Achères (Yvelines)

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Achères
Achères (Yvelines)
Achères vue depuis les hauteurs de Chambourcy.
Blason de Achères
Blason
Achères (Yvelines)
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Marc Honoré
2020-2026
Code postal 78260
Code commune 78005
Démographie
Gentilé Achérois
Population
municipale
21 368 hab. (2021 en augmentation de 1,5 % par rapport à 2015)
Densité 2 264 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 57′ 47″ nord, 2° 04′ 10″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 32 m
Superficie 9,44 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Poissy
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web mairie-acheres78.fr

Achères est une commune française située dans le département des Yvelines, en Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Achères depuis Andrésy.

La commune d'Achères se trouve dans le nord-est des Yvelines, près de la limite du Val-d'Oise, à sept kilomètres environ au nord de Saint-Germain-en-Laye, chef-lieu d'arrondissement et à vingt kilomètres environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.

La forme du territoire communal, qui épouse cette boucle de la Seine face au confluent de l’Oise et la forêt de Saint-Germain-en-Laye, ressemble à une corne, un croissant le long de la Seine avec une sorte de renflement à l'ouest où se trouve le centre habité. Il ne longe toutefois pas le fleuve sur toute sa longueur, certains communes principalement situées sur la rive droite possédant une « frange » de territoire sur la rive gauche, frange qui correspond à d'anciennes îles aujourd'hui soudées à la rive gauche.


Hydrographie[modifier | modifier le code]

Achères est situé dans une boucle de la Seine, une boucle entourant la forêt domaniale de Saint-Germain-en-Laye. Dans ce secteur, la Seine reçoit l’eau de l’Oise[1]. Le fleuve a marqué l'histoire et l'économie de la ville. Une station d'épuration existe depuis 1940, la station d'épuration Seine Aval. Elle est alimentée par des eaux usées issues de différents émissaires d'une partie de l’agglomération parisienne. C'est une des plus importantes stations du monde par le volume d'eau traité[1]. Un port est en projet qui viendra compléter les infrastructures portuaires franciliennes de Gennevilliers, Bonneuil-sur-Marne et Limay[2].

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune étant situé dans la vallée de la Seine, Achères présente une altitude moyenne très basse (entre 18 et 32 mètres d'altitude). Le village historique est situé sur une colline et son flanc orienté vers la plaine et la Seine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 648 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontoise à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Utilisation du territoire[modifier | modifier le code]

Occupation des sols en 2008.
Type d'occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 33,5 % 321,72
Espace urbain non construit 10,2 % 98,08
Espace rural 56,3 % 539,86
Source : Iaurif

Avec 960 hectares, Achères est une commune légèrement plus grande que la moyenne yvelinoise qui est de 872 hectares. Le territoire communal est majoritairement rural, à 56,3 %, l'espace urbain construit occupant 322 hectares, soit 33,5 % du territoire total[9].

L'espace rural est dédié principalement à l'agriculture qui occupe 335 hectares (dont 317 de grande culture céréalière), soit 35,3 % du territoire communal. Les cultures se trouvent surtout au nord du secteur habité.

Les parties boisées sont très limitées (5 hectares), tandis qu'il existe environ 150 hectares d'espace rural en friches.

L'espace urbain ouvert, consacré aux parcs, jardins et terrains de sport, s'étend sur 98 hectares (10,2 % du territoire communal), dont 45 hectares de parcs et jardins, 17 hectares de terrains de sport et 36 hectares de terrains vacants.

La surface consacrée à l'habitat couvre 170 hectares (17,7 % de la superficie totale) et comprend des habitations individuelles sur 140,5 hectares et de l'habitat collectif sur 29,3 hectares.

Les activités économiques et commerciales occupent 86 hectares (soit 9 % du territoire total). Ces implantations incluent notamment une partie des installations de la station d'épuration Seine-Aval.

