Limay

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Limay
Limay
L'église Saint-Aubin.
Blason de Limay
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Éric Roulot (PCF)
2014-2020
Code postal 78520
Code commune 78335
Démographie
Gentilé Limayens
Population
municipale
17 626 hab. (2021 en augmentation de 7,76 % par rapport à 2015)
Densité 1 535 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 39″ nord, 1° 44′ 12″ est
Altitude 28 m
Min. 17 m
Max. 137 m
Superficie 11,48 km2
Élections
Départementales Limay
(bureau centralisateur)
Localisation
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Limay
Liens
Site web ville-limay.fr

Limay est une commune des Yvelines et de la région Île-de-France. C'est une petite ville industrielle, situé en bord de Seine, au sud du Vexin français, face à Mantes-la-Jolie à 53 km à l'ouest de Paris. La commune, qui dispose de 300 hectares classés en espaces naturels sensibles, est devenue depuis le « ville-porte » du parc naturel régional du Vexin français.

Elle participe au Concours des villes et villages fleuris et possède trois fleurs depuis 2007[1].

Ses habitants sont appelés les Limayens.

Géographie

Localisation de Limay dans les Yvelines.

Situation

Limay est une commune riveraine de la Seine, située sur la rive droite du fleuve, dans le nord du département des Yvelines, à 1,5 km environ au nord de Mantes-la-Jolie, sous-préfecture, et à 43 km environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.

Elle est limitrophe de Guitrancourt au nord-est, de Porcheville à l'est, de Guerville et Mantes-la-Ville au sud, de Mantes-la-Jolie au sud-ouest (ces trois dernières communes se trouvant sur la rive gauche du fleuve), de Follainville-Dennemont à l'ouest et de Fontenay-Saint-Père au nord.

Le territoire communal englobe en grande partie une île de la Seine, l'île de Limay, la partie appartenant à Mantes-la-Jolie étant appelée île aux Dames.

Hydrographie

La source Saint-Sauveur où allaient boire de l'eau les femmes mariées désirant une grossesse[2].

Relief et géologie

Le territoire communal forme un vaste amphithéâtre tourné vers la Seine au sud, et adossé au plateau de Vexin français. Il s'étage en trois niveaux, du nord au sud, un plateau en pente douce entre 130 et 115 mètres d'altitude, une partie de transition à la pente plus accentuée et la basse plaine alluviale entre 20 et 30 mètres d'altitude.

Climat

Le climat à Limay est un climat tempéré de type océanique dégradé caractéristique de celui de l'Île-de-France. Les températures moyennes s'échelonnent entre 2 et 5 °C en hiver (janvier) et 14 et 25 °C en été (juillet)[3]. La pluviométrie moyenne, relativement basse, s'établit à environ 600 mm par an. Les mois les plus pluvieux vont d'octobre à janvier.


Utilisation du territoire

Type d'occupation[Quand ?][réf. nécessaire] % Hectares
Espace urbain construit 33 % 383,06
Espace urbain non construit 17 % 199,18
Espace rural 49 % 565,46

Le territoire de la commune est fortement urbanisé (33 %), avec plus de cent hectares de zones d'activités économiques[4], cependant près de la moitié du territoire (plus de 500 hectares) reste rural.

L'espace habité se compose d'un noyau ancien entre l'église et la Seine et des extensions concentriques comprenant des lotissements de maisons individuelles mais également beaucoup d'immeubles collectifs. L'urbanisation récente atteint désormais le plateau (plaine des Bouleaux) le long de la RD 983.

L'espace rural occupe surtout la partie nord et nord-ouest de la commune et se compose de terrains cultivés (grande culture céréalière) et une forte proportions de zones boisées, notamment la forêt de Saint-Sauveur. 300 hectares ont été classés par la commune comme espace naturel sensible.

