Marly-le-Roi
Marly-le-Roi | |
Hôtel de ville | |
Héraldique |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Île-de-France |
Département | Yvelines |
Arrondissement | Saint-Germain-en-Laye |
Intercommunalité | Seine et Forêts |
Maire Mandat |
Jean-Yves Perrot 2014-2020 |
Code postal | 78160 |
Code commune | 78372 |
Démographie | |
Gentilé | Marlychois |
Population municipale |
16 331 hab. (2014) |
Densité | 2 497 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 52′ 03″ nord, 2° 05′ 41″ est |
Altitude | Min. 48 m Max. 179 m |
Superficie | 6,54 km2 |
Élections | |
Départementales | Marly-le-Roi |
Localisation | |
modifier |
Marly-le-Roi est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Marlychois.
Géographie
La commune de Marly-le-Roi se situe à environ quinze kilomètres à l'ouest de Paris, à moins de dix kilomètres au nord de Versailles et également moins de cinq kilomètres au sud de Saint-Germain-en-Laye. Elle est bâtie sur une sorte de promontoire en contrebas et au nord du plateau du Cœur-Volant au bord duquel se trouvait le château de Marly aujourd'hui disparu. Ledit promontoire domine d'environ 150 mètres la vallée de la Seine plus au nord. L'urbanisation est concentrée dans la moitié nord du territoire communal, la moitié sud étant majoritairement couverte par la forêt domaniale de Marly.
Les communes limitrophes de Marly-le-Roi sont Le Port-Marly au nord-est, Louveciennes à l'est, La Celle-Saint-Cloud au sud-est, Bailly au sud, L'Étang-la-Ville à l'ouest, Mareil-Marly au nord-ouest et Le Pecq au nord.
La commune est longée, dans sa limite est, par la route nationale 186 qui relie Versailles à Saint-Germain-en-Laye, traversée par la route départementale 7 qui permet de rejoindre, au nord, Le Pecq puis Saint-Germain-en-Laye et, au sud, Bailly puis Saint-Cyr-l'École et longée, dans sa limite ouest, par la route départementale 161 qui relie Saint-Germain-en-Laye à L'Étang-la-Ville et Villepreux.
Au plan ferroviaire, la commune est desservie par le Transilien Paris Saint-Lazare en gare de Marly-le-Roi, située sur la ligne Paris-Saint-Lazare-La Défense-Saint-Nom-la-Bretèche.
La commune compte cinq quartiers :
- le Vieux Marly-Ombrages-Monbâti, avec des hôtels particuliers du XVIIIe siècle et l’église Saint-Vigor, édifiée au XVIIe siècle ;
- le Plateau-Vergers-Vauillons-Bois Martin, avec ses maisons individuelles, et le parc Jean Witold ;
- les Grandes-Terres, quartier résidentiel ;
- Montval, avec son gymnase, son groupe scolaire et sa bibliothèque ;
- Les Coteaux, comprenant l'ancien hameau de Montval.
Toponymie
Le toponyme est attesté sous les formes Mairilaco en 697 et de Marleio en 1173[1],[2]. Il serait issu d'un anthroponyme latin tel que Marullius[1] ou Marillius[2].
Histoire
Le lieu est connu dès 676, sous Thierry III.
Marly est propriété des seigneurs de Montmorency jusqu'à son acquisition par Louis XIV en 1676 qui y fait construire par Jules Hardouin-Mansart « son » château de Marly, plus intime que Versailles et où il pourra s'adonner aux plaisirs personnels. Le château, situé sur le plateau du Cœur Volant, est alimenté en eau par la machine de Marly et l'aqueduc de Louveciennes et l'extrémité nord est agrémenté d'un bassin, en contrebas, au niveau du village, et d'un immense abreuvoir où les cavaliers peuvent entrer avec leurs montures ! Ce bassin sera agrémenté, sous Louis XV, par les deux célèbres chevaux de Marly sculptés en 1745 par Guillaume Coustou. En 1789, le château est pillé par les révolutionnaires et laissé à l'abandon.
