Aller au contenu

Godewaersvelde

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 7 juillet 2022 à 05:04 et modifiée en dernier par BigBullfrog (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Godewaersvelde
Godewaersvelde
L'ancienne gare.
Blason de Godewaersvelde
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes de Flandre Intérieure
Maire
Mandat
Antoine Vermeulen
2020-2026
Code postal 59270
Code commune 59262
Démographie
Gentilé Godewaersveldois
Population
municipale
2 053 hab. (2021 en évolution de +0,49 % par rapport à 2015)
Densité 173 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 47′ 41″ nord, 2° 38′ 39″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 163 m
Superficie 11,89 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Boeschepe
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bailleul
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Godewaersvelde
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Godewaersvelde
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Godewaersvelde
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Godewaersvelde
Liens
Site web http://www.godewaersvelde.fr/

Godewaersvelde (prononcé [ɡɔdvaʁsvɛld]; en néerlandais : Godewaarsvelde, en flamand occidental : Godsvelde) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Toponymie

De Godafrithas feldu, pays rude, sauvage, lande de Godefried, champs de Godewaer (équivalent germanique de Geoffrey), nommée Gotsvelde ou Gode dans le langage parlé[1],[2]. Les soldats anglais la nommaient God lors de la première guerre mondiale. Une version populaire qui prétend que Godewaersvelde signifierait Dieu bénisse nos champs semble sans fondement, écartée par les linguistes et les historiens. Les appellations varient selon l'époque, on trouve ainsi :

  • en 1295-1296 : Gaudefroit camp ;
  • en 1300 : Godeverdesvelde ;
  • en 1318 : Godefroichamp.

Géographie

Godewaersvelde dans son canton et son arrondissement

Localisation

Dans le Nord, à moins d'une demi-heure de Lille et de Dunkerque. Situation : Godewaersvelde est située au Nord de la France, le long de la frontière belge. Elle est l’une des 9 communes du canton de Steenvoorde. Godewaersvelde s’étend sur 1189 hectares soit près de 12 km2 (3 km sur 4) et est traversée par plusieurs routes départementales : la RD 948 qui relie l’échangeur de la A25 à Poperinge, la RD 139 qui nous mène à Boeschèpe et Eecke, la RD 18 qui relie la Route de Poperinge à Méteren. Par route, Steenvoorde est à 5,42 km, Lille à 40 km, Dunkerque à 35 km. Les échangeurs de Steenvoorde et de Méteren permettent d’accéder à l’autoroute A 25 qui relie Lille à Dunkerque.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Godewaersvelde
Steenvoorde Watou  Drapeau de la Belgique Belgique(Poperinge)
Godewaersvelde Boeschepe
Eecke Flêtre - Méteren Berthen

Le centre de Godewaersvelde (coordonnées GPS : 314744872E ; 56260N). est à une altitude de 41 m au-dessus du niveau de la mer. Le mont des Cats est situé en partie sur son territoire. Le point culminant est situé sur le territoire de Berthen à l’emplacement de l’ancien moulin de pierre. Le point géodésique indique 164 mètres. L’assise de l’ancienne voie ferrée partage son paysage en deux entités totalement différentes. La partie Nord et Ouest est plus plate, recouverte de vastes champs cultivés.

La partie Est et Sud s’élève vers le mont des Cats, butte témoin constituée de sables et de grès ferrugineux. Cette partie est plus boisée, bocagère.

Le cours d’eau le plus important qui traverse Godewaersvelde est la Vleterbeek (ou Becque de Flêtre) qui prend sa source au Mont des Cats, route de Méteren. Cette becque traverse l’agglomération puis s’en va vers Boeschèpe et Poperinghe où elle est canalisée: c'est le canal de Poperinghe (Poperingevaart). La Vleterbeek est un affluent de l’Yser qui se jette dans la mer du Nord à Nieuport.

Sur ce territoire, nous trouvons la Becque dite du Couvent qui descend du versant nord du mont des Cats et la Quaebecque qui prend naissance dans le bas du mont de Boeschèpe. Les crues de ces cours d’eau sont sporadiques. L’eau monte dans le lit, s’épanche dans les prés inondables. La baisse du niveau des eaux n'a aucun rapport avec le fait que les Belges ouvrent ou non les écluses à Nieuport. En effet celles-ci sont à plus de 20 m en dessous de l'altitude de la Vleter Becque à sa sortie de Godewaersvelde.

Le climat est de type océanique de transition. L’influence continentale fait son apparition dans l’Avesnois. Le nombre de jours de gelée, des températures plus élevées en été, des brouillards plus fréquents nous caractérisent par rapport à la côte où le climat est purement océanique. Les vents sont de dominante sud-ouest.

Un manteau de terre arable recouvre une épaisse couche d’argile dite yprésienne placée dans une dépression calcaire.
Le mont des Cats est constitué de sable ferrugineux dans lequel on trouve des grès diestiens ferrugineux chargés de silex.

Vue panoramique de Godewaersvelde

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 783 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 40 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[15].

Urbanisme

Typologie

Godewaersvelde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Boeschepe, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[19] et 4 234 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22],[23].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), zones urbanisées (4,1 %), forêts (3,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[24].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

Histoire

Le pays a été habité par les Cattes dont le Katsberg (mont des Cats) et le mont Cassel ont retenu le nom. Une bataille donnée par Godoald, capitaine des Cattes, eut lieu à un endroit maintenant appelé Godewaersvelde de Godoaldsveld, soit en français « le champ de Godoald ».[Information douteuse]

Avant la Révolution française, du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Poperinge[26].

