Jouars-Pontchartrain
Jouars-Pontchartrain | |||||
![]() La mairie. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Rambouillet | ||||
Intercommunalité | CA Cœur d'Yvelines | ||||
Maire Mandat |
Thomas Mengelle-Touya 2023-2026 |
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Code postal | 78760 | ||||
Code commune | 78321 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chartripontains | ||||
Population municipale |
5 803 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 601 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 48′ 14″ nord, 1° 54′ 08″ est | ||||
Altitude | Min. 67 m Max. 171 m |
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Superficie | 9,65 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aubergenville | ||||
Législatives | 10e circonscription des Yvelines | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
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Liens | |||||
Site web | https://jouars-pontchartrain.fr/ | ||||
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Jouars-Pontchartrain est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Géographie[modifier | modifier le code]
Description[modifier | modifier le code]
La commune de Jouars-Pontchartrain se situe à 35 km à l'ouest de Paris, à 18 km à l'ouest de Versailles et 22 km de Rambouillet, sur un contrefort qui délimite l'extrémité ouest de la plaine de Versailles et au pied duquel commence la plaine de Montfort-l'Amaury.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Les communes limitrophes sont Neauphle-le-Château, Coignières, Élancourt, Maurepas, Neauphle-le-Vieux, Plaisir, Saint-Rémy-l'Honoré, Le Tremblay-sur-Mauldre et Villiers-Saint-Frédéric.
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Son territoire est irrigué par la Mauldre dont le cours orienté sud-nord suit la limite est de la commune et reçoit dans le parc du château le ru d'Élancourt, dont une dérivation alimente son étang. Ce ru, orienté est-ouest, est grossi un peu en amont par le ru de Maurepas qui le rejoint à Chennevières.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Jouars-Pontchartrain est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[5] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8],[9].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 30,4 % | 297 |
Espaces verts urbains | 3,9 % | 38 |
Équipements sportifs et de loisirs | 1,8 % | 18 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 39,8 % | 389 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 4,3 % | 42 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 1,8 % | 18 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 3,5 % | 34 |
Forêts de feuillus | 14,5 % | 142 |
Source : Corine Land Cover[10] |
Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]
La commune comprend sept hameaux[11],[12] :
- Pontchartrain, au nord du territoire communal, cœur de la commune, où se trouvent, autour de la mairie, de l'église Saint-Lin et de l'hôpital Saint-Louis, la majorité des commerces de proximité et la plus grande partie de l'habitat ;
- Chennevières, au sud-est de Pontchartrain et y attenant, hameau résidentiel et ancien ; anciennement, lieux humides où prospérait la culture du chanvre[13].
- la Richarderie, à l'est de Chennevières et y attenant, hameau mi-résidentiel mi-rural ;
- Jouars, à l'écart au sud de Pontchartrain, possède une église et comporte que quelques habitations et exploitations rurales ;
- Ergal, à l'extrême est et en limite du territoire communal, attenant au hameau de Launay de la commune d'Élancourt, mi-résidentiel mi-rural ;
- les Mousseaux, au sud de Jouars, en limite du territoire communal et attenant au hameau de Villeneuve (parc aux Loups) de la commune de Maurepas, mi-résidentiel mi-rural avec quelques petites entreprises artisanales ;
- la Dauberie, étendue résidentielle très arborée, en limite de Saint-Rémy-l'Honoré.
Ces deux derniers hameaux forment une sorte d'enclave entre les territoires communaux de Maurepas, Coignières, Saint-Rémy-l'Honoré et Le Tremblay-sur-Mauldre.
Habitat et logement[modifier | modifier le code]
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 367, alors qu'il était de 2 111 en 2013 et de 2 058 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 90,6 % étaient des résidences principales, 3 % des résidences secondaires et 6,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 79,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 19,4 % des appartements[I 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Jouars-Pontchartrain en 2018 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3 %) supérieure à celle du département (2,6 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,4 % en 2013), contre 58,6 % pour les Yvelines et 57,5 % pour la France entière[I 2].
Typologie | Jouars-Pontchartrain[I 1] | Yvelines[I 3] | France entière[I 4] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 90,6 | 91,1 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 3 | 2,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,4 | 6,3 | 8,2 |
La commune, qui, avec 9,01 % de logements sociaux en 2017 ne respectait pas ses obligations issues de l'article 55 de la Loi SRU de 2000, a été placée en état de carence en décembre 2016 par le préfet et astreinte au paiement annuel d'une importante pénalité financière. Elle est sortie de cet état de carence et recouvré la maîtrise de la délivrance des permis de construire et du droit de préemption urbain en 2020, pour avoir engagé la construction de 114 logements sociaux[14],[15].