Durant la Révolution, la commune porte provisoirement le nom de Marly-la-Machine[3] (bien que celle-ci soit située sur la commune de Bougival) ; les chevaux sont « subtilisés » pour être installés à Paris sur la place de la Concorde puis placés à l'entrée de l'avenue des Champs-Élysées en 1795. Aujourd'hui, ils se trouvent à l'abri des intempéries au musée du Louvre dans la cour Marly de l'aile Richelieu.
En 1799, un industriel, Alexandre Sagniel, achète le château à l'abandon et installe des ateliers de filature dans les communs. Failli, cet industriel ne trouvant pas à céder le château en l'état de délabrement avancé, le démantèle et en vend les pierres comme pierres à bâtir[4]. En 1806, le domaine passe entre les mains de l'administration des Eaux et Forêts.
La période impressionniste voit le village, à l'instar de ceux de Bougival, Louveciennes ou Croissy, attirer les peintres comme Sisley ou Pissarro ainsi que poètes, écrivains et sculpteurs. Maillol s'y installera également au début du XXème siècle.
- Le nom de Marly a été donné à une automobile construite en 1956 par la société Simca, le break Simca Marly.
- Le nom de Marly a été donné à un plat "La Timbale Marly", (un salpicon), mélange à base de légumes, de fruits, de poisson et de viande. Les ingrédients sont coupés finement...
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[5],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 16 331 habitants, en diminution de −1,64 % par rapport à 2009 (Yvelines : 0,99 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,5 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 47,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,1 %, 15 à 29 ans = 17,8 %, 30 à 44 ans = 22,9 %, 45 à 59 ans = 19,6 %, plus de 60 ans = 18,6 %) ;
- 52,6 % de femmes (0 à 14 ans = 17,9 %, 15 à 29 ans = 16 %, 30 à 44 ans = 21,3 %, 45 à 59 ans = 20,7 %, plus de 60 ans = 24,1 %).
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Mandat | Identité | |
2001-. ...... | Jean-Yves Perrot | |
1997-2001 | Bernard Longhi | |
1995-1997 | François-Henri de Virieu | |
1989-1995 | Yves Guibert | |
1966-1989 | Jean Béranger | |
1953-1966 | Raymond Gilles | |
1947-1953 | Henri Bèque | |
1940-1947 | Maurice Bourgoing | |
1935-1940 | Paul Leduc | |
1934-1935 | Léon Legrand | |
1930-1934 | Paul Oudot | |
1919-1930 | Raoul Filhos | |
1918-1919 | Auguste Lesserteur | |
1913-1918 | Paul Duret | |
1899-1913 | Alfred Couturier | |
1888-1899 | Jean-Baptiste Broussin | |
1888 | Charles Basselier | |
1881-1888 | Hector Titreville | |
1875-1881 | Louis Mazian | |
1874-1875 | Pierre Errequeta | |
1871-1874 | François Beaugrand | |
1870-1871 | Victorien Sardou | |
1862-1870 | Gustave Fillet | |
1852-1862 | Jean Moiesseron | |
1849-1852 | Georges Guyet | |
1849 | Édouard Maulme | |
1848-1849 | Émile Piton | |
1830-1848 | Paul Huvet | |
1810-1830 | Adrien Bucon | |
1808-1810 | Victor Deschamps | |
Les données antérieures ne sont pas encore connues. |
Culture
Lieux et monuments
La ville possède un patrimoine très important[9] :
- le parc royal, dans lequel se trouvent les célèbres chevaux de Marly et se trouvait le château de Marly ;
- le musée-promenade de Marly-le-Roi - Louveciennes, en bordure du parc royal ;
- la place de la Vierge, autrefois lieu de grandes processions religieuses le jour de la Fête-Dieu ;
- le lavoir de la mare Thibaut, mentionné dès 1266 ;
- le buste Victorien Sardou, placé en 1915, retiré en en 1941 et remplacé en 1946 ;
- la tour du télégraphe Chappe, construit par Claude Chappe en 1798 ;
- le square Michel ;
- la maison d’Alexandre Dumas fils ;
- l'hôtel de Toulouse, construit au début du XVIIIe siècle, habité vers 1730 par Louis Alexandre de Bourbon ;
- l'hôtel de Gesvres, propriété de Monseigneur le duc de Gesvres, gouverneur de Paris qui y habitait en 1741 ;
- le centre culturel Jean Vilar, construit en 1972 par l'architecte Robert Benoit ;
- le lycée, construit sur une propriété de la tragédienne Rachel ;
- l'abreuvoir, construit par Mansart en 1698-1702. C'est le plus grand abreuvoir d'Europe ; Il a été entièrement restauré en 2005 en respectant les techniques d'origine ;
- l'église Saint-Vigor, construite en 1688 par Mansart ;
- la forêt domaniale de Marly ;
- le château du Verduron, ancienne demeure de Victorien Sardou, célèbre pour ses sphinx ;
- Le Fort du Trou-d'Enfer construit vers 1880 ;
- Les Grandes Terres, ensemble immobilier conçu par Marcel Lods (1957-1959) ;
- le marché couvert, des architectes Jacques Dubois et Philippe Ameller (2014) ;
...mais la machine de Marly était en fait située à Bougival.
