Bouzonville

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Bouzonville
Aidling, Heckling

Busendroff
Edlingen, Hecklingen

Bouzonville
Église abbatiale Sainte-Croix.
Blason de Bouzonville Aidling, Heckling Busendroff Edlingen, Hecklingen
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté de communes Bouzonvillois-Trois Frontières
(siège)
Maire
Mandat
Armel Chabane (UC)
2020-2026
Code postal 57320
Code commune 57106
Démographie
Gentilé Bouzonvillois
Population
municipale
3 926 hab. (2020 en diminution de 1,11 % par rapport à 2014)
Densité 282 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 33″ nord, 6° 32′ 06″ est
Altitude Min. 192 m
Max. 310 m
Superficie 13,9 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bouzonville
(ville-centre)
Aire d'attraction Bouzonville
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Bouzonville
(bureau centralisateur)
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Bouzonville
Aidling, Heckling Busendroff
Edlingen, Hecklingen
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Bouzonville
Aidling, Heckling Busendroff
Edlingen, Hecklingen
Liens
Site web bouzonville.fr

Bouzonville (Busendorff en francique mosellan, la langue locale) est une commune française située dans le département de la Moselle et le bassin de vie de Moselle-Centre, en région Grand Est.

Historiquement et culturellement située en Lorraine, au cœur du pays de Nied, la commune est le bureau centralisateur du canton éponyme, ainsi que le siège de la Communauté de communes Bouzonvillois-Trois Frontières.

Géographie[modifier | modifier le code]

À 37 km au nord-est de Metz par la route départementale 3, surnommée la Perle de la Nied, Bouzonville est un chef-lieu de canton paisible traversée par la basse Nied.

Accès[modifier | modifier le code]

C’est le carrefour de nombreuses routes secondaires, la plus notable étant la route départementale 918 qui mène de Thionville à Sarrelouis.

Géologie[modifier | modifier le code]

Le sous-sol de Bouzonville, composé de grès bigarré, de calcaire coquillier et de marnes irisées, présente les trois faciès caractéristiques du Trias.

Écarts et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les villages de Aidling, Heckling et Benting sont rattachés à la commune depuis 1810.

La commune de Brettnach qui avait fusionné avec Bouzonville en 1974 (bien que non limitrophe) a repris son autonomie en 1982.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Nied, le ruisseau de Bibiche, le ruisseau de Geling, le ruisseau Ohligbach et le ruisseau de Stockholz[Carte 1].

La Nied, d'une longueur totale de 96,7 km, prend sa source dans la commune de Marthille, traverse 47 communes françaises, puis poursuit son cours en Allemagne où elle se jette dans la Sarre[1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Bouzonville.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Nied, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bouzonville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bouzonville, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[5] et 4 479 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6],[7].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bouzonville, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (29,2 %), forêts (26,8 %), prairies (25,2 %), zones urbanisées (17,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[10].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune est cité sous les formes latinisées Bozonisvilla ou Buosonis villa pour la première fois en 1106[12], puis sous les formes germaniques Bosendorph en 1176, Busindorf en 1211, Bousendorf en 1271, Busendorf en 1345[13], Büsendorff en 1365, Busendorff en 1383, Bussendorff en 1594, Bousendorff en 1604 et la forme française Bouzonville-sur-Nied en 1779[14].

Il s'agit d'une formation médiévale en -ville (appellatif issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural ») précédé, comme c'est le plus souvent le cas pour ce type toponymique, d'un anthroponyme germanique.

Bouzon- s'explique par le nom de personne Boso, fréquemment attesté en France du nord (exemples : Bouzonville-aux-Bois, Bouzanville, etc.) et qui se perpétue dans les noms de famille Boson et Bozon. À noter que toutes ces formes sont au cas régime de l’ancien français, caractéristique des noms lorrains et beaucerons en -ville (alors qu'en Normandie, elles sont au cas sujet). De « domaine rural », le sens de ville passe dès le Moyen Âge à celui de « village ».

Le même anthroponyme se rencontre dans des formations, en général plus anciennes, en -court (exemples : Bézancourt, Bouzancourt, etc.).

