Jouars-Pontchartrain

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jouars-Pontchartrain
Jouars-Pontchartrain
La mairie.
Blason de Jouars-Pontchartrain
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité CA Cœur d'Yvelines
Maire
Mandat
Thomas Mengelle-Touya
2023-2026
Code postal 78760
Code commune 78321
Démographie
Gentilé Chartripontains
Population
municipale
5 814 hab. (2021 en augmentation de 6,17 % par rapport à 2015)
Densité 602 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 48′ 14″ nord, 1° 54′ 08″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 171 m
Superficie 9,65 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives 10e circonscription des Yvelines
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Jouars-Pontchartrain
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Jouars-Pontchartrain
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Voir sur la carte topographique des Yvelines
Jouars-Pontchartrain
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Jouars-Pontchartrain
Liens
Site web https://jouars-pontchartrain.fr/

Jouars-Pontchartrain est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Position de Jouars-Pontchartrain dans les Yvelines.

Description[modifier | modifier le code]

La commune de Jouars-Pontchartrain se situe à 35 km à l'ouest de Paris, à 18 km à l'ouest de Versailles et 22 km de Rambouillet, sur un contrefort qui délimite l'extrémité ouest de la plaine de Versailles et au pied duquel commence la plaine de Montfort-l'Amaury.


Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Neauphle-le-Château, Coignières, Élancourt, Maurepas, Neauphle-le-Vieux, Plaisir, Saint-Rémy-l'Honoré, Le Tremblay-sur-Mauldre et Villiers-Saint-Frédéric.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Son territoire est irrigué par la Mauldre dont le cours orienté sud-nord suit la limite est de la commune et reçoit dans le parc du château le ru d'Élancourt, dont une dérivation alimente son étang. Ce ru, orienté est-ouest, est grossi un peu en amont par le ru de Maurepas qui le rejoint à Chennevières.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 685 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trappes à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 686,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Jouars-Pontchartrain est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 30,4 % 297
Espaces verts urbains 3,9 % 38
Équipements sportifs et de loisirs 1,8 % 18
Terres arables hors périmètres d'irrigation 39,8 % 389
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 4,3 % 42
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 1,8 % 18
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 3,5 % 34
Forêts de feuillus 14,5 % 142
Source : Corine Land Cover[16]

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune comprend sept hameaux[17],[18] :

  • Pontchartrain, au nord du territoire communal, cœur de la commune, où se trouvent, autour de la mairie, de l'église Saint-Lin et de l'hôpital Saint-Louis, la majorité des commerces de proximité et la plus grande partie de l'habitat ;
  • Chennevières, au sud-est de Pontchartrain et y attenant, hameau résidentiel et ancien ; anciennement, lieux humides où prospérait la culture du chanvre[19].
  • la Richarderie, à l'est de Chennevières et y attenant, hameau mi-résidentiel mi-rural ;
  • Jouars, à l'écart au sud de Pontchartrain, possède une église et comporte que quelques habitations et exploitations rurales ;
  • Ergal, à l'extrême est et en limite du territoire communal, attenant au hameau de Launay de la commune d'Élancourt, mi-résidentiel mi-rural ;
  • les Mousseaux, au sud de Jouars, en limite du territoire communal et attenant au hameau de Villeneuve (parc aux Loups) de la commune de Maurepas, mi-résidentiel mi-rural avec quelques petites entreprises artisanales ;
  • la Dauberie, étendue résidentielle très arborée, en limite de Saint-Rémy-l'Honoré.