Quartiers[modifier | modifier le code]

  • Quartier de la Gare - Petite arche (abritant la Gare)
  • les Champs-de-Villars - Cité de la Barricade (Grands ensembles HLM)
  • Le Centre-Ville / Saint-Martin (Quartier centrale et dynamique de la ville avec services et commerces)
  • le Montsouris (quartier pavillonnaire)
  • les Plantes d'Hennemont (Grand ensemble HLM)
  • la Grange-Saint-Louis (Quartier résidentiel)
  • Rocourt (quartier pavillonnaire)
  • le Chêne-Feuillu (quartier pavillonnaire)
  • ZAC des Communes (Zone commerciale et industrielle)
  • la Porte-de-Seine

Infrastructures[modifier | modifier le code]

Les principaux axes de circulation traversant la commune sont la route nationale 184 menant à Conflans-Sainte-Honorine vers le nord et à Saint-Germain-en-Laye vers le sud et la route départementale 30 qui commence au droit de la nationale 184 et mène vers le sud à Plaisir.

Achères est desservie par une branche du RER A ainsi que par les trains du Transilien L à la gare d'Achères-Ville. La gare d'Achères - Grand Cormier dessert l'ancien site de triage ferroviaire proche d'Achères, dans la forêt de Saint-Germain-en-Laye.

La construction d'un second collège près de la gare d'Achères-Ville, sur l'avenue du Général-de-Gaulle, a commencé en janvier 2013. Son ouverture a eu lieu en , il a été baptisé collège Camille du Gast, samedi lors de son inauguration[10], le bâtiment est quant à lui classé HQE. Ce projet a pour objectif de répondre à la saturation du collège Jean-Lurçat. Cette nouvelle infrastructure comprend un centre administratif, un externat, une demi-pension ainsi qu'un terrain de sport pouvant accueillir 500 élèves[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Achères est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération interdépartementale regroupant 411 communes[15] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

Transports[modifier | modifier le code]

Ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par deux gares :

Routier[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par plusieurs lignes de bus :

Projets[modifier | modifier le code]

Le projet de ligne 13 Express du tramway d'Île-de-France a pour but d'utiliser en grande partie les infrastructures ferroviaires existantes de la Grande Ceinture, pour contourner Paris et encourager les déplacements de banlieue à banlieue. Achères devrait devenir le terminus du prolongement de la ligne entre Saint-Germain et Saint-Cyr-l'École[20].

De plus, le futur port d'Achères devrait être installé sur le secteur de l'île du Bac. Profitant de sa place stratégique au confluent de la Seine et de l'Oise et donc au carrefour du trafic fluvial européen, il permettra aux Yvelines de devenir un axe économique fort du Grand Paris[source insuffisante][21].

Qualité de l'environnement[modifier | modifier le code]

La commune est depuis plusieurs décennies confrontée à un problème important et durable de pollution presque généralisée des sols : durant plus d'un siècle (18951999), une grande partie du territoire communal a en effet servi de zones d'épandage des eaux brutes et/ou partiellement traitées des égout de Paris et de communes périphériques ; Achères est la commune qui aurait reçu le plus de déchets de cette nature, parmi d'autres également très touchées (ex : Carrières-sous-Poissy et Triel-sur-Seine (dans les Yvelines) et de Pierrelaye (Val-d'Oise qui sont les trois cas les plus concernés[22]... parmi un total de 19 communes regroupant, vers 2012, 300 000 habitants dont 25 000 enfants âgés de moins de 9 ans[23]).

Des épandages se sont poursuivis jusqu'en 2005 (cette fois après traitement plus efficace des eaux). À partir de 2007, plusieurs études d'analyse de risque en matière de santé publique ont été entreprises sur les anciennes plaines d’épandage des eaux usées de Paris, avec des rendus échelonnés : en 2008[24], en 2011[25] en 2012[26],[27](en s'appuyant sur la mise à jour des méthodes de calcul de la bioaccessibilité de l'arsenic [28] qui a précédé une réévaluation du « bruit de fond » (en 2013) en matière de pollution arséniée dans ces secteurs [29]. Une étude complémentaire a été publiée en 2013[30].
Ces études ont toutes conclu que les épandages ont causé (plus ou moins selon les époques) des teneurs parfois très élevée en plomb, mercure, cadmium, cuivre, zinc, manganèse.. et d'autres polluants pas, peu ou difficilement dégradables. Ceci a conduit à une pollution chronique des sols agricoles, qui dépassent encore parfois de loin les normes en vigueur[31].

