Le Perray-en-Yvelines
Le Perray-en-Yvelines | |||||
![]() Mairie. | |||||
![]() Héraldique |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Rambouillet | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Rambouillet Territoires | ||||
Maire Mandat |
Geoffroy Bax de Keating 2020-2026 |
||||
Code postal | 78610 | ||||
Code commune | 78486 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Perrotins (Perraisiens jusqu'en 1980) | ||||
Population municipale |
6 656 hab. (2018 ![]() |
||||
Densité | 494 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 41′ 41″ nord, 1° 51′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 155 m Max. 179 m |
||||
Superficie | 13,47 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Rambouillet | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | leperray.fr | ||||
modifier ![]() |
Le Perray-en-Yvelines est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
La ville appartient à l'arrondissement de Rambouillet et fait partie de la communauté d'agglomération de Rambouillet Territoires. Le code postal de la ville est de 78610 et son code Insee est 78486.
Ses habitants sont appelés les Perrotins depuis 1980.
Géographie[modifier | modifier le code]
Situation[modifier | modifier le code]
La commune du Perray-en-Yvelines est située à 4 km de Rambouillet, elle occupe une position privilégiée sur le grand itinéraire Paris-Hendaye, à 47 kilomètres de Paris Notre-Dame avec une gare SNCF sur la ligne Paris Montparnasse-Rambouillet.
Elle bénéficie d’un environnement de qualité située aux portes de la forêt des Yvelines, massif forestier parmi les plus remarquables de France.
Communes voisines[modifier | modifier le code]
Hydrographie[modifier | modifier le code]
La commune constitue le maillon terminal de la chaîne des étangs. Sur son territoire figure l'étang du Perray ainsi que le fascinant plan d'eau de Saint-Hubert, miroir serti de verdure. Louis XV en tomba amoureux et fit construire un château sur l’une de ses berges. Il ne subsiste aujourd’hui que les soubassements de la terrasse. Le Perray compte 3 étangs et des sentes piétonnes qui permettent de nombreuses balades au sein de la commune. Au cœur de la cité, face à la mairie s'ouvre un parc arboré de trois hectares.
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat au Perray-en-Yvelines est un climat tempéré de type océanique dégradé caractéristique de celui de l'Île-de-France. Les températures moyennes s'échelonnent entre 2 et 5 °C en hiver (janvier) et 14 et 25 °C en été (juillet)[1]. La pluviométrie moyenne, relativement basse, s'établit à environ 600 mm par an. Les mois les plus pluvieux vont d'octobre à janvier.
Mois | Janv | Fév | Mars | Avr | Mai | Juin | Juil | Août | Sept | Oct | Nov | Déc | Année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Températures maximales moyennes (°C) | 6 | 7 | 11 | 14 | 18 | 25 | 26 | 26 | 22 | 15 | 9 | 7 | 14,8 |
Températures minimales moyennes (°C) | 1 | 1 | 3 | 6 | 9 | 12 | 14 | 14 | 11 | 8 | 4 | 2 | 7,1 |
Températures moyennes (°C) | 4 | 4 | 7 | 10 | 14 | 17 | 19 | 19 | 16 | 12 | 7 | 5 | 11,2 |
Source : Climatologie mensuelle - Trappes, France |
Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]
Réseau routier[modifier | modifier le code]
La commune est desservie par :
- à l'ouest de la commune, la route nationale 10 orientée nord-sud et reliant Saint-Quentin-en-Yvelines à Rambouillet
- la route départementale 910 également orientée nord-sud
- la route départementale 61 orientée est-ouest en direction de Houdan.
Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par sa propre gare et la ligne
du Transilien (branche Paris - Rambouillet).
Elle permet de se rendre sur Paris avec terminus Gare Montparnasse en 1 heure à raison d'un train toutes les 30 minutes, sauf aux heures de pointe où la fréquence est d'un train toutes les 15 minutes.
Bus[modifier | modifier le code]
La commune est desservie par les lignes 08, Express 12, 19, 39, 59, 79 et 89 de l'établissement Transdev de Rambouillet et par la ligne 36.15 de la société de transport Cars Perrier.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le Perray-en-Yvelines est mentionné dans un document de 1239[2] où il apparut comme In Villa Nova de Pereio in Aquilina et est érigée en paroisse le [3], se trouvait sur la vieille voie romaine de Beauvais à Orléans [4], Petreum au XIIe siècle[5], Perreium en 1242[6], Neuville du chemin Perré en 1249[7], Moriacum en 1284[8], Paretum au XIIIe siècle[8], Perretum[8], Pareyum[8], Péré[8], Pairé[8], Le Perray-en-Yvelines depuis 1948, bien avant la création de département, marquant ainsi son attachement à la région naturelle de l'Yveline[Note 1],[Note 2].
De la langue d'oïl, du mot perroi, perrois « grève, terrain pierreux, gravier »[5].
Le toponyme, Neuville du chemin Perré en 1249[7], indique qu'autrefois courait ici un perré, c'est-à- dire une chaussée, un chemin pavé de pierres, l'ancienne voie 263[9]. Sans aucun doute, le nom du lieu fait référence à la route[6]. Sous le règne de Louis IX (Saint-louis), naît de la route pierrée de Paris à Chartres, un nouveau village : « villa nova de Pereio in Aquilina », d'où la devise "e via orta" (né de la route) rajoutée au blason en 1982.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes du Perray-en-Yvelines se blasonnent ainsi :
|
Histoire[modifier | modifier le code]
Sous le règne de Louis IX (Saint-Louis), naît de la route pierrée entre Paris et Chartres, un nouveau village : " villa nova de Pereio in Aquilina". Le , Aubry Lecornu, évêque de Chartres consacre la paroisse placée sous le vocable de Saint-Eloi. C'est un ensemble de novales (terres défrichées) où se sont installés des bûcherons venus des Essarts, puis des laboureurs qui vont exploiter ces terres. Le nouveau village est situé sur l'ancienne voie romaine qui menait d'Orléans (Cenabum) à Poissy (Pinciacum) (de la Forêt des Carnutes à la Seine).
Ce village-rue va se développer le long de cette route, la route de Bayonne, dont la mise en valeur date d'abord des pélerinages à Saint-Jacques de Compostelle. François Ier l'empruntait pour rejoindre son château de Rambouillet. La création des relais de Postes par Henri III verra l'installation au Perray des premiers charrons et maréchaux. Louis XIV l'a prise pour aller épouser Marie-Thérèse en juin 1660. Louis XV, grand chasseur et familier du Duc de Penthièvre la connaît bien. C'est d'ailleurs au XVIIIe siècle que la route contribue à développer l'activité locale : auberges, hostelleries, charrons, maréchaux, charretiers