Brides-les-Bains

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Brides-les-Bains
Brides-les-Bains
Place du Centenaire et mairie de Brides-les-Bains.
Blason de Brides-les-Bains
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Albertville
Intercommunalité Communauté de communes Val Vanoise
Maire
Mandat
Bruno Pideil
2020-2026
Code postal 73570
Code commune 73057
Démographie
Gentilé Bridois
Population
municipale
473 hab. (2021 en diminution de 8,51 % par rapport à 2015)
Densité 180 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 12″ nord, 6° 34′ 03″ est
Altitude Min. 556 m
Max. 1 040 m
Superficie 2,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moûtiers
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Brides-les-Bains

Brides-les-Bains est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Son chef-lieu constitue un village de fond de vallée du massif de la Vanoise, en Tarentaise, et la commune comptait 473 habitants en 2021.

Commune tournée vers le thermalisme dès le XIXe siècle, puis plus récemment vers le ski grâce à la mise en place d'une télécabine reliant le bourg aux stations de Méribel et Méribel-Mottaret, Brides-les-Bains bénéficie en 2013 d'un classement au label « station classée tourisme ».

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Brides-les-Bains est située dans la vallée du Doron de Bozel, affluent de l'Isère. Vallée appartenant à la Tarentaise, la commune se trouve à 6 km au sud-est de Moûtiers et à 13 km au nord de Méribel.

Le village se situe à 580 m d'altitude.

Voies de communications[modifier | modifier le code]

Par routes[modifier | modifier le code]

L'accès à Brides-les-Bains s'effectue par la route nationale 90 jusqu'à Moûtiers, puis par les routes départementales D915 et D90F en direction de Bozel.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par des cars, en correspondance à la gare de Moûtiers-Salins-Brides-les-BainsMoûtiers) avec les TGV et TER Rhône-Alpes.

Aéroports et altiports[modifier | modifier le code]

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Chambéry - Savoie, situé à 93 km. L'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry se trouve à 173 km, celui de Grenoble-Isère à 166 km, et celui d'Annecy Haute-Savoie Mont-Blanc à 126 km.

L'altiport de Méribel se trouve à 20 km, tandis que celui de Courchevel est à 25 km.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 980 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Moutiers », sur la commune de Moûtiers à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 930,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Brides-les-Bains est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,1 %), zones agricoles hétérogènes (20,2 %), zones urbanisées (13,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,5 %)[12].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Commune formée par la fusion des communes de Brides et de Bains le 6 février 1847, sous décision de Charles-Albert retiré à la commune de La Saulce. Le nom de Bride utilisé jusqu'en 1664, puis Brides jusqu’en 1847. Le terme viendrait du gaulois briva signifiant « pont ».

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Borda, selon la graphie de Conflans[13].

Histoire[modifier | modifier le code]

Dès l'Antiquité, le site est connu pour les vertus de ses eaux[14].

Aux XVIe – XVIIe siècles, les archevêques de Moûtiers utilisent les eaux du hameau des Bains[14],[15].

En 1653, puis en 1774, les débordements de la rivière, le Doron de Bozel, ensablent les sources[15].

Développement thermal[modifier | modifier le code]

En 1818, une catastrophe naturelle en amont de la vallée, vers Champagny-en-Vanoise, libère une énorme masse d'eau avec pour conséquence la mise au jour d'un massif rocheux d'où se mit à jaillir la source thermale actuelle, permettant la création de la station moderne[14]. Le docteur Hybord réalise la première analyse des eaux et l'École des Mines diagnostique une eau aux vertus exceptionnelles[14] ; le rapport du docteur Ducis est éloquent : « Une eau effaceuse de maux, extraordinaire par ses qualités, qui peut tout guérir, épilepsies, cathares, migraines, goutte, rhumatismes, douleurs d'articulation et autres ». L'année suivante, des notables savoyards, dont une trentaine originaires de Moûtiers, créent une Compagnie de Bains en vue d'exploiter les eaux de Brides[16].

Dès 1824, les premiers hôtels font leur apparition. On en compte six en 1836[14].

À partir de 1825, à l'initiative du docteur Philbert, la thérapeutique est affinée et s'oriente vers le traitement de l'obésité. La station, désormais spécialisée dans l'amaigrissement, devient aussi celle de la « femme élégante ». En hommage à ce docteur, l'une des sources de Brides-les-Bains porte aujourd'hui son nom.

En 1845, est inauguré le premier complexe thermal, avec 28 salles de bains-douches, construit par l'architecte Ernesto Melano, et dans lequel commencent à affluer de nombreux membres de la bonne société cosmopolite.