Lors du baby boom et en raison d'une démographie croissante caractérisant la ceinture des communes entourant Paris, ces sols ont souvent été construits, et/ou ils restent dans les jardins ou à proximité d'écoles une source importante de risque de saturnisme (par exemple en cas de consommation de légumes, de gibier ou produits animaux produits issus les champs ou jardins pollués). Ils sont notamment une source importante de saturnisme infantile (car les enfants portent plus facilement leurs doigts ou des objets sales à la bouche). En 2007, l'ARS avait déjà identifié 54 sites (où les épandages avaient été parmi les plus intenses) où des écoles, crèches, collèges, stades ont été construits ou bien qui sont devenus des jardins ouvriers ou potagers privés : jusqu'à 690 mg/kg ont été trouvés dans la terre de jardin, et plusieurs écoles ne respectaient pas le seuil d'alerte de 200 mg/kg[32].

En 2018, une étude[32] a porté sur 4.620 hectares sur 3 communes dont Achères. Un calcul de risques de saturnisme infantile a été fait selon 4 scénarios d’exposition. Dans tous les cas, l’évaluation sanitaire a conclu à un risque avéré pour les enfants de 0 à 6 ans du site. Les auteurs suggèrent des mesures de réduction des expositions et d'incitation au dépistage[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La ville est citée dans un document ancien du Xe siècle sous la forme latinisée Villam Apiarias en 990[33],[34]. On trouve ensuite les formes Acheriis, Aschere, Aschieres. La graphie Achères est attestée pour la première fois en 1617[réf. nécessaire].

Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romane ou médiévale, basée sur le gallo-roman apiariu « ruche » (du latin apis « abeille » + suffixe -arium, d'où apiarium « ruche ») à l'accusatif féminin pluriel apiarias désignant des ruches[33] ou des « (fermes) pourvues de ruches »[34] ou directement basée sur l'ancien français aschier « rucher » + suffixe -(ièr)es localisant au pluriel[35].

Histoire[modifier | modifier le code]

Carte d'époque non datée indiquant la position du camp fortifié de Saint-Sébastien.
Panneau de la place La Jamais Contente.

Le site d'Achères est habité depuis l'époque néolithique. On a également relevé des traces d'habitats gallo-romains. En 911, les Normands qui ravageaient le pays, auraient pillé le hameau de Rocourt où se serait trouvé un château de la seigneurie d'Achères[36].

Toutefois, il n'existe aucun document antérieur à 1212, année où les habitants d'Achères obtiennent de Philippe Auguste l'autorisation de ramasser le bois mort dans la forêt de Laye et d'y mener paître leurs animaux[37].

Parmi les personnages historiques, le roi Saint Louis serait né sur le territoire de la commune, à l'endroit encore appelé aujourd'hui la « Grange Saint-Louis »[38].

Au Moyen Âge, il y avait deux seigneuries sur le territoire de la commune, celle d'Achères et celle de Garennes, qui furent réunies en 1525 par Charlotte Briçonnet, veuve de Pierre Le Gendre, qui les avaient acquises "des commissaires ordonnés par le roi pour l'aliénation du domaine"[39]. En 1553, cette nouvelle seigneurie devient la possession de la famille Morlet du Museau ; Charles de Morlet se titrait marquis de Garennes sous Louis XIV[40]. Elle deviendra par mariage la propriété de Jean de Massol, avocat général à la chambre des comptes, vers 1693[41], puis de leur fils Antoine-Bernard (hommage en 1738)[42].

En 1699, Louis XIV fait construire un camp militaire appelé camp Saint-Sébastien. En 1687 (confirmé en 1688) l'usage de mener paître les bestiaux dans la forêt fut définitivement aboli et transporté sur les bords de la Seine. L'usage du ramassage du bois mort persista. Durant son règne, Louis XV passa plusieurs revues militaires dans la plaine d'Achères.

En 1736, la haute, moyenne et basse justice d'Achères furent réunies au domaine royal et à la prévôté de Saint-Germain. En 1749, la seigneurie est vendue à Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville ; le village redevient quant à lui possession royale en 1751.

