Homécourt

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Homécourt
Homécourt
Église de la Nativité-de-la-Vierge.
Blason de Homécourt
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Briey
Intercommunalité Communauté de communes Orne Lorraine Confluences
Maire
Mandat
Jean Toniolo
2020-2026
Code postal 54310
Code commune 54263
Démographie
Gentilé Homécourtois[1]
Population
municipale
6 247 hab. (2021 en augmentation de 1,46 % par rapport à 2015)
Densité 1 407 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 25″ nord, 5° 59′ 36″ est
Altitude Min. 175 m
Max. 282 m
Superficie 4,44 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Jœuf
(ville-centre)
Aire d'attraction Val de Briey
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Jarny
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Homécourt
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Liens
Site web https://www.ville-homecourt.fr/

Homécourt est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est. C'est l'une des trois villes-centres de l'unité urbaine de Jœuf.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Homécourt se situe dans le Nord-Est de la France et fait partie du département de Meurthe-et-Moselle dans le pays Haut.

La commune est chef-lieu de canton depuis 1973 dans l'arrondissement de Briey et se compose comme suit (du nord au sud) : Moutiers, Homécourt, Auboué, Hatrize, Moineville, Batilly, Jouaville et Saint-Ail.

Son point culminant est approximativement à 282 mètres d’altitude.

C’est la seule commune en France à porter ce nom. Les habitants sont appelés les Homécourtois et les Homécourtoises.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 773 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Homécourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Jœuf, une agglomération inter-départementale regroupant 6 communes[12] et 22 589 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Val de Briey, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (52,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (46,3 %), forêts (25,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), terres arables (0,8 %), prairies (0,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Wucort et Vuecourt (1132), Hemecourt (XIIIe siècle), Hameicort (1260), Viecortz (1261), Hamelecourt (1281), Vieicourt (1292), Hameicourt (1307), Howucourt (1338), Hammecourt (1433), Houecour (1658), Hernecourt (1680).
  • En lorrain : Hameco.

Histoire[modifier | modifier le code]

Homécourt est mentionné dans les écrits à partir du XIIe siècle. Sous le nom de Wucourt ou Vuecourt en 1132, de Hameicourt en 1260, Haulmécourt en 1301, Honecourt en 1658 et enfin de Haumecourt en 1831 avant d'arriver à sa forme actuelle de Homécourt depuis 1850. Néanmoins des découvertes archéologiques attestent de l'occupation des sols dès le Ier siècle.

En 1880, dans une carrière en exploitation, au lieu-dit Grande Fin, des sépultures mérovingiennes sont mises au jour. Au XIIe siècle, une forteresse dite "Castrum Rista" (fortification du château de la famille de Riste de Lunéville) est signalée à l'emplacement d'un éperon barré. Le château est rasé en 1215 par Henri II. Sur la rive gauche de l'Orne, un moulin dit « moulin de la Roche » est signalé ainsi que des vestiges de fours à pain et un puits. Sur la rive droite de l'Orne, un second moulin datant du XIIe siècle est signalé.

Village du duché de Bar, Homėcourt est rattaché au Royaume de France en 1766 puis fait partie du département de la Moselle en 1790 mais reste français en 1871.

Entre 1871 et 1914, Homécourt fait office de village-frontière avec l'Allemagne. En 1895, le village agricole de 500 habitants devient un bourg sidérurgique. Sa population augmente considérablement atteignant plus de 7 000 habitants en 1914.

Le , un bataillon allemand pénètre en France et détruit la station d'Homécourt[18].

Entre 1940 et 1944, de nombreux réseaux de résistance voient le jour pour aider les prisonniers évadés des stalag et offlag. Le curé d'Homécourt et son acolyte de Jœuf sont au nombre des membres actifs. La frontière se situant à quelques pas de la cure, les prisonniers sont guidés chez Paul Mary et se voient gratifiés de faux papiers d'identité. Envoyé en déportation, le chanoine Delwal de Jœuf n'en revint pas.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1892 1912 Emile Daum    
1919 1924 Joseph Felten    
septembre 1924 septembre 1934 Georges Firling    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1959 mars 1971 Gaston Perrin SFIO Agent de sécurité
mars 1971 juin 1986 Christian Grosgeorge PCF suppléant du député Gilbert Schwartz (1973-1978)
juin 1986 juillet 2020 Jean-Pierre Minella[19] PCF Retraité salarié du secteur privé, conseiller général du canton d'Homécourt (1985-2015)
juillet 2020 En cours Jean Toniolo[19],[20] DVG Cadre administratif et commercial d'entreprise