En 1846, l'église de La Saulce est détruite. Une nouvelle est construite à Brides[14], et consacrée un an plus tard.

En 1857, le village de Les Bains, séparé de celui de La Perrière, et le village de Brides, détaché des Allues, s'unissent pour constituer une nouvelle commune : Brides-les-Bains. La ville de Moûtiers achète la source de Brides (1965)[16].

Au cours du XIXe siècle, l'eau thermale est d'abord utilisée pour soigner toutes sortes de maladies puis ses vertus dans le traitement de l'obésité sont identifiées. À la fin des années 1870, les premiers régimes diététiques adaptés sont ainsi établis par les hôtels. La station, qui développe ses infrastructures, voit affluer des personnalités de renommée internationale telles que la reine Élisabeth d'Espagne, la princesse de Croy, la princesse Bonaparte, le prince Orloff, la marquise de Freycinet, la comtesse de Montgoméry, le baron de Rothschild, la Comtesse du Petit-Thouars, le baronne de Koussoff, le ministre Rambaud, l'éditeur Hachette, ainsi que des membres de familles françaises, britanniques, italiennes, russes, américaines, de l'aristocratie et des affaires. En 1874, la Société générale de Tarentaise, qui possède des entreprises métallurgiques et minières dans la vallée (Salins), et qui est à l'origine du développement ferroviaire de la vallée, achète la source[16],[17]. En 1893, la ville de Moûtiers est reliée au chemin de fer[18] et entre 1899 et 1928, un tramway permet de gagner Brides-les-Bains depuis Moûtiers[19].

Grâce au guide de la Tarentaise du docteur Laissus, on connaît les principaux bâtiments hôteliers de la station en 1894 : Le grand hôtel des thermes, l'hôtel des Baigneurs et beaucoup de charmantes villas d'hôtes, dont la Villa des roses et la Villa Laissus. Le casino joue un rôle de premier plan, il comprend « des salons de lecture, de conversations, de jeux » les personnalités viennent jouer leur « fortune ou en entendre, outre les beaux orchestres du bal, les opéras comiques ». Le bourg compte six médecins et 1 400 clients en 1895[20].

Affiche de Léon Benigni (1929).

La capacité d'accueil de Brides surpasse celle de sa voisine Salins-les-Thermes. À tel point, que les 4/5e des clients de cette dernière logent à Brides[21].

Le bourg évolue et devient une station de séjour où le nombre de malades représente un pourcentage inférieur aux nombre de touristes[21]. En 1924, le casino est agrandi et les thermes sont transformés et des travaux d'embellissement sont réalisés en 1927-28, dont une roseraie[21],[22]. Les festivités se déroulent le 24 juin 1928 en présence de Jean Moulin, alors sous-préfet d'Albertville en compagnie de Lady Chamberlain[22],[23]. L'année suivante, la crise de 1929 a un impact direct sur la fréquentation de la station, notamment de la part des touristes étrangers, et cela se poursuit jusqu'en 1936[21]. La station reprend vie ensuite pour accueillir plus de 3 000 touristes en 1938, chiffres équivalents à la crise de 1929[24]. Toutefois, le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale frappe à nouveau l'activité thermale et touristique, même si la station continue d'être fréquentée mais cette fois-ci au motif d'une cure pour boisson[24]. Par ailleurs, le Casino est fermé dès 1939 et la partie construite en 1924 s'effondre[24].

Dans les années 1950, une compétition de ski originale, le « Derby de la Saulire », permet les premières descentes à ski sur le versant des Allues, avec une arrivée à Brides, 2 000 m plus bas. Quelques clients de la toute nouvelle station de Méribel descendent parfois jusqu'au village.

Dans les années 1990, Brides-les-Bains devient la station thermale leader en France pour le traitement de l'obésité.

En 2005, le spa ouvre au public, avec 1 500 m2 dédiés aux soins et au bien-être.

En 2008, le spa est agrandi de 600 m2, devenant le Grand Spa, comprenant des cabines de soins, salle de coaching sportif individuel, solarium, et une plage extérieure avec plusieurs jacuzzis été/hiver.

En 2012, le film de Charlotte de Turckheim, Mince alors !, rend hommage à la ville.

En 2018 le téléfilm Meurtres à Brides-les-Bains avec Line Renaud et Patrick Catalifo a pour décor la ville et ses paysages environnant.

