Gaillon-sur-Montcient

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Gaillon-sur-Montcient
Gaillon-sur-Montcient
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité CU Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Marie-Christine Dubernard
2022-2026
Code postal 78250
Code commune 78261
Démographie
Gentilé Gaillonnais
Population
municipale
677 hab. (2021 en diminution de 0,44 % par rapport à 2015)
Densité 140 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 35″ nord, 1° 53′ 38″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 126 m
Superficie 4,83 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Mureaux
Législatives 9e circonscription des Yvelines
Localisation
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Gaillon-sur-Montcient
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Liens
Site web http://www.gaillon-sur-montcient.fr/

Gaillon-sur-Montcient [ɡajɔ̃ syʁ mɔ̃sjɑ̃] est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France.

Le village se trouve dans la vallée de la Montcient, petite rivière affluent de l'Aubette de Meulan. La commune de Gaillon-sur-Montcient se trouve dans le périmètre du parc naturel régional du Vexin français.

Ses habitants sont appelés les Gaillonnais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation de Gaillon-sur-Montcient dans les Yvelines.

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Gaillon-sur-Montcient est située dans le nord du département des Yvelines, à la limite du Val-d'Oise, à 17 km environ au nord-est de Mantes-la-Jolie, sous-préfecture, et à 34 km environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département. Elle se trouve dans la vallée de la Montcient, dans le sud du Vexin français.


Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Gaillon-sur-Montcient est limitrophe des communes de Seraincourt à l'est, de Longuesse au nord (toutes deux communes du Val-d'Oise), de Tessancourt-sur-Aubette à l'est, de Meulan-en-Yvelines et Hardricourt au sud.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans le bassin versant de l'Aubette de Meulan, affluent de la Seine. Elle est irriguée, dans la partie sud du territoire, par la Montcient[1], ruisseau de 11 km de long qui prend sa source à Sailly et rejoint l'Aubette de Meulan à Hardricourt.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 678 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gaillon-sur-Montcient est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 81,67 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 11,81 % d'espaces ouverts artificialisés et 6,51 % d'espaces construits artificialisés[16].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 295, alors qu'il était de 290 en 2013 et de 285 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 90,9 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 87,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 12,6 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Gaillon-sur-Montcient en 2018 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,2 %) supérieure à celle du département (2,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,8 % en 2013), contre 58,6 % pour les Yvelines et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Gaillon-sur-Montcient en 2018.
Typologie Gaillon-sur-Montcient[I 1] Yvelines[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90,9 91,1 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,2 2,6 9,7
Logements vacants (en %) 4,9 6,3 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Wallonio en 1149, Gaaillon en 1265, Gallon en 1337[17].

Toponyme signifiant « endroit guéable »[18] (gué sur la Montcient).

Voir toponymie de Gaillon (Eure).

La Montcient est une petite rivière, affluent de la rive droite de l'Aubette de Meulan, qui coule dans le nord des Yvelines, sous-affluent de la Seine, qui traverse la commune[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Village d'origine gallo-romaine[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[20], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Mantes-la-Jolie après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Meulan de Seine-et-Oise puis des Yvelines[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton des Mureaux

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription des Yvelines.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Gaillon-sur-Montcient était membre de la communauté d'agglomération Seine et Vexin, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2014 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM), qui prévoit la création d'intercommunalités importantes en seconde couronne parisienne, capables de dialoguer avec la métropole du Grand Paris créée par la même loi, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1970 2008 M. Claude Durand[22],[23]   Chevalier de l'Ordre national du Mérite
mars 2008 mai 2022[24] Jean-Luc Gris   Vice-président de la CU Grand Paris Seine et Oise (2016 → 2022)
Mort en fonction
septembre 2022[25] En cours
(au 8 mars 2023)
Marie-Christine Dubernard   Professions intermédiaires de la santé et du travail social

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 677 habitants[Note 3], en diminution de 0,44 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
353313339287320313294282307
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
319332324290307308295298307
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
293280299264263238271276389
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
332358489516599646657669679
2014 2019 2021 - - - - - -
679665677------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 331 hommes pour 340 femmes, soit un taux de 50,67 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,5 
5,5 
75-89 ans
4,7 
14,0 
60-74 ans
14,2 
28,4 
45-59 ans
30,0 
15,5 
30-44 ans
17,5 
15,5 
15-29 ans
13,1 
20,4 
0-14 ans
19,0 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

