Boigny-sur-Bionne

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Boigny-sur-Bionne
En haut, carriole mise en valeur par le fleurissement,
au milieu, ancienne école de Boigny, aujourd'hui salle du conseil municipal et salle des mariages,
en bas, fresque Terre de Jeux 2024.
Image illustrative de l’article Boigny-sur-Bionne
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loiret
Arrondissement Orléans
Intercommunalité Orléans Métropole
Maire
Mandat
Luc Milliat
2020-2026
Code postal 45760
Code commune 45034
Démographie
Gentilé Boignaciens
Population
municipale
2 094 hab. (2021 en diminution de 3,68 % par rapport à 2015)
Densité 278 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 55′ 42″ nord, 2° 00′ 36″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 121 m
Superficie 7,53 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Orléans
(banlieue)
Aire d'attraction Orléans
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Jean-de-Braye
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Boigny-sur-Bionne
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Boigny-sur-Bionne
Liens
Site web boignysurbionne.fr

Boigny-sur-Bionne est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Ses habitants sont appelés les Boignaciens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Boigny-sur-Bionne se trouve dans le centre du département du Loiret, dans la région agricole du Val de Loire[2] et l'aire d'attraction d'Orléans[3]. À vol d'oiseau, elle se situe à 8,2 km d'Orléans[4], préfecture du département, et à 4,4 km de Chécy, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie d'Orléans[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes les plus proches sont : Marigny-les-Usages (3 km), Combleux (3,7 km), Saint-Jean-de-Braye (4,3 km), Vennecy (4,3 km), Semoy (4,4 km), Chécy (4,4 km), Chanteau (4,9 km), Mardié (6,1 km), Rebréchien (6,8 km) et Fleury-les-Aubrais (6,8 km)[5].

Communes limitrophes de Boigny-sur-Bionne
Marigny-les-Usages Traînou
Vennecy
Saint-Jean-de-Braye Boigny-sur-Bionne Mardié
Chécy

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Carte géologique de la commune de Boigny-sur-Bionne.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur à Pliocène inférieur.)
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1MBI : Marnes de Blamont (Aquitanien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)

La région d'Orléans se situe dans le sud du Bassin parisien, vaste cuvette composée d'un empilement de couches sédimentaires d'origines essentiellement détritiques (issus de l'érosion d'anciennes chaînes de montagnes) et carbonatées (précipitation de carbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent du Trias (- 250 millions d'années) au Pliocène (- 23 millions d'années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions de périodes glaciaires et interglaciaires au Quaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place, terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de la Loire[6],[7].

Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les calcaires de Pithiviers (m1CPi), les marnes de Blamont (m1MBI) et les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO), affleure sur les flancs de la Bionne[8]. Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôts burdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent les parties est et ouest du territoire communal. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés de feldspaths kaolinisés et friables, de silex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[9],[8]. Le lit mineur de la Bionne est quant à lui constitué d'alluvions récentes (Fz) datant de l'Holocène, des sables quartzeux émoussés repris des Sables de l'Orléanais sous-jacents érodés par le cours d'eau[7].

Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomènes karstiques : les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur. Les manifestations en surface de ces fragilités sont courantes dans la région orléanaise. En 2003, le BRGM a inventorié vingt-neuf cavités sur la commune, dont neuf gouffres et des dolines (dépressions circulaires ou elliptiques)[10].

Le territoire communal est relativement plat, avec un dénivelé maximal de 25 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de 98 mètres, extrémité sud de la vallée de la Bionne, à 123 mètres, près du lieu-dit Charbonnière à l'ouest de la commune[11],[12]. Le talweg du Grand Bouland, au nord de la commune, recueille les eaux de pluie du secteur[13].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Boigny-sur-Bionne.

Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 7,97 km, comprend un cours d'eau notable, la Bionne (3,847 km), et divers petits cours d'eau dont le Buat (0,501 km)[14].

La Bionne, issue de la confluence des ruisseaux des Esses et du Ruet, présente une longueur totale de 18,9 km. Elle prend sa source dans la commune de Loury et se jette dans le Canal d'Orléans à Saint-Jean-de-Braye, après avoir traversé 7 communes[15].

Sur le plan piscicole, la Bionne est classée en deuxième catégorie piscicole. L'espèce biologique dominante est constituée essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche). Depuis les années 1990 ce type de rivière est également peuplé de silures[16].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 676 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Fleury-les-Aubrais à 7 km à vol d'oiseau[19], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 728,8 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Environnement[modifier | modifier le code]

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Bois et forêts

La commune compte une proportion importante d'espaces boisés, notamment l'ensemble formé par le bois des Glands, le bois du Chêne de la volée, le bois des Monbrauches, et le bois des Trois arches (bois privés).

