Bonnières-sur-Seine

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Bonnières-sur-Seine
Bonnières-sur-Seine
La mairie.
Blason de Bonnières-sur-Seine
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Communauté de communes Les Portes de l'Ile de France
Maire
Mandat
Jean-Marc Pommier
2020-2026
Code postal 78270
Code commune 78089
Démographie
Population
municipale
5 038 hab. (2021 en augmentation de 9,98 % par rapport à 2015)
Densité 658 hab./km2
Population
agglomération
14 602 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 10″ nord, 1° 34′ 50″ est
Altitude Min. 13 m
Max. 131 m
Superficie 7,66 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bonnières-sur-Seine
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonnières-sur-Seine
(bureau centralisateur)
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Bonnières-sur-Seine
Liens
Site web bonnieres-sur-seine.fr

Bonnières-sur-Seine est une commune française du département des Yvelines (78), en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Bonniérois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Position de Bonnières-sur-Seine dans les Yvelines.

Bonnières-sur-Seine est située à 15 km environ à l'ouest de Mantes-la-Jolie et à 11 km au sud-est de Vernon. C'est une petite ville industrielle dotée d'un port fluvial sur la rive gauche de la Seine dans la concavité d'un méandre à 66 kilomètres en aval de Paris.

Les communes limitrophes sont Freneuse au nord-est, Rolleboise à l'est, Rosny-sur-Seine au sud-est, La Villeneuve-en-Chevrie et Lommoye au sud-ouest, Notre-Dame-de-la-Mer à l'ouest et, au nord, Bennecourt sur la rive droite de la Seine.


Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire communal, relativement peu étendu (proche de la moyenne yvelinoise de 712 hectares) s'étend sur environ cinq kilomètres dans le sens nord-sud. Il comprend au nord une partie basse, entre 20 et 30 mètres d'altitude, très urbanisée, et vers le sud, englobe une partie du plateau du Mantois. Il est délimité à l'est par un ravin encaissé, le val Guyon, creusé par un ruisseau affluent de la Seine.

Ce territoire est resté rural à 75 %[1], avec une forte proportion, environ 50 %, de surfaces boisées, principalement dans la partie sud-est du territoire, dans le prolongement de la forêt régionale de Rosny. L'espace urbain construit représente 18 % de la superficie totale et se concentre dans le nord du territoire, en bordure de Seine. Les zones d'activités économiques couvrent 24 hectares, principalement le long du fleuve.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 691 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Magnanville à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 641,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bonnières-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bonnières-sur-Seine, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[11] et 14 602 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Les communications routières sont assurées essentiellement par l'ancienne route nationale 13 Paris-Caen-Cherbourg, qui traverse la commune dans le sens est-ouest, de laquelle se débranche en limite ouest de la commune, la RD 915 / RD 6015) en direction de Rouen. Un pont routier en deux parties, appuyées sur la Grande Île, assure la liaison avec la rive nord de la Seine. Vers le sud, la départementale 37 dessert les villages du plateau.

La Seine et le pont.

La commune est traversée au sud de la ville par l'autoroute de Normandie (A 13). Un demi-échangeur donne accès (uniquement vers/ou en provenance de Paris) au centre de Bonnières, grâce à une bretelle de quatre kilomètres empruntant le val Guyon. Pour les liaisons vers l'ouest, l'accès se fait par l'échangeur de Chaufour-lès-Bonnières, accessible à six kilomètres à l'ouest de Bonnières par la RN 13. Bonnières se trouvant au-delà de la barrière de péage de Buchelay, l'accès à la ville est payant depuis Paris, contrairement au reste des Yvelines. Cette situation, considérée par les élus locaux comme un handicap au développement économique de la ville et de sa région, fait l'objet d'un débat. Il est envisagé, entre autres, de déplacer la barrière de péage vers l'ouest[16].

La gare.

Sur le plan ferroviaire, la ligne Paris-Rouen-Le Havre traverse le nord de la commune, le long de la Seine. La gare de Bonnières assure des liaisons voyageurs du type banlieue vers Paris-Saint-Lazare par la ligne J et accueille les TER de Normandie. Un embranchement particulier dessert la zone industrielle.

La zone industrielle dispose également de quais aménagés le long de la Seine canalisée.

Un sentier de grande randonnée, le GR 26 (Paris-Deauville par la rive sud de la Seine) traverse la commune dans le sens sud-est - nord-ouest. Un diverticule balisé le relie à la gare.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Carte de Bonnières au XVIIIe siècle (extrait de la carte de Cassini).

Le nom de « Bonnières » viendrait de l'ancien français bonnier (ou bonier), désignant une mesure agraire dans le Nord de la France et en Belgique[17], qui équivalait à plus ou moins un hectare, avec de grande variations selon les régions[18].

