Montréjeau

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 21 février 2022 à 22:46 et modifiée en dernier par WikiCleanerBot (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Montréjeau
Montréjeau
Vue en arrière-plan de la ville de Montréjeau depuis le Picon avec à gauche le lac.
Blason de Montréjeau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges
Maire
Mandat
Éric Miquel
2020-2026
Code postal 31210
Code commune 31390
Démographie
Gentilé Montréjeaulais
Population
municipale
2 700 hab. (2021 en diminution de 5,69 % par rapport à 2015)
Densité 329 hab./km2
Population
agglomération
5 297 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 05′ 09″ nord, 0° 34′ 11″ est
Altitude Min. 409 m
Max. 543 m
Superficie 8,21 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Montréjeau
(ville-centre)
Aire d'attraction Saint-Gaudens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Gaudens
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Montréjeau
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Montréjeau
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Garonne
Montréjeau
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Montréjeau
Liens
Site web Site officiel de la commune

Montréjeau [mɔ̃ʁeʒo] (Montrejau en gascon[1]) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Montréjeaulais.

Le patrimoine architectural de la commune comprend cinq immeubles protégés au titre des monuments historiques : le pont sur la Garonne, inscrit en 1984, le château de Valmirande, classé en 1992, la halle aux bestiaux de Montréjeau, inscrite en 2004, l'hôtel de Lassus, inscrit en 2005, et l'Hôtel du Parc, inscrit en 2005.

Géographie

Localisation

Carte

La commune de Montréjeau se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 91 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 13 km de Saint-Gaudens[3], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Gourdan-Polignan (1,6 km), Ausson (2,2 km), Huos (2,3 km), Mazères-de-Neste (2,5 km), Cuguron (2,9 km), Les Tourreilles (3,4 km), Seilhan (3,8 km), Ponlat-Taillebourg (3,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Montréjeau fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 821 hectares ; son altitude varie de 409 à 543 mètres[7].

Hydrographie

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Garonne, la Neste, le ruisseau du Lavet de Derrière, le ruisseau du Lavet de devant, un bras de la Garonne, le ruisseau des Arnaudes, le ruisseau du Pécoup et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique des Hautes-Pyrénées de 8 km de longueur totale[9],[Carte 1].

La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[10].

La Neste, d'une longueur totale de 73,1 km, prend sa source dans la commune d'Aragnouet (65) et s'écoule vers le nord puis se réoriente vers l'est. Elle se jette dans la Garonne sur le territoire communal, après avoir traversé 34 communes[11].

Le ruisseau du Lavet de Derrière, d'une longueur totale de 14,3 km, prend sa source dans la commune de Cantaous (65) et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans le Lavet à Ponlat-Taillebourg, après avoir traversé 8 communes[12].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[14].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]

  • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,4 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 008 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Clarac », sur la commune de Clarac, mise en service en 1994[18] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[19],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 774,7 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 46 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[22], à 12,3 °C pour 1981-2010[23], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[24].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[25],[26].

Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[27].

Réseau Natura 2000

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives de l'Union européenne (habitats et oiseaux), constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[29], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[30].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[31] :

et trois ZNIEFF de type 2[Note 7],[31] :

Urbanisme

Typologie

Montréjeau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[39],[I 2],[40]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montréjeau, une agglomération inter-départementale regroupant 5 communes[I 3] et 5 297 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6],[I 7].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,5 %), zones urbanisées (24,2 %), zones agricoles hétérogènes (21,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (12,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), eaux continentales[Note 10] (3,4 %), forêts (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[41].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Voies de communication et transports

TER Occitanie par la gare de Montréjeau - Gourdan-Polignan : ligne de Montréjeau - Gourdan-Polignan à Luchon et ligne Toulouse-Bayonne, avec des trains directs de Paris à Bagnères-de-Luchon.

Aéroports : aéroport Tarbes-Lourdes-Pyrénées (65 km) - aéroport de Toulouse-Blagnac (110 km). Les deux aéroports sont accessibles directement par l'A64.

Routes : nationale 117, autoroute A64 sortie Sortie 17.

Autobus pour Saint-Gaudens, Bagnères-de-Luchon, Tarbes et l'Espagne.

Toponymie

Montréjeau est la francisation de l'occitan gascon : Mont Rejau[1] qui veut dire « Mont-Royal ».

  • Étymologie, le mont du Roi de Rivière du latin « Mons Regalis de Ripparia ».