Sur sa frontière ouest, en limite de la forêt d'Orléans, la commune comprend une petite portion du parc (public) du château de Charbonnière (180 ha), partagé avec Saint-Jean-de-Braye et Marigny-les-Usages. Plus de quatre-vingts espèces d’oiseaux y ont été recensées : pics, mésanges, fauvette, geai, chouette, bondrée. Les grands mammifères y sont également présents : cerf élaphe, sanglier. La flore du parc comprend orchidées protégées, charme, chêne, châtaignier, noisetier, pin sylvestre, lierre, millepertuis, muguet, fougère, bruyère, callune.

Renaturation de la Bionne à Boigny.
Arbres remarquables

Le parc de Charbonnière et le bois du Chêne de la volée comptent plusieurs chênes de grande taille.

L'étang de l'ancien parc du château de La Salle (disparu) compte un spécimen de cyprès chauve de 4,30 m de circonférence pour environ 30 m de haut, qui a développé des pneumatophores (racines aériennes). Deux autres spécimens, dont l'un atteint 5,40 m de circonférence, sont visibles non loin de là, au bord de l'étang du château de Charbonnière, sur la commune de Saint-Jean-de-Braye.

Milieux humides

La Bionne et ses rives sont aussi un milieu écologiquement riche.

Entre 2019 et 2022, la rivière a fait l'objet d'une opération de renaturation, visant à restaurer son lit mineur, sa ripisylve et ses berges, et à rétablir sa continuité écologique[23],[24],[25],[26].

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Deux fleurs ont été attribuées à la commune par le Conseil national de villes et villages fleuris pour le fleurissemnent et pour l'attention prêtée au cadre de vie et à la biodiversité[27],[28].

À la limite sud de la commune, l'île de la Bionne est partiellement aménagée (chemin, passerelles, bancs, fontaine, jeux pour enfants[29]), et partiellement laissée dans son état naturel. Un nouveau cheminement le long de la Bionne, en amont de l'île, baptisé « Chemin des ponts », a été aménagé en 2021[30].

Plusieurs bassins de rétention des eaux pluviales ont été traités d'une façon novatrice, de façon à favoriser la biodiversité[31].

En 2021, la commune a été reconnue « Territoire engagé pour la nature »[32],[33].

En 2022, la cour de l'école a été réaménagée en cour végétalisée, avec plusieurs dispositifs innovants, dont un revêtement absorbant les eaux pluviales[34],[35].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Boigny-sur-Bionne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[36],[37],[38].

Elle appartient à l'unité urbaine d'Orléans, une agglomération intra-départementale regroupant 19 communes[39] et 287 541 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[40],[41].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orléans dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[42],[43].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (42,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :

  • forêts (38,3 %),
  • terres arables (31 %),
  • zones agricoles hétérogènes (11,8 %),
  • zones urbanisées (11 %),
  • zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,9 %)[44].

L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier principal de la commune de Boigny-sur-Bionne (avec indication du trafic routier 2014).

Boigny-sur-Bionne est desservie par deux grands axes routiers :

  • la route départementale 2060, à deux fois deux voies et d'axe est-ouest (Montargis-Orléans), qui effleure le sud de la commune,
  • la route départementale 2152, d'axe nord-sud (Pithiviers-Orléans), qui borde l'ouest de la commune.

La commune est desservie par les lignes de bus 12, 15 et la ligne scolaire 57, et depuis 2022 par le service de bus à la demande Résa'Tao.

Au nord-ouest de la commune, une voie ferrée réservée au fret dessert l'entreprise GXO. Un second embranchement, désaffecté, desservait l'entreprise Lexmark.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

La commune de Boigny-sur-Bionne est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible).

Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses [45].

Canalisation de gaz sous haute pression près de Boigny.

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Entre 1989 et 2021, neuf arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune : quatre pour des inondations et coulées de boues et cinq pour des mouvements de terrain[46].

Le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[47]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[48].

Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[49].

Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante[50]. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[46].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'une canalisation de gaz naturel[51] et d'itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (les routes départementales 2152 et 2060)[45],[52].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Boigny-sur-Bionne sur la carte de Cassini (limites communales modernes en jaune).
Formes successives du nom attestées pour la paroisse[53],[Note 3]
  • De Boigniaco : 1321 (Cartulaire de Sainte-Croix d’Orléans, p. 541) ;
  • Boigné : Décembre 1389 (A.N.-JJ 136, n° 271, fol.168) ;
  • Boigny : Février 1401 (A.N.-JJ 156, n° 6, fol. 4) ;
  • Boigny : Décembre 1466 (A.N.-JJ 202, n° 7, fol. 6) ;
  • Boigny : 1740 (B. M. d’Orléans,Ms 995, fol. 21) ;
  • Boigny : XVIIIe siècle (Carte de Cassini) ;
  • Boigny-sur-Bionne : Décret du 21 février 1933

Boigny pourrait être dérivé du bas latin Boniacus, formé à partir du gentilice Bonius — issu de Bonus, « Le Bon », ou du gaulois Bonos —, et du suffixe acus[53],[54].

La première mention du lieu apparaît en 1321 dans le cartulaire de Sainte-Croix sous le terme Bonhiaco (Ecclesia de Bonhiaco, 1321, Cartulaire de Sainte-Croix, p. 540) et Boigniaco (Presbiter de Boigniaco, 1321, ibid., p. 541)[55]. La graphie actuelle est attestée à partir de 1401, puis apparaît en 1466, en 1740 ou au XVIIIe siècle sur la carte de Cassini[53].

Le le Préfet du Loiret fait savoir aux maires du département que le gouvernement a été saisi d'une demande de la chambre de commerce de Paris « tendant à ce qu'un nom de complément soit donné aux localités qui portent une dénomination identique » afin d'éviter toute confusion dans les transmissions postales et le transport des marchandises. Boigny fait partie des communes concernées, puisqu'elle porte le même nom qu'un hameau de la commune de Baulne et un lieu-dit de Méréville, tous deux dans l'Essonne, et qu'un lieu-dit de Villermain (Loir-et-Cher) ; la confusion est également évoquée avec Bonny (Loiret). À l'époque, le conseil municipal ne donne pas suite. Finalement, en 1931, le conseil municipal de Boigny se prononce en faveur de l'adoption du nom de Boigny-sur-Bionne[56]. Le changement de nom est acté par décret préfectoral en date du [57].

Histoire[modifier | modifier le code]

Sépulture mise au jour lors des fouilles archéologiques.

Antiquité et Moyen Âge[modifier | modifier le code]

L'occupation de Boigny remonte à l'âge du fer. Des fouilles archéologiques menées en 2019 et en 2021 au nord de l'église ont mis au jour les traces d'une ferme gauloise, les vestiges d'une importante villa gallo-romaine, et des signes d'occupation médiévale[58],[59],[60],[61],[62],[63].

Commanderie de Boigny, ruines de la chapelle en 1798. Aignan-Thomas Desfriches

En 1154, le mariage de Louis VII dit le jeune avec Constance de Castille est célébré à Boigny sur Bionne[64]. La même année, Louis VII fait don du domaine royal de Boigny à l’Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem, qui y installe une léproserie.

En 1254, Louis IX dit Saint Louis confirme les donations de ses prédécesseurs. La commanderie de Boigny devient le siège de l’Ordre des Chevaliers de Saint-Lazare[65]. Aujourd'hui encore, le château de Boigny reste la commanderie magistrale de l'Ordre militaire et hospitalier de Saint-Lazare[66].

Révolution française, XIXe siècle[modifier | modifier le code]

L'année 1790 voit l’élection du premier maire, qui n’est autre que le curé, et la vente du château et du presbytère comme biens nationaux.

En 1865, à la suite des lois de Jules Ferry, l’école est construite. Elle deviendra plus tard une annexe de la mairie, puis la salle du conseil municipal.

Pendant la guerre franco-allemande de 1870, Boigny est occupé par les Prussiens. Le village doit verser une indemnité de guerre de 200 francs.

XXe siècle[modifier | modifier le code]

Monument aux fusillés du 7 août 1944 dans la forêt de Charbonnière.
Première Guerre mondiale

Le parc du château de la Salle accueille le 138e régiment d'infanterie territoriale pendant son entraînement.

Dix-sept habitants de Boigny meurent sous l'uniforme.

Après la guerre, à la suite d'une erreur dans le rapatriement des corps, un soldat de Rang, dans le Doubs, se retrouve inhumé dans le cimetière communal[67].

Seconde Guerre mondiale

Cinq hommes sont faits prisonniers de guerre, un travailleur est requis par l'occupant allemand.

