Université d'Orléans
Fondation |
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Type | |
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Forme juridique |
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d) |
Régime linguistique | |
Fondateur | |
Président |
Ary Bruand (depuis ) |
Recteur |
Katia Béguin (rectrice de l'académie d'Orléans-Tours) |
Devise |
« Ancrée dans l'Histoire, portée par la modernité, nous construisons l'avenir » |
Membre de | |
Site web |
Étudiants |
19 002 () |
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Enseignants |
1 186 (2017) |
BIATSS |
799 (2017) |
Budget |
176 millions d'euros (2018) |
Pays | |
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Campus | |
Ville |
L’université d'Orléans est une université pluridisciplinaire française fondée en 1306 par le pape Clément V, située dans la région Centre-Val de Loire et possédant des antennes à Orléans, Bourges, Chartres, Châteauroux, et Issoudun, l'INSPE Centre Val de Loire dépendant également de l'université d'Orléans elle dispose de centre de formation a Blois, Bourges, Chartres, Châteauroux, Orléans et Tours-Fondettes. Au , elle accueille 19 002 étudiants et emploie 1 186 enseignants[2].
Histoire
École cathédrale d'Orléans
À partir du VIIIe siècle, notamment sous la direction de Théodulf d'Orléans, évêque d'Orléans et simultanément abbé des abbayes de Fleury à Saint-Benoît-sur-Loire, de Micy et de Saint-Aignan d'Orléans, l'enseignement dans l'Orléanais fut progressivement organisé avec des écoles paroissiales, des écoles monastiques et une école cathédrale, destinées à former les cadres de l'Empire carolingien[3].
Par une bulle pontificale du , le pape Grégoire IX autorise l'enseignement du droit romain à Orléans, permettant ainsi la création d'un studium[4].
L'ancienne université (1306-1793)
Les armes de l’université d'Orléans se blasonnent ainsi : D'azur à un livre ouvert d'or tenu par un senestrochère d'argent mouvant du chef et accompagné de trois tiercefeuilles versées aussi d'or[5]. |
Le , l'université d'Orléans est officiellement fondée par le pape Clément V grâce à quatre bulles pontificales qui accordaient aux maîtres et aux écoliers d'Orléans le droit d'avoir une université, ainsi que les privilèges qui en découlaient. Le même jour, une cinquième bulle prévoit d'indemniser les professeurs qui avaient porté la demande de création auprès du pape[4]. Les habitants d'Orléans sont réticents aux privilèges accordés par le pape et tentent donc de s'opposer à l'établissement de l'université. Une émeute particulièrement violente se produit en 1309. Les représentants de l'université s'en remettent donc au roi Philippe le Bel, qui confirme les privilèges et la fondation de l'université d'Orléans en 1312[6]. L'acte de prise de possession de l'université des lois d'Orléans par l'autorité royale stipule que les matières enseignées seront le droit civil et le droit canonique[7]. Elle devient alors la quatrième université française après celles de Paris, de Toulouse et de Montpellier.
Au Moyen Âge, elle est surtout connue pour son enseignement du droit civil ou droit romain, célèbre par la rénovation de l'étude du Corpus Juris Civilis qui y est alors menée par les postglossateurs. En effet, en vertu d'une bulle d'Honorius III, il était interdit d'enseigner le droit romain à Paris, où seul le droit canonique était au programme. La proximité d'Orléans par rapport à Paris permet aux étudiants d'aller de l'une à l'autre assez facilement. Se spécialisant dans le droit, l'université d'Orléans n'a d'ailleurs pas officiellement de faculté des arts[8].
Il n'y avait pas de lieu de cours fixe, mais les leçons se tenaient dans différents bâtiments autour de la collégiale Saint-Pierre-le-Puellier. Une chapelle de Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle servait accessoirement de lieu de réunion, de prière et d'administration. Toutefois, entre 1411 et 1445, un bâtiment est construit pour servir de lieux de réunions et de bibliothèque ; les vestiges de ce bâtiment sont désormais connus sous le nom de « salle des thèses ». De 1498 à 1507 sont élevées les « grandes écoles de France », qui servent alors de salles de cours. Elles sont démolies en 1824[9]. En fonction de leurs origines géographiques, les étudiants se regroupaient par nations, dont le nombre a atteint dix, dont la nation française, la nation de Picardie et de Champagne[10] et, la plus connue, la nation germanique[11].
