Université Sorbonne-Nouvelle

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Université Sorbonne-Nouvelle
Entrée d'un des bâtiments de l'université au 5 rue de l'École-de-Médecine.
Histoire
Fondation
: fondation du collège de Sorbonne
: dissolution de l'université de Paris
: création de la Sorbonne Nouvelle
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateur
Raymond Las Vergnas, dernier doyen de la faculté des lettres et sciences humaines de l'ancienne université de Paris
Président
Daniel Mouchard (d)[2]
Directeur
Toni Legouda (d), directeur général des services[3]
Devise
Université des cultures
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
17 350[4]
Effectif
622 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Enseignants
583 (448 titulaires & 135 non titulaires)[5]
Budget
90 millions d'euros (2016)[1]
Localisation
Pays
Localisation
8 avenue de Saint-Mandé, 75012 Paris
Ville
Carte
Chapelle de la Sorbonne.
Bâtiment de la Sorbonne depuis la rue Saint-Jacques.

L'université Sorbonne-Nouvelle (USN), aussi appelée Sorbonne-Paris-III, ou parfois plus communément Paris 3, est une université française située à Paris. Fondée en 1971, elle fait partie des treize nouvelles universités qui ont remplacé la nouvelle université de Paris, dissoute après les événements de mai 1968, elle-même héritière de l'ancienne université de Paris fondée au XIIe siècle. Le siège de l'université de la Sorbonne Nouvelle est situé à la Sorbonne, bâtiment historique qu'elle partage avec deux autres universités (Panthéon-Sorbonne et Sorbonne-Université).

L'université dispense principalement des enseignements en lettres, sciences du langage, langues, arts du spectacle, communication et études européennes (pluridisciplinaire histoire, économie, droit et science politique). Classée dans le top 50 des meilleures universités de langues au monde dans le très réputé classement QS World University Rankings en 2021, elle fait aussi partie selon celui-ci des meilleures universités du pays dans de nombreux domaines[6].

Origines de l'université[modifier | modifier le code]

En mai 1968 à Paris éclatèrent des révoltes étudiantes ; en effet, l'université de Paris était devenue depuis 1945 très difficile à gérer par le nombre de ses professeurs et de ses étudiants, qui se retrouvaient à l'étroit dans des locaux inadaptés. À la suite des émeutes, la législation nouvelle - loi du 12 novembre 1968, remplacée par la loi du 26 janvier 1984 - permit de créer dès le 31 décembre 1969 treize universités au sein de l'ancienne université de Paris[7].

Par conséquent, l'université de la Sorbonne-Nouvelle est créée, issue de l'ancienne faculté des lettres de l'université de Paris[8], au [9].

Le décret du 21 mars 1970 officialise la création de treize projets d’universités parisiennes qui en fixe la dénomination ainsi que les UER affectées à chacune[10].

En 2010, les universités Sorbonne-Nouvelle, Paris-Descartes et Paris-Diderot se regroupent au sein de l'université Sorbonne-Paris-Cité[11]. Elles décident en 2017 du principe d’une fusion prévue pour le [12]. Ce projet de la présidence de Paris-III est fortement contesté par des étudiants et des personnels de l'université, qui ont manifesté à travers plusieurs consultations leur rejet massif de cette perspective[13]. La fusion qui a eu lieu en 2020 n'a pas concerné Sorbonne Nouvelle[14].

Campus historique Censier[modifier | modifier le code]

Soixante ans durant, la faculté des Lettres de Paris puis l’université Sorbonne-Nouvelle regroupèrent l’essentiel de leurs étudiants dans le centre Censier.

L’explosion de la demande de formation supérieure a conduit l’État à travers plusieurs plans (dès le deuxième en 1953 avec une accélération au quatrième en 1961) à définir une politique de construction de nouveaux campus[15]. Souvent éloignés des centres urbains voire créés dans des villes non-universitaires, trois de ces nouveaux centres furent pourtant érigés dans le cœur même de Paris : le droit près du Luxembourg (future université Paris-II-Panthéon-Assas), les sciences en bord de Seine sur le site de la Halle aux vins (futures universités Pierre-et-Marie-Curie et Paris-Diderot, connues également sous le nom de campus Jussieu) et enfin les Lettres sur le site de l’ancienne Halle aux cuirs, qui deviendra le Campus Censier[16].