Histoire

La bastide de Montréjeau est née du traité de paréage (association de plusieurs seigneurs) entre Eugène de Beaumarchais, sénéchal du roi de France Philippe III le Hardi, et Arnaud d'Espagne-Montespan, vicomte de Couserans, conclu en 1272 au château de Montespan[42]. Cette fondation s'inscrit dans la politique d'expansion de l'autorité royale dans le sud de la France, avec la réunion du comté de Toulouse au domaine royal (1271). Pour Arnaud d'Espagne-Montespan, il s'agit d'établir une place forte au cœur de ses possessions. La position du site présente de nombreux avantages. Proche de la cité épiscopale de Saint-Bertrand, au confluent de la Neste et de la Garonne, Montréjeau commande aussi la route d'Espagne. La ville est construite selon le modèle ordinaire des bastides, c'est-à-dire un quadrilatère doté d'un place centrale entourée d'arceaux, sur laquelle s'élève une halle (disparue en 1944), et organisé selon un plan en damier. L'ensemble est doté de murs d'enceinte, percés de quatre portes (le clocher de l'église Saint-Jean-Baptiste est un vestige de la porte Saint-Jean). Une première église est située à l'emplacement de l'actuelle église Saint-Jean-Baptiste. Montréjeau est en outre rapidement dotée d'un couvent de frères Augustins.

Dès le XIVe siècle, la cité joue un rôle économique majeur au sein de la région en raison de sa situation géographique avantageuse. Cet essor est favorisé par la construction d'un pont sur la Garonne permettant de relier la ville aux vallées de la Barousse et du Luchonnais. La cité se développe alors à l'extérieur de ses murailles, avec le faubourg du Barry au sud, et autour de la chapelle Sainte-Barbe (aujourd'hui détruite) au nord[43].

À la mort de Roger IV d'Espagne-Montespan (1555), la co-seigneurie passe à la maison de Pardaillan de Gondrin[44]. Le Comminges connaît à cette époque une succession d'épreuves. En 1563, la peste entraîne la construction d'un lazaret à l'extérieur de la ville, actuel manoir de Sarrieu, afin d'accueillir les malades. Durant les guerres de Religion, la ville reste fidèle au roi et à la foi catholique. Mais elle est occupée en 1569 par le chef protestant Montgoméry[45]. Lors de la Fronde, deux bataillons du prince de Condé demeurent dans la cité (1647). Les malheurs du temps n'empêchent pas un certain essor culturel grâce à Bertrand Laralde, poète occitan, auteur de La Margalide gasconne (1604), œuvre dans laquelle il chante son amour pour une jeune montréjeaulaise.

Au XVIIIe siècle, sous l'action de l'intendant Antoine Mégret d'Étigny, Montréjeau se transforme. Les rues sont élargies et les remparts disparaissent. Marc-François de Lassus, contrôleur-général des marbres du roi, y fait bâtir un somptueux hôtel. La ville s'ouvre sur l'extérieur avec la création de la route de Luchon.

Durant la Révolution française, Montréjeau est le théâtre d'une bataille[46]. Le , une insurrection royaliste est écrasée aux portes de la ville. Deux montréjeaulais émergent de cette période, Dominique Lacombe, évêque constitutionnel de Bordeaux (1797 - 1801), et le général d'Empire Pierre de Pelleport.

Au cours du XIXe siècle, la cité se dote de structures modernes. Un pont en pierre est construit sur la Garonne en 1825, puis avec l'arrivée du chemin de fer, Gustave Eiffel édifie le pont ferroviaire de Sarrieu (1878). Enfin, entre 1893 et 1899, le baron Bertrand de Lassus fait construire par l'architecte Louis Garros le château de Valmirande, inspiré du château de Chambord, et doté d'un vaste parc dessiné par les paysagistes Denis et Eugène Bühler.

Politique et administration

Administration municipale

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt-trois[47],[48].

Rattachements administratifs et électoraux

Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges et du canton de Saint-Gaudens (avant le redécoupage départemental de 2014, Montréjeau était le chef-lieu de l'ex-canton de Montréjeau) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes Nébouzan-Rivière-Verdun. La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.

La mairie.

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1989 juin 1995 Jean Pousson PS Conseiller général
juin 1995 mars 2001 Jean Jorda RPR Conseiller régional
mars 2001 mars 2008 Robert Pons PS Conseiller général
mars 2008 En cours Éric Miquel Apparenté FG puis SE Ancien employé de la Cellulose du Rhône et d'Aquitaine, syndicaliste
Président communauté de communes (2008-2014). Réélu en 2014 et 2020.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50]. En 2021, la commune comptait 2 700 habitants[Note 11], en diminution de 5,69 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1932 0412 1502 4872 9913 0343 0813 4663 466
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1896 1901
3 9143 6803 8323 6823 0812 9923 1412 6792 618
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
2 7242 6322 5392 5512 9013 0083 0713 1063 149
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
3 7003 4733 1612 8572 5772 7062 7382 8702 763
2021 - - - - - - - -
2 700--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[53] 1975[53] 1982[53] 1990[53] 1999[53] 2006[54] 2009[55] 2013[56]
Rang de la commune dans le département 15 21 33 47 63 67 70 71
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

En 1875, la commune cède 60 % de son territoire et un peu plus de 700 habitants à l'occasion de la création de la commune des Tourreilles.