Conjointement à la forme romane probablement employée dès le VIIIe siècle, il est fait mention au XIIe siècle de la forme germanique Bussendorff ou Büsendorff, attestée en 1365. Cette désignation fut employée jusqu’au XVIIe siècle. À cette époque, le nom roman du bourg s’imposa définitivement, avec toutefois les parenthèses historiques de l’annexion de 1871, et de l'annexion de 1940, pendant lesquelles la commune sera de nouveau baptisée Busendorf[15].

En francique lorrain, elle se nomme Busendroff[16],[17] et Boesendroff avec métathèse de [r].

En lorrain roman on disait : Bzonvèle et Besonvelle pour designer la commune.

Sobriquet[modifier | modifier le code]

Surnom à propos des Bouzonvillois : Die «Stripplinger» han so lange finger (les «petits voleurs» ont les doigts si longs/crochus)[18]. stripplinger est une formation dialectique dérivé de strippen s’appliquant aux gens qui commettent de petits larcins, notamment des vols de fruits.

Histoire[modifier | modifier le code]

Chevet de l'église abbatiale

La localité est intégrée au duché de lorraine, depuis l’origine du duché. Elle le restera jusqu'à l'annexion du duché à la France, en 1766. Entre 1275 et 1295, la partie germanophone du duché de Lorraine reçoit un justicier des nobles, puis un bailli, fixé quelque temps à Bouzonville, avant de l’être à Vaudrevange, une commune rattachée à la Sarre depuis 1815.

Érigé en prévôté en 1705, Bouzonville devient de nouveau le siège d’un bailliage en 1751. Rattaché au siège présidial de Metz en 1772, le bailliage de Bouzonville disparait en 1790, avec la création du département de la Moselle. En 1790, le canton de Bouzonville est incorporé pour cinq ans au district de Sarrelouis, aujourd’hui en Sarre. De 1800 à 1870, la commune appartient à l’arrondissement de Thionville. C'est un bourg actif, où se tient régulièrement un marché.

Le 25 juillet 1870, durant la guerre franco-allemande la ville est le théâtre de combats, opposant le 33e régiment d'infanterie de ligne et les troupes prussiennes.

Comme les autres communes de Moselle, Bouzonville, rebaptisée "Busendorf", est rattachée au nouvel Empire allemand le , conformément au traité de Francfort. Durant l’annexion allemande, Bouzonville est rattachée à l'arrondissement de Boulay. Après deux générations de paix et de prospérité, la germanisation des esprits est telle que les Mosellans se battent naturellement pour l’Empire allemand durant la Première Guerre mondiale. Beaucoup tombent sous l’uniforme allemand, sur le Front de l’Est, mais aussi à l’Ouest. Loyaux sujets de l'Empereur, très peu de Mosellans trahissent leur Patrie pour rejoindre les troupes françaises. La victoire française, en novembre 1918, est toutefois bien acceptée.

En 1919, Bouzonville est rattaché à l'arrondissement de Boulay-Moselle.

Au début de la Seconde Guerre mondiale, dès le 1er septembre 1939, les habitants de Bouzonville sont évacués par l'armée française à Chauvigny, dans la Vienne[19]. Durant l'Annexion de la Moselle, les habitants restés sur place vivent sous le joug nazi. En 1944, la commune du CdZ-Gebiet Lothringen est bombardée par les Américains. Busendorf est enfin libérée le 27 novembre 1944, après la bataille de Metz[20].

Le 30 juillet 1950, la ville se voit attribuer, comme 4 454 autres communes du pays, la croix de guerre. « Bouzonville, commune de Lorraine évacuée dès le 1er septembre 1939, qui a été gravement éprouvée par les bombardements et les combats livrés sur son territoire, tant en 1940 qu'en 1944, compte 25 de ses fils tués, 14 disparus, 20 blessés. A conservé, cependant, un moral intact et a mené une action patriotique résistante, dont témoignent ses 10 enfants fusillés, ses 135 déportés, ses nombreux insoumis et réfractaires. Par son attachement à la France, par son courage et par ses sacrifices, s'est acquis des droits à la reconnaissance du pays. ».