Au printemps 1944, un inconnu est fusillé dans le bois des Trois Arches.

Le , quatre ouvriers agricoles — pris en otages près de Vendôme — sont fusillés dans la forêt de Charbonnière[68].

Le , un détachement de la 3e armée du général Patton franchit le pont sur la Bionne.

Galeries[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Organisation territoriale issue de la Révolution française et de l'Empire[modifier | modifier le code]

Le décret de l'Assemblée Nationale du décrète « il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[69]. En 1790, dans le cadre de la création des départements, le Loiret compte 367 municipalités, rattachées à 59 cantons et 7 districts[70]. La municipalité de Boigny est rattachée au canton de Saint-Jean-de-Braye et au district d'Orléans[71]. Le terme « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, est imposé par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () : « La Convention nationale, sur la proposition d’un membre, décrète que toutes les dénominations de ville, bourg ou village sont supprimées et que celle de commune leur est substituée »[72]. Ainsi la municipalité de Boigny devient formellement « commune de Boigny » en 1793[71].

Les cantons sont supprimés en tant que découpage administratif par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l’élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[73],[74]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[73]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 58 à 31[Note 4],[75]. Boigny est rattaché au canton de Chécy et à l'arrondissement d'Orléans par arrêté du 9 vendémiaire an X ()[76],[71],[77]. En 1806, la commune est rattachée au canton d'Orléans-Nord-Est, un canton nouveau formé d'une commune de l'ancien canton d'Ingré, supprimé, de sept communes issues du canton de Neuville et de trois issues du canton de Patay[78].

Découpage et rattachements actuels[modifier | modifier le code]

En 1982, la commune est rattachée au canton de Chécy[79].

Elle dépend du canton de Saint-Jean-de-Braye pour l'élection des conseillers départementaux depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[80], et de la sixième circonscription du Loiret pour les élections législatives depuis le découpage électoral de 2010[81].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Orléans, au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire[80].

La commune de Boigny-sur-Bionne est membre de l'intercommunalité Orléans Métropole, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Orléans. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux. En 2020, il s'agit du Syndicat mixte aménagement desserte aérienne de l'Ouest du Loiret (SMAEDAOL), du Syndicat mixte des bassins versants de la Bionne et du Cens et du Syndicat mixte d'aménagement hydraulique (SMAH) du bassin de la Retrêve et de son affluent le ruisseau du Renard[82].

Politique et administration municipales[modifier | modifier le code]

Mairie de Boigny.

Conseil municipal et maire[modifier | modifier le code]

Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Boigny-sur-Bionne, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[83], pour un mandat de six ans renouvelable[84]. Il est composé de 19 membres[85]. L'exécutif communal est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil. Luc Milliat est maire depuis 2014.

Liste des maires successifs[86]
Période Identité Étiquette Qualité
1896 1904 Louis-Étienne Hue   Maréchal-mécanicien
1904 1919 Théodule Vrain    
1919 1927 Auguste Vaslin    
1927 1931 Émile Landré    
1931 1941 Charles Fortin    
1941 1945 Gabriel Vaslin    
1945 1962 Gaston Hue   Maréchal-mécanicien
1962 1977 Pierre Brûlé   Charron-carossier
1977 1977 Francis Oliver PS Enseignant[87],[88]
1977 1977 Desurmont    
1978 2008 Francis Oliver PS  
2008 2014 Michèle Fouliard PS  
mars 2014 En cours Luc Milliat[89],[90]   Artisan

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune a été jumelée avec Ponchapt (Dordogne)[91]. Une rue de Boigny a été baptisée rue de Ponchapt.

Boigny fait partie du Comité solidarité Roumanie, qui lie l'ancien canton de Chécy à la commune de Hodod, en Roumanie[92].

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Ancien puits aux Tertres.

Gestion de l'eau[modifier | modifier le code]

Eau potable[modifier | modifier le code]

Depuis l'adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[93], le service public d'eau potable est une compétence obligatoire des communes. Jusqu'au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal a été assurée en régie par le Syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable (SIAEP) Vals Loire Bionne & Cens[94].

La gestion de l’eau étant une compétence obligatoire des communautés urbaines[95] et des métropoles[96], la communauté urbaine d'Orléans s'est substituée à la commune pour la mise en œuvre du service public d'eau potable le , puis c'est la métropole Orléans Métropole qui a pris cette compétence le .