Voies de communication et transports

Les communications routières sont assurées par plusieurs axes :

  • dans les sens nord-sud, la route départementale D 983 (ancienne route nationale 183) traverse le centre-ville pour rejoindre Mantes-la-Jolie. Cette route qui assure un important trafic de transit dans l'ouest des Yvelines vers le sud et vers Magny-en-Vexin plus au nord a été déviée dans les années 1990 par une rocade contournant la ville par l'est.
  • dans le sens est-ouest, l'axe principal est constitué par la route départementale D 190 qui relie Limay à Poissy en suivant la rive droite de la Seine, doublé plus au sud et plus près de la Seine par la route départementale D 146 qui assure notamment la desserte des zones industrielles et du port fluvial situés dans l'est de la commune.

Deux ponts routiers franchissent la Seine, le pont de Mantes, très ancien lieu de passage, reconstruit en 1951, et le viaduc plus récent (1993) de la rocade Est, à 2 voies. Ce dernier permet de rejoindre l'autoroute A13 à l'échangeur de Mantes-la-Ville (Mantes-Est).

La gare.

Sur le plan ferroviaire, la commune est traversée par la ligne Paris-Saint-Lazare à Mantes-la-Jolie par Conflans-Sainte-Honorine qui franchit la Seine par le pont ferroviaire de Limay, viaduc à arches de ciment s'appuyant sur l'île de Limay. Un embranchement particulier s'en détache pour assurer la desserte du port fluvial de Limay. La gare de Limay est située dans le sud de la ville et est desservie par les trains de banlieue du Transilien.

Limay dispose également d'un port fluvial situé dans la pointe sud du territoire communal et constitué d'une darse de huit hectares creusée perpendiculairement au fleuve. Ce port est géré par l'établissement public du Port autonome de Paris.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Limetium au VIIe siècle[5], Limaium en 1249[6].

Limay, toponyme pourrait avoir rapport avec des limites (la Seine servant de frontière)[7],[5], plus probablement des mots gaulois limo (orme) et ialo (clairière).

Mais l'explication de l'origine du mot « Limay » de Toussaint-Duplessis semble avoir été adoptée par la plupart des historiens locaux ; le nom de « Limay » paraît être abrégé de celui de Limais ou plutôt Li Mais, qui veut dire la maison, la demeure, l'habitation, en latin Mansio[8].

Histoire

Le site de Limay était déjà habité à l'époque préhistorique. De nombreux restes archéologiques tels que pierres polies et taillées, pointes de flèches, haches, ont été trouvés dans le territoire communal, notamment à l'occasion de l'exploitation de sablières et ballastières dans les alluvions quaternaires.

Avant la conquête romaine, le territoire était occupé par le peuple celte des Véliocasses, rattachée à la Gaule belgique.

En 1376, Charles V fonde à Limay un monastère de Célestins, situé au milieu des rochers et des carrières de Saint-Aubin et le dédie à la Sainte-Trinité. Le monastère fut démoli à la Révolution[9].

En 1614, Marie de Médicis fait débuter la construction du couvent des Capucins, situé hors du bourg. Les pierres de la citadelle de Mantes servent à sa construction. Le couvent est désormais une vieille bâtisse[9].

Politique et administration

La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux

Antérieurement à la loi du [10], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines après un transfert administratif effectif au . Elle est rattachée à son arrondissement de Mantes-la-Jolie. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitième circonscription des Yvelines.

La commune était depuis 1801 le chef-lieu du canton de Limay. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le canton, dont Limay est désormais le bureau centralisateur, a été modifié.

Intercommunalité

La commune était le siège de la communauté de communes des Coteaux du Vexin créée en 2013 et qui regroupait deux autres communes.

Cette intercommunalité a fusionné avec d'autres pour former, le la Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPS&O), dont la commune est désormais membre.

Limay fait partie de l'opération d'intérêt national Seine-Aval créée en 2008.

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs[11]
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 Blaise Jouaneton   Élu par le Comité de libération
1945 1959 André Lecoq Rad  
1959 1959 Jean Guilleminot DVG Chirurgien
1959 1964 Robert Guichard SE  
1964 1970 Édouard Fosse SE Directeur d'école
1970 mars 1977 Jean-François Mouret[Note 1] SE Géomètre-expert
mars 1977 juin 1995 Maurice Quettier[12],[13] PCF Instituteur
Député des Yvelines (7e circ.) (1967 → 1968)
Conseiller général de Limay (1964 → 1979)
juin 1995 avril 2010[14] Jacques Saint-Amaux PCF Conseiller général de Limay (2002 → 2015[15])
Démissionnaire
avril 2010[16],[17] En cours
(au 3 janvier 2017)
Éric Roulot PCF Vice-président de la CU GPS&O (2016 → )
Réélu pour le mandat 2014-2020

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[18],[Note 2].