Jumelages
La commune de Marly-le-Roi est jumelée avec[10] :
- Leichlingen (Allemagne) depuis 1964
- Marlow (Royaume-Uni) depuis 1972
- Kita (Mali) depuis 1984
- Viseu (Portugal) depuis 1996
Lieux de culture
- La bibliothèque, avenue de Saint-Germain, possède une section adulte et une section jeunesse, et un biblioclub[11] ;
- Le conservatoire de musique Roger Bourdin dans le parc Jean Witold [12] ;
- Le cinéma Le Fontenelle offre un cinéma d’art et essai[13] ;
- Le centre culturel Jean-Vilar propose notamment des spectacles de théâtre, de musique, de danse, des contes et des expositions[14],[15] ;
- L’office de tourisme propose de nombreuses activités ;
- L'Espace Jeune (ex MJC) propose des concerts de jeunes artistes, des matchs d'improvisation théâtrale et permet aussi de prendre des cours de musique, ainsi que de pratiquer différentes activités sportives ou de loisir.
Événements culturels
- Des concerts de l’orchestre de Marly en l’église Saint-Thibaut[16] ;
- Différentes expositions : les héros de la BD... ;
- Fête des associations[17] ;
- Fête de la musique et de la poésie[18] ;
- Cycle européen[19] ;
- Carnaval ;
- Fête de la ville, avec son grand feu d'artifices dans le parc de Marly.
- Les Rencontres de Danse Contemporaine organisées par Dancite[20], au Centre Culturel Jean Vilar.
Marly dans les arts
La ville a servi de modèle a plusieurs peintres, parmi lesquels Hubert Robert, Alfred Sisley et Maurice de Vlaminck (Une rue de Marly-le-Roi, vers 1905[21].).
- Le peintre français Georges Mathieu a intitulé une des œuvres Marly. Il s'agit d'une huile sur toile de 60 par 100 cm datée de (19)65 qui représente, sur un fond bleu sombre, un réseau de lignes parallèles et perpendiculaires surmontées de plusieurs diagonales et de lignes brisées. Elle fut exposée, sous le no 70 en 1965 à la Galerie Charpentier à Paris lors d'une exposition monographique
Peinture impressionniste
En 2002, pour entretenir l'héritage culturel laissé par les Impressionnistes dans les Yvelines, Marly-le-Roi, avec huit autres communes riveraines de la Seine, Carrières-sur-Seine, Chatou, Croissy-sur-Seine, Bougival, Louveciennes, Le Port-Marly, Le Pecq et Noisy-le-Roi, crèe le label et la structure « Pays des Impressionnistes »[22].
Économie
- L'exploitation agricole est restreinte à une sorte d'enclave entre Bailly et Rocquencourt à proximité du fort du Trou d'Enfer.
- Les entreprises installées sur la commune exercent leurs activités dans le secteur tertiaire et occupent une superficie de 61 hectares. Les principales sont :
- les laboratoires pharmaceutiques GlaxoSmithKline dont c'est le siège social français;
- la compagnie d'assurances Axa.