  • Agriculture.
  • Commune résidentielle.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Il s'agit probablement de l'église primitive de la paroisse, qui fut achevée vers le milieu du XIIe siècle, puis agrandie au début du XIIIe siècle.
Cette église se caractérise par sa silhouette tassée, qui est imputable au clocher roman en grande partie noyé dans les combles, mais néanmoins dominée par une élégante flèche de pierre, et aussi par le fort déséquilibre entre la nef des fidèles et les parties orientales. En effet, la nef ne compte que deux travées, et n'a jamais possédé de bas-côtés, mais est néanmoins voûtée d'ogives dès sa construction à la fin de la période romane. À l'est, le transept également roman, dont la croisée sert de base au clocher, ainsi que le chœur gothique avec ses deux collatéraux, totalisent neuf travées réparties sur trois vaisseaux.
Le chœur était à deux niveaux d'élévation, et dépassait deux fois en hauteur ses chapelles latérales, comme en témoigne toujours son chevet avec deux triplets superposés. Mais ses deux voûtes étaient insuffisamment contrebutées, et n'ont pas résisté au temps. Elles furent remplacées à la première moitié du XVIe siècle par deux voûtes flamboyantes surbaissées, qui soustraient le second niveau d'élévation à l'espace liturgique.
Ce que l'église Notre-Dame-de-l'Assomption offre de remarquable à l'intérieur sont notamment ses voûtes d'ogives romanes de la nef et de la base du clocher, qui montrent deux approches architecturales différentes dans les années 1130 / 1140, et la curieuse conception du chœur gothique, dont les grandes arcades commencent par des piliers libres du fait que le remplacement des parties romanes était prévu[33].
Église où ont été tournées des scènes de Maigret et l'affaire Saint-Fiacre avec Jean Gabin, en 1959.
  • Le château de Gaillon du XVIe siècle, restauré au XVIIIe siècle et son parc désormais rebaptisé château de la Chouette abrite un parcours de golf.
(à ne pas confondre avec le château de Gaillon, dans l'Eure).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Gaillon-sur-Montcient et le cinéma[modifier | modifier le code]

En 1959, le film Maigret et l'affaire Saint-Fiacre, avec Jean Gabin, a été partiellement tourné dans le village.

Galerie[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Gaillon-sur-Montcient », p. 498–501
  • Marcel Lachiver, Histoire de Meulan et de sa région par les textes, Persan-Beaumont, , 428 p..
  • Les Yvelines. Les 262 communes, Éditions Delattre, , p. 88.
  • François Boulet, Histoire des Yvelines : l'esprit des lieux et des siècles dans l'Ouest parisien, Saint-Germain-en-Laye, Les Presses Franciliennes, , 303 p. (ISBN 978-2-919495-00-9), p. 207, 248

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche cours d'eau - La Montcient (H3007000) », Sandre (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Gaillon-sur-Montcient et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  17. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, Volume 2, page 842 (ISBN 2600001336).
  18. Étymologie du terme gué.
  19. Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau, « Fiche ruisseau la montcient (H3018000) » (consulté le 24 mai 2017).
  20. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Réélu pour le mandat 2001-2008 : « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
  23. « Décès de Claude Durand », Les Échos de Meulan,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Virginie Wéber, « Le maire de Gaillon-sur-Montcient est décédé : Jean-Luc Gris, qui effectuait son troisième mandat à la tête du village, a été découvert inanimé par sa femme ce dimanche matin, d’un probable arrêt cardiaque », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu à la tête de la commune à trois reprises depuis 2008, Jean-Luc Gris occupait également la fonction de vice-président à la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPS&O) en charge des déchets ».
  25. Fabien Dezé, « Gaillon-sur-Montcient : Marie-Christine Dubernard succède à Jean-Luc Gris : Marie-Christine Dubernard a été élue maire de Gaillon-sur-Montcient le jeudi 22 septembre 2022. Elle succède à Jean-Luc Gris, décédé le 8 mai 2022 », 78 Actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À l’unanimité du conseil, Marie-Christine Dubernard a ainsi été élue maire de Gaillon-sur-Montcient [...] Âgée de 57 ans, Marie-Christine Dubernard a intégré le conseil municipal en 2014. Depuis mars 2020, elle était la première adjointe de Jean-Luc Gris ».
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gaillon-sur-Montcient (78261) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  31. « Église Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no PA00087437, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Les objets classés de l'église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  33. Pierre Coquelle, « Monographie de l'église de Gaillon (près Meulan) », Commission des antiquités et des arts du département de Seine-et-Oise, Versailles, vol. XXVII,‎ , p. 73-85 (ISSN 1146-9994, lire en ligne) ; version illustrée par Pascal Pigeot, 2009.