Sous l'Ancien Régime, l'université est placée sous le contrôle du pouvoir royal[12]. Sa réputation dans le domaine du droit reste reconnue au XVIe siècle où elle participe au mouvement humaniste. De prestigieux professeurs y enseignent (voir la liste plus bas).
L'université d'Orléans subit un fort déclin au XVIIIe siècle avant d'être, comme toutes les universités françaises, supprimée par la Convention en 1793[13]. Louis Liard compte seulement six professeurs et six cours de droit en 1789 : « institutes, digeste, pandectes, règles du droit, droit canon, droit français[14]. »
Les facultés de l'Université impériale (1808-1815)
Dans l'organisation de l'Université impériale, Orléans était à la tête d'une académie et devait, à ce titre, avoir une faculté des lettres et une faculté des sciences. Seule la première a réellement été constituée, les cours ayant lieu au lycée Pothier[15]. L'activité principale de la faculté consistait alors à examiner les candidats au baccalauréat. Des pétitions demandent, sans succès, le rétablissement d'une école de droit. Au contraire, en 1815, une ordonnance provoque la fermeture de la faculté des lettres, effective en 1817. Orléans cesse, en 1848, d'être le siège d'une académie.
L'université actuelle (depuis 1960)
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/70/Orl%C3%A9ans_ch%C3%A2teau_de_la_Source_1.jpg/220px-Orl%C3%A9ans_ch%C3%A2teau_de_la_Source_1.jpg)
Il est décidé, dès 1959, d'installer à Orléans-la-Source, à une dizaine de kilomètres au sud de la Loire, sur un domaine de près de 400 hectares, un campus[16]. Le ministre Pierre Sudreau parle de l'« Oxford français », « le premier campus européen », que Paris-Presse-L'Intransigeant reprend sous le nom d'« Oxford-sur-Loire »[17].
Le est créé un Collège scientifique universitaire (CSU), dépendant de la faculté des sciences de Paris. Il s'installe au château de la Source.
Une école municipale de droit est créée en novembre 1962. Un centre d'études supérieures littéraires (CESL) est ouvert à son tour en 1964.
Une université est créée par le décret du sous le nom d'« université d'Orléans-Tours », avec date d'effet au 1er janvier 1966[1]. L'Université regroupe alors tous les enseignements universitaires organisés à Orléans mais aussi à Tours, les facultés de droit, de lettres et de sciences étant dédoublées[18].
Mais le mouvement de mai 68 provoque la séparation entre Tours et Orléans, officialisée le [19],[20].
L'université d'Orléans inclut progressivement une faculté des sciences (1961), de droit (1968), de lettres (1969) de sport (1992), un Institut universitaire de Technologie à Orléans (1967), à Bourges (1968), à Châteauroux (1992), à Chartres (1996), une université du temps libre (1977) et deux écoles d'ingénieurs (ESEM en 1982 et ESPEO en 1992), qui fusionnent en 2002 pour former l'École polytechnique d'Orléans (Polytech'Orléans).
En 2004, l'Université d'Orléans rejoint le Pôle Universitaire Centre Val de Loire (association loi de 1901). En 2009 elle fonde et intègre au côté de l'Université de Tours le PRES : Université centre Val-de-Loire.
L'université d’Orléans se caractérise donc par sa pluridisciplinarité. Elle compte 4 facultés, une école d’ingénieurs universitaire (Polytech'Orléans), 4 Instituts Universitaires de Technologie, l’IUFM Centre Val de Loire et l'Observatoire des sciences de l'univers du Centre (OSUC). Près de 16 000 étudiants, dont plus de 2 000 étudiants étrangers, fréquentent un des sites de l’université.
L'université d'Orléans s'est également développée sur d'autres sites de la région avec l'installation des centres universitaires de Bourges, Chartres, Châteauroux/Issoudun et dans les antennes de l'ESPE à Blois et Tours.