D’un point de vue étymologique, toutes les hypothèses étant possibles, il est vraisemblable que Bonnières peut avoir été, à l’origine, un territoire dont la superficie s’étendait sur un tel bonnier.

La Seine la sépare de Bennecourt.

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

Site occupé dès la préhistoire (site néolithique). Des restes de megaloceros ont été découverts dans un niveau archéologique daté entre - 14 000et - 13 000 ans[19].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Bonnières-sur-Seine était sous l'Ancien Régime un relais pour les diligences sur la route Caen-Paris[20].

Bonnières-sur-Seine a absorbé l'ancienne commune du Ménil-Renard vers 1794.

Bonnières a connu un essor industriel au XIXe siècle, avec la raffinerie de pétrole de Jules Micheaux (dont Zola s'inspira dans son roman l'Œuvre) et l'usine métallurgique Saint-Éloi de l'industriel belge Louis Piret.

Inauguration de la gare en 1843 (ligne de Paris-Saint-Lazare à Rouen).

Dans sa revue satirique Les Guêpes d'[21], Alphonse Karr indique concernant le tunnel de Rolleboise : « Le tunnel de Rolleboise, au moyen duquel on passe trois quarts de lieue sous terre, a été mal construit dans l'origine et la voûte laisse échapper quelques pierres tombants d'une grande hauteur et pourrait manquer de tuer ceux qui ne voulant pas payer 16 francs ou au moins 13 francs, seraient dans les wagons découverts[22]... Lorsque le convoi arrive à Bonnières d'un côté ou à Rolleboise de l'autre, on arrête et on fait passer les voyageurs de 3e classe dans les wagons couverts... Ô humanité ! Après quoi on les fait rentrer à leur places, où ils ne seront plus exposés qu'à la pluie, au vent, aux flammèches des locomotives et aux pleurésies ».

L'usine Singer (société américaine de machines à coudre) est construite en 1934. Cette manufacture figure alors parmi les toutes premières entreprises à vocation mondiale. Elle a permis à de nombreuses personnes de la région d'y travailler. Elle est fermée en 1989.

Durant l'occupation de la France par l'Allemagne, il y avait sur la commune un camp d'entrainement qui fut utilisé par les troupes de répression allemandes[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1874 1884 Jules Michaux[24] Droite Agriculteur, entrepreneur
Conseiller général de Bonnières (1874 → 1883)
Les données manquantes sont à compléter.
vers 1925   Louis Gourmel   Pharmacien
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1971 juin 1995 Octave Saubobert CD puis
UDF-CDS
Quincailler retraité
Conseiller général de Bonnières-sur-Seine (1968 → 2001)
juin 1995 En cours Jean-Marc Pommier PS puis
EELV puis
DVG[25]
Fonctionnaire
1er vice-président de la CC des Portes de l’Île-de-France
Réélu pour le mandat 2020-2026

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Jumelage[modifier | modifier le code]

Drapeau de la Belgique Thy-le-Château (Belgique) depuis 1972, ancienne commune qui fusionne avec des autres commune dans la ville de Walcourt à la suite de la fusion des communes en 1977.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 5 038 habitants[Note 3], en augmentation de 9,98 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
706752782743800755756802774
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7148098228399301 0289861 0331 169
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1551 2311 3421 4321 4931 5671 5941 7341 893
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
2 2502 8463 3993 2533 4373 9934 0594 0494 344
2015 2020 2021 - - - - - -
4 5814 8825 038------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

  • Zone industrielle : située en bord de Seine (port fluvial), entre le fleuve et la voie ferrée, elle a joué un rôle important dans le développement de la ville. On y trouve notamment :
    • Iton Seine, aciérie électrique et laminoir, filiale du sidérurgiste italien Riva[30] ;
    • Les Silos de Bonnières SA (silos à céréales), propriété de la SCAEL.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église.
Propriété de Marcel Sembat.