La ville de Boigny-sur-Bionne est alimentée en eau potable par le forage Le moulin à vent, mis en service en 1981, pompant l'eau dans la nappe souterraine de la craie du séno-turonien[97].

Eaux usées[modifier | modifier le code]

Station de relèvement des eaux usées.

La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte[98], est assurée depuis le par la Communauté de l'Agglomération Orléans Val de Loire, puis le par la communauté urbaine et enfin depuis le par Orléans Métropole[99].

Depuis le , la métropole a signé un contrat de délégation de service public avec la société Suez Environnement pour l'exploitation des réseaux et ouvrages de transport de 11 communes du territoire métropolitain dont Boigny-sur-Bionne[100]. Le réseau comprend un réseau séparatif eaux usées de 14 537 ml et un réseau d'eaux pluviales de 10 779 ml. Sur la commune, on compte 9 stations de relevage pour les eaux usées[99]. Ces stations peuvent contenir de une à quatre pompes dont les puissances varient de 1,3 kW à 140 kW (soit de 3 l/s à 450 l/s)[101].

Un zonage d'assainissement, qui délimite les zones d'assainissement collectif, les zones d'assainissement non collectif et le zonage pluvial[102] a été réalisé par l’AgglO et a été approuvé par délibération du conseil de communauté du [103].

La commune est raccordée à la station d'épuration de Chécy[104]. Cet équipement, d'une capacité de 25 000 EH, a été mis en service le [105]. Depuis mai 2016, son exploitation est assurée par Veolia[100].

Gestion des déchets[modifier | modifier le code]

Sites de collecte, de traitement et de valorisation des déchets de la communauté urbaine d'Orléans Métropole, avec localisation de la commune de Boigny-sur-Bionne.

La collecte, le traitement et la valorisation des déchets est une compétence exclusive de la communauté urbaine Orléans Métropole depuis 2000 (l'intercommunalité était alors communauté de communes). La collecte des déchets ménagers (résiduels[Note 5] et multimatériaux) est effectuée en porte-à-porte sur toutes les communes de la communauté urbaine. Un réseau de six déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, cartons…)[106].

Une unité de traitement permettant la valorisation matière des déchets ménagers recyclables (corps creux, corps plats et multimatériaux) et la valorisation énergétique (incinération) des déchets résiduels est en service sur la commune de Saran depuis 1996. Elle est exploitée par la société Orvade, filiale du groupe Veolia[107].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Boîte à livres à Boigny-sur-Bionne.

Boigny-sur-Bionne est situé dans l’académie d'Orléans-Tours et dans la circonscription d’Orléans Est.

La commune possède une école maternelle et primaire, l’école Montesquieu[108]. L'école maternelle compte 3 classes, pour environ 70 élèves (2018), l'école primaire compte 6 classes, soit environ 140 élèves. L'école compte également une classe plume qui accueille sept enfants autistes[109].

À proximité immédiate du village, l'école privée Notre-Dame est située sur la commune de Chécy.

Santé[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée en 2023 d'une Maison de Santé Pluriprofessionnelle, regroupant médecins généralistes et infirmiers[110].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[111]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[112].

En 2021, la commune comptait 2 094 habitants[Note 6], en diminution de 3,68 % par rapport à 2015 (Loiret : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
226195207218348315310352335
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
339306336333326332326324328
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
298292300230230205222212224
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2382761 5961 5161 6191 8902 0672 1062 139
2014 2019 2021 - - - - - -
2 1892 0942 094------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[113] puis Insee à partir de 2006[114].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune a connu un fort accroissement de population entre 1968 et 1975, avec la construction en masse de logements destinés aux salariés d'IBM (l'entreprise comptait alors une implantation à Saint-Jean-de-Braye, et une dans le nord de Boigny), passant de 276 habitants en 1968 à 1 596 habitants en 1975. La croissance démographique a ensuite repris dans les années 2000, pour atteindre un total de 2 105 habitants en 2020.

Vie associative[modifier | modifier le code]

La commune compte une quinzaine d'associations sportives, et autant d'associations culturelles ou de loisirs[115],[116],[117] ,[118].

Manifestations[modifier | modifier le code]

Festival O'Tempo 2022.

La fête patronale a lieu le troisième dimanche de juin, pour la Saint Pierre[119],[120],[121].

Début juillet se tient l'Île aux artistes, qui réunit peintres, illustrateurs, sculpteurs, sur l'île de la Bionne[122].