En 2015, elle intègre l'Université confédérale Léonard de Vinci.
Organisation
Présidence
![Photographie d'Ary Bruand, président de l'université d'Orléans depuis 2016.](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/40/Photographie_Ary_Bruand.jpg/217px-Photographie_Ary_Bruand.jpg)
L'université d'Orléans a successivement été présidée par :
- 1987-1992 : William Marois, ensuite recteur des académies de Nancy-Metz (1992-1997), de Rennes (1997-2000), de Montpellier (2000-2004), de Bordeaux (2004-2009), de Créteil (2009-2013), de Nantes (2013- )[21]
- 1992-1997 : Didier Billard
- 1997-2002 : Michel Mudry
- 2002-2004 : Gérard Besson, ensuite recteur de l'académie de Clermont-Ferrand de 2004 à 2012.
- 2004-2009 : Gérald Guillaumet
- 2010-2016 : Youssoufi Touré, nommé recteur de l'académie de la Guyane en Conseil des ministres le 2 mars 2016[22].
- 2016 : Thierry Montalieu, administrateur provisoire depuis le 7 mars 2016 par décision de la rectrice de l'académie d'Orléans-Tours[23].
- Depuis 2016 : Ary Bruand[24].
Composantes
Unités de formation et de recherche
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/thumb/5/5a/Campus_Orl%C3%A9ans-la-Source_UFR_lettres%2C_langues_et_sciences_humaines.jpg/220px-Campus_Orl%C3%A9ans-la-Source_UFR_lettres%2C_langues_et_sciences_humaines.jpg)
L'université compte quatre unités de formation et de recherche (UFR).
- Lettres, langues et sciences humaines
- Droit, économie et gestion
- Sciences
- Sciences et techniques des activités physiques et sportives
École et instituts
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/thumb/d/df/Polytech%27Orl%C3%A9ans_site_Galil%C3%A9e.jpg/220px-Polytech%27Orl%C3%A9ans_site_Galil%C3%A9e.jpg)
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/thumb/9/95/Campus_Orl%C3%A9ans-la-Source_d%C3%A9partement_d%27informatique.jpg/220px-Campus_Orl%C3%A9ans-la-Source_d%C3%A9partement_d%27informatique.jpg)
L'université d'Orléans comprend quatre IUT : IUT d'Orléans, IUT de Bourges, IUT de Chartres et IUT de l'Indre (Châteauroux-Issoudun).
L'IUT d'Orléans dispose des formations pour 6 DUT (Diplômes Universitaire de Technologie).
- Chimie
- GEA (Gestion des Entreprises et des Administrations, parcours financier, RH ou management)
- GMP (Génie Mécanique et Productique)
- GTE (Génie Thermique et Energie)
- Informatique
- QLIO (Qualité Logistique Industrielle et Organisation)
L'École polytechnique de l'université d'Orléans (Polytech' Orléans) est une école d'ingénieur interne, appartenant au Réseau Polytech. Réparties sur les deux sites Vinci et Galilée, elle comprend cinq spécialités, dont deux en apprentissage.
L'École supérieure du professorat et de l'éducation de l'académie d'Orléans-Tours y est rattachée[25].
Formation et recherche
Enseignements
Relations internationales
La recherche
L'université d'Orléans regroupe des laboratoires de recherche propres et des unités mixtes. Elle est structurée en 4 pôles de recherche :
- Energie, matériaux, géosciences et environnement
- Physique et chimie du vivant, systèmes biologiques
- Sciences économiques et de gestion, mathématiques, STIC et linguistique
- Droit, littératures, sciences de l'Homme et des territoires
Elle dispose également d'un collège doctoral :
- Energie, matériaux, science de la terre et de l'univers
- Sciences de l'homme et de la société
- Mathématiques, informatique, physique théorique et ingénierie des systèmes
- Santé, sciences biologiques et chimie du vivant
Accès
En voiture
L'Université est accessible par l'Autoroute A71 à la sortie 2 Olivet, Orléans-Sud, La Ferté-Saint-Aubin ainsi que par la D 2020, qui passe à l'ouest du campus.
