrent en 1973.

Si toute activité liée aux mines de fer a cessé, la commune s'est désormais tournée vers les services. Beaucoup de personnes vont travailler au Luxembourg.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Église paroissiale Saint-Denis.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Ancien lavoir, au dos de l'actuel restaurant L'Entracte, construit durant la première moitié du XIXe siècle et détruit au début des années 1960. Une fresque représentant le lavoir a été peinte en 2001 côté rue du Cimetière.
  • Gare de Volmerange-les-Mines, desservie par les CFL.
  • Cimetière militaire du Hetschenberg, cimetière militaire français situé sur la côte du Hetschenberg. Il regroupait à l'origine des corps de soldats tués lors de la bataille du Hetschenberg en 1940 durant la Seconde Guerre mondiale. Aujourd'hui, il ne compte plus qu'une seule tombe, celle de Raymond Lerouge, les autres corps ayant été déplacés[32].

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église paroissiale Saint-Denis, construite en 1837 à la place d'une chapelle du XVIIe siècle.
  • Calvaire construit par les habitants de la commune en 1937 pour célébrer le centenaire de l'église.

Film tourné à Volmerange-les-Mines[modifier | modifier le code]

Volmerange dans la littérature[modifier | modifier le code]

Un village Volmerange est cité dans le poème d’Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[33].

Sans autre précision de la part du poète, il peut s'agir au choix de :

tous deux situés dans le département de la Moselle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Félix Grat, historien et homme politique français mort en 1940 (capitaine dans l'armée française au 130ème régiment d'infanterie) sur la côte du Hetschenberg (dite côte 425) à Volmerange-les-Mines.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Volmerange-les-Mines Blason
Parti : au premier d'azur semé de fleurs de lys d'or ; au deuxième coupé au premier de gueules au lion issant d'or, au deuxième d'argent plain.
Détails
Les fleurs de lys symbolisent l'abbaye de Saint-Denis et le Royaume de France ; le lion sur fond rouge, la famille d'Eltz et le Luxembourg ; et l'argent, la principauté épiscopale de Metz. Cependant, toutes les sources historiques montrent que le parti d'argent est indissociable des armes réellement portées par toutes les familles d'Eltz (Jakob von und zu Eltz). À noter que les armoiries communales de Kanfen ont fait l'objet d'une « liberté » analogue par l'héraldiste départemental.
Les armoiries de la commune ont été attribuées après délibération du Conseil municipal par décision du Préfet en date du 30 avril 1960.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marc Griette, Les industries lithiques attribuées à l'Aurignacien dans la vallée de l'Orne et dans sa région. - Présentation préliminaire - Programme P5, Région Lorraine, 2006, p. 37, 38, 41 (Prospections Romain Wagner / Escherange, Molvange, Volmerange).
  • Richard Hormain, Volmerange, l’annuaire 2000, Éditions AnVol, Volmerange-les-mines, 2001, 196 p.
  • Joëlle Moretto, Volmerange, mon village album-souvenir 1900-1962, Éditions AnVol, Volmerange-les-mines, 1993, 124 p.
  • Patrice Peiffer, Romain Wagner, Documents du Paléolithique moyen et supérieur dans le nord-est du Pays-Haut mosellan, compte rendu des prospections à Escherange-Molvange, Volmerange, publication de la Société nord-mosellane de Pré et Protohistoire, Hettange-Grande Yutz, 1992, 20 p.
  • Patrice Peiffer, Romain Wagner, Pré et Protohistoire dans le bassin de la Kieselbach, compte rendu des prospections et fouilles à Garche, Hettange-Grande, Kanfen, Manom, Œutrange, Soetrich, Volmerange (Est), Zoufftgen (Sud), publication de la Société nord-mosellane de Pré et Protohistoire, Hettange-Grande, 1997, 32 p.
  • Albert-Louis Piernet, Romain Wagner, Wöölmeréng am Minnetsgebitt dans la Revue culturelle du pays francique, vol. I, no 5, p. 132-145, Éditions Hemechtsland a Sprooch, Yutz, 1984.
  • Albert-Louis Piernet, Romain Wagner, Kaunfen ënnerem Keibuurg dans la Revue culturelle du pays francique, vol. II, no 14, p. 40-57, Éditions Hemechtsland a Sprooch, Yutz, 1987.
  • Romain Wagner, Le droit de grenouillage à Volmerange dans le Bulletin municipal de la commune de Volmerange-les-mines, Volmerange-les-mines, 1981, p. 4-5.
  • Romain Wagner, Du neuf au « Trou du Chien » dans : Le cairn, Bulletin du Spéléo-club de Metz, Metz, 1985, p. 21-22.
  • Romain Wagner, Seigneurie de Volmerange, paroisse de Keybourg, collection « Diddenuewenerland », no 1, Éditions Hemechtsland a Sprooch, Yutz, 1986, 210 p.
  • Romain Wagner, Paléolithique supérieur — les gisements d’Escherange-Molvange et Volmerange dans Bilan scientifique de la Région Lorraine 1992, publication du Service régional de l’archéologie, Metz, 1993, p. 97.
  • Romain Wagner, Monnaies gauloises du Nord mosellan, inventaire des monnaies gauloises découvertes ou conservées dans les arrondissements de Thionville est et ouest, publication de la Société nord-mosellane de Pré et Protohistoire, Hettange-Grande, 1992, 26 p.
  • Romain Wagner, Le « Trou du Chien », rétrospective et avenir d’une diaclase de la Côte de Moselle, Édition de l'auteur, Hettange-Grande, 1999, 20 p.
  • Romain Wagner, Mélanges d’archéologie et de toponymie à Escherange-Molvange-Volmerange, Édition de l'auteur, Hettange-Grande, 2007, 32 p.
  • Romain Wagner, Volmerange-les-mines et l'exil de ses habitants 1939-1940, Édition de l'auteur, Hettange-Grande, 2012 ; Quarto d'Altino 2018 - 2e édition, 144 p. ; Quarto d'Altino 2019 - 3e édition 151 p.
  • Romain Wagner, Dino Carelle, Mémorandum - Cercle Sportif Volmerange - Club Olympique Saint-Genest - 1921-2006, Hettange-Grande, 2013, 266 p.
  • Romain Wagner, Volmerange et Volmerangeois pendant et autour de la guerre 1914-1918, Hettange-Grande, 2014, 168 p.
  • Romain Wagner, "Le Kriegerverein Wollmeringen", dans Mutations No 10 - Mémoires et perspectives du Bassin Minier - Être d'ailleurs en temps de guerre (1914-1918) - Étrangers à Dudelange, Dudelangeois à l'étranger, Luxembourg, 2018, pages 43 à 51.
  • Romain Wagner, Wollmeringen, Volmerangeois et Résistances au nazisme, 1940-1945, Quarto d'Altino, 2020, 98 pages.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Volmerange-les-Mines » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « SAGE Bassin ferrifère », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  2. « Les SDAGE des districts Rhin et Meuse (2022-2027) », sur www.eau-rhin-meuse.fr (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Volmerange-les-Mines et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. (de) Alexandro Withelmio, Luxembourg Romanum, Luxembourg, J.P. Kuborn, page 83.
  17. Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1,‎ (ISSN 0762-7440).
  20. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 729a.
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