Eustache Eugène d'Assignies, (famille d'Assignies), baron de Bailleul, seigneur d'Assignies, (baron d'Assignies?[27]), est probablement le dénommé Eustache d'Assignies, seigneur de Godewaersvelde, qui donne ses armes à la commune en 1776[28].

Godewaersvelde a disposé entre 1870 et 1954 d'une gare (gare de Godewaersvelde) située sur la ligne de chemin de fer d'Hazebrouck à Boeschepe.

Pendant la première guerre mondiale, Godewaersvelde est une des communes avec Hondschoote, Abeele, Caestre, Oost-Cappel, Winnezeele, Hardifort, à faire partie du commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée, installé à Steenvoorde puis transféré à Rexpoëde, organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front[29]. De ce fait, des troupes ont séjourné à Godewaersvelde[30].

La gare et son bâtiment voyageurs vers 1900
La gare de Godewaersvelde et son bâtiment voyageurs vers 1900.

Héraldique

Les armes de Godewaersvelde se blasonnent ainsi : « Fascé de gueules et de vair de huit pièces ». Elles seraient issues des armoiries de la famille d'Assignies, à laquelle appartenait le château du village[31].

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1794 Michel Houvenaghel    
1794 1797 Pierre Jean Devos    
1797 1816 Ignace David   Agriculteur et meunier
1816 1831 Joseph Houvenaghel    
1831 1836 David David   Brasseur
1836 1847 Jacques Tillie    
1847 1864 Benoît Hyacinthe Devick   Officier de santé
1864 1888 Charles Louis Staes   Fermier
1888 1890 Benoît Castier    
1890 1896 Charles Louis Staes   Fermier
1896 1909 Henri Tillie    
1909 1914 Henri Castier    
1914 1919 Désiré Verhaeghe    
1919 1929 René Vanlerberghe    
1929 1937 Raoul Hennion   Négociant
1937 1965 Henri Devos   Agriculteur
1987
(démission)
Daniel Vuylsteker[32]   Médecin

(démission)
Sylvain Vanbleus    
mars 1989 Paul Vermelle   Négociant en volailles
mars 2008 Jacques Defrancq PS Professeur de collège
mars 2014 Antoine Vermeulen DVG  
2020 Gérard Maris DVG  
mai 2020 En cours Antoine Vermeulen DVG  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 2 053 habitants[Note 8], en évolution de +0,49 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0221 8401 8971 9801 8211 8361 8381 8031 776
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5951 6701 6751 6951 7601 7701 8631 9051 952
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9181 8961 9091 9471 9021 8101 8691 8821 803
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 7941 7981 6651 7131 7381 9271 8932 0262 055
2021 - - - - - - - -
2 053--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 026 hommes pour 1 025 femmes, soit un taux de 50,02 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,4 
7,2 
75-89 ans
8,5 
15,6 
60-74 ans
15,4 
23,1 
45-59 ans
21,0 
19,5 
30-44 ans
19,6 
13,7 
15-29 ans
14,7 
20,6 
0-14 ans
19,3 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Lieux et monuments

L'église Saint-Pierre
Le géant Henri le douanier
« La seigneurie d'Hagedoorne situé le gros du fief en la paroisse de Godewaersvelde châtelenie de Cassel, se consistant en un château, hautte motte entourée de fossez, cour basse, singles, drèves, pâtures, pretz, bois et terres labourables… » (1726, cité dans rapport et dénombrement par F. Marie De Vos)

Depuis 2009, Godewaersvelde fait partie du réseau Village Patrimoine, coordonné par les Pays de Flandre.

Personnalités liées à la commune

  • Le chanteur Raoul de Godewarsvelde a pris le nom du village comme pseudonyme, village dont son arrière-grand-père était originaire.
  • Le peintre Nicolas Ruyssen (né à Hazebrouck le ) fonde la communauté du Mont des Cats (moines cisterciens - trappistes). Il meurt le et est inhumé dans la chapelle de l'abbaye.
  • Géraud Venzac (1901-1981), mort à Godewaersvelde, prêtre catholique français, moine à l’abbaye du Mont des Cats, professeur de littérature, chevalier de la Légion d’honneur, auteur de Lettres de la Trappe, Gerbert, Aurillac, 1988.

Pour approfondir

Bibliographie

  • Nederlanden in Frankrijk, Jozef van Overstraeten, 1969, éditions Vlaamse Toeristenbond, Anvers

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Jozef Van Overstraeten (nl), De Nederlanden in Frankrijk: Beknopte encyclopedie, Vlaamse Toeristenbond, 1969.
  2. La Voix du Nord, édition du dimanche 24 avril 2005, p. 4, rubrique Actualité / Hazebrouck.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
  9. « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Godewaersvelde et Richebourg », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Godewaersvelde et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Unité urbaine 2020 de Boeschepe », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  26. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.
  27. Jean Charles Joseph de Vegiano, Supplément au Nobiliaire des Pays-Bas, et du comté de Bourgogne, Louvain, 1775, p. 263, lire en ligne.
  28. « Godewaersvelde », sur L'Armorial des villes et des villages de France.
  29. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  30. Journal de marche du commandement d'étapes de Steenvoorde Décembre 1914- Janvier 1915, p. 18, lire en ligne.
  31. « Armorial des communes de la Flandre Française », sur westhoekpedia.org (consulté le ).
  32. Valse des maires à Godewaersvelde, L'Indicateur des Flandres, article du 12 février 2014.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Godewaersvelde (59262) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).