Plusieurs événements majeurs ont lieu au XIXe siècle. Ainsi, de 1847 à 1855 a lieu la construction, par les agriculteurs d'Achères, d'une digue de protection contre les inondations dues aux crues de la Seine. Cet ouvrage de six kilomètres de long, monumental pour l'époque, s'étend alors entre le pont de Conflans et Poissy.

Jusqu'en 1862, les deux-tiers du territoire appartenaient à deux propriétaires : l'État pour le domaine de Garennes de 279 hectares et le baron de Ladoucette[Lequel ?] pour sa ferme d'Achères de 233 hectares.

En 1882 est implantée la gare de triage en limite de la forêt de Saint-Germain-en-Laye, au lieu-dit du Cormier. Cette activité va durablement lier la commune à la présence des cheminots. Aujourd'hui, à l'instar de celle de Trappes, la gare de triage est fermée. En souvenir de ce passé, un petit wagon de marchandises bariolé a été installé au milieu de l'espace de circulation entre les bâtiments de l'hôtel de ville. En 1889 sont implantés des champs d'épandage des eaux d'égouts de la ville de Paris sur des terrains agricoles, rachetés par expropriation par la ville de Paris et rebaptisés « parc agricole ».

Peu avant le début du XXe siècle, et plus exactement le , Achères devient célèbre lorsque Camille Jenatzy, au volant de sa Jamais Contente, une automobile électrique de sa conception, dépasse officiellement pour la première fois au monde les 100 km/h. Cet exploit se déroula sur la route centrale du "parc agricole" choisie pour sa longue ligne droite de 3 kilomètres. Son record est précisément établi à 105,882 km/h. Le nom de « La Jamais Contente » a été donné à la place située entre l'arrière de l'église et la mairie, du côté de l'entrée de la bibliothèque. Le Concours de vitesse d'Achères avait été créé en 1898 par l'Automobile Club de France pour homologuer les records de vitesse des premières automobiles.

La station d'épuration appelée aujourd'hui « Seine-Aval », et qui s'étend en grande partie sur le territoire communal de Saint-Germain-en-Laye, est créée en 1940. Cette station d'épuration est la plus importante d’Europe, la seconde au monde après celle de Chicago. L’usine traite les déchets des huit millions d’habitants des départements des Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et de Paris, répartis sur 180 communes de l'Île-de-France, soit 140 000 tonnes de boues brutes déshydratées par an. Le maître d’ouvrage est le syndicat interdépartemental d'assainissement de l'agglomération parisienne ; le suivi de l’épandage est quant à lui assuré par la société SEDE Environnement.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles[modifier | modifier le code]

Élections législatives[modifier | modifier le code]

Résultats des seconds tours ou des deux meilleurs scores du premier tour si dépassement de 50 % :

Élections européennes[modifier | modifier le code]

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales[modifier | modifier le code]

Résultats des seconds tours :

Élections départementales[modifier | modifier le code]

Résultats des seconds tours :

Élections cantonales[modifier | modifier le code]

Résultats des seconds tours :

Élections municipales[modifier | modifier le code]

