Saint-Genest-d'Ambière

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Saint-Genest-d'Ambière
Saint-Genest-d'Ambière
Le bourg.
Blason de Saint-Genest-d'Ambière
Blason
Saint-Genest-d'Ambière
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Pascal Leclerc
2020-2026
Code postal 86140
Code commune 86221
Démographie
Gentilé Ambigarien
Population
municipale
1 194 hab. (2021 en diminution de 6,72 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 49′ 15″ nord, 0° 22′ 06″ est
Altitude Min. 64 m
Max. 161 m
Superficie 32,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtellerault-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://saint-genest-ambiere.fr/

Saint-Genest-d'Ambière [sɛ̃ ʒənɛ dɑ̃bjɛʁ] est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine), près de Lencloître, à l'ouest de Châtellerault.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte du Lencloîtrais avec Saint-Genest-d'Ambière et ses communes voisines.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes les plus proches de Saint-Genest-d'Ambière sont Lencloître, Scorbé-Clairvaux et Ouzilly.

Communes limitrophes de Saint-Genest-d'Ambière
Orches

Savigny-sous-Faye

Sossais Thuré
Doussay

Lencloître

Saint-Genest-d'Ambière Scorbé-Clairvaux
Ouzilly

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 664 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Neuville-de-Poitou à 18 km à vol d'oiseau[4], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 704,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Envigne entre Saint-Genest-d'Ambiere et Ouzilly au sud de la commune.
La Fontpoise, affluent de l'Envigne, séparant les communes de Saint-Genest-d'Ambière et de Lencloître.

L'Envigne, affluent de la Vienne sépare la commune de celle d'Ouzilly au sud et la rivière la Fontpoise, se déversant dans l'Envigne, sépare la commune de celle de Lencloître à l'ouest.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Genest-d'Ambière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,1 %), zones agricoles hétérogènes (33,1 %), forêts (23,8 %), prairies (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), zones urbanisées (1,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Genest-d'Ambière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Envigne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2010, 2013 et 2018[16],[14].

Saint-Genest-d'Ambière est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[17]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 3],[18], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [19],[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Genest-d'Ambière.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[21]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[22]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. 78,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[24].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996 et par des mouvements de terrain en 1999, 2005 et 2010[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Comme le reste de la France, Saint-Genest-d'Ambière accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires. Comme symbole, il est abattu par les royalistes en l’an VII[25].

En 1822, le village de Lencloître, situé près de la Fontpoise et de l'Envigne et carrefour connu pour ses foires et marchés liés aux cultures légumières et maraîchères, sur la commune de Saint-Genest-d'Ambière, devient une commune en fusionnant avec celle de Boussageau et prend le nom de Lencloître[26]. Cette dernière devient par la même occasion, nouveau chef-lieu de canton et remplace Saint-Genest-d'Ambière[27].

En 1848, avec la Révolution française de 1848 et le retour de la République, un arbre de la liberté est planté[28].

De fin à , Saint-Genest-d'Ambière accueille des réfugiés de Volmerange-les-Mines, village lorrain situé entre la ligne Maginot et la frontière franco-luxembourgeoise.

Après-guerre, des liens de sympathie, d’amitié, de reconnaissance se sont créés avec Volmerange-les-Mines (Moselle). Quelques mariages entre jeunes des deux communes se sont concrétisés. Pour conforter ces relations amicales, à l’initiative de messieurs Willy Backes, Dino Balestra et Maurice Thile, les Volmerangeois sont invités, à l’occasion des fêtes de la Pentecôte 1958, à venir disputer une rencontre de football. Ce fut l’occasion pour bon nombre de personnes de se retrouver. Les Ambigariens leur rendirent visite à leur tour en 1959, et depuis, les rencontres se sont répétées tous les deux ans[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie de Saint-Genest en novembre 2015.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Saint-Genest était rattachée à la communauté de communes du Lencloîtrais et depuis le à la communauté d'agglomération de Grand Châtellerault.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945[30] 1952 Clotaire Aubugeau    
1952[30] 1955 Albert Touzalin    
1955[30] 1956 Gaston Gautrot    
1956[30] 1959 Roger Gouin    
1959[30] 1966 Félicien Amirault    
1966[30] 1973 Albert Touzalin    
1973[30] 2001 Bruno Balestra
(1921-2013)
DVG Co-gérant d'une entreprise grossiste et abattage de viande de lapin, ancien président de la communauté de communes du Lencloîtrais
2001[30] 2014 Jean-Jacques Berthellemy   Commercial en retraite
2020 En cours Pascal Leclerc   Agriculteur[31]