Service public

Enseignement

  • Le complexe éducatif Bertrand Laralde accueille les enfants de la maternelle à la troisième.
  • Le couvent Sainte-Germaine accueille les enfants de la maternelle au CM2.
  • Les études peuvent être poursuivies au lycée technologique et professionnel Paul Mathou de Gourdan-Polignan ou au lycée de Bagatelle de Saint-Gaudens.
  • Pour les autres filières, Toulouse offre de nombreuses possibilités.

Sports

William Grover-Williams à Montréjeau, et victorieux du Grand Prix automobile de France 1928 (du Comminges), sur Bugatti Type 35C.

Culture

Associations culturelles

  • Les chanteurs du Mont-Royal
  • Les troubadours du Mont-Royal
  • Maison des jeunes et de la culture

Événement et culture

  • Festival de bandas : juillet
  • Exposition de peinture : août
  • Festival folklorique international : semaine du
  • Fête foraine de Pâques
  • Grand marché à l'ancienne : le dernier dimanche de juillet et toute l'année le lundi matin

Écologie et recyclage

La station d'épuration a été réhabilitée en 2015[58],[59],[60].

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 336 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 2 491 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 270 [I 8] (23 140  dans le département[I 9]). 34 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 13] (55,3 % dans le département).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 10] 13,9 % 16,8 % 17 %
Département[I 11] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 522 personnes, parmi lesquelles on compte 69,9 % d'actifs (52,9 % ayant un emploi et 17 % de chômeurs) et 30,1 % d'inactifs[Note 14],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 13]. Elle compte 1 162 emplois en 2018, contre 1 153 en 2013 et 1 272 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 829, soit un indicateur de concentration d'emploi de 140,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,2 %[I 14].

Sur ces 829 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 291 travaillent dans la commune, soit 35 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 81,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,3 % les transports en commun, 10,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

299 établissements[Note 15] sont implantés à Montréjeau au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16],[I 17].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 299 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
24 8 % (5,7 %)
Construction 27 9 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
87 29,1 % (25,9 %)
Information et communication 5 1,7 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 14 4,7 % (3,8 %)
Activités immobilières 10 3,3 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
49 16,4 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
62 20,7 % (16,6 %)
Autres activités de services 21 7 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,1 % du nombre total d'établissements de la commune (87 sur les 299 entreprises implantées à Montréjeau), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].

Entreprises et commerces

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[61] :

  • Comminges Metaux Services, récupération de déchets triés (8 092 k€)
  • Entreprise Gallart Bati-Comminges, construction d'autres bâtiments (4 511 k€)
  • L'hermitage, hébergement social pour personnes âgées (3 742 k€)
  • Entreprise Verdier, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (754 k€)
  • SARL Les Fromagers Du Mont Royal, activités des sociétés holding (515 k€)

Agriculture

1988 2000 2010 2020
Exploitations 16 12 7 6
SAU[Note 17] (ha) 317 313 335 483

La commune est dans les « Coteaux de Gascogne », une petite région agricole occupant une partie ouest du département de la Haute-Garonne, constitué d'un relief de cuestas et de vallées peu profondes, creusés par les rivières issues du massif pyrénéen, avec une activité de polyculture et d’élevage[62]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 18] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 4]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 19] (16 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 483 ha[64],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine sacré

Patrimoine civil

Château de Valmirande.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Montréjeau

Son blasonnement est : D'argent au chêne arraché de sinople, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or ou chef cousu de France.

Pour approfondir

Bibliographie

  • J.-P. Paris, M. Icole (terrains quaternaires), A. Tegyey (diagnoses pétrographiques et déterminations micropaléontologiques), C. Monciardini (diagnoses pétrographiques et déterminations micropaléontologiques), P. Andreieff (diagnoses pétrographiques et déterminations micropaléontologiques) et M. Collignon (détermination des Ammonites), « Notice explicative de la carte géologique à 1/50 000 « Montréjeau » no 1054 (XVIII - 46) », 23 p., sur ficheinfoterre.brgm.fr, Orléans, éd. Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
  6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  12. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  15. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  17. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  18. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[63].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Montréjeau » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Métadonnées de la commune de Montréjeau » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Montréjeau » (consulté le ).
  4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montréjeau » (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  10. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montréjeau » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montréjeau » (consulté le ).
  15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Montréjeau » (consulté le ).
  18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