Le Centre universitaire Censier, berceau historique de la faculté de lettres puis de l'université Sorbonne-Nouvelle de 1964 à 2022 (arch. J. Carlu).

Le site historique de la Halle aux cuirs était un vestige des activités de mégisserie et de tannage installées au bord de la Bièvre dans le quadrilatère des rues Censier, de Santeuil, de la Clef et du Fer à Moulin. La rivière désormais busée, les activités du cuir devenaient impropres aux nouvelles exigences centre-urbaines, et les inconvénients (l’incendie de 1906[17], les odeurs[18],[19]) ont facilité la mutation du site pour accueillir une extension de la Faculté des Lettres sur 25 000 m2 pour 12 000 étudiants (elle en comptera jusque 18 500). Livrés en plusieurs tranches en 1964, sous la direction de l’architecte Jacques Carlu[20], les bâtiments du campus Censier ont été, à l’instar de nombreux autres nouveaux sites universitaires, construits rapidement (y compris un défaut de Permis de construire initial pour Censier) et sur la base de procédés préfabriqués en usine afin d’alléger et d’accélérer le chantier en milieu urbain dense.

Comme bien d’autres constructions de l’après-guerre, Censier pâtit de défauts de conception et particulièrement de l’usage de l’amiante dans les matériaux (près de 7 km de flocage sur les 700 tonnes de poutres. Si des travaux d’encapsulage au plâtre ont été engagés dès 1979, toute la structure n’a pas été traitée, des gaines techniques dont deux ascenseurs restant dangereuses d’accès[21], et l’ensemble des infrastructures devenant impossible à tout nouvel aménagement requérant des perçages des zones contaminées. Bien que plus tardivement que sa voisine Jussieu qui fit l’objet de 1995 à 2016 d’un ambitieux plan de désamiantage[22], le Centre universitaire Censier fit l’objet d’une décision de déménagement de l’université Sorbonne-Nouvelle vers le nouveau site Picpus, près de la place de la Nation, pour y engager des travaux d’assainissement puis un projet de reprise par d’autres universités parisiennes souhaitant renforcer leur patrimoine au cœur de Paris[23]. Durant cette période de travaux, le site de Censier continue d'accueillir des activités dans le cadre d’un projet d’occupations temporaires (cours de droit de l'université Paris Panthéon Sorbonne et mise en place du Tiers-lieu Césure au second semestre 2022 regroupant plus de 150 structures autour de Plateau Urbain[24]).

Tourné vers l’enseignement des arts et des lettres et au cœur du quartier Latin, le campus Censier a toujours été un foyer vif d’activités et de revendications étudiantes, depuis son occupation deux jours durant les 11 et 12 mai 1968[25] jusque dans ses dernières semaines d’accueil de l’université Paris III où, après des manifestations, le site ne fut plus rouvert jusque la fin des tout derniers cours de Sorbonne Nouvelle prévus à Censier le 25 avril 2022[26].

Composantes[modifier | modifier le code]

Conformément au code de l'éducation qui fixe l’organisation légale des universités publiques en France, la Sorbonne Nouvelle se découpe en plusieurs composantes. On trouve d’une part les unités de formation et de recherche (UFR), divisées en départements, et d’autre part les « instituts et écoles ». Ainsi, l’université est structurée de la manière suivante[27] :

  • UFR Arts & médias (AM)
    • Département : Cinéma et audio-visuel (CAV)
    • Département : Institut d'études théâtrales (IET)
    • Département : Institut de la communication et des médias (ICM)
    • Département : Médiation culturelle (MC)
    • Théâtrothèque Gaston-Baty, bibliothèque universitaire rattachée à cette UFR
  • UFR Langues, littératures, cultures et sociétés étrangères (LLCSE)
    • Département : Études arabes, hébraïques, indiennes et iraniennes (EAHII)
    • Département : Études germaniques (EG)
    • Département : Études ibériques et latino-américaines (EILA)
    • Département : Études italiennes et roumaines (EIR)
    • Département : Institut d'études européennes (IEE)
    • Département : Langues étrangères appliquées (LEA)
    • Département : Monde anglophone (MA)
  • UFR Littérature, linguistique, didactique (LLD)
  • Institut des hautes études de l'Amérique latine (IHEAL)
  • École supérieure des interprètes et des traducteurs (ESIT)

De 1971[28] à 1984[29], l'Institut national des langues et civilisations orientales était rattaché administrativement à l'université, tout en constituant un établissement public à caractère scientifique et culturel.

