Coutras
Coutras | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
Coutras | ||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Libourne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Libournais | ||||
Maire Mandat |
Jérôme Cosnard 2020-2026 |
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Code postal | 33230 | ||||
Code commune | 33138 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Coutrasiens ou Coutrillons | ||||
Population municipale |
8 669 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 257 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
12 462 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 02′ 30″ nord, 0° 07′ 38″ ouest | ||||
Altitude | Min. 4 m Max. 74 m |
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Superficie | 33,69 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Coutras (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Libourne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Nord-Libournais (bureau centralisateur) |
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Législatives | Onzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.coutras.fr | ||||
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Coutras (Cotràs en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.
Ses habitants sont appelés les Coutrassiens ou Coutrillons[1].
Géographie
Commune située au confluent de l'Isle et de la Dronne en Pays Gabay. Accès par l'autoroute A89 sortie 11 Coutras et par la route nationale 674, ainsi que par la SNCF en gare de Coutras.
La gare SNCF de Coutras est située sur les lignes TER Bordeaux-Coutras, Bordeaux-Angoulême, Bordeaux-Périgueux, Bordeaux-Limoges ainsi que sur la ligne Intercités Bordeaux-Ussel (ex Bordeaux-Lyon puis Bordeaux-Clermont-Ferrand jusqu'à la fermeture du tronçon Laqueuille-Ussel).
Le climat est typique de la Gironde avec, en moyenne, 750 mm de précipitations annuelles[2].
Communes limitrophes
Coutras est limitrophe de neuf autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1966 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,5 | 2,3 | 4,2 | 6,5 | 10,1 | 13,2 | 14,9 | 14,6 | 11,6 | 9,2 | 5,2 | 3 | 8,1 |
Température moyenne (°C) | 6,1 | 7 | 9,7 | 12,2 | 16 | 19,2 | 21,3 | 21,2 | 18 | 14,3 | 9,3 | 6,5 | 13,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,7 | 11,7 | 15,2 | 18 | 21,9 | 25,3 | 27,7 | 27,7 | 24,3 | 19,4 | 13,4 | 10,1 | 18,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−18,4 16.01.1985 |
−13 09.02.12 |
−11,4 07.03.1971 |
−4 04.04.1996 |
−1 11.05.1966 |
2,3 02.06.1975 |
5 11.07.1990 |
4,5 30.08.1986 |
0,8 21.09.1977 |
−5,7 30.10.1997 |
−9 18.11.07 |
−10 17.12.01 |
−18,4 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19 05.01.1999 |
23,5 15.02.1998 |
28 20.03.05 |
32 30.04.05 |
35 30.05.01 |
40,1 27.06.11 |
39,2 19.07.16 |
41,4 04.08.03 |
37 03.09.05 |
31,4 02.10.11 |
25,5 08.11.15 |
20,5 14.12.1989 |
41,4 2003 |
Précipitations (mm) | 78 | 61,5 | 60,6 | 74,5 | 73,9 | 52,9 | 57,5 | 53,3 | 64,3 | 77,9 | 90,1 | 91,5 | 836 |
Urbanisme
Typologie
Coutras est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Coutras, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[13] et 12 366 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Libourne, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38 %), prairies (21,8 %), zones urbanisées (19,4 %), forêts (8,6 %), eaux continentales[Note 6] (5,8 %), terres arables (5,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les formes antiques sont Corterate et Corteratis (IVe siècle). Le toponyme s'analyse comme une formation *Corte-rate basée sur le gaulois rate, « forteresse »[19]. Le premier terme est vraisemblablement le latin vulgaire cortem, « ferme, domaine » (que l'on retrouve dans Corte)[20],[21] ce qui en fait une formation pléonastique, de sens général de « lieu fortifié ». Bénédicte Boyrie-Fénié est en accord avec ses prédécesseurs et précise que le nom actuel prolonge l'ablatif Corteratis[22] qui explique le -s final.
Le même auteur cite des formes du XIVe siècle : Cortrac, Corterac ; ce sont probablement des hypercorrections (extensions d'une règle au-delà de son champ d'application), intéressantes par ce qu'elles indiquent sur les usages graphiques de l'époque, la forme orale ayant été mal interprétée. Cette forme orale de l'époque est difficile à reconstituer, puisqu'elle peut être *Cort(e)rat ou bien *Cort(e)rats, la deuxième hypothèse étant plus en accord avec la forme écrite moderne. Dans le premier cas, a pu jouer l'analogie avec des noms en -ac, comme Fronsac, prononcé peut-être déjà Fronsat ; dans le second, le s, qu'il s'explique par l'héritage de l'ablatif latin ou par un pluriel, a pu être compris à l'image des nombreux noms en -ac devenus -ats (adaptation phonétique normale -cs > -ts), en étant utilisés comme collectifs : le nom de la paroisse accompagné de s désigne d'abord les habitants, puis il est pris pour son nom véritable [23].
Histoire
De multiples découvertes de silex, taillés ou polis, témoignent d'une implantation humaine préhistorique sur tout le territoire cantonal. Coutras, au confluent des rivières, doit aussi son développement à sa position stratégique au carrefour de chemins ancestraux : les routes d'Angoulême et de Périgueux à Bordeaux.
Peutinger fait figurer Corterate dans sa table du IIe siècle, rattachée par une voie romaine secondaire à Brossac qui conserve, encore de nos jours, quelques traces des constructions gallo-romaines d'un serae (relais à chevaux).
Coutras viendrait du gaulois Corterat qui signifie « petite forteresse » (Corte = petite, courte et Rate = forteresse). Son nom latin était Corteratis.