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics[modifier | modifier le code]

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 1 194 habitants[Note 5], en diminution de 6,72 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1052 1152 1322 0431 3851 4321 3921 4211 391
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4071 3901 3871 4131 5121 5201 5311 5111 397
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3421 4111 4231 2321 1851 1701 1571 1321 108
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 0971 1061 0671 1051 1051 1431 1971 2061 235
2014 2019 2021 - - - - - -
1 2751 2051 194------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 38 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[35], il n'y a plus que 19 exploitations agricoles en 2010 contre 43 en 2000.

58 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre pour les 2/3 des surfaces céréalières mais aussi orges et maïs) et 25 % pour les oléagineux (colza et surtout du tournesol sur 82 % des surfaces cultivées)[35]. En 2000, 3 hectares étaient consacrés à la vigne jusqu'alors absente[35].

Zone industrielle, artisanale et commerciale du SIVOM, aujourd'hui communauté de communes du Lencloîtrais, au lieu-dit Les Genêts à la sortie est de Lencloître, route de Châtellerault. L'usine de confiserie Carambar & Co du groupe d'investissement Eurazeo, anciennement appelée Hollywood ou Comptoir européen de la confiserie, y est implantée depuis le milieu des années 1980.

Jumelage[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château d'Abin date des XVe et XVIIe siècles. L'entrée dans le château se fait par un pont dormant sur des douves en eau. Le pont est encadré par deux châtelets datant du XVIIe siècle. Le corps principal du château est en forme de L et possède deux tours médiévales. La seigneurie d'Abin, fief avec droit de haute justice, relevait du duché de Châtellerault et dépendait de l'abbaye de Fontevrault. Le château est inscrit depuis 2004 comme monument historique pour son pavillon, son mur de clôture, son pont et ses douves, son pigeonnier.
  • Le château de Puygarreau est inscrit comme monument historique pour son pigeonnier, son logis, son enceinte, son fossé, sa tour, son soubassement et son cellier depuis 1988.
  • Église Saint-Genest de Saint-Genest-d'Ambière.
  • Motte de Gironde. Elle est située à l'ouest du hameau de gironde, et abrite sous sa plate-forme sommitale une cave voûtée en plein cintre faite de blocs de tuffeau. Pour P. Piboule, le site serait un donjon effondré dont il ne subsiste que les caves et non une motte[36].
  • souterrain refuge de la Chaume[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
De gueules à cinq tours d'or ordonnées en sautoir.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Genest-d'Ambière et Neuville-de-Poitou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Neuville de Poi » (commune de Neuville-de-Poitou) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Neuville de Poi » (commune de Neuville-de-Poitou) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Genest-d'Ambière », sur Géorisques (consulté le )
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
  18. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
  19. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Genest-d'Ambière », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
  25. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 175.
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. https://www.lanouvellerepublique.fr/chatellerault/la-commune-entre-dans-son-bicentenaire-2?queryId%5Bquery1%5D=57cd2206459a452f008b4594&queryId%5Bquery2%5D=57c95b34479a452f008b459d&page=5&pageId=57da5cf8459a4552008b4aff
  28. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 216-217.
  29. Amitié et jumelage avec Volmeranges-les-Mines Consulté le 09/12/2020.
  30. a b c d e f g et h [1]
  31. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 2 juin 2020
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  36. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 381-382.
  37. Noël et Stevens 2022, p. 32.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Romain Wagner, "Volmerange-les-mines et l'exil de ses habitants 1939-1940", Édition de l'auteur, Hettange-Grande, 2012, Quarto d'Altino 2018 - 2e édition, 144 p.
  • Romain Wagner, Dino Carelle, "Mémorandum - Cercle Sportif Volmerange - Club Olympique Saint-Genest - 1921-2006", Hettange-Grande, 2013, 266 p.