La Destrousse

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La Destrousse
La Destrousse
Blason de La Destrousse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Marseille
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Michel Lan
2020-2026
Code postal 13112
Code commune 13031
Démographie
Gentilé Destroussiens, Destroussiennes
Population
municipale
3 913 hab. (2021 en augmentation de 15,73 % par rapport à 2015)
Densité 1 335 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 22′ 28″ nord, 5° 36′ 24″ est
Altitude Min. 177 m
Max. 364 m
Superficie 2,93 km2
Unité urbaine Marseille-Aix-en-Provence
(banlieue)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Allauch
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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La Destrousse
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La Destrousse
Liens
Site web http://www.ladestrousse.fr

La Destrousse est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

La haute vallée du Merlançon depuis la Destrousse jusqu'aux sommets de l'Étoile

Situation[modifier | modifier le code]

La Destrousse est située dans la petite vallée du Merlançon, affluent de rive droite de l'Huveaune, entre le massif de l'Étoile à l'ouest et le Regagnas à l'est. La ville la plus proche est Aubagne, à 10 kilomètres au sud.

Le territoire de la commune a une forme triangulaire, bordé à l'est par le Merlançon. Le village est situé au bord de la rivière.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de La Destrousse
Peypin La Bouilladisse La Bouilladisse
Peypin La Destrousse La Bouilladisse
Peypin Roquevaire Auriol

Les communes limitrophes sont Auriol, La Bouilladisse, Peypin et Roquevaire.

Communications et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée du nord au sud par l'ancienne route nationale 96 reliant Aix-en-Provence à Aubagne, toujours fortement fréquentée. L'autoroute A52 double la route, et la commune est desservie par l'échangeur de Pas-de-Trets, au nord. Aix est ainsi à 25 kilomètres côté nord, et Marseille à la même distance côté sud-ouest.

La route départementale 7 quitte la route principale à la Destrousse en direction du nord-ouest, vers Peypin et au-delà jusqu'à Gardanne, avec embranchement au lieudit le Terme vers Marseille par la D 908. À l'est, la D 45c rejoint Auriol par le Maltrait.

L'ancienne ligne de chemin de fer reliant Aubagne à Fuveau, qui longe la commune à l'est, est désaffectée, mais pourrait être rouverte partiellement d'ici 2024[1].

La ligne 5 des « Bus de l'Agglo » relie Aubagne à la Bouilladisse en passant par Pont-de-l’Étoile, Roquevaire et la Destrousse.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Destrousse est une commune urbaine[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marseille-Aix-en-Provence, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[5] et 1 596 326 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Marseille-Aix-en-Provence est la troisième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris et Lyon[6],[7].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8],[9].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (77,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (71,6 %), forêts (12,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,4 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 662 mm, avec 6,8 jours de précipitations en janvier et 1,8 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 716,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 43,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,2 °C, atteinte le [Note 3],[13],[14].

Statistiques 1991-2020 et records LA DESTROUSSE_SAPC (13) - alt : 201m, lat : 43°23'12"N, lon : 5°36'03"E
Records établis sur la période du 01-09-2007 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 0,7 3,3 6,3 9,6 13,5 15,9 15,3 12,4 9,2 5,2 1,9 7,9
Température moyenne (°C) 6,6 6,9 9,8 13,1 16,7 21 23,7 23,4 19,6 15,4 10,6 7,3 14,5
Température maximale moyenne (°C) 12 13 16,4 19,8 23,8 28,6 31,6 31,4 26,8 21,7 16,1 12,8 21,2
Record de froid (°C)
date du record
−8,5
17.01.17
−13,2
11.02.12
−5,4
16.03.13
−4,1
08.04.21
1
07.05.19
6,6
13.06.19
9,8
15.07.16
8,5
18.08.14
3,8
21.09.17
−1,9
22.10.07
−6
18.11.07
−6,6
21.12.09
−13,2
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
21,8
28.01.08
22,4
24.02.20
25,3
30.03.12
28,4
21.04.18
35
23.05.09
43,1
28.06.19
39,1
31.07.17
40,1
23.08.23
35,8
04.09.23
30,9
08.10.23
24,6
01.11.22
22,2
30.12.21
43,1
2019
Précipitations (mm) 60,6 45,5 53,6 64,1 52,5 53,6 17,8 25,8 57 99,5 111,7 74,7 716,4
Source : « Fiche 13031002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
12
1,2
60,6
 