Campus[modifier | modifier le code]

L’université est implantée dans trois lieux différents, ses centres administratifs sont situés au cœur du Quartier latin de Paris. Les deux principaux sites sont ceux de la Sorbonne[30] (regroupant divers campus du quartier latin) et de Nation (rue de Picpus), qui a remplacé en 2022 l'ancien site Censier (rue Santeuil). L'Institut des hautes études de l'Amérique latine est quant à lui hébergé sur le campus interuniversitaire Condorcet à Aubervilliers (depuis 2019).

Campus Nation[modifier | modifier le code]

Pour remédier à cette dispersion, ainsi qu'à la dégradation du bâtiment de Censier, la construction d'un campus de 35 000 m2 a été achevée rue de Picpus; il a accueilli à l'automne 2022 l'ensemble des étudiants, à l'exception de ceux de l'IHEAL et de la maison de la Recherche, la présidence restant à la Sorbonne[31]. Le bâtiment principal du Campus Nation, signé Christian de Portzamparc, accueille à la rentrée 2022 jusqu'à 6 000 étudiants simultanément[32]. Les défauts de conception (dont la réduction du nombre de salles) comme les défauts dans les travaux mettent en difficulté la rentrée 2022 retardée de deux semaines, l'année 2022-2023 ne pouvant profiter également de certains équipements dont deux amphithéâtres[33].

Site Sorbonne[modifier | modifier le code]

Le site Sorbonne de l'université dans le quartier latin est composé du campus historique de la Sorbonne qui accueille certains cours et héberge le siège de l'Université Sorbonne Nouvelle ainsi que la Direction des Affaires Internationales (DAI) au 17 rue de la Sorbonne, de la boutique des Presses de la Sorbonne Nouvelle au 8 rue de la Sorbonne, de la Maison de la Recherche (école doctorale de l'université) au 4 rue des Irlandais, ainsi que des trois bibliothèques interuniversitaires Sainte-Barbe, Sainte-Geneviève, et BIS (bibliothèque de la Sorbonne).

Campus Condorcet[modifier | modifier le code]

Le Campus interuniversitaire Condorcet accueille depuis 2019 l'Institut des hautes études de l'Amérique latine (IHEAL), à l'étroit dans ses anciens locaux du 28 rue Saint-Guillaume.

Enseignement et recherche[modifier | modifier le code]

L'université emploie 710 enseignants-chercheurs, 900 chargés de cours et un personnel de 622 agents.

Elle propose 84 parcours de licence, 67 parcours de master, 13 diplômes d’université et 20 formations à distance.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La Sorbonne Nouvelle propose des formations pluridisciplinaires dans le domaine des sciences humaines et sociales: communication, langues, lettres, arts et sociétés contemporaines.

Les cours sont dispensés au sein de trois composantes d'enseignement : l'UFR consacrée aux arts et au cinéma, l'UFR consacrée à la littérature et à la linguistique et l'UFR consacrée aux langues étrangères.

S'y ajoutent l'Institut d'études européennes (IEE), l'Institut des hautes études de l'Amérique latine (IHEAL), l'École supérieure d'interprètes et de traducteurs (ESIT) et l'Institut de linguistique et phonétique générales et appliquées (ILPGA).

Recherche[modifier | modifier le code]

L'Université Sorbonne-Nouvelle développe une politique scientifique dans le domaine de la recherche par l'articulation des humanités et des sciences sociales: elle repose sur des pôles d'excellence que sont les langues, les lettres, les sciences du langage, les arts du spectacle et la communication, l'étude des civilisations contemporaines (études européennes, américaines et orientales). 40% des doctorants sont par ailleurs étrangers.

Les Écoles Doctorales (ED) et les Unités de Recherche (EA, UMR...)