En août 2021, la commune accueille la première édition du festival de musique populaire O'Tempo, avec Madame Monsieur, Gaël Faye, 47Ter, Ayọ, et Hoshi[123],[124],[125],[126]. La seconde édition, en août 2022, a reçu La Rue Kétanou, Tryo, Céphaz, Tibz, Joyce Jonathan, et Ben[127],[128],[129],[130],[131],[132]. La troisième édition, en août 2023, a accueilli Danakil, Matmatah, La Grande Sophie, Malo', La Zarra, Trois cafés gourmands[133],[134]. La quatrième édition, en août 2024, doit accueillir Claudio Capéo, Pierre de Maere, Superbus, et Black M[135]

En 2021, Boigny organise pour la première fois une marche dans le cadre d'Octobre rose[136],[137]. L'opération est reconduite en 2022 et 2023.

Économie[modifier | modifier le code]

Centre commercial de Boigny-sur-Bionne.

Plusieurs grandes entreprises[138] sont implantées à Boigny-sur-Bionne :

Le vinaigrier Martin Pouret a prévu de transférer son activité à Boigny-sur-Bionne en août 2024[158],[159],[160],[161],[162],[163].

Boigny-sur-Bionne héberge également une dizaine de petites et moyennes entreprises[164],[165], et compte une vingtaine d'artisans et commerçants.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Vitrail représentant Jeanne d'Arc dans l'église Saint-Pierre-ès-Liens.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Galeries[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Portrait d'Eugène Vignat en 1863 par Augustin Monvel

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
  • Abbé Patron, Département du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, Comédit, 1870, réédité en 1991, 511 p. (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
  • Camille Bloch, Cahiers de doléances du bailliage d'Orléans pour les États généraux de 1789 - tome 1, Orléans, Ministère de l'Instruction publique, (lire en ligne)
  • Camille Bloch, Cahiers de doléances du bailliage d'Orléans pour les États généraux de 1789 - tome 2, Orléans, Ministère de l'Instruction publique, (lire en ligne)
  • Christian Poitou, Paroisses et communes de France - Loiret, Paris, CNRS, , 533 p. (ISBN 2-222-02930-9)
  • Collectif, Loiret : un département à l'élégance naturelle, Paris, Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
  • Collectif, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, INED, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, présentation en ligne)
Bulletin municipal n° 40, novembre 1990.

Cahiers du patrimoine, édités par l'association Boigny Patrimoine et Histoire[modifier | modifier le code]

  1. Inventaire des objets du patrimoine
  2. Boigny au fil des ans, de Pierre Brûlé, ancien maire
  3. Cartes postales
  4. Chevaliers de Saint Lazare
  5. L'eau, la flore, la faune
  6. La Vierge aux rochers
  7. L’évolution de l’informatique, de Daniel Koch
  8. Boigny de 1945 à nos jours (en 2 tomes)

Publications municipales[modifier | modifier le code]

  • L'Écho de Boigny, bulletin municipal d'information (trimestriel).
  • Livret d'accueil des nouveaux habitants (édition 2023).

Rapports[modifier | modifier le code]

Filmographie[modifier | modifier le code]

Histoire et patrimoine
  • Communions (activités nautiques dans la Bionne de 9:50 à 10:20) (1957, 13 min, muet, noir et blanc), film tourné par Roger Prenois Visionner la vidéo sur Ciclic.
  • Pèlerinage du 19 juin 1965 (1965, 2 min 30 s, muet, noir et blanc), film tourné en 16 mm par Émile Lauquin Visionner la vidéo sur Ciclic.
  • Pèlerinage de mai 1977, pèlerinage du 1er septembre 1978 (Fêtes, cérémonies, vie quotidienne) (1977-1978, 14 min 30 s, muet, couleur), film tourné en super 8 par André et Jacqueline Poupinel Visionner la vidéo sur Ciclic.
  • La fresque du château d'eau (2000, 4 min 30 s), reportage de A. Couturier et J. Boucher [vidéo] Visionner la vidéo sur Vimeo.
  • Le pigeonnier (2001, 9 min), documentaire de Philippe Absous / Novimage sur l'histoire du pigeonnier de Boigny.
  • Constat d'état préalable à la restauration de la Vierge aux Rochers de l'église de Boigny-sur-Bionne, par Catherine Bernard (2022) [vidéo] Visionner la vidéo sur YouTube.
  • Rue de Verdun (2018, 12 min), documentaire de Claude Humbert sur les Boignaciens morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale [vidéo] Visionner la vidéo sur Vimeo.
  • Boigny, 2019 après J.C. (2020, 11 min), reportage de Claude Humbert sur les fouilles archéologiques menées en 2019 au nord de l'église [vidéo] Visionner la vidéo sur Vimeo.
  • Boigny, 2 500 ans d'occupation (2023, 26 min), documentaire de Claude Humbert sur les fouilles archéologiques 2021.
Environnement
Économie
Société
Actualité et vie quotidienne