Après guerre, la vieille cité lorraine a su faire preuve de dynamisme, conservant ainsi son statut de ville commerçante.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
en 1928   Jean Pierre Tritz    
mars 1977 mars 2001 Pierre Grandjean   Professeur de français
mars 2001 mars 2014 Gilbert Philipp DVD Magistrat
mars 2014 mai 2020 Denis Paysant PS Professeur du second degré
mai 2020 En cours Armel Chabane LR Conseiller du président du conseil régional du Grand Est
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de l'Allemagne Rehlingen-Siersburg (Allemagne) depuis 1978.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2020, la commune comptait 3 926 habitants[Note 3], en diminution de 1,11 % par rapport à 2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871 1875
1 3671 3562 0962 1722 1601 9911 8831 7751 698
1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921 1926
1 6551 6221 5951 6081 6991 9672 1761 9822 251
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
2 3062 4582 0132 3393 3063 7634 5854 2854 148
1999 2006 2008 2013 2018 2020 - - -
4 1174 1734 1833 9893 9233 926---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Du point de vue linguistique, en 1775, la langue française était encore peu parlée dans la commune[25].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Hôtel de ville avec beffroi à bulbe, 1719.
  • Emplacement du vieux moulin des moines.
  • Tribunal, XVIIIe siècle.
  • Lycée de la Providence avec chapelle.
  • Ancienne caserne de la Garde républicaine mobile.
  • Cimetière israélite, 1726.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église abbatiale Sainte-Croix, seul vestige du couvent bénédictin, est classée monument historique, par arrêté du [26] alors que les parties subsistantes du cloître, lieudit Cour de l'Abbaye, qui comportent des éléments datant des XIIe, XIVe et XVIIe siècles sont inscrites par arrêté du . Elle sert aujourd'hui d'église paroissiale.
  • Oratoire de Belle-Croix (pèlerinage).
  • Chapelle Saint-Hubert à Heckling, clocher du XVIe siècle.
  • Chapelle Sainte-Croix à Aidling, XVIIIe siècle.
  • Chemin de Croix, 1879, le long de la route de Thionville.
  • Statue de saint Vincent de Paul.
  • Temple protestant réformé, rue du 27-Novembre, construit en 1951.
  • Synagogue, rue des Résistants, construite en 1960 pour remplacer celle de 1850 détruite au cours de la Seconde Guerre mondiale. Devenue médiathèque depuis novembre 2012.
  • Salles de prières des musulmans.

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • Le collège Adalbert qui regroupe les communes de :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Personnalités nées à Bouzonville[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à Bouzonville[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bouzonville Blason
D'or à la fasce de gueules, chargée d'un renard d'argent et surmontée d'une croisette de gueules.
Détails
Ce blason communal ne serait apparu qu'au XVIIIe siècle[27].
Alias
Blason à dessiner
D'or ; à la face de gueules, chargée d'un renard passant d'argent, et en chef une croix latine de gueules[25].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Bouzonville » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « la Nied »
  2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Unité urbaine 2020 de Bouzonville », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bouzonville », sur insee.fr (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  12. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud Paris 1978. p. 99. Article Bossancourt.
  13. Burkhard Dietz, Helmut Gabel, Ulrich Tiedau - Griff nach dem Westen: die "Westforschung" (2003)
  14. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle - rédigé en 1868
  15. Henri Hiegel, Dictionnaire étymologique des noms de lieux du département de la Moselle, Sarreguemines, 1986.
  16. Geoplatt
  17. François Summa et Alain Schadd, Muselfränkische Kaart : Niedland, éditions Gau un Griis
  18. Passé-Présent : La Moselle dévoilée No 6 (juin-juillet-août 2012)
  19. Bernard Le Marrec, Gérard Le Marrec, Les années noires, la Moselle annexée par Hitler, Éditions Serpenoises, 1990.
  20. 1944-1945 : Les années liberté, Recensement préfectoral sur les dates de libération, Le Républicain Lorrain, 1994 (p. 15).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  25. a et b Abrégé chronologique de l'histoire de Lorraine : Contenant un Dictionnaire Topographique des Lieux, tome 2, Paris, MDCCLXXV
  26. « Ancienne abbaye Sainte-Croix », notice no PA00106742, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. http://www.mairie-bouzonville.fr/histoire/le-blason