 
 
13
0,7
45,5
 
 
 
16,4
3,3
53,6
 
 
 
19,8
6,3
64,1
 
 
 
23,8
9,6
52,5
 
 
 
28,6
13,5
53,6
 
 
 
31,6
15,9
17,8
 
 
 
31,4
15,3
25,8
 
 
 
26,8
12,4
57
 
 
 
21,7
9,2
99,5
 
 
 
16,1
5,2
111,7
 
 
 
12,8
1,9
74,7
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[15]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

La tradition veut que le territoire de la Destrousse était jadis un lac auquel on donna un écoulement, probablement à l'époque où l'on pratiqua la grande ouverture du vallon de Saint-Vincent à Roquevaire[17].

En 1820 la Destrousse, hameau de Peypin, était une modeste paroisse de 115 habitants. La commune fut créée en 1870 par détachement depuis la commune de Peypin. C'était la plus petite commune du département avec celle de Mas-Blanc, mais avec une population relativement importante de 720 habitants[18].

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Le nom La Destrousse vient du verbe provençal destroussa(r), signifiant « détrousser »[19]. Au XIXe siècle, beaucoup de promeneurs montant les chemins au départ de la Destrousse, pour remonter vers le massif du Garlaban par son côté nord, se faisaient voler par des brigands au cours de leur promenade[20].

Une autre origine est supposée, du latin " trēs turres" (en français : trois tours) qui par déformation serait devenu Destrousse (d'où le blason de la commune représentant trois tours).[réf. nécessaire]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1870 1876 Adolphe Bernard    
1876 1879 Auguste Negrel    
1879 1888 Étienne Bonifay    
1888 1896 Marius Jouve    
1896 1905 Marius Carretier    
1905 1906 Marcelin Imbert    
1906 1906 Pascal Lan    
1907 1918 Frédéric Caillol    
1918 1920 Paul Camoin    
1920 1929 Paul Miletto   Industriel
1929 1935 Polyeucte Négrel    
1935 1938 François Grimaud    
juillet 1938 1954 Paul Rebuffat SFIO Retraité
1954 1955 Émile Achard    
1955 1961 Louis Caillol    
1961 1961 Marie Jeanne Rebuffat   Adjointe déléguée
1961 Jean Camoin PS Maire honoraire

(démission)
Gaston Caillol   Employé de la DDE
Premier adjoint au maire (1977 → 1983)
Paul Julien DVG  
En cours Michel Lan SE-DVG Cadre de la fonction publique retraité

Services municipaux[modifier | modifier le code]

.

  • Médiathèque (prêt de livres, BD, magazines, CD et DVD, espace informatique)
  • Centre communal d'action sociale (CCAS Emploi)
  • Crèche municipale, Réseau Assistantes maternelles, Centre aéré / Centre de loisirs, Séjour Adosports
  • Salle des Fêtes, Salle de spectacle 400 places

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 3 913 habitants[Note 4], en augmentation de 15,73 % par rapport à 2015 (Bouches-du-Rhône : +2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
690593572578629550581644712
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
7037027717007696887488541 205
1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 -
1 7552 2702 4882 7052 7363 0743 5033 913-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La Destrousse relève de l'Académie d'Aix-Marseille.

La commune gère une école élémentaire de 9 classes pour 252 élèves, et une école maternelle de 5 sections pour 154 enfants[26]. Chaque classe bénéficie de la présence d'une ATSEM

Pour les études secondaires, les collèges Ubelka (Auriol) et Louis-Aragon (Roquevaire) sont à moins de 4 kilomètres de la Destrousse ; 4 autres collèges sont à moins de 10 kilomètres. 3 lycées publics à Aubagne et un à Gémenos, un lycée privé à Peynier, et une école internationale à Fuveau.

Des services gratuits de ramassage scolaire sont assurés par les Lignes de l'Agglo.

Vie associative[modifier | modifier le code]

27 associations sont recensées sur la commune, dont le Comité des fêtes, AIL, le Foyer rural, 2 clubs 3e-âge et 4 associations sportives[27].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Médiathèque , Fête du Village, Fête de la Moto, Salon de la Maquette,Carnaval, Vide greniers, Sardinade, cinéma en plein air,illuminations de Noël

  • Festicanailles, festivités annuelles, fin juin.