Jeux olympiques d'Albertville[modifier | modifier le code]

En 1992, la ville de Brides-les-Bains est choisie pour devenir « village olympique »[25], du fait de sa capacité d'accueil. La station vit l'aventure des Jeux olympiques d'Albertville et s'offre une porte d'accès au plus grand domaine skiable du monde : Les Trois Vallées, grâce à la réalisation de la télécabine de l'Olympe[25]. Cette infrastructure la relie désormais directement au domaine de la station de Méribel et permet ainsi le développement d'une nouvelle activité. Le coût des aménagements pour accueillir ces Jeux sont de 200 millions de francs[26]. Ces investissements mènent à la création d'une nouvelle mairie, la rénovation du Grand Hôtel des Thermes, l'acquisition et rénovation du casino, la modernisation du centre-ville, la construction d'une école ainsi que d'un centre d'accueil et d'animation[26]. Par ailleurs, 90 millions de francs sont consacrés à la création d'un nouvel établissement thermal, donné en gestion à la Société européenne de Thermalisme[26]. Enfin, 80 millions sont utilisés pour l'aménagement du télécabine de l'Olympe[27]. Ces lourds investissements valent à la commune d'être mise en saisie par la chambre régionale des comptes en raison d'un fort déficit (69 millions de francs)[28].

Depuis 2000, la station fait partie de l'association des Trois Vallées, aux côtés de Courchevel, La Tania, Méribel, Les Menuires-Saint-Martin et Val Thorens.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1900 1908 François Marie Greyfié de Bellecombe ... ...
... ... ... ... ...
1919 1925 François Marie Greyfié de Bellecombe   ...
mars 2008 mars 2020 Guillaume Briland ... ...
mars 2001 mars 2008 Denise Shelley ... ...
mars 2020 En cours
(au Juillet 2020)
Bruno Pideil ... ...

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Bridois[29].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 473 habitants[Note 2], en diminution de 8,51 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
59857895125202170178177
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
170166177189177301271230230
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
213245309319366702728638557
1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 -
583611593578575541506473-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Santé[modifier | modifier le code]

  • Station thermale (foie, estomac, amaigrissement).

Économie[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

La commune de Brides-les-Bains est tournée vers le tourisme depuis le XIXe siècle. Station thermale, puis station de sports d'hiver depuis la mise en place d'une liaison avec le grand domaine des 3 Vallées, la commune a obtenu le label officiel « station classée tourisme » en 2013, avec quatre autres communes savoyardes[34]. La station a obtenu d'autres labels comme « Station Alti-forme » ; « Station grand domaine » et « Station village »[35].

En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie-Mont-Blanc, est de 6 488 lits touristiques répartis dans 808 établissements[Note 3]. Les hébergements se répartissent comme suit : 190 meublés  ; 10 résidences de tourisme ; 16 hôtels ; un établissement d'hôtellerie de plein air[36].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Étienne.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Étienne de 1837.
  • Sources thermales connues depuis l'époque romaine. Exploitées depuis 1818, à la suite d'une crue du Doron.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Village olympique lors des Jeux olympiques d'hiver de 1992.

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune obtient le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armoiries de Brides-les-Bains

Les armoiries de Brides-les-Bains se blasonnent ainsi :
« D'azur à la libellule d'or. »

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'implique donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[36].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Brides-les-Bains et Moûtiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Moutiers », sur la commune de Moûtiers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Moutiers », sur la commune de Moûtiers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 16
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  14. a b c d e et f Boyer 1955, p. 107.
  15. a et b François Marius Hudry Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 239.
  16. a b et c Dominique Jarrassé, Deux mille ans de thermalisme, Presses Universiataires Blaise Pascal, , 296 p. (ISBN 978-2-87741-070-0, présentation en ligne), p. 40, 41 et 45.
  17. Jean-Paul Bergeri, Histoire de Moûtiers. Capitale de la Tarentaise, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 503 p. (ISBN 978-2-84206-341-2, présentation en ligne), p. 95-96.
  18. Boyer 1955, p. 109.
  19. « Histoire du tramway », sur barbadidoua.free.fr (consulté le ).
  20. Boyer 1955, p. 110-111.
  21. a b c et d Boyer 1955, p. 111-115, plan de la station, graphiques de fréquentation.
  22. a et b François Marius Hudry Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 241.
  23. Marc Boyer, Le thermalisme dans le grand sud-est de la France, Presses universitaires de Grenoble, , 420 p. (ISBN 978-2-7061-1271-3), p. 301.
  24. a b et c Boyer 1955, p. 124-12.
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  26. a b et c Gabrielle Serraz, « Les communes olympiques de Savoie étranglées financièrement », Les Échos,‎ (lire en ligne) (no 15 972, p. 13).
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  28. (en) John E. Findling et Kimberly D. Pelle, Encyclopedia of the Modern Olympic Movement, Greenwood Publishing Group, , 602 p. (ISBN 978-0-31332-278-5), p. 399.
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  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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