Élections municipales de 2008[modifier | modifier le code]
  • Maire sortant : Alain Outreman (PCF)
  • 33 sièges à pourvoir au conseil municipal
Résultats de l'élection municipale des 9 et à Achères
Tête de liste Liste Premier tour Second tour Sièges
Voix % Voix % CM
Alain Outreman* PCF 2 893 40,70 3 266 48,66
Daniel Lattanzio 1 205 17,37 2 382 35,49
Roger Colas DVG 995 14,34 1 064 15,85
Suzanne Jaunet DVD 1 845 26,59
Inscrits 12 765 100,00 12 765 100,00
Abstentions 5 639 44,18 5 897 46,20
Votants 7 126 55,82 6 868 53,80
Blancs et nuls 188 2,64 156 2,27
Exprimés 6 938 97,36 6 712 97,73
*Liste du maire sortant
Élections municipales de 2014[modifier | modifier le code]
  • Maire sortant : Alain Outreman (PCF)
  • 33 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2011 : 19 606 habitants)
  • 9 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CU Grand Paris Seine et Oise)
Résultats de l'élection municipale des 23 et à Achères[46]
Tête de liste Liste Premier tour Second tour Sièges
Voix % Voix % CM CC
Marc Honoré DVD 2 857 40,62 4 115 52,32 25 7
Alain Outreman * PCF 3 141 44,66 3 750 47,67 8 2
Assia Autret DVD 1 035 14,71
Inscrits 13 289 100,00 13 289 100,00
Abstentions 5 892 44,34 5 156 38,80
Votants 7 397 55,66 8 133 61,20
Blancs et nuls 364 4,92 268 3,30
Exprimés 7 033 95,08 7 865 96,70
* Liste du maire sortant
Élections municipales de 2020[modifier | modifier le code]
  • Maire sortant : Marc Honoré (DVD)
  • 35 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 21 017)
  • 6 sièges à pourvoir au conseil communautaire (Grand Paris Seine et Oise)
Résultats des élections municipales de 2020 à Achères[47]
Tête de liste Liste Premier tour Second tour Sièges
Voix % Voix % CM CC
Marc Honoré DVD 2 282 46,12 2 522 56,28 28 5
Unis pour Achères
Alain Outreman PCF diss. - DVG 1 001 20,23 1 331 29,70 5 1
Du concret pour Achères
Michèle Foubert PCF - PS - G·s - EÉLV - RDG - ND[48] 824 16,65
Gauche citoyenne et écologiste pour Achères
Salim Lesage DVC 840 16,97 628 14,01 2 0
Achères ma ville
Votes valides 4 947 97,25 4 481 97,48
Votes blancs 65 1,28 56 1,22
Votes nuls 75 1,47 60 1,31
Total 5 087 100 4 597 100 35 6
Abstention 7 972 61,05 8 496 64,89
Inscrits / participation 13 059 38,95 13 093 35,11

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 Louis Peneau[57] PCF Cheminot, ancien combattant
1945 1951 Frédéric Bauer PCF Ingénieur à l'usine Ford de Poissy
1951 1968 Julienne Volat[58] PCF Ancienne institutrice suppléante, résistante
Première femme maire d'Achères
1968 mars 1971 Jean Dupont PCF Cheminot
mars 1971 mars 1977 Roger Bélis[59] Droite Producteur de la radio scolaire de l'IPN
mars 1977 avril 1998 Pierre Soulat[60] PCF Instituteur et directeur d'école, syndicaliste
Conseiller municipal de Fontenay-le-Fleury (1965 → 1971)
avril 1998 mars 2014 Alain Outreman[61] PCF Informaticien, ancien adjoint
mars 2014 En cours Marc Honoré[62] LR puis DVD Ancien cadre bancaire
Réélu pour le mandat 2020-2026

Jumelages[modifier | modifier le code]

Achères est jumelée à trois autres villes européennes :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[63],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 21 368 habitants[Note 4], en augmentation de 1,5 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
349415416433479506508553585
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
595660648715853874847801944
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1581 2601 4961 7032 3743 1093 6413 9364 459
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5 39010 44415 17215 35115 03918 94219 85019 60620 823
2021 - - - - - - - -
21 368--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[64] puis Insee à partir de 2006[65].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 10 306 hommes pour 10 792 femmes, soit un taux de 51,15 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[66]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,6 
3,5 
75-89 ans
5,5 
9,7 
60-74 ans
10,6 
19,9 
45-59 ans
20,0 
22,5 
30-44 ans
24,0 
19,9 
15-29 ans
18,2 
24,3 
0-14 ans
21,1 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[67]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Communautés[modifier | modifier le code]

Les étrangers constituent une composante importante de la population achéroise. Achères compte plusieurs communautés : Algériens, Marocains, Portugais, Antillais (Guadeloupéens, Martiniquais). Il y a également une importante communauté d'Afrique subsaharienne (Sénégalais, Maliens), des Comoriens, des Réunionnais et des Turcs. Certaines communautés ont aujourd'hui reculé, cependant, il reste encore beaucoup de descendants d'Italiens, d'Espagnols, de Polonais et un grand nombre d'Achérois sont d'origine bretonne.

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

Façade de la Bibliothèque multimédia Paul-Éluard.