Transports en commun
L'Université d'Orléans est desservie par les transports de l'agglomération orléanaise (TAO)[26] avec notamment la ligne A du tramway, arrêts Université-Château (STAPS et Droit-Economie-Gestion), Université-Parc Floral (Sciences et Polytech) et Université-L'Indien (UFR Lettres, Langues et Sciences Humaines). Elle est desservie par les lignes de bus 1 (arrêts IUT, Halle des sports, Université-Château), 7 (arrêts Université-Parc Floral, Université-Château, Polytech, Université-L'Indien) et 13 (arrêts Flammarion et IUT).
Les lignes 1 et 9 du réseau de bus d'Eure-et-Loir Transbeauce desservent également le campus, aux arrêts Université et Résidence Les Châtaigniers.
La gare de Saint-Cyr-en-Val - La Source se situe à 3,5 kilomètres au sud-est de l'Université.
Vie étudiante
- Radio Campus Orléans créée en 1994
- Le département des activités physiques sportives et d'expression DAPSE : ce service commun est un département de l'UFR STAPS d'Orléans qui propose à tous les étudiants et personnels de l'université une palette d'activités sportives et d'entretien.
- Le campus dispose depuis septembre 2011 d'un centre culturel composé d'une salle de spectacles d'une capacité de 160 spectateurs et d'un théâtre d'une capacité de 180 places assises. Il propose des évènements culturels divers (théâtre, concerts, cinéma, danse, expositions) tout au long de l'année[27].
Évolution démographique
Évolution démographique de la population universitaire
Personnalités liées
Étudiants
- Jacques Duèze, pape Jean XXII (1244-1334)[41] ;
- Bertrand de Got, pape Clément V (1264-1314)[42] ;
- Saint Yves Hélory de Kermartin († 1303), patron des juristes ;
- Étienne de Mornay, conseiller de Philippe IV le Bel ;
- Eustache Deschamps (étudiant en droit de 1358 à 1366), poète et diplomate des ducs d'Orléans
- Johannes Tinctoris (1435-ap. 1511), théoricien de la musique et compositeur, procurator des étudiants de la Nation germanique, maître de musique de la cathédrale Sainte-Croix ;
- Johannes Reuchlin (1455-1522), pionnier des études hébraïques, acquit à Orléans les rudiments de la langue grecque ;
- Guillaume Budé (1468-1540) ;
- Théodore de Bèze (1519-1605)[43] ;
- Jean Calvin (1509-1564) ;
- Anne du Bourg (1521-1559)[44] ;
- Étienne de La Boétie (1530-1563) ;
- Agrippa d'Aubigné (1552-1630) ;
- Théophraste Renaudot (1586-1653) ;
- Pierre de Fermat (vers 1601-1665) y a validé une licence en droit en 1631 ;
- Jean-Baptiste Poquelin dit Molière (1622-1673)[45] ;
- Charles Perrault (1628-1703) ;
- Jean de La Bruyère (1645-1696) ;
- Claude Grostête de La Mothe (1647-1713).
- Politiques :
- Jean-Pierre Sueur, né en 1947, ancien secrétaire d'état, député du Loiret et maire d'Orléans, actuel sénateur du Loiret ;
- Daniel Delaveau, né en 1952, ancien maire de Rennes ;
- Ibni Oumar Mahamat Saleh, né en 1949, tchadien.
Enseignants
- Melchior Wolmar (1497-1561) ;
- Pierre de L'Estoile (1546-1611)[46] ;
- Robert-Joseph Pothier (1699-1722), juriste, élève et enseignant de l'université[47] ;
- Daniel Jousse (1704-1781), juriste[48].
- Jean Garrigues, histoire contemporaine
- Thomas Bauzou, histoire ancienne
- Jean-Benoît Puech, lettres
- Henri Van Damme, physique et chimie
- Bertrand Hauchecorne, mathématiques
- Guillaume Peltier, histoire
- Laurent Touchart, géographie
- Laélia Véron, lettres (stylistique)
Divers
Des scènes du film L'Étudiante et Monsieur Henri (2015), ont été tournées sur le campus et différents bâtiments[49].