Ces deux derniers hameaux forment une sorte d'enclave entre les territoires communaux de Maurepas, Coignières, Saint-Rémy-l'Honoré et Le Tremblay-sur-Mauldre.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 367, alors qu'il était de 2 111 en 2013 et de 2 058 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 90,6 % étaient des résidences principales, 3 % des résidences secondaires et 6,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 79,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 19,4 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Jouars-Pontchartrain en 2018 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3 %) supérieure à celle du département (2,6 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,4 % en 2013), contre 58,6 % pour les Yvelines et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Jouars-Pontchartrain en 2018.
Typologie Jouars-Pontchartrain[I 1] Yvelines[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 90,6 91,1 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3 2,6 9,7
Logements vacants (en %) 6,4 6,3 8,2

La commune, qui, avec 9,01 % de logements sociaux en 2017 ne respectait pas ses obligations issues de l'article 55 de la Loi SRU de 2000, a été placée en état de carence en décembre 2016 par le préfet et astreinte au paiement annuel d'une importante pénalité financière. Elle est sortie de cet état de carence et recouvré la maîtrise de la délivrance des permis de construire et du droit de préemption urbain en 2020, pour avoir engagé la construction de 114 logements sociaux[20],[21].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

La RD 15 à la sortie de Pontchartrain.
La RD 15 à la sortie de Pontchartrain, vers Jouars, près du site de Diodurum.

La desserte routière est principalement assurée par la route nationale 12 qui a été déviée en 2003, évitant le bourg principal de Pontchartrain. La déviation, à caractéristiques autoroutières passe en tunnel sous Chennevières et en tranchée au sud du bourg et du château. L'ancien tracé a été déclassé en route départementale 912.

La commune est également traversée :

L'avenue du Château qui relie la RD 15 à la RD 912 (ex-RN 12) est numérotée RD 25.

La gare de Villiers - Neauphle - Pontchartrain.
La gare de Villiers - Neauphle - Pontchartrain.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Villiers - Neauphle - Pontchartrain qui est située à 3 km sur la commune de Villiers-Saint-Fréderic.

La commune est desservie par les lignes 5, 7, 14, 40, 61 , DF, M, P, Q et V du réseau de bus Centre et Sud Yvelines et par la ligne 78 du réseau de bus Île-de-France Ouest.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Jouars[modifier | modifier le code]

La localité est mentionnée sous les formes Joreium, Jorreyum, Jotrum en 1351[22].

Le nom de Jouars est issu, par évolution phonétique romane, de Diodurum « le bourg divin », nom de la cité gallo-romaine qui se trouvait un peu plus au sud de l'agglomération actuelle, au bord de la Mauldre.

Pontchartrain[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée [apud] Pontem Carnutensis en 1156 - 1157[23]

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Pont-, suivi de l'adjectif chartrain signifiant « de (la route de) Chartres »[24]. Il s'agit d'un ancien lieu-dit correspondant à un pont sur la Mauldre sur la voie qui dans l'antiquité et au Moyen Âge reliait Paris à Chartres. On trouve trois autres Pontchartrain, un sur la commune de Brézolles (Eure-et-Loir, Decidam de Pontecharten au XIIe siècle, un sur la commune de Saint-Mard-de-Reno (Orne, apud Pontem Chartem en 1226) et un sur la commune de Moutiers-au-Perche (Orne), ancienne route royale du Libérot. Ce type toponymique est le reflet de l'importance de la cité épiscopale de Chartres au Moyen Âge.

L'élément de toponyme chartrain est issu de carnutum (carnotu), suivi du suffixe -anum (-anu) qui a donné *chartain, altéré en Chartrain d'après le nom de la ville, c'est-à-dire « terre des carnutes », ethnie gauloise qui occupait la région de Chartres et à laquelle elle a donné son nom. Aussi le toponyme Pontchartrain indique-t-il toujours une limite territoriale entre les Carnutes et d'autres tribus gauloises : Pontchartrain à Jouars marquait ainsi la frontière entre les Carnutes et les Parisii[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le territoire de Jouars-Pontchartrain est habité depuis la plus haute antiquité. Des vestiges datant du néolithique ont été trouvés à l'occasion du chantier de la déviation de la RN 12.