Achères dispose de trois infrastructures culturelles notables :

  • La bibliothèque multimédia Paul-Éluard ;
  • Le cinéma Pandora, qui possède le label « Art et Essai » et dispose de trois salles ;
  • La salle de concert Le Sax.

Médias[modifier | modifier le code]

Achères dispose d'un média :

  • Achères Aujourd'hui, journal mensuel d'informations locales distribué gratuitement dans les boites aux lettres et disponible en ligne sur le site de la mairie. Il est géré par la municipalité[68].

Cultes[modifier | modifier le code]

La paroisse catholique d'Achères dispose de deux lieux de culte : l'église Saint Martin et le centre paroissial Saint Jean XXIII[69].

Mosquée de la Paix, façade est

La Mosquée de la Paix, dans la ZAC des communes, gérée par l'ASMA (« Association de Solidarité des Musulmans d'Achères ») est inaugurée le , sur un ancien site de Haver France (de), offrant à la communauté musulmane d'Achères un lieu de culte.

Achères compte également une communauté évangélique : l'église baptiste Maranatha[70].

Économie[modifier | modifier le code]

Hôtel de ville.

Commune résidentielle, Achères a évolué par la présence de l'important site de production PSA (Peugeot-Citroën) [71] de Poissy. La gare RER et Transilien construite au début des années 1980 a accentué son développement. La zone d'activités s'est développée au début des années 1990.

La gare de triage d'Achères également spécialisée dans le transport de l'industrie d'automobiles du nord-ouest de l'agglomération parisienne, qui est aujourd'hui fermée, se trouve en pleine forêt de Saint-Germain-en-Laye, sur le territoire de la commune du même nom.

La station d'assainissement des eaux Seine-Aval est le principal site industriel d'Achères. Cette usine, qui traite les effluents d'une partie de l'agglomération parisienne, s'étend sur 800 hectares et est située en grande partie sur le territoire de la commune de Saint-Germain-en-Laye, couvrant un territoire autrefois inclus dans la forêt de Saint-Germain[72]. C'est la plus importante station d'épuration d'Europe, et la deuxième au monde en termes de volume d'eau traité derrière celle de Chicago[73]. Cette usine est classée Seveso seuil haut (risque maximal). Dans la nuit du 9 au 10 octobre 2022, une fuite importante a touché son unité de production de biogaz (4 tonnes), accident industriel majeur révélé dix jours plus tard[74].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin.

Parmi les monuments notables d'Achères, on peut retenir l'église Saint-Martin, dont la construction remonte au XIIe siècle et dont le clocher a été restauré en 1904.

Achères abrite également d'anciennes ruines romaines dites « de Garennes ».

Les croix d'Achères[modifier | modifier le code]

Deux évènements ont fortement marqué les habitants d'Achères au milieu du XIXe siècle, d'une part les inondations quasi-annuelles des champs maraîchers, dues aux crues de la Seine, et les épidémies de choléra de 1852 et de 1866. Les inondations, et surtout celle de 1850, purent être subjuguées grâce à la digue et le village sortit indemne des épidémies. L'abbé Duport fit ériger des croix commémorant les événements et en remerciement de la protection divine sur Achères. Il en reste aujourd'hui trois.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes d'Achères

Les armes d'Achères se blasonnent ainsi :

d'argent à la tête d'ours au naturel emmuselé de gueules et annelé d'or[75].