Enseignement
La commune relève de l'académie de Versailles. Les écoles sont gérées par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Éducation nationale de Versailles.
La ville compte six écoles maternelles (Schweitzer, Ramon, Saint-Exupéry, Jean-Rostand, César-Geoffray, Raymond-Gilles), quatre écoles élémentaires publiques (Schweitzer, Jean-Rostand, Champ-des-Oiseaux, Saint-Exupéry), une école élémentaire privée (Blanche de Louvencourt), le collège Louis Lumière, le lycée Louis de Broglie, et les Cours Dali, (enseignement privé à petits effectifs).
Sports
Équipements sportifs
La commune offre plusieurs équipements sportifs : deux piscines municipales (la piscine municipale Franck-Esposito et la piscine intercommunale de Saint-Germain-en-Laye), cinq gymnases (le gymnase du Champ-des-Oiseaux, le complexe sportif du Chenil, le gymnase Ramon, le gymnase des Maigret et le gymnase du Centre), quatre stades (le stade François-Henri-de-Virieu, le stade du Chenil, et le stade de Gally à Saint-Cyr), un centre équestre (poney-club) et un rowing club.
La ville possède d'autre part une école municipale des sports, comprenant plusieurs activités : la section arts du cirque, la section multisport (jeux de ballons : handball, basket-ball, volley-ball, football et rugby ; jeux de raquettes : tennis, badminton, tennis de table ; athlétisme : courses, lancers, sauts, hockey, cross québécois ; rollers, gymnastique, trampoline, piscine) et la section gymnastique.
Événements sportifs
Transports en commun
En 1878 la société anonyme du Tramway à Vapeur de Rueil-Malmaison à Marly-le-Roi (TVRMR), met en service le 14 avril la ligne entre Rueil-Malmaison et Port-Marly. Un train sur deux empruntait l’embranchement vers l’abreuvoir de Marly-le-Roi. En 1891 un accident mortel - une passante et le mécanicien - rapporté par le "supplément illustré" du Petit Journal du 14 novembre eut lieu à la halte Saint-Fiacre (arrêt actuel du la ligne 1 du bus de Saint-Germain-en-Laye à Versailles).
Les bus desservant Marly (1, 9A, 9B, 9D, 10, 15, 18 et 21, 76, 170) font partie du réseau "Entre Seine et Forêt" (gérés par la société Véolia Transport) et permettent de relier Marly-le-Roi à Saint-Germain-en-Laye ou Versailles. La ville est aussi desservie par la ligne ferroviaire Transilien L (Paris Saint-Lazare/Saint-Nom-la-Bretèche via La Défense).
Santé
Marly-le-Roi met à la disposition de ses concitoyens différents centres médicaux : le Centre de protection maternelle et infantile (PMI), le Centre de planification et d’éducation familiale, le Centre médico-psychologique, le Centre médico-psycho-pédagogique, et le S.I.M.A.D. (Service de soins à domicile), le Centre de Rééducation pour aveugles et malvoyants et le Centre thérapeutique de Jour Jean-Ernst. La ville regroupe une dizaine de médecins généralistes et une trentaine de médecins spécialistes. Elle est rattachée au Centre hospitalier de Poissy / Saint-Germain-en-Laye.
Espaces verts
La ville compte près de dix-sept hectares d'espaces verts, dont 458 m2 d'espaces fleuris. Le service des espaces verts réalise deux fleurissements par an et entretient plus de 1 300 arbres : tels que les prunus, les tilleuls, les chênes, les érables, les platanes, les aubépines, les marronniers, les catalpas, les liquidambars, et les acacias.
Cultes
- Églises catholiques : église Saint-Vigor, église Saint-Thibaut, et chapelle Sainte-Amélie ; ces deux dernières sont situées géographiquement sur la commune du Pecq mais font partie de la paroisse de Marly-Le Pecq-L'Étang-la-Ville;
- Église protestante, réformée : le centre paroissial se situe chemin des Maigrets.
Marly possède deux cimetières : Bouilhet et Genêtrière.