  • Les activités de recherches sont confiées aux 5 écoles doctorales : Littérature française et comparée, Europe latine – Amérique latine, Arts et médias avec l'ENS, Sciences du langage, Mondes anglophones, germanophones, indiens, iraniens et études européennes, qui regroupent 30 unités de recherche.
  • Les écoles doctorales et les unités de recherche occupent les locaux de la Maison de la Recherche, située rue des Irlandais dans le 5e arrondissement de Paris.
    Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne, accessible aux étudiants à partir de la 3e année de licence.
Grand amphithéâtre de la Sorbonne.

Classements[modifier | modifier le code]

QS World University Rankings[modifier | modifier le code]

En 2020, le QS World University Rankings, classement mondial des universités parmi les 3 plus réputés, classait ainsi l'université dans les domaines suivants[34] :

  • langues vivantes : 32e (1re en France)
  • arts : 71e (3e en France)
  • humanités : 71e (3e en France)
  • lettres : 51e-100e (2e en France)
  • communication et médias : 101e-150e (1re en France)
  • sociologie : 151e-200e (5e en France)
  • histoire : 151e-200e (5e en France)

Ce classement comprend universités et écoles et établissements publics et privés indifféremment.

Autres classements[modifier | modifier le code]

Le Parisien déclare que l'université Sorbonne Nouvelle est, en 2021, la 1re université parisienne en termes de taux de réussite en licence[35].

Le CWUR Center for World University Rankings la classe en 2020 30e institution académique française,universités et écoles confondues[36], le pays en comptant plus de 3500.

Selon UniversityGuru, qui compare les résultats obtenus dans tous les classements d'universités, Sorbonne Nouvelle est la 17e institution académique parisienne[36].

Vie étudiante[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Évolution démographique de la population universitaire

2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
17 675[37]17 282[38]18 006[39]18 634[40]18 323[41]17 347[42]16 419[43]16 463[44]
2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015
16 370[45]16 973[46]17 536[47]17 836[48]17 91917 85918 98118 500

Personnalités liées à l'université[modifier | modifier le code]

Présidents[modifier | modifier le code]

Enseignants[modifier | modifier le code]

Étudiants[modifier | modifier le code]


Dans la fiction[modifier | modifier le code]