Notes et références
- Décret no 66-235 du 14 avril 1966 constituant une université à Orléans
- Université d'Orléans, « Chiffres clés », sur univ-orleans.fr (consulté le )
- Théodulfe « Théodulf d'Orléans sur le site Encyclopédie universelle de la langue française »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- Charles Vulliez, « Les bulles constitutives de l'université d'Orléans du pape Clément V (27 janvier 1306) : un évènement ? 700e anniversaire de l'université d'Orléans (1306-2006) », Bulletin de la Société archéologique et historique de l'Orléanais, nouvelle série, vol. XVIII, no 150, , p. 5
- Charles-René d'Hozier, Armorial général de France : dressé en vertu de l'édit de 1696, vol. 22, Orléans, 827 p. (lire en ligne)
- Bimbenet 1853, p. 3
- Bimbenet 1853, p. 21
- Conseil général du Loiret 2006, p. 19
- Conseil général du Loiret 2006, p. 15
- Eugène Bimbenet, Les écoliers de la nation de Picardie et de Champagne à l'Université d'Orléans, Orléans, H. Herluison, coll. « Mémoires de la Société archéologique et historique de l'Orléanais », , 182 p. (BNF 30106335, lire en ligne).
- Dix nations à l'université d'Orléans : France, Germanie, Lorraine, Bourgogne, Champagne, Picardie, Normandie, Touraine, Aquitaine et Écosse.
- Conseil général du Loiret 2006, p. 26
- Conseil général du Loiret 2006, p. 45
- Louis Liard, L'enseignement supérieur en France, t. 1, Paris, A. Colin, 1888-1894 (BNF 30816076, lire en ligne), p. 9
- Conseil général du Loiret 2006, p. 48
- Conseil général du Loiret 2006, p. 53
- Conseil général du Loiret 2006, p. 55
- Conseil général du Loiret 2006, p. 56
- Conseil général du Loiret 2006, p. 58
- Décret no 70-1174 du 17 décembre 1970.
- Biographie de William Marois, consultée sur ÉducPro
- Youssoufi Touré, le président de l'université d'Orléans, nommé recteur de l'académie de Guyane sur le site de La République le 2 mars 2016
- Thierry Montalieu nommé administrateur provisoire de l’Université d’Orléans sur le site de Mag'Centre le 8 mars 2016
- http://www.larep.fr/orleans/education/2016/06/09/ary-bruand-nouveau-responsable-de-luniversite-dorleans-travaillera-en-ecoute_11951739.html
- Arrêté du 30 août 2013 portant création et accréditation de l’école supérieure du professorat et de l’éducation de l’académie d’Orléans-Tours au sein de l’université d’Orléans
- « Accueil | Tao le réseau Bus, Tram et Parcs Relais de l'AgglO », sur www.reseau-tao.fr (consulté le )
- « Infos pratiques | Université d'Orléans », sur www.univ-orleans.fr (consulté le )
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
- Evolution des effectifs, Université d'Orléans
- Bimbenet 1853, p. 350
- Bimbenet 1853, p. 348
- Bimbenet 1853, p. 358
- Bimbenet 1853, p. 358-359
- Bimbenet 1853, p. 370-376
- Bimbenet 1853, p. 354-357
- Bimbenet 1853, p. 382-386
- Bimbenet 1853, p. 388-389
- Da Cunha, N, Sortie, hier, du film « L’étudiante et Monsieur Henri », La République du Centre, 8 octobre 2015
Voir aussi
Bibliographie
- Conseil général du Loiret, 700 ans d'université à Orléans, Orléans, Conseil général du Loiret, , 71 p. Catalogue d'exposition, Archives départementales du Loiret / Saint-Pierre-le-Puellier, octobre 2006.
- Jean-Eugène Bimbenet, Histoire de l'Université de lois d'Orléans, Paris et Orléans, Dumoulin et Gatineau, , 416 p. (lire en ligne)
Liens externes
- Ressource relative à la recherche :
- Site officiel