Le site de la ferme d'Ithe[26], situé au bord de la Mauldre et à l'ouest du hameau de Jouars, mais sur le territoire communal du Tremblay-sur-Mauldre, correspond à une ancienne agglomération gallo-romaine du nom de Diodurum ou Divo durum[27], une des plus grandes agglomérations secondaires recensées en Île-de-France. Par la suite, l'agglomération se développa plus haut le long de la route venant de Neauphle-le-Château, avant de décliner durablement à partir du VIe siècle.

Le développement du bourg de Pontchartrain est lié à la déviation au XVIIe siècle de la route de Paris à Dreux qui passait auparavant par Neauphle-le-Château, qui fut décidée par le comte de Maurepas, alors propriétaire du château et avait pour but de faciliter le trafic en évitant la montée dangereuse vers la butte de Neauphle.

Par la suite, le bourg prospéra en fonction de la circulation sur cette route importante du royaume.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[28], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines] et à son arrondissement de Rambouillet après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie de 1801 à 1976 du canton de Chevreuse de Seine-et-Oise puis des Yvelines, année où elle rejoint le canton de Montfort-l'Amaury[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton d'Aubergenville

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription des Yvelines.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Jouars-Pontchartrain est membre de la communauté de communes Cœur d'Yvelines, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1959 Pierre Pascal    
mars 1959 juin 1995 Jean-Louis Fanost[30] DVD
puis RPR
Agriculteur-éleveur
Conseiller régional d'Île-de-France (1976 → 1998)
juin 1995 mars 2014 Marie-Laure Roquelle[31] DVD Retraitée
mars 2014 juillet 2020[32] Hervé Lemoine UMP-LR Retraité de la finance d'entreprise
11e vice-président de la CC Cœur d'Yvelines (2014 → 2020)
juillet 2020[33] août 2023[34] Philippe Emmanuel DVC-LREM Directeur partenariats stratégiques en informatique
Suppléant de la députée Aurore Bergé (2022[35] → 2023)
Député des Yvelines (10e circ.) (2023 → )
Démissionnaire après être devenu député en remplacement
de A. Bergé, nommée au gouvernement
septembre 2023[36] En cours
(au 11 septembre 2023)
Thomas Mengelle-Touya SE Technicien en mécanique industrielle