En 2021, la commune comptait 17 626 habitants[Note 3], en augmentation de 7,76 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3941 5891 3571 4091 2961 3331 3981 3581 362
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3451 3051 3041 3731 3731 3601 5001 5091 597
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6611 6271 7312 0482 2802 6872 9483 1903 617
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5 0826 6159 02410 12912 66015 70915 77916 30416 567
2021 - - - - - - - -
17 626--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges en 2007

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (13,3 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,1 % contre 48,4 % au niveau national et 48,8 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 50,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 23,2 %, 15 à 29 ans = 24,2 %, 30 à 44 ans = 20,5 %, 45 à 59 ans = 18,8 %, plus de 60 ans = 13,2 %) ;
  • 49,9 % de femmes (0 à 14 ans = 21,8 %, 15 à 29 ans = 24,9 %, 30 à 44 ans = 21 %, 45 à 59 ans = 19,1 %, plus de 60 ans = 13,2 %).
Pyramide des âges à Limay en 2007 en pourcentage[21]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90  ans ou +
0,3 
3,3 
75 à 89 ans
4,9 
9,7 
60 à 74 ans
8,0 
18,8 
45 à 59 ans
19,1 
20,5 
30 à 44 ans
21,0 
24,2 
15 à 29 ans
24,9 
23,2 
0 à 14 ans
21,8 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2007 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90  ans ou +
0,9 
4,3 
75 à 89 ans
6,6 
11,2 
60 à 74 ans
11,6 
20,3 
45 à 59 ans
20,7 
22,1 
30 à 44 ans
21,5 
19,9 
15 à 29 ans
18,9 
21,9 
0 à 14 ans
19,8 

Économie

Le trafic des conteneurs a véritablement commencé le . Du au , 844 conteneurs, équivalent vingt pieds (EVP) ont transité sur le quai de Limay Terminal[réf. nécessaire].
De à , ce sont 3573 EVP qui ont été transportés via la voie fluviale. Les destinations sont principalement Le Havre et Nogent-sur-Seine. Les types de fret, des produits et matériaux destinés l’équipement de la maison, des céréales, des produits destinés à la grande distribution, des pièces automobiles, des ferrailles, etc.
Grâce à mode de transport - fluvio-maritime - moins consommateur d'énergie et plus respectueux de l'environnement, ce sont donc 4417 conteneurs qui ont transité[Quand ?] sur le port de Limay depuis l'ouverture du terminal, ce qui représente 4417 camions en moins sur nos routes[réf. nécessaire].
  • Zone industrielle, dont une usine de traitement de déchets dangereux.

Revenus de la population et fiscalité

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 30 725 [23].

Environnement

Un taux de plomb anormal a été relevé par Atmo dans l'air après l'incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, qui pourrait êtreliéu au passage du panache de pollution induit par l'incendie de la toiture et de la flèche recouvertes de plomb[24]. Selon Atmo, 0,108 µg/m3 est un taux « très atypique pour ce site (...) Le site de Limay, situé à environ 40 km de Paris, était bien sous le vent de l'Île de la Cité pendant l'incendie. Sans pouvoir le certifier, il est néanmoins vraisemblable que ces concentrations en plomb soient directement liées à ce sinistre", peut-on lire dans l'un des communiqués de l'agence en date du 11 juin 2019. "Ces éléments tendent à indiquer qu'il y aurait un impact de l'incendie dans la zone de retombée du panache suite à l'incendie de Notre-Dame, et que cette zone serait relativement éloignée de Paris ».

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Vieux pont de Limay.

Limay compte trois monuments historiques sur son territoire.