Jumelages[modifier | modifier le code]

La ville d'Homécourt est jumelée avec[21] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 6 247 habitants[Note 4], en augmentation de 1,46 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1836 1841 1861 1866 1872 1876
201218233302317270283284319
1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
5055215255733 1455 1377 0064 8227 773
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
8 3587 2046 7028 04810 24510 61610 1568 2207 088
1999 2006 2007 2012 2017 2021 - - -
6 8176 5516 5126 2596 1766 247---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le village d'environ 300 habitants à la fin du XIXe siècle va devenir progressivement une ville qui va atteindre 7 006 habitants en 1911, notamment à la suite de l'exploitation de l'usine sidérurgique d'Homécourt et à la construction des cités ouvrières sous la direction des mine et usine. Après la Seconde Guerre mondiale, l'extension des lotissements de la Petite Fin et de la Grande Fin portera ce chiffre à 10 616 au recensement de 1968. Avec la fermeture de la mine en 1981 et la fermeture de l'usine en 1983, la population va chuter graduellement jusqu'à 6 291 habitants en 2011.

Économie[modifier | modifier le code]

Secteur secondaire[modifier | modifier le code]

Sidérurgie[modifier | modifier le code]

En 1885, la société Vezin-Aulnoye entreprend un premier fonçage sans succès. En 1895, l'exploitation du puits du fond de la Noue débute. En 1950, la mine d'Homécourt est considérée comme la plus automatisée. Son déclin, consécutif à la conjoncture économique, débute en 1960 jusqu'à sa fermeture définitive en 1981.

Hôtel des ouvriers, 1898.

L'origine de l'usine d'Homécourt remonte à la fin du XIXe siècle. En 1889, la société Vezin-Aulnoye commence la construction d'une usine sidérurgique sur le plateau du Haut des Tappes. L'exploitation débute en 1901. L'usine est composée de deux hauts-fourneaux. Un troisième haut-fourneau destiné à produire 200 tonnes de fonte par jour est allumé en 1904, puis un quatrième en .

Afin de loger sa main d'œuvre notamment composée d'émigrés[Note 5], la direction des mines et usines fait construire des cités ouvrières : la Petite Fin, la Grande Fin, la gare ainsi que l'hôtel des Ouvriers situé près de la gare.

En , l'usine est cédée à la compagnie des forges et aciéries de la marine. En 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale, cette usine est en pleine prospérité. L'usine est détruite durant la guerre.

Après la période de reconstruction, les hauts-fourneaux sont remis à feu entre et novembre 1926 puis subissent une nouvelle éclipse pendant la Seconde Guerre mondiale.

En 1964, les cinq hauts-fourneaux, situés sur une ligne nord-sud perpendiculaire à la vallée de l'Orne, sont chargés par skips et produisent 2 400 tonnes de fonte par jour.

Avec la crise européenne de la sidérurgie, au milieu des années 1970, l'activité fonte s'arrête sur le site, laissant un site et un environnement pollués par différents métaux lourds et les crassiers de l'usine. Depuis la réhabilitation se poursuit sur les sites et sols pollués, par des techniques expérimentales de phytoremédiation associant plantes et champignons[26].

L'usine d'Homécourt a changé plusieurs fois de nom au cours de son exploitation : La Marine en 1903, SIDELOR en 1951, Wendel-SIDELOR en 1968, et pour finir SACILOR en 1973. Elle est arrêtée définitivement en .

La SOLPA[modifier | modifier le code]

En 1908, la famille vosgienne Charles Pierre ouvre une boucherie rue Carnot, qui est déplacée en 1911 dans la rue Clemenceau. En 1927, dans un grand local construit sur le pâquis, la famille Pierre commence une activité de conserverie qui deviendra en 1930, la Société Lorraine de Produits Alimentaires[27]. Cette usine compte jusqu'à 600 salariés au début de la Seconde Guerre mondiale.