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Réseau routier[modifier | modifier le code]

La desserte routière est principalement assurée par la route nationale 12 qui a été déviée en 2003, évitant le bourg principal de Pontchartrain. La déviation, à caractéristiques autoroutières passe en tunnel sous Chennevières et en tranchée au sud du bourg et du château. L'ancien tracé a été déclassé en route départementale 912.
La commune est également traversée :
- dans l'axe nord-sud par la RD 15 (Neauphle-le-Château - hameau des Mousseaux) ;
- dans l'axe est-ouest par la RD 23 (Trappes - Bazoches-sur-Guyonne) ;
- dans le hameau des Mousseaux par la RD 13 (Chevreuse - Montfort-l'Amaury) ;
- au niveau de la forêt de Sainte-Apolline, la RD 134 (Neauphle-le-Château à la RN 12) sert de limite communale entre Jouars-Pontchartrain et Plaisir.
L'avenue du Château qui relie la RD 15 à la RD 912 (ex-RN 12) est numérotée RD 25.

Transports en commun[modifier | modifier le code]
La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Villiers - Neauphle - Pontchartrain qui est située à 3 km sur la commune de Villiers-Saint-Fréderic.
La commune est desservie par les lignes 5, 7, 14, 78, DF, M, P, Q et V de la société de transport Hourtoule et par les lignes 40, 61 et Express 67 de l'établissement Transdev de Houdan.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Jouars[modifier | modifier le code]
La localité est mentionnée sous les formes Joreium, Jorreyum, Jotrum en 1351[16].
Le nom de Jouars est issu, par évolution phonétique romane, de Diodurum « le bourg divin », nom de la cité gallo-romaine qui se trouvait un peu plus au sud de l'agglomération actuelle, au bord de la Mauldre.
Pontchartrain[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée [apud] Pontem Carnutensis en 1156 - 1157[17]
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Pont-, suivi de l'adjectif chartrain signifiant « de (la route de) Chartres »[18]. Il s'agit d'un ancien lieu-dit correspondant à un pont sur la Mauldre sur la voie qui dans l'antiquité et au Moyen Âge reliait Paris à Chartres. On trouve trois autres Pontchartrain, un sur la commune de Brézolles (Eure-et-Loir, Decidam de Pontecharten au XIIe siècle, un sur la commune de Saint-Mard-de-Reno (Orne, apud Pontem Chartem en 1226) et un sur la commune de Moutiers-au-Perche (Orne), ancienne route royale du Libérot. Ce type toponymique est le reflet de l'importance de la cité épiscopale de Chartres au Moyen Âge.
L'élément de toponyme chartrain est issu de carnutum (carnotu), suivi du suffixe -anum (-anu) qui a donné *chartain, altéré en Chartrain d'après le nom de la ville, c'est-à-dire « terre des carnutes », ethnie gauloise qui occupait la région de Chartres et à laquelle elle a donné son nom. Aussi le toponyme Pontchartrain indique-t-il toujours une limite territoriale entre les Carnutes et d'autres tribus gauloises : Pontchartrain à Jouars marquait ainsi la frontière entre les Carnutes et les Parisii[19].
Histoire[modifier | modifier le code]
Le territoire de Jouars-Pontchartrain est habité depuis la plus haute antiquité. Des vestiges datant du néolithique ont été trouvés à l'occasion du chantier de la déviation de la RN 12.
Le site de la ferme d'Ithe[20], situé au bord de la Mauldre et à l'ouest du hameau de Jouars, mais sur le territoire communal du Tremblay-sur-Mauldre, correspond à une ancienne agglomération gallo-romaine du nom de Diodurum ou Divo durum[21], une des plus grandes agglomérations secondaires recensées en Île-de-France. Par la suite, l'agglomération se développa plus haut le long de la route venant de Neauphle-le-Château, avant de décliner durablement à partir du VIe siècle.
Le développement du bourg de Pontchartrain est lié à la déviation au XVIIe siècle de la route de Paris à Dreux qui passait auparavant par Neauphle-le-Château, qui fut décidée par le comte de Maurepas, alors propriétaire du château et avait pour but de faciliter le trafic en évitant la montée dangereuse vers la butte de Neauphle.