  • Église Saint-Aubin, rue de l'Église / place de la République (classée monument historique par arrêté du [25]) : Elle remonte, dans ses parties les plus anciennes, aux années 1140. Ce sont la base du clocher et l'ancien chœur de style roman tardif, qui faisaient suite à une nef unique de la même époque démolie vers la fin du XVIIe siècle. Le reste de l'église actuelle fut édifié à partir de 1230 environ au nord de l'église romane, dans le style gothique. Il s'agit d'un chœur-halle carré, au chevet plat, et d'une double nef, le tout voûté d'ogives et à un seul niveau d'élévation. Les deux premières travées de la double nef furent reconstruites après la guerre de Cent Ans, y compris le portail, dans le style flamboyant. La flèche en pierre du clocher datait de la même époque que le chœur gothique, mais a été entièrement rebâtie au début du XXe siècle.
L'église est surtout remarquable pour son plan à double vaisseau, ses deux voûtes d'ogives antérieures au milieu du XIIe siècle et son clocher, et abrite un mobilier intéressant et varié[26].
  • Vieux pont de Limay, sur la Seine (classé par arrêté du , avec les restes de ses anciennes portes et la maison du passeur) : C'est un ancien pont des Xe et XIIe siècles[27], reconstruit par Sully en 1613, dont il ne reste que quelques arches côté Limay à la suite de nombreuses vicissitudes, dont les dernières furent la destruction de deux arches en 1940. Ce pont figure dans plusieurs tableaux du peintre Jean-Baptiste Camille Corot.
  • Château des Célestins, avec les restes de l'ancien couvent, et son parc[28].
Les façades et toitures du bâtiment principal et de l'aile en retour et les trois pièces décorées du rez-de-chaussée de style Empire sont inscrites aux monuments historiques par arrêté du [29]

Patrimoine naturel

  • Site géologique de Limay : il s'agit d'une ancienne carrière du groupe Lafarge classé « réserve naturelle régionale » (RNR) par le conseil régional d'Île-de-France en 2009. Cet espace protégé de 69 hectares, acquis par la ville en 2008, est pourvu d'une grande richesse géologique (avec des formations sédimentaires du Crétacé, du Sparnacien et du Lutétien moyen), faunistique et floristique[30].

Personnalités liées à la commune

  • Gaston Laurent-Atthalin (1848-1912), magistrat français, mort dans sa propriété des Moussets, à Limay.
  • Ernest Chausson : compositeur (né à Paris en 1855, mort à Limay (accident de bicyclette) le ).
  • Derka : présentateur, rappeur, né en 1982, a passé son enfance à Limay.

Limay dans les arts

Cinéma

Parmi les films tournés à Limay, on peut citer[31]

Peinture
  • Frank-Will (1900-1950) a peint un grand tableau Limay, aujourd'hui propriété de la commune[32].

Héraldique

Armes de Limay

Les armes de Limay se blasonnent ainsi :
d'azur au pont de trois arches d'argent maçonné de sable posées sur une onde de sinople mouvant de la pointe, surmonté en chef de trois fleurs de lys d'or posées 2-1.

Ce blason adopté par la municipalité en 1967 est dû à l'héraldiste Robert Louis[33]. Le pont à trois arches évoque le vieux pont de Limay et le chef à trois fleurs de lys le rattachement de la ville au Vexin français.

Il a remplacé un premier blason instauré en 1945 par la commission d'héraldique de Seine-et-Oise qui se blasonnait ainsi :
de gueules au chef d'azur à la croix pattée et haussée d'argent mouvant de la pointe et brochant sur la partition, à la lettre S du même enlaçant le montant de la croix, accostée en chef de deux fleurs de lys et flanqué en pointe de deux rencontre de loup, le tout d'or[34].

Voir aussi

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Bibliographie

  • Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, préface de Paul-Louis Tenaillon, président du conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), page 28.
  • Lucien Bresson, Mantes-la-Jolie - Limay, Ausonius, CNRS Éditions, coll. « Atlas historique des villes de France », (ISBN 978-2-271-05734-1).
  • Maurice Quettier, Limay, les racines du futur. La belle histoire du renouveau municipal, Éditions sociales, 1999 (ISBN 2-911833-14-7)
  • Georges Mercier, Limay et son canton, Éditions Alan Sutton, mémoire en images, 1996 (ISBN 2-84253-009-8)
  • Édouard Fosse, Limay en cartes postales anciennes, Zaltbonnel, Bibliothèque européenne, , 80 p..
  • Édouard Fosse (ancien maire de Limay) (préf. Rodolphe Walter), Histoire de Limay des origines à nos jours, Lachaud, (réimpr. 1996), 351 p..
  • Michel Bourlier, Christophe Eberhardt, Limay et ses habitants. De l'origine jusqu'à la fin du XIXe siècle, GREM, 2012