Jumelage[modifier | modifier le code]

La Destroussea entame une procedure de jumelage avec la ville roumaine de Horezu, célèbre pour son monastère classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pauline Éléonore Michel, dite Pauline Chevalier de Grandpré, femme de lettres, repose au cimetière de la Destrousse. Elle est l'autrice notamment de Les Légendes de Notre-Dame de Paris (Tolra éditeur, Paris, 1893).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de La Destrousse

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

De gueules à trois tours d'or maçonnées de sable.

Économie[modifier | modifier le code]

164 commerce et entreprises ont leur siège dans la commune, dont 2 entreprises de BTP, une de transport, 2 d'informatique[28].

Plusieurs centres commerciaux sont installés au nord de la commune, près de l'échangeur de l'autoroute (Intermarché, Weldom,Casino,Netto Picard, McDonald's,cave coopérative et nombreux commerces en centre villageois ..). Une Clinique de Soins de suite et de rééducation, centre médicaux, centre radiologie, centre analyses médicales, pharmacie,

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Monuments et lieux touristiques[modifier | modifier le code]

L’église primitive Saint-Pierre-ès-Liens, dont on trouve trace au XIVe siècle, a été agrandie en 1834, puis reconstruite sous la direction de M. Paul Aubin et sur l’initiative de M. Itasse, recteur, qui avait recueilli de nombreuses souscriptions. Elle a été bénie le . Restauration complète de l’Église de 2016 à 2017.

On y retrouve un tableau de très grand format (2,84 m de haut sur 4,64 m), classé au titre des monuments historiques[29], datant du XVIIIe siècle et censé représenter la réception au ciel d'un saint évêque par saint Pierre. Il a longtemps été attribué à tort à François Marot, élève de Charles de la Fosse.

La restauration du tableau par le Centre Interdisciplinaire de Conservation et Restauration du Patrimoine (CICRP), de 2010 à 2012, a permis à l’Institut national d'histoire de l'art et à son Répertoire des tableaux italiens dans les collections publiques françaises (XIIIe – XIXe siècles) (RETIF) d'attribuer l’œuvre à Giovan Battista Rossi (it)(it) (1730-1782), et la situer dans les années 1760. Elle devait représenter « saint Pierre accueillant au Paradis saint Aspreno(it), premier évêque de Naples, en présence de sainte Claire, sainte Candide, saint Augustin et d’autres saints »[29],[30]. Un Chemin de croix datant du début du XIXè restauré par les Ateliers Sud de Frédéric Boeuf Le Chateau Le Brion (ne se visitant pas)

Panorama[modifier | modifier le code]

La fabrique d’indiennes a disparu, ainsi que la verrerie qui l’avait remplacée ; elle se situait en lieu et place de l’autoroute au niveau de l’agglomération (ce qui est de nos jours la ZAC de la Verrerie). Depuis l’église, on peut voir également les bâtiments de l’ancienne tuilerie (non visitable). Les hauteurs de la Carreirade de Pierresca offrent un panorama sur le massif de Bassan, le pic de Bertagne et une partie du massif de la Sainte-Baume à l’est, le Garlaban au sud-ouest, le massif de la Sainte-Victoire au nord, le Pounchon de La Creïde.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le Val'Tram de Valdonne reliera Aubagne à La Bouilladisse en 2024 », sur Made in Marseille, (consulté le ).
  2. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Unité urbaine 2020 de Marseille-Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
  6. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « La Destrousse_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Station Météo-France « La Destrousse_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  17. « Commune de la Destrousse », dans le Dictionnaire des villes, villages & hameaux du département des Bouches-du-Rhône, par Alfred Saurel, tome 2, Marseille ; chez Marius Olive, 1778, p. 391
  18. Paul Masson, Les Bouches-du-Rhône : Encyclopédie départementale, vol. 15, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, 1937, p. 127
  19. Lou Pitchot tresor de X. de Fourvières, éd. Marcel Petit, Raphèle-lès-Arles, 1944, p.259. Ne pas confondre avec destrùssi, destructeur.
  20. « La Destrousse », sur web.archive.org, (version du sur Internet Archive)
  21. Informations du site de la mairie.
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Données de la commune pour l'année scolaire 2018-2019
  27. Site officiel de la commune
  28. Site de la commune
  29. a et b Notice no PM13000493, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  30. le tableau de Saint-Pierre-es-Liens sur le site de la commune de la Destrousse.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]