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Cette liste, non exhaustive, vise à illustrer l'évolution toponymique et les premières mentions de la paroisse.
  4. La suppression d'un canton d'Orléans par la loi du 8 pluviôse an IX (17 février 1800) avait ramené le nombre de cantons initial de 59 à 58
  5. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Louis VII et son épouse Constance de Castille ont tous deux une rue à leur nom dans la commune.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  30. Un chemin piétonnier créé le long de la Bionne, La République du Centre, 26 octobre 2021
  31. Des ingénieurs danois en visite La République du Centre, 5 avril 2022
  32. Un engagement pour la protection de la biodiversité, La République du Centre, 6 avril 2021
  33. Trois villages du Loiret, aux moyens limités, font de grandes actions pour préserver leur cadre naturel... Comment font-ils ?, La République du Centre, 19 juillet 2021
  34. Sols drainants, arbres et classe en extérieur : la cour de l'école de Boigny-sur-Bionne transformée en oasis, La République du Centre, 8 août 2022
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  115. La Mascarade donne encore quatre représentations, La République du Centre, 8 avril 2023
  116. Belle saison pour la Mascarade, La République du Centre, 30 juillet 2023
  117. « C’est un sacré travail à chaque saison », La République du Centre, 22 février 2024
  118. Les répétitions vont bon train à la Mascarade, La République du Centre, 29 février 2024
  119. Deux jours de fête avec la Saint-Pierre, La République du Centre, 18 juin 2016
  120. La fête de la Saint-Pierre se déroulera ce week-end, La République du Centre, 15 juin 2018
  121. La fête de la Saint-Pierre a attiré un large public, La République du Centre, 24 juin 2022
  122. Une journée artistique dans un cadre champêtre, La République du Centre, 7 juillet 2022
  123. O'Tempo, premier festival d'ampleur dans l'agglo orléanaise depuis près d'un an, La République du Centre, 26 août 2021
  124. À Boigny-sur-Bionne, petit festival O'Tempo deviendra grand, La République du Centre, 27 août 2021
  125. Avant Hoshi et Ayo aujourd'hui, Gaël Faye était dans le bon O'Tempo, samedi, à Boigny, La République du Centre, 29 août 2021
  126. À Boigny-sur-Bionne, le tout jeune festival O'Tempo a pris son envol, La République du Centre, 29 août 2021
  127. "Sans les bénévoles, O'Tempo n'existerait pas" : le festival de Boigny-sur-Bionne se prépare, La République du Centre, 22 août 2022
  128. Dernière ligne droite pour la deuxième édition du Festival O'Tempo à Boigny-sur-Bionne, La République du Centre, 25 août 2022
  129. Percussionniste du groupe Tryo, Danielito se confie avant leur concert au festival O'Tempo, à Boigny-sur-Bionne, La République du Centre, 26 août 2022
  130. Avec Tryo et La Rue Kétanou, le Festival O'Tempo transforme l'essai à Boigny-sur-Bionne, La République du Centre, 26 août 2022
  131. Près d'Orléans, le tout jeune Festival O'Tempo est promis à un bel avenir, La République du Centre, 27 août 2022
  132. Le festival de Boigny-sur-Bionne garde le bon tempo avec Céphaz, Tibz et Hatik, La République du Centre, 27 août 2022
  133. À Boigny-sur-Bionne, le festival O’Tempo débute sans soleil mais avec ardeur !, La République du Centre, 26 août 2023
  134. À Boigny-sur-Bionne, la pluie n’a pas entamé le moral du festival O'Tempo, La République du Centre, 27 août 2023
  135. Qui sont les artistes qui rejoignent Black M et Chiloo à l'affiche du festival O'Tempo de Boigny-sur-Bionne ?, La République du Centre, 18 janvier 2024
  136. Des guirlandes installées dans le cadre d’Octobre rose, La République du Centre, 2 octobre 2021
  137. Une marche organisée au profit de l’institut Curie, La République du Centre, 6 octobre 2021
  138. Entreprises à Boigny-sur-Bionne (45760), Le Figaro, 23 août 2020