Personnalités liées à la commune
- L'architecte Jules Hardouin-Mansart y est décédé en 1708.
- Le poète, romancier et auteur dramatique André Theuriet y est né en 1833.
- Le dramaturge Victorien Sardou qui habitait le château de Verduron fut maire de Marly en 1870 et 1871.
- Le peintre Alfred Sisley y vécut de 1874 à 1878.
- Le musicien André Lafosse y est né en 1890, il a été soliste à l'Opéra de Paris et professeur de trombone au CNSM de Paris
- Le sculpteur Aristide Maillol y demeurait le plus souvent dans une maison qu'il avait construit lui-même. Il y sculpta et y dessina sa muse Dina Vierny dans la seconde moitié des années 30.
- Le romancier et auteur dramatique Alexandre Dumas fils y est décédé en 1895.
- Le musicologue Jean Witold fut président d'honneur de l'association musicale qui deviendra l'Orchestre de Marly.
- Le maître cuisinier de France André Guillot y exerça de 1952 à 1972.
- Le journaliste François-Henri de Virieu a été maire de cette commune, de 1995 jusqu'à son décès en 1997.
- Le groupe Danakil y fit ses débuts en 2000
- L'humoriste René Cousinier mort en 2007 est enterré au cimetière Bouilhet.
- L'architecte Marcel Lods y a conçu l'ensemble résidentiel Les Grandes Terres, et y vécut.
- La comédienne Simone Renant est inhumée dans cette ville.
- Roberto Mazo-Ochoa, poète hongrois
Héraldique
Les armes de Marly-le-Roi se blasonnent ainsi : écartelé, au premier et au quatrième d'azur au soleil d'or, au deuxième et au troisième d'or à la croix de gueules treillissée d'argent et cantonnée de quatre aiglettes d'azur Le blason de Marly-le-Roi fut créé en 1942, les soleils symbolisent Louis XIV, les alérions (petits aigles) sont les armes des Montmorency, premiers seigneurs de Marly-le-Roi, les couleurs bleu et jaune sont les couleurs royales. |
Galerie
-
L'hôtel Couvé, vue de la cour.
-
L'église Saint-Vigor, vue latérale.
-
Rue de Marly, vue par Alfred Sisley, 1876.
-
Le lavoir de la rue Thibault.
-
La gare.
-
Le Parc royal, musée-promenade.
-
L'hôtel Couvé, ancienne mairie.
-
Accident de tramway à Saint-Fiacre 1891.
Voir aussi
Bibliographie
- Antoine Le Bas, La Celle-Saint-Cloud, Marly-le-Roy : Yvelines, Lieux Dits Editions, (ISBN 978-2905913241)
- L'histoire de Marly-le-Roi, des origines à 1914, présences et forces, Pierre Nickler avec la collaboration de Christiane Neave, éditions Champflour, Marly-le-Roi, 1996, ISBN 2-87655-030-X
- Les petits trains et les tramways des Yvelines et de l'Ouest parisien du XIXe siècle aux années 2000 par Claude Wagner - Éditions du Valhermeil, 1997 (ISBN 2-905684-85-2).
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Site de l'office du tourisme
- Musée-Promenade de Marly-le-Roi - Louveciennes
- Fortifications de la forêt de Marly-le-Roi
- Résumé statistique de Marly-le-Roi sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 569
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Avenue des Combattants on peut voir des moellons de marbre rose dans un mur de clôture.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Évolution et structure de la population à Marly-le-Roi en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- La patrimoine
- Jumelage
- La bibliothèque.
- Le conservatoire de musique Roger Bourdin.
- Le cinéma Le Fontenelle.
- Le centre culturel Jean Vilar sur le site de la mairie.
- Le site du centre culturel Jean Vilar
- Concerts de l’orchestre de Marly.
- Fête des associations.
- Fête de la musique.
- Evènements culturels à Marly.
- [1]
- Paris, Musée national d'art moderne, Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou
- Clarisse Josselin, Le Pays des impressionnistes est né, Le Parisien, 27.02.2002.
- La Foulée Marlychoise.
- Le tournoi open de tennis.