Par la suite, le bourg prospéra en fonction de la circulation sur cette route importante du royaume.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[22], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines] et à son arrondissement de Rambouillet après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie de 1801 à 1976 du canton de Chevreuse de Seine-et-Oise puis des Yvelines, année où elle rejoint le canton de Montfort-l'Amaury[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]
Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton d'Aubergenville
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription des Yvelines.
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Jouars-Pontchartrain est membre de la communauté de communes Cœur d'Yvelines, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Jumelages[modifier | modifier le code]
Hammond (États-Unis) depuis 1998, voir Hammond, Louisiana sur WP anglophone.
Cella (Espagne) depuis 2004.
Équipements et services publics[modifier | modifier le code]
Enseignement[modifier | modifier le code]
La commune dispose[31] :
- une école maternelle publique (Hélène-Boucher) ;
- une école élémentaire publique (Jacques-Prévert) ;
- un collège public (Saint-Simon).
- un conservatoire de Musique et de Danse (CMDJP)
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2020, la commune comptait 5 803 habitants[Note 3], en augmentation de 9,95 % par rapport à 2014 (Yvelines : +1,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 785 hommes pour 2 930 femmes, soit un taux de 51,27 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
- Festival de musique cajun. [réf. nécessaire]
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Le château de Pontchartrain a été construit au XVIIe siècle pour la famille Phélypeaux, mais largement remanié aux XVIIIe et XIXe siècles.
- Église Saint-Martin, située dans le hameau de Jouars, datant du XIIe siècle. Le clocher est couvert d'une coupole depuis le XVIIe siècle.
- Le Gai relais, un édifice érigé au XVIIIe siècle, place du Maréchal-Foch, classé monument historique depuis 2002.
- Église Saint-Lin, dans le village de Pontchartrain datant du début du XXe siècle.
- Monument aux morts
-
L'église Saint-Martin dans le hameau de Jouars.
-
L'église Saint-Lin à Pontchartrain.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Auguste Dreyfus, (1827-1897), financier, industriel et collectionneur d'art, acquit, restaura et agrandit le Château de Pontchartrain à la fin du XIXe siècle ;
- André Eugène Costilhes (1865-1940)[37], artiste-peintre, vécut à Pontchartrain, route du château, entre 1925 et son décès. Il est inhumé dans le cimetière communal ;
- Raymond Delange (Jouars-Pontchartrain 1898 - Paris 1976), général français, Compagnon de la Libération[38].
- Robert Dalban, (1903-1987), comédien, est inhumé dans le cimetière communal ;
- Yves Allégret, (1905-1987), réalisateur, a vécu dans la commune et y serait inhumé. Selon le site landru cimetières [39], après enquête, il aurait été en fait incinéré a Valenton et ne reposerait donc pas ici ;
- Alain Poiré, (1917-2000), producteur de cinéma, est inhumé aux côtés de Robert Dalban ;
- Roger Lhermitte, (1920-2016), météorologue et ingénieur français, naturalisé américain, pionnier du développement du radar météorologique à effet Doppler y est né ;
Héraldique[modifier | modifier le code]
![]() |
Blason | De sinople au pont alésé d'or au chef de gueules semé de quartefeuilles d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- « Dossier complet : Commune de Jouars-Pontchartrain (78321) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/8//2023 (consulté le ).
- « Jouars-Pontchartrain » sur Géoportail.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références[modifier | modifier le code]
Site de l'Insee[modifier | modifier le code]
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Jouars-Pontchartrain - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Jouars-Pontchartrain - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Yvelines - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources[modifier | modifier le code]
- Limites administratives sur géoportail, consultée le 16 mars 2015.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Les Yvelines. Les 262 communes, Éditions Delattre, , p. 107.
- « Présentation de la commune », Découvrir la commune, sur www.jouars-pontchartrain.fr, (consulté le ).
- Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997
- Arnaud Neuveux, « Yvelines. Jouars-Pontchartrain : Où en est la situation des logements sociaux ? : Depuis le mois de décembre 2016, la commune de Jouars-Pontchartrain est placée en situation de carence en logements sociaux. Elle cherche des solutions pour combler son retard », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ) « Depuis une vingtaine d’années, il est demandé à la Ville d’avoir, avant 2025, 500 logements sociaux. La population ayant augmenté depuis, le chiffre est passé à environ 530. Pour l’heure, 180 ont déjà été construits ou leur projet officialisé, dans le cas où le bailleur social a obtenu son agrément sur un projet défini ».