  139. La société Alstef s’agrandit, La République du Centre, .
  140. Alstef investit 3 millions d'euros à Boigny-sur-Bionne, L'Usine Nouvelle, .
  141. En chiffres : Alstef, cette entreprise du Loiret qui équipe les aéroports à travers le monde, La République du Centre, 16 janvier 2018
  142. Bonne nouvelle sur le front économique, l'entreprise Alstef, à Boigny-sur-Bionne, vient de remporter un contrat de plusieurs millions d'euros, La République du Centre, 24 avril 2020
  143. Un nouveau nom et de nouveaux défis pour Alstef group, à Boigny-sur-Bionne, La République du Centre, 24 septembre 2020
  144. Alstef, groupe de Boigny-sur-Bionne, va équiper le terminal 2D de Roissy, La République du Centre, .
  145. "Une entreprise, c’est une aventure humaine" : Pierre Marol, président d'Alstef Group, à Boigny-sur-Bionne, passe la main en douceur, La République du Centre, 10 juin 2022
  146. Alstef Group, qui siège à Boigny-sur-Bionne, acquiert l'entreprise américaine Solution Net Systems LLC, La République du Centre, 4 avril 2023
  147. Pour accompagner sa croissance, Pierre Martinet choisit Alstef Group, entreprise du Loiret, La République du Centre, 3 janvier 2024
  148. Presque tout Mars stocké à Boigny-sur-Bionne, La République du Centre, 6 mars 2018
  149. Le centre d'appels Intelcia, situé près d'Orléans, promeut le télétravail pour attirer des salariés, La République du Centre, 9 février 2024
  150. Konecranes, à Boigny-sur-Bionne, lance un nouveau produit, La République du Centre, 14 mai 2014
  151. La société allemande Lemken va s’installer à Boigny-sur-Bionne, La République du Centre, 30 novembre 2015
  152. Que pèse l'équipementier Lemken France, dont le siège français est installé à Boigny-sur-Bionne ?, La République du Centre, 3 juin 2019
  153. L'Oréal va rejoindre Dior au sein du Cosmetic Park en cours d'aménagement à Boigny et Vennecy, La République du Centre, 24 septembre 2020
  154. La nouvelle éco : le Cosmetic Park à Boigny sur Bionne prend forme, France Bleu, 29 septembre 2020
  155. "Quel sera notre avenir ?" : inquiétude des salariés du centre de gestion Renault Retail Group, à Boigny-sur-Bionne, La République du Centre, 14 mars 2021
  156. Début des travaux d’installation de WashTec, La République du Centre, 5 octobre 2017
  157. Le siège français de WashTec, spécialiste du lavage automobile quitte Saint-Jean-de-Braye pour Boigny-sur-Bionne, La République du Centre, 21 décembre 2017
  158. A Boigny-sur-Bionne, le vinaigrier orléanais Martin Pouret lance le chantier de ses futurs ateliers, France Bleu, 5 avril 2023
  159. Premiers travaux d’installation du vinaigrier Martin Pouret, La République du Centre, 18 avril 2023
  160. La nouvelle vinaigrerie Martin-Pouret se construit à Boigny-sur-Bionne, près d'Orléans, La République du Centre, 10 juin 2023
  161. La vinaigrerie est sortie de terre !, La République du Centre, 24 décembre 2023
  162. La vinaigrerie Martin-Pouret commence son déménagement de Fleury-les-Aubrais à Boigny-sur-Bionne, La République du Centre, 2 mars 2024
  163. En immersion dans les nouveaux ateliers de Martin-Pouret, à Boigny-sur-Bionne, La République du Centre, 9 avril 2024
  164. Besnard Charpente déménage, La République du Centre, 16 janvier 2022
  165. La société Noblinox va quitter Mardié et s’installer fin 2022, La République du Centre, 2 mars 2022
  166. Tableau de la Vierge aux rochers de l'église de Boigny-sur-Bionne, Fondation du Patrimoine, 23 août 2020
  167. La Vierge aux Rochers est de retour dans l’église, La République du Centre, 23 septembre 2020
  168. L’église Saint-Pierre-ès-Liens en travaux, La République du Centre, 13 avril 2023
  169. L’église retrouve son caquetoire, La République du Centre, 31 octobre 2023
  170. L’église revenue pratiquement au centre du village, La République du Centre, 2 janvier 2024
  171. « Cote LH/2712/49 », base Léonore, ministère français de la Culture.