Ces armes sont celles de la famille Morlet du Museau, anciens seigneurs d'Achères de 1553 à 1749. Elles ont été adoptées par la commune en 1972.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Roger Bélis (maire de 1971 à 1977), Achères au fil des siècles : de la préhistoire à l'automobile, Comité de jumelage d'Achères, , 329 p..
  • Jacques Lutz, Les épandages dans le parc agricole d'Achères, Graphein, , 129 p. (ISBN 978-2910764241).
  • Roger Moutiers et Daniel Safon, Achères d'hier à aujourd'hui, Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 9782813805232).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Port d’Achères (Port Seine Métropole) », sur haropaports.com.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  10. « Le nouveau collège d'Achères inauguré »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur www.evasionfm.com (consulté le ).
  11. Site de la mairie - http://www.mairie-acheres78.fr/Amenagement-et-environnement/Le-futur-college-a-l-ouest-de-la-gare-Acheres-Ville
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  20. Site du projet de la tangentielle ouest - http://www.tangentielleouest.fr/la-tangentielle-ouest/article/un-projet-en-2-phases
  21. Yvelines, le magazine du conseil général
  22. Luez, A. (2005). La pollution des sols des plaines de Pierrelaye-Bessancourt et d'Achères à la suite de l’épandage des eaux usées de Paris. ADMINISTRATION-PARIS-, 209, 26.
  23. Les échos (2010) Achères, Carrières et Triel face au risque de saturnisme ; Une récente étude de Santé Publique France fait le point sur les risques de saturnisme sur ces trois plaines où ont été épandues les boues des stations d'épuration d'Ile-de-France pendant des décennies. Les concentrations en plomb dépassent très largement les normes autorisées dans les sols de nombreux territoires urbanisés ; 31/10/18, mis à jour le 02/11/18
  24. HPC Envirotec – SIAAP – Étude environnementale des anciennes plaines d’épandage d’Achères (78), Méry-sur-Oise et Pierrelaye (95), Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy (95). Étude historique et documentaire. 27 juin 2008.
  25. HPC Envirotec – SIAAP – Étude environnementale des anciennes plaines d’épandage d’Achères (78), Méry-sur-Oise et Pierrelaye (95), Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy (95). Étude sanitaire pilote. 31 mars 2011
  26. HPC Envirotec – SIAAP – Étude environnementale des anciennes plaines d’épandage d’Achères (78), Méry-sur-Oise et Pierrelaye (95), Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy (95). Étude sanitaire : démarche / méthodologie / synthèse. 16 janvier 2012.
  27. HPC Envirotec – SIAAP – Test de bioaccessibilité de certains ETM dans le cadre des études sanitaires des anciennes plaines d’épandage de la région parisienne. 21 aout 2012
  28. Institut national de l’environnement industriel et des risques. Rapport d’étude N°DRC-12-130962-08486A. Détermination de la bioaccessibilité de l’arsenic, du plomb, du cadmium et du cuivre dans des sols. 27 juillet 2012.
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  30. HPC Envirotec – SIAAP – Plaines d’épandage de la région parisienne – Étude sanitaire – Calculs de risques complémentaires – Réunion du 14 juin 2013.
  31. Arambourou, H., Frasca, B., Haddad, A., Berkani, C. H., Mascher, N., & Van De Voorde, A. (2008) Possibilité de cultures sur les sols pollués d'Achères: Prise en compte du potentiel de dépollution de la culture. Rapport SAGE M, 2
  32. a b et c Bassi C. (2018) Étude de la pertinence d’un dépistage du saturnisme infantile sur un site d’épandage de boues et d’eaux usées. Plaines d’Achères, Pierrelaye, Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy. Saint-Maurice : Santé publique France, octobre 2018. 58 p.
  33. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 2b.
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  35. Marianne Mulon, Noms de lieux d'Île-de-France, Bonneton, (ISBN 2-86253-220-7), p. 174.
  36. ACHERES, LA GRANDE
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  38. Roger Belis, « Achères au fil des siècles », 1982, 329 pages
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  58. Notice VOLAT, Julienne, (née RABIER, Julienne, Berthe) par Gilles Pichavant, version mise en ligne le 8 juillet 2018, dernière modification le 24 juillet 2018
  59. Notice Roger Bélis, sur le site data.bnf.fr
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  70. « En quelques mots ... »
  71. ex-Simca
  72. Voir à ce sujet la Carte de Cassini
  73. La vie des réseaux, « 777 M€ pour la station d’épuration d’Ile-de-France », sur laviedesreseaux.fr, La vie des réseaux, (consulté le ).
  74. Marc Laimé, Un nouvel accident industriel majeur passé sous silence en région parisienne, Le Monde diplomatique, « Carnets d'eau », publié le 2 décembre 2022, consulté le 14 décembre 2022.
  75. Roger Bélis, Achères au fil des siècles : de la préhistoire à l'automobile, Comité de jumelage d'Achères, , p. 69 et 73.