La SOLPA est rachetée en 1959 par Herta, qui connaît une expansion jusqu'en 1971, avant de déposer le bilan de la SOLPA en 1979. Les locaux de l'établissement sont occupés de 1980 à 1983. À l'issue de cette occupation, la coopérative ouvrière de production (COP) SOSALOR est constituée. Elle disparaît à son tour au bout d'une quinzaine de mois.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifice civils[modifier | modifier le code]

Château d'Homécourt.
  • Vestiges préhistoriques et antiques, existence d'une nécropole franque fouillée de 1881 à 1907 (mobilier aux musées de Metz et de Nancy).
  • Château de Riste, château fort dans le bois de Riste, époque de construction : XIIe siècle (détruit) ; XIVe siècle, XVe siècle (?). Château cité au XIIe siècle, appartenant à Conrad de Riste et son frère Folmar de Hombourg, fils du comte de Lunéville, pris et démoli en 1215 par Henri II de Bar comte de Bar, reconstruit au XIVe ou XVe siècle (aujourd'hui il ne reste que quelques ruines)
  • Château d'Homécourt, château construit par les maîtres de forges à la fin du XIXe siècle, reconverti en école de commerce puis galerie d'art et chambres d'hôtes, et aujourd'hui en résidence senior[28].

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église paroissiale de la Nativité-de-la-Vierge construite en 1828, date avec référence, en remplacement d'une chapelle très ancienne.
  • Ancienne chapelle des ouvriers construite en 1898.
  • Ancienne chapelle Saint-Paul construite au XXe siècle, quartier Grande Fin, aujourd'hui désaffectée.

Homécourt au cinéma[modifier | modifier le code]

Le film La Provinciale, avec Nathalie Baye, a en partie été tourné à Homécourt et dans la commune voisine de Joeuf[29],[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-Louis Foncine (1912-2005), auteur de romans pour la jeunesse et codirecteur de la collection Signe de piste, né à Homécourt.
  • François Calaque (1940-1998), fondateur de la société Starsem qui a commercialisé le lanceur spatial russe Soyouz en Europe, est né dans cette commune.
  • Alain Lithaud (1947-2023), compositeur de musique électro-acoustique, né à Homécourt.

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Homécourt Blason
Parti : au premier mi-parti d'azur semé de croisettes recroisetées au pied fiché d'or aux deux bars adossés du même brochant sur le tout, au second d'argent au convertisseur de sable flamboyant de gueules soutenu de sa cuve aussi de sable.
Détails
Adopté le 26 avril 1951

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. 200 ouvriers italiens (deux reçurent des balles) ont délivré un de leurs camarades captif des douaniers d'Homécourt (cf. Félix Fénéon, Nouvelles en trois lignes, Paris, Libella, coll. « Libretto », (1re éd. 1906) (ISBN 978-2-36914-446-5), p. 79).

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Gentilés des communes de Meurthe et Moselle », sur www.habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Homécourt et Doncourt-lès-Conflans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Jœuf », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Le 19e bataillon de chasseurs à pied pendant la guerre 1914-1918
  19. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur letelegramme.fr (consulté le ).
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  21. (pl)Miasta partnerskie
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. BEGUIRISTAIN T, BIDAR G, JONER E., LEYVAL C. : Utilisation de plantes mycorhisées pour réhabiliter un sol industriellement pollué par des métaux lourds et des HAP dans le nord-est de la France (Homécourt). ADEME « Première rencontre nationale de la recherche sur les sites et sols pollués », Paris, 12 et 13 décembre 2002
  27. Joan MOÏSE avec la collaboration du CPHJ et la Mémoire du Pays de l’Orne., « patrimoIne / homécourt / La Solpa, ou l’épopée d’un boucher-charcutier », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Château d'Homécourt, en Lorraine, 54310 Homécourt
  29. Savez-vous quel film avec Nathalie Baye a été tourné à Homécourt ?, Le Républicain lorrain, 15 juillet 2022
  30. Quand Nathalie Baye tournait à Homécourt dans "La Provinciale", Le Républicain lorrain, 16 juillet 2022