Jumelages[modifier | modifier le code]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose[37] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 5 814 habitants[Note 3], en augmentation de 6,17 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2861 3311 1991 2431 3041 4451 4901 5431 507
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4861 5091 5261 4191 4191 3231 3451 4071 389
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3501 3651 2261 1571 3631 2451 2981 3631 540
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 7532 1592 5493 7744 2824 5694 9325 0475 239
2014 2019 2021 - - - - - -
5 2785 7725 814------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 785 hommes pour 2 930 femmes, soit un taux de 51,27 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
3,2 
6,7 
75-89 ans
8,3 
13,9 
60-74 ans
14,4 
22,1 
45-59 ans
20,6 
19,9 
30-44 ans
20,4 
15,3 
15-29 ans
14,0 
21,3 
0-14 ans
19,2 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Jouars-Pontchartrain Blason
De sinople au pont alésé d'or au chef de gueules semé de quartefeuilles d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Limites administratives sur géoportail, consultée le 16 mars 2015.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Jouars-Pontchartrain et Trappes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  17. Les Yvelines. Les 262 communes, Éditions Delattre, , p. 107.
  18. « Présentation de la commune », Découvrir la commune, sur jouars-pontchartrain.fr, (consulté le ).
  19. Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997
  20. Arnaud Neuveux, « Yvelines. Jouars-Pontchartrain : Où en est la situation des logements sociaux ? : Depuis le mois de décembre 2016, la commune de Jouars-Pontchartrain est placée en situation de carence en logements sociaux. Elle cherche des solutions pour combler son retard », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Depuis une vingtaine d’années, il est demandé à la Ville d’avoir, avant 2025, 500 logements sociaux. La population ayant augmenté depuis, le chiffre est passé à environ 530. Pour l’heure, 180 ont déjà été construits ou leur projet officialisé, dans le cas où le bailleur social a obtenu son agrément sur un projet défini ».
  21. Maxime Fieschi, « Logement social dans les Yvelines : l’Etat relâche la pression sur six communes : Elles étaient pénalisées pour leurs carences dans ce domaine mais ont engagé plusieurs chantiers pour rattraper leur retard. », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Auguste Longnon, Pouillé de la Province de Sens (1904), p. 120, p. 158,
  23. Ernest Nègre Toponymie générale de la France (t. 2, Formations non-romanes, Vol. 2, (1996), p. 1371. (lire en ligne) [1].
  24. Ernest Nègre, op. cit..
  25. Marianne Mulon, Noms de lieux d'Île-de-France, Bonneton, 1997, p. 196.
  26. Ithe vient de Ayte, ou Ayta, qui serait un dérivé du celtique attegia signifiant « dépendance, baraque », Paris et Île-de-France, volume 49, page 135.
  27. Olivier Blin, « Diodurum : l’agglomération antique de Jouars-Pontchartrain », Inrap, (consulté le ).
  28. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  29. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. [PDF] « Hommage : Jean-Louis Fanost, maire de Jouars-Pontchartrain de 1959 à 1995 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur jouars-pontchartrain.fr, Vivre à Jouars-Pontchartrain, , p. 4 « Issu d'une famille dont les premières traces sur la commune remontent à 1672, Jean-Louis Fanost fut maire de Jouars-Pontchartrain de 1959 à 1995. Il est décédé le 8 avril 2019, à l’âge de 96 ans. ».
  31. Marie Vermeersch, « Marie-Laure Roquelle repart finalement pour un 4ème mandat : Alors qu'elle avait annoncé qu'elle ne briguerait pas un quatrième mandat de maire l'an dernier, Marie-Laure Roquelle est revenue sur sa décision. Explications », 78 Actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La succession s’avère conflictuelle sur certains dossiers et cela ne se passe pas très bien entre et avec mes élus. Deux de mes adjoints (NDLR : Jacques Arnoux et Hervé Lemoine) ont fait scission ».
  32. Arnaud Neuveux, « Yvelines. Le maire de Jouars-Pontchartrain candidat à un second mandat : Hervé Lemoine, le maire de Jouars-Pontchartrain, briguera un second mandat aux élections municipales de 2020 », 78 Actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il avait été maire adjoint aux finances pendant 19 ans soit les trois mandats de Marie-Laure Roquelle. Après des divergences avec cette dernière lors de la période 2008-2014, Hervé Lemoine avait décidé de se présenter dans une élection qu’il a remportée haut la main ».
  33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  34. Sébastien Birden, « Remaniement : Philippe Emmanuel, suppléant d’Aurore Bergé, va « découvrir un nouveau monde » à l’Assemblée : La nomination d’Aurore Bergé au ministère des Solidarités entraîne l’entrée au Palais-Bourbon de son suppléant, le maire LREM de Jouars-Pontchartrain. Mais aussi le remplacement de ce dernier à la tête de la commune », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Nathan Sportiello, « Yvelines : Philippe Emmanuel est le suppléant d'Aurore Bergé sur la 10e circonscription : Le maire de Jouars-Pontchartrain, Philippe Emmanuel, est le suppléant d’Aurore Bergé (LREM), candidate aux élections législatives sur la 10e circonscription des Yvelines », L'Écho républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Sébastien Birden, « Aurore Bergé ministre, son suppléant député… Thomas Mengelle-Touya, nouveau maire de Jouars-Pontchartrain : À 34 ans, cet « enfant de la commune » succède à Philippe Emmanuel, devenu député après la nomination d’Aurore Bergé au ministère des Solidarités et des Familles en juillet », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Jouars-Pontchartrain (78321) », (consulté le ).
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  43. http://www.ae-costilhes.fr.
  44. Fiche biographiqe sur le site de l'Ordre de la Libération.
  45. « [https://www.landrucimetieres.fr /spip/spip.php?article1961 Jouars-Pontchartrain : cimetière] », sur landrucimetieres.fr (consulté le ).