Les premiers seigneurs de Coutras s'établirent sur la Motte-de-Mont, dominant le confluent des rivières et contrôlant les passages à gué du réseau routier. La seigneurie dépendait de la vicomté de Fronsac, créée en 769 par Charlemagne et intégrée au comté d'Angoulême avant d'être rattachée à celui du Périgord au IXe siècle. Le plus ancien seigneur connu est Étienne de Mont, qui donna par une charte l'église de Coutras à l'abbaye de Guîtres au début du XIe siècle.
En 1555, le comté de Fronsac devint un marquisat et la seigneurie de Coutras, où siégeait un sénéchal, fut élevée au rang de comté qui, pendant les guerres de Religion, formait un important centre de protestantisme.
Le , Coutras fut le lieu d'une bataille entre les protestants d'Henri de Navarre (futur Henri IV, dont Antoine de Chandieu fut le maître de camp) et les Catholiques d'Anne de Joyeuse. Le duc de Joyeuse fut battu et tué d'un coup de pistolet. Deux mille catholiques périrent également, dont le jeune frère d'Anne, Claude de Joyeuse, seigneur de Saint-Sauveur.
Un château médiéval, démoli par Odet de Foix (1485-1528), alors vicomte de Fronsac, aurait précédé celui Renaissance que le Maréchal Duc de Richelieu démantèle en 1737. À cette époque, la seigneurie comprenait les paroisses d'Abzac, Chamadelle, Coutras, le Chalaure, Le Fieu, Les Églisottes, Les Peintures, Porchères, Saint-Antoine, Saint-Christophe-de-Double, Bayas, et Lagorce.
Le , le roi Louis XIV et la cour de France couchent dans la ville.
À la Révolution, la nouvelle organisation territoriale désigne Coutras comme chef-lieu d'un canton regroupant les paroisses de la seigneurie, sauf Bayas et Lagorce, accru des trois paroisses au sud de l'Isle.
En 1988, la COGEMA étudie l'exploitation d'un gisement potentiel de 20 000 tonnes d'uranium[24],[25], soit 0,5 % du total mondial, mais le site s'avère à l'époque non rentable.
Héraldique
Les armes de Coutras se blasonnent ainsi : De gueules au puits Henri IV d'argent[26].
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Devise
Nodos virtute resolvo
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
source[27]
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2021, la commune comptait 8 669 habitants[Note 7], en évolution de +1,45 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population à Coutras est en perpétuelle augmentation du fait notamment de la proximité de l'agglomération bordelaise (trente minutes en train, une heure en voiture), beaucoup de rurbains y résident et font le trajet chaque jour (migrations pendulaires).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 950 hommes pour 4 632 femmes, soit un taux de 53,97 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,06 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- Vestiges préhistoriques
- Restes de la villa gallo-romaine de Corterate et d'un camp militaire
- Puits Henri IV en mémoire du roi Henri IV, XVIIe siècle, classé monument historique en 1911[35]
- Église Saint-Jean-Baptiste de style gothique reconstruite au XVe siècle avec abside romane du XIIe siècle et coupole sur la croisée, inscrite aux monuments historiques en 1925[36]
-
Le puits Henri IV. -
L'église Saint-Jean-Baptiste. -
La chaire. -
La nef. -
Le vitrail au-dessus du portail.
Jumelages
La commune entretient des accords de coopération[37] avec :
- Blaenavon (Grande-Bretagne) depuis 1986 ;
- Dornstadt (Allemagne) depuis 1989.
Personnalités liées à la commune
- Élie Leymarie de Laroche (1758-1794), prieur de Coutras, déporté sur les Deux-Associés (ponton amarré près de Rochefort). Béatifié.
- Jean-Baptiste Lalanne (1827–1884), né à Coutras, homme politique.
- Alcide Ducos du Hauron (1830-1909), né à Coutras, magistrat, écrivain, poète, frère de Louis Ducos du Hauron, l'un des inventeurs de la photographie en couleurs.
- Justin Luquot (1881–1944), homme politique, mort à Coutras.
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Gironde
- Communauté d'agglomération du Libournais
- Ligne Coutras - Tulle
- Ligne Paris - Bordeaux
- Ligne Lyon - Bordeaux
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel
- Site officiel de la communauté de communes du Pays de Coutras
- Résultats du recensement de la population de Coutras sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Coutras », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Coutras sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Nom des habitants de Coutras sur habitants.fr, consulté le 18 décembre 2011.
- Source : Wolfram Alpha
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 33138001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Coutras », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6)..
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), n° 3085..
- Jacques Astor, Dictionnaire des noms de famille et des noms de lieux du midi de la France, Millau, Éditions du Beffroi, , 1293 p. (ISBN 2-908123-59-2, BNF 39034098)..
- Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5)..
- Miquèu Audoièr, Ua solucion unica a un problèma doble : lo grop -ts, revue País Gascons n° 269, novembre-décembre 2013
- http://sigminesfrance.brgm.fr/telechargement/substances/U.pdf
- http://sigminesfrance.brgm.fr/fiche_gite.asp?id=FRA-00161
- La Banque du blason - 33138.
- « Liste des anciens maires de Coutras », sur annuaire-mairie.fr, (consulté le ).
- « Almanach royal et national... : présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale » , sur Gallica, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Coutras (33138) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Gironde (33) », (consulté le ).
- « Classement du puits Henri IV », notice no PA00083528, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 18 décembre 2011.
- « Inscription de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00083527, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 18 décembre 2011.
- « Jumelages de Coutras », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères.