Eyragues

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Eyragues
Eyragues
Blason de Eyragues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Arles
Intercommunalité Communauté d'agglomération Terre de Provence
(siège)
Maire
Mandat
Michel Gavanon
juillet 2022-2026
Code postal 13630
Code commune 13036
Démographie
Gentilé Eyraguaise, Eyraguais
Population
municipale
4 355 hab. (2021 en augmentation de 0,02 % par rapport à 2015)
Densité 210 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 50′ 31″ nord, 4° 50′ 30″ est
Altitude 23 m
Min. 11 m
Max. 99 m
Superficie 20,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Avignon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteaurenard
Législatives 1re circonscription des Bouches-du-Rhône
Localisation
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Eyragues
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Eyragues
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Eyragues
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Eyragues
Liens
Site web https://www.eyragues.fr/

Eyragues est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur

Ses habitants sont appelés les Eyraguais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Photographie aérienne de Graveson à Rognonas en 2010.
Eyragues est au premier plan.

Eyragues est un bourg périurbain provençal situé entre Alpilles et Durance, jouxtant Châteaurenard et Saint-Rémy-de-Provence et à Unité 12km à vol d'oiseau au sud d'Avignon, 16 km à l'ouest de Cavaillon et 25 km au nord-est d'Arles.

Avignon (12 km) est desservie par un service de bus, la ligne 707 du réseau Zou !

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Châteaurenard, Graveson, Maillane, Noves et Saint-Rémy-de-Provence.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 660 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 2,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 15,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 631,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,9 °C, atteinte le [Note 1],[3],[4].

Statistiques 1991-2020 et records EYRAGUES (13) - alt : 17m, lat : 43°50'49"N, lon : 4°50'05"E
Records établis sur la période du 01-04-1997 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,2 2,5 5 7,8 11,7 15,4 17,6 17,2 13,9 10,8 6,1 2,8 9,4
Température moyenne (°C) 6,5 7,5 10,9 14 18,1 22,2 24,7 24,2 20,2 16,1 10,5 7 15,2
Température maximale moyenne (°C) 10,9 12,5 16,8 20,2 24,4 29,1 31,7 31,3 26,5 21,3 14,9 11,2 20,9
Record de froid (°C)
date du record
−8
12.01.10
−8,9
25.02.05
−9,9
02.03.05
−3,1
08.04.21
3
08.05.04
8,2
05.06.14
9,3
18.07.00
9
30.08.1998
5,5
19.09.01
−2,6
31.10.1997
−7,4
23.11.1998
−8,3
20.12.01
−9,9
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
21,4
19.01.07
24,3
24.02.20
26,3
24.03.19
30,6
09.04.11
35,6
24.05.09
42,2
28.06.19
39,7
24.07.06
41,4
22.08.23
35,4
03.09.16
32,1
08.10.23
25,1
07.11.13
21
29.12.21
42,2
2019
Précipitations (mm) 50,8 32,6 40,6 59,1 55,5 33,7 23 30,2 80,1 85,7 93,5 47 631,8
Source : « Fiche 13036003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
10,9
2,2
50,8
 
 
 
12,5
2,5
32,6
 
 
 
16,8
5
40,6
 
 
 
20,2
7,8
59,1
 
 
 
24,4
11,7
55,5
 
 
 
29,1
15,4
33,7
 
 
 
31,7
17,6
23
 
 
 
31,3
17,2
30,2
 
 
 
26,5
13,9
80,1
 
 
 
21,3
10,8
85,7
 
 
 
14,9
6,1
93,5
 
 
 
11,2
2,8
47
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[5]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Eyragues est une commune rurale[Note 2],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Avignon, une agglomération inter-régionale regroupant 59 communes[10] et 462 747 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avignon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60 %), cultures permanentes (24,5 %), zones urbanisées (8,3 %), terres arables (5,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 183, alors qu'il était de 2 037 en 2013 et de 1 955 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 89,5 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 82,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 14,1 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Eyragues en 2018 en comparaison avec celle des Bouches-du-Rhône et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,4 %) inférieure à celle du département (4,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 65,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (66,7 % en 2013), contre 50,8 % pour les Bouches-du-Rhône et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Eyragues en 2018.
Typologie Eyragues[I 1] Bouches-du-Rhône[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 89,5 87,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,4 4,6 9,7
Logements vacants (en %) 6,1 7,6 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune s’écrit Eirago ou Irago en provençal selon la norme mistralienne[16] et Airaga selon la norme classique de l’occitan. Il se prononce [ej'ʀagɔ] ou [i'ʀagɔ].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Rostaing Gantelmi, baile de Sisteron (1306), viguier de Marseille (1338), est seigneur d'Eyragues et conseiller de Charles II. Robert lui confirme en 1309 une pension annuelle de 40 onces d'or que lui avait donné Charles II en échange des maisons qu'il possédait à Naples et que son père avait donné à noble Bertrand des Baux, comte d'Andria et de Montesacaglioso[17]. En 1331, il tente en vain d'acquérir le quart des terres de Maillane à Pierre de Bénévent (la cour s'opposa à la vente).

La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La communauté d’Eyragues soutient les Duras durablement, et même après 1386[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1816 dans l'arrondissement d'Arles du département des Bouches-du-Rhône.

Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton d'Eyragues de 1793 à 1801, la ville est alors rattachée au canton d'Orgon, qu'elle quitte en 1825 pour intégrer le canton de Châteaurenard[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Châteaurenard porté de 6 à 15 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quinzième circonscription des Bouches-du-Rhône.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Eyragues est le siège membre de la communauté d'agglomération Terre de Provence, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 comme communauté de communes sous le nom de Rhône-Alpilles-Durance et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité s'est transformée en communauté d'agglomération en 2013 à l'occasion d'une extension de son périmètre, et a pris son nom actuel en 2015

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1919 1941 Auguste Fouquet[20] SFIO Chevalier de la Légion d'honneur
         
mars 1965 juin 1995 Louis Michel DVD  
juin 1995 juin 2022[21] Max Gilles DVD Agriculteur retraité
Président de la CC Rhône Alpilles Durance (2008 → 2014)
Vice-président de la CA Terre de Provence (2014 → 2022)
Mort en fonction
juillet 2022[22] En cours
(au 25 juillet 2023)
Michel Gavanon SE Cadre retraité
Vice-président de la CA Terre de Provence (2022 → )

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 4 355 habitants[Note 4], en augmentation de 0,02 % par rapport à 2015 (Bouches-du-Rhône : +2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3892 3882 0602 2062 2272 2722 2902 3192 368
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 5272 5542 5832 4612 3612 1912 0692 0081 946
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9571 9371 9351 5751 7451 7671 8781 8642 015
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 0922 2882 5122 9683 5043 9414 1794 1004 436
2021 - - - - - - - -
4 355--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Cadre de vie[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Village rural, Eyragues est particulièrement vivant : de nombreuses fêtes et évènements rythment les saisons.

Le 15 janvier a lieu la fête religieuse de la Saint-Bonet. La tradition veut que chaque famille invite des amis à manger les saucisses et les andouillettes grillées. La fête continue tard dans la soirée. La journée commence par une Encierro à l'Eyraguaise (taureau entravé avec une corde). Ce "jeu taurin", est interdit par l'arrêté préfectoral du 4 juin 1966 mais il a eu cours jusqu'en août 2014. L’Alliance Anti-corrida, l'Œuvre d'Assistance aux Bêtes d'Abattoirs et la SPA du Pays d'Arles ont obtenu l’interdiction, par ordonnance du 8 janvier 2015 rendue par le juge des référés près le TGI de Tarascon, de la manifestation du « taureau à la corde » ou « Encierro à l'Eyraguaise », prévue  le 15 janvier 2015 à Eyragues. Les organisateurs ont fait appel.

C'est la seule manifestation taurine du département à ce moment de l'année.

Économie[modifier | modifier le code]

Eyragues est une ville vivante avec de nombreux commerces et services.

30 % de la population travaille sur Avignon[réf. nécessaire].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Le vin de pays des Alpilles est un vin de pays de zone, au nord des Bouches-du-Rhône qui a vocation à labelliser, après dégustation, les vins ne pouvant postuler à l'appellation d'origine. Jusqu'en 2000, il portait le nom de vin de pays de la Petite Crau. La production est d'environ 6 000 hectolitres par an. Son vignoble, installé sur un plateau caillouteux, est limité, au nord, par la Durance et au sud, par les Alpilles[26].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Eyragues Blason
D'argent à trois massettes tigées et feuillées de sinople posées sur une champagne d'azur, accompagnées en chef de deux hydrophiles [insectes des marais] au naturel[28].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Station Météo-France « Eyragues » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  4. « Station Météo-France « Eyragues » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Avignon », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Lou tresor dóu Felibrige, F. Mistral, vol. 1, éditions CPM 1979
  17. Barthélémy, Inventaire, p. 271
  18. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, cartes p. 417-418 et p. 419.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Antoine Olivesi, « FOUQUET Auguste [FOUQUET Marie, Auguste, Joseph, Éloi]. », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  21. N.C.-B., « Bouches-du-Rhône : Max Gilles, le maire d'Eyragues, est décédé », La Provence,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il était à la tête de la commune depuis 1995, après avoir été conseiller municipal puis adjoint de Louis Michel. Il avait brigué son 5e mandat lors des dernières élections municipales et avait été réélu haut la main avec près de 64% des voix le 15 mars 2020 ».
  22. N.C.-B., « Eyragues : Michel Gavanon élu maire », La Provence,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est Michel Gavanon [...] qui a été élu par 22 voix pour et 5 bulletins blancs ».
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Louis Menjucq, président de l'ANIVIT (sous la direction de), Vins de pays de France,  éd. Romain Pages, Saint-Cloud, 1991, (ISBN 2908878151), p. 86.
  27. Notice no PA00081255, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  28. « Eyragues », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).