Patrimoine architectural[modifier | modifier le code]

  • Église Notre-Dame-de-la-Nativité
Ancienne chapelle de la sainte Vierge de Bonnières, elle a été consacrée le . La construction en pierre et enduit blanc fut achevée le , grâce notamment à des dons de l'évêque de Chartres et du duc de La Rochefoucauld. Le clocher carré couvert d'ardoises fut achevé en 1753. En 1763, un haut lambris fut apporté au chœur, qui fut orné en 1924 de peintures décoratives. Les vitraux originaux ont complètement disparu lors des bombardements alliés du printemps 1944.
De nouveaux vitraux figuratifs, sur le thème des vingt mystères de la vie de Jésus, de Marie et des quatre chapelets, sont installés à partir d'. Leur conception est le fait d'un moine du prieuré de Chérence (Val-d'Oise).
  • Arcades du château de Beuron
Il s'agit de vestiges de la façade du château de Beuron, qui fut construit sur le territoire actuel de la commune de Perdreauville et qui appartint à Sully. La municipalité a fait installer, en 1975, ces trois arcades dans le jardin public en face de l'église.
  • Propriété de Marcel Sembat et Georgette Agutte[31]
Située dans un parc de 6 805 m2, a fait l'objet d'une acquisition par la municipalité qui souhaitait la restaurer et y installer des équipements culturels[32].
Tombe datée du Néolithique découverte en , classée monument historique depuis 1951[33] ; elle n'est pas ouverte au public mais accessible par l'intérieur du centre culturel Louis-Jouvet.
  • Tour carrée du Mesnil-Regnard (ruines)
Vestiges d'un édifice fortifié au sud-ouest de Bonnières à 105 m d'altitude[34].

Patrimoine littéraire[modifier | modifier le code]

La gare de Bonnières-sur-Seine étant relativement ancienne, elle est souvent mentionnée dans la littérature française car faisant partie de l'axe ferroviaire Paris-Le Havre et Paris-Rouen. Ainsi, le personnage de Séverine dans La Bête Humaine d'Émile Zola y séjourne quelque temps, et la fin du tunnel de Rolleboise est évoquée régulièrement dans l'ouvrage. Ce dernier fait aussi l'objet d'une mention dans Les Misérables de Victor Hugo.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La municipalité a acquis en 1959 le bois de la Houssaye[35], situé dans le sud-est de la commune. Cette forêt, d'une superficie totale de 95 hectares, est gérée par l'ONF. Elle a été amputée de 11 hectares en 1965 pour laisser le passage à l'autoroute A13 qui la traverse en tranchée, en son centre, la coupant physiquement en deux parties.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Marcel Sembat (1862-1922), député socialiste, ministre du Travail, ami de Jean Jaurès, est né à Bonnières où il a résidé toute sa vie. Il est enterré dans le cimetière communal.
  • Georgette Agutte (1867-1922), artiste peintre et sculpteur, épouse de Marcel Sembat, elle s'est suicidée le jour même de la mort de ce dernier. Elle avait son atelier à Bonnières. Elle est enterrée dans le cimetière communal.
  • Louis Piret, industriel belge, maître de forges à Thy-le-Château près de Charleroi, installa une usine sidérurgique à Bonnières en [36].
  • Jacques Carlu (1890-1976), architecte, né à Bonnières, est notamment l'auteur du palais de Chaillot et du palais de l'Otan à Paris.
  • Jean Carlu (1900-1997), dessinateur publicitaire et affichiste, frère du précédent, également né à Bonnières.
  • Jean Kahn (1916-1970), philosophe, décédé à Bonnières après s'y être jeté d'un train.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Bonnières-sur-Seine
  • Les armes de Bonnières-sur-Seine se blasonnent ainsi : d'azur à la fasce d'or, chargée de trois quintefeuilles de gueules, accompagnée de trois croisettes d'or.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, (ISBN 2-84234-070-1), « Bonnières-sur-Seine », p. 95–97

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Mode d'occupation du sol (1999), Iaurif
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Bonnières-sur-Seine et Magnanville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Bonnières-sur-Seine », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Le péage de Buchelay va-t-il déménager ?, Le Courrier de Mantes, 4 octobre 2006.
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2, page 1339.
  18. Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, page 5.
  19. Sous la direction de Sylvie Robin, Dans la Seine, Paris, Paris Musées, , page 29.
  20. Bertrand Pâris, « Charlotte Corday », Patrimoine normand, no 119,‎ octobre-novembre-décembre 2021, p. 18 (ISSN 1271-6006).
  21. Les Guêpes d'Alphonse Karr sur Gallica
  22. c'est-à-dire les wagons de 3e classe.
  23. CNRD/clg_Pierre_Perret_CNRD_2011.pdf La répression de la Résistance en France par les autorités d'occupation et le régime de Vichy, page 24.
  24. [PDF] [1]
  25. Proche LREM.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Iton Seine
  31. La maison Agutte-Sembat
  32. Le patrimoine communal sur le site de la ville de Bonnières
  33. « Sépulture néolithique », notice no PA00087377, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Tour carrée du Mesnil-Regnard (ruines) », notice no PA00087378, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Le bois de la Houssaye sur le site de la mairie
  36. 1914-1918, Bonnières-sur-Seine sur le site de Thy-le-Château