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Une avenue de la commune honore la mémoire de J.-F. Mouret : « Sept nouvelles rues », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Fiche sur le site des Villes et villages fleuris
  2. Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles, librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), p. 28.
  3. Climat des Yvelines sur le site de Météo-France
  4. Mode d'occupation du sol en 1999, Iaurif
  5. a et b Actes du colloque "Frontières en Gaule." - 1981 - Page 101.
  6. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  7. Pierre Bauduin - La première Normandie (Xe – XIe siècle) : sur les frontières de la Haute Normandie : identité et construction d'une principauté, Pôle universitaire normand, 2004, page 50.
  8. Explication de l'origine du mot « Limay » de Toussaint-Duplessis.
  9. a et b « Découvrir Limay », sur ville-limay.fr
  10. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  11. Édouard Fosse, op. cit., p. 256.
  12. Jacques Girault, « Maurice Quettier, pour mémoire », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « Limay : l’ancien maire donne son nom à l’école », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire de 1977 à 1995, Maurice Quettier est considéré comme le bâtisseur de l’une des deux dernières villes communiste des Yvelines. On lui doit notamment la rocade et le port de Limay. Cet ancien instituteur est décédé le 30 décembre 2015 à 87 ans ».
  14. « Le maire, Jacques Saint-Amaux, va prendre sa retraite : Jacques Saint-Amaux a annoncé qu'il quitterait son fauteuil au cours du premier semestre 2010 au profit d'Eric Roulot », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne) « L'un des trois maires communistes du département tire sa révérence. Mercredi soir, au cours de la cérémonie des vœux de Limay, Jacques Saint-Amaux a annoncé qu'il quitterait son fauteuil de maire avant l'été. « Ni fatigué ni malade », il entend, à 62 ans, et après quinze ans à la tête de cette commune de 16 000 habitants, quitter « la scène en haut de l'affiche ». « C'est le bon moment pour laisser ma place. » Eric Roulot, son adjoint à la sécurité, lui succédera entre mars et juin. Jacques Saint-Amaux restera conseiller municipal et conseiller général ».
  15. « Jacques Saint-Amaux quittera la vie politique en 2015 : L'un des derniers élus PC ne participera pas aux cantonales », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne).
  16. « Eric Roulot intronisé maire », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne).
  17. M.G., « Limay : Roulot - Saint-Amaux, la fin d’une histoire », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. « Évolution et structure de la population à Limay en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  22. « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
  23. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  24. Marine Benoit l2019) Pollution au plomb autour de Notre-Dame : le grand cafouillage des autorités, News publiée par Science et Avenir le 29 juillet 2019 ; voir aussi la cartographie des taux de plomb publiée le 18 juillet
  25. « Église Saint-Aubin », notice no PA00087470, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Limay, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 319-322 ; Louis Régnier, Excursions archéologiques dans le Vexin français – ouvrage posthume – deuxième série : Limay, Gisors, Imprimerie Benard-Bardel et fils, , 170 p., p. 163-166
  27. « Vieux pont de Limay (également sur commune de Mantes-la-Jolie) », notice no PA00087471, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Le parc du château des Célestins », notice no IA78000626, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Château des Célestins », notice no PA00087469, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Réserve Naturelle Régionale (RNR) du site géologique de Limay », Ville de Limay (consulté le ).
  31. Lieux de tournage cinématographique
  32. Frank-Will, Limay, œuvre reproduite en page 66 de la monographie Frank-Will par Denis Coisne, Éditions du Chêne Vert, 1986.
  33. Édouard Fosse, Histoire de Limay des origines à nos jours, 1972, p. 23.
  34. Les armoiries des communes de Seine-et-Oise, tome 1, chefs-lieux de canton - 1944, cité par Édouard Delafosse.