- Maxime Fieschi, « Logement social dans les Yvelines : l’Etat relâche la pression sur six communes : Elles étaient pénalisées pour leurs carences dans ce domaine mais ont engagé plusieurs chantiers pour rattraper leur retard. », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
- Auguste Longnon, Pouillé de la Province de Sens (1904), p. 120, p. 158,
- Ernest Nègre Toponymie générale de la France (t. 2, Formations non-romanes, Vol. 2, (1996), p. 1371. (lire en ligne) [1].
- Ernest Nègre, op. cit..
- Marianne Mulon, Noms de lieux d'Île-de-France, Bonneton, 1997, p. 196.
- Ithe vient de Ayte, ou Ayta, qui serait un dérivé du celtique attegia signifiant « dépendance, baraque », Paris et Île-de-France, volume 49, page 135.
- Olivier Blin, « Diodurum : l’agglomération antique de Jouars-Pontchartrain », Inrap, (consulté le ).
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- [PDF] « Hommage : Jean-Louis Fanost, maire de Jouars-Pontchartrain de 1959 à 1995 », sur jouars-pontchartrain.fr, Vivre à Jouars-Pontchartrain, , p. 4 « Issu d'une famille dont les premières traces sur la commune remontent à 1672, Jean-Louis Fanost fut maire de Jouars-Pontchartrain de 1959 à 1995. Il est décédé le 8 avril 2019, à l’âge de 96 ans. »
- Marie Vermeersch, « Marie-Laure Roquelle repart finalement pour un 4ème mandat : Alors qu'elle avait annoncé qu'elle ne briguerait pas un quatrième mandat de maire l'an dernier, Marie-Laure Roquelle est revenue sur sa décision. Explications », 78 Actu, (lire en ligne, consulté le ) « La succession s’avère conflictuelle sur certains dossiers et cela ne se passe pas très bien entre et avec mes élus. Deux de mes adjoints (NDLR : Jacques Arnoux et Hervé Lemoine) ont fait scission ».
- Arnaud Neuveux, « Yvelines. Le maire de Jouars-Pontchartrain candidat à un second mandat : Hervé Lemoine, le maire de Jouars-Pontchartrain, briguera un second mandat aux élections municipales de 2020 », 78 Actu, (lire en ligne, consulté le ) « Il avait été maire adjoint aux finances pendant 19 ans soit les trois mandats de Marie-Laure Roquelle. Après des divergences avec cette dernière lors de la période 2008-2014, Hervé Lemoine avait décidé de se présenter dans une élection qu’il a remportée haut la main ».
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- Sébastien Birden, « Remaniement : Philippe Emmanuel, suppléant d’Aurore Bergé, va « découvrir un nouveau monde » à l’Assemblée : La nomination d’Aurore Bergé au ministère des Solidarités entraîne l’entrée au Palais-Bourbon de son suppléant, le maire LREM de Jouars-Pontchartrain. Mais aussi le remplacement de ce dernier à la tête de la commune », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- Nathan Sportiello, « Yvelines : Philippe Emmanuel est le suppléant d'Aurore Bergé sur la 10e circonscription : Le maire de Jouars-Pontchartrain, Philippe Emmanuel, est le suppléant d’Aurore Bergé (LREM), candidate aux élections législatives sur la 10e circonscription des Yvelines », L'Écho républicain [date=17/5/2022, {{Article}} : paramètre «
date
» manquant (lire en ligne, consulté le ). - Sébastien Birden, « Aurore Bergé ministre, son suppléant député… Thomas Mengelle-Touya, nouveau maire de Jouars-Pontchartrain : À 34 ans, cet « enfant de la commune » succède à Philippe Emmanuel, devenu député après la nomination d’Aurore Bergé au ministère des Solidarités et des Familles en juillet », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- « Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Jouars-Pontchartrain (78321) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
- http://www.ae-costilhes.fr.
- Fiche biographiqe sur le site de l'Ordre de la Libération.
- [https://www.landrucimetieres.fr /spip/spip.php?article1961 « Jouars-Pontchartrain : cimetière »], sur landrucimetieres.fr (consulté le ).