Autres sources

  1. a et b Nom proposé par P. Pojadadins LAS COMUNAS DE MIÈGJORN-PIRENÈUS, Nouvelles Editions Loubatières, 2009, en se basant sur le DICTIONNAIRE D'AMBOISE MIDI-PYRÉNÉES, Editions d'Amboise, 1991 voir [1]
  2. Stephan Georg, « Distance entre Montréjeau et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Montréjeau et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Montréjeau », sur www.villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  8. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  9. « Fiche communale de Montréjeau », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  10. Sandre, « la Garonne »
  11. Sandre, « la Neste »
  12. Sandre, « le ruisseau du Lavet de Derrière »
  13. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  15. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  16. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  17. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  18. « Station Météo-France Clarac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Orthodromie entre Montréjeau et Clarac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  20. « Station Météo-France Clarac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  21. « Orthodromie entre Montréjeau et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
  22. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  23. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  24. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  25. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
  26. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  27. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  29. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Montréjeau », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  30. « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  31. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Montréjeau », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  32. « ZNIEFF « la Garonne de la frontière franco-espagnole jusqu'à Montréjeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  33. « ZNIEFF « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  34. « ZNIEFF la « Neste moyenne et aval » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  35. « ZNIEFF les « tourbières, boisements riverains et bocage humide du Lavet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  36. « ZNIEFF l'« Amont des bassins de la Louge, de la Save, du Lavet et de la Noue et landes orientales du Lannemezan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  37. « ZNIEFF « Garonne amont, Pique et Neste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  38. « ZNIEFF « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  39. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  40. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  41. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  42. M. de Lassus, « Status et coutumes de Montréjeau », Revue du Comminges,‎ , pp. 89 - 282.
  43. M. de Lassus, « Status et coutumes de Montréjeau », Revue du Comminges,‎ , p. 117.
  44. M.de Lassus, « Status et coutumes de Montréjeau », Revue du Comminges,‎ , p. 138.
  45. M. de Lassus, « Statuts et coutumes de Montréjeau », Revue du Comminges,‎ , p. 140.
  46. B. Lavigne, L'insurrection royaliste de l'An VII, Paris, E. Dentu, .
  47. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  48. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 1896, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  53. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  54. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  55. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  56. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  57. François Duboisset, RugbyGuide : Guide français et international, De Vecchi, 2006, 655 p (ISBN 2-7328-6843-4).
  58. « Vivre à Montréjeau n° 22 - Décembre 2014 », Mairie de Montréjeau,‎ (lire en ligne).
  59. « Montréjeau. Le projet retenu pour la station d'épuration », ladepeche.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  60. « COMMUNE DE MONTREJEAU Amélioration des performances de la station d’épuration », sources.fr,‎ (lire en ligne).
  61. « Entreprises à Montréjeau », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  62. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  63. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  64. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Montréjeau - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  65. « Gourdan-Polignan / Montréjeau: La passerelle inaugurée », sur Petite République.com, (consulté le ).
  66. « Montréjeau. La passerelle, comme symbole de lien et de solidarité », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  67. « Inauguration de la passerelle piétonne reliant Gourdan-Polignan et Montréjeau (31) », sur RTE France, (consulté le ).
  68. a et b « Ecole Sainte Germaine - Notre histoire », sur www.ecole-ste-germaine.fr (consulté le ).
  69. « Dominicaines du Saint Nom de Jésus », sur www.dominicaines-snj.com (consulté le ).
  70. « Hôtel de Lassus - Montréjeau », sur www2.culture.gouv.fr (consulté le ).
  71. « Hôtel de Lassus - Montréjeau », sur www.guide-tourisme-france.com (consulté le ).
  72. « Montréjeau. L'hôtel Lassus : pôle multi services et pluri activités », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  73. « L'hôtel de Lassus à Montrejeau », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  74. « Ancien Hôtel du Parc - Montréjeau », sur www2.culture.gouv.fr (consulté le ).
  75. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PA31000065
  76. a et b « INFORMATIONS – ACCUEIL : Visite_guidee_de_Montrejeau », sur www.mairie-montrejeau.com (consulté le ).
  77. a et b « Chapelle de l'Orangerie du Mont Royal - Visite Libre et Concert au Chapelle De L'orangerie Du Mont Royal | Montréjeau - septembre 2014 », sur Mapado.com (consulté le ).
  78. « Montréjeau. Châteaux, vitraux et grognards », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  79. Jean-Jacques Miquel, « Les figures de Montréjeau », Dominique Lacombe (1749-1823), sur www.montrejeau-pyrenees.com (consulté le ).