  • Le narrateur du roman Soumission de Michel Houellebecq (dont l'action se déroule en partie à la Sorbonne Nouvelle).
  • La bande dessinée Carnets de thèse de Tiphaine Rivière parue au Seuil en 2015 raconte la vie d'une doctorante de la Sorbonne Nouvelle.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. [1]
  2. a et b Paris-III : Daniel Mouchard est élu président de l'université, AEF, Dépêche n°691158 du
  3. Nomination : Directeur général des services de l'université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, Bulletin officiel no 38 du , Arrêté du , NOR : ESRD2325464A
  4. a et b « L'Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3 », sur www.univ-paris3.fr (consulté le )
  5. Répartition par établissement, académie et fonction des personnels enseignants non permanents ou titulaires de l'enseignement supérieur, hors enseignants des disciplines hospitalo-universitaires, en 2009-2010 p.15, effectif équivalent temps plein
  6. (en) « Université Sorbonne Nouvelle Paris 3 », sur Top Universities (consulté le )
  7. « Sorbonne au XXe siècle - De l’ancienne Université de Paris aux 13 universités parisiennes », sur Chancellerie des Universités de Paris (consulté le )
  8. « Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3 - La Sorbonne Nouvelle », sur univ-paris3.fr (consulté le ).
  9. « Décret no 70-1174 du 17 décembre 1970 portant érection en établissements publics à caractères scientifique et culturel d’universités et centres universitaires »
  10. « Décret no 70-246 du 21 mars 1970 relatif à la mise en place des universités » publié au JORF du 22 mars 1970 (modifié ultérieurement) :
    Art. 6. — L’université de Paris-III est composée des unités d’enseignement et de recherche et des départements d’enseignement suivants :
    a) UER incluses en totalité :
    • UER n° 26.— Études théâtrales.
    • UER n° 31.— Littérature générale et comparée.
    • UER n° 34.— Langue, littératures et civilisations des pays anglophones.
    • UER n° 42. — Langues et civilisations de l’Asie du Sud et de l’Extrême-Orient.
    • UER n° 103. — Institut d’allemand.
    • UER n° 108. — Phonation et langage.
    • UER n° 113.— Langues et civilisations de l’Amérique latine.
    • UER n° 116.— Institut des professeurs de français à l’étranger (IPFE).
    • UER n° 117.— Langues et civilisations de l’Orient et de l’Afrique du Nord.
    • UER n° 91. — École supérieure d'interprètes et de traducteurs (ESIT).
    b) UER incluses en partie:
    • UER n° 29. — Littérature et langue françaises.
    • UER n° 39. — Italien et roumain.
    • UER n° 40. — Études ibériques.
    c) Créations :
    • Département de sciences juridiques, économiques et politiques.
    • Département de techniques d’expression et de communication.
    • Département d’études cinématographiques.
  11. Décret no 2010-143 du 10 février 2010 portant création de l'Etablissement public de coopération scientifique « Sorbonne Paris Cité » et décret no 2014-1680 du 30 décembre 2014 portant approbation des statuts de la communauté d'universités et établissements « Université Sorbonne Paris Cité »
  12. Camille Stromboni, « Le projet de fusion de trois universités parisiennes est lancé », Le Monde,‎
  13. Camille Stromboni, « Tension autour de la fusion de trois universités parisiennes », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
  14. « L’université de Paris 3 échappe à la fusion : une victoire pour les personnels et étudiant.e.s », sur www.ferc-cgt.org (consulté le )
  15. Serge Vassal, « Les nouveaux ensembles universitaires français. Elements de géographie urbaine », Annales de Géographie, t. 78, n°426,‎ , p. 134 (lire en ligne)
  16. Serge Vassal, « Les nouveaux ensembles universitaires français. Elements de géographie urbaine », Annales de Géographie, t. 78, n°426,‎ , p. 135-138 (lire en ligne)
  17. « L'incendie de la Halle aux cuirs en 1906 », (consulté le )
  18. Jacques Audiberti, Paris fût - Ecrits sur Paris 1937-1953, Claire Paulhan, , p. 135-136
  19. Patrick Modiano, L'herbe des nuits, Paris, Gallimard,
  20. Mathilde Dion, « Jacques Carlu 1890-1976, Notices biographiques », Institut Français d'Architecture, Archiwebture,‎ (lire en ligne [PDF])
  21. « Amiante : après des années de polémique, quel avenir pour le site Censier de la Sorbonne à Paris »
  22. « Le désamiantage du campus de Jussieu »
  23. Ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche, « Le site de Censier conservera sa vocation universitaire à l'issue du déménagement de l'Université Sorbonne Nouvelle »
  24. « Plateau urbain lance un appel à projet pour l’occupation de l’ancienne faculté de Censier-Paris III »
  25. Edgar Morin, « La commune étudiante. Les origines. », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  26. « Mobilisation des étudiants à Paris : la Sorbonne et Sciences Po sous pression »
  27. « Les composantes d'enseignement », sur www.univ-paris3.fr (consulté le )
  28. Décret no 71-98 du relatif à l'institut national des langues et civilisations orientales.
  29. Décrets no 84-723 du et n° 85-80 du fixant la classification d’établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel.
  30. « Accès à l'université », sur univ-paris3.fr (consulté le )
  31. « Un nouveau campus de 35 000 m2 va être construit en plein Paris », sur www.lemonde.fr (consulté le )
  32. « Page consacrée au projet » sur le site de l'université, renvoyant notamment à différents articles de presse de février 2016. Consulté le 22 avril 2019.
  33. « A Sorbonne-Nouvelle, la rentrée maudite : reprise décalée, locaux trop petits, campus pas fini… », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le )
  34. (en) « Université Sorbonne Nouvelle Paris 3 », sur Top Universities (consulté le )
  35. « Classement des Universités : le palmarès selon le taux de réussite en licence », sur Le Parisien Etudiant (consulté le )
  36. a et b Course Guru S.L.U, « Tout 40 Universités en Paris | Classements et avis 2021 », sur LanguageCourse.Net (consulté le )
  37. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  38. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  39. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  40. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  41. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  42. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  43. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  44. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  45. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  46. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
  47. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
  48. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
  49. Magazine EuroCanada.info, « Biographie des membres du comité aviseur », sur http://www.eurocanada.info (consulté le )
  50. « Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3 - Gouvernance », sur univ-paris3.fr (consulté le ).
  51. (en)Toshiyuki Horie, Agency for Cultural Affairs, consulté sur www.jlpp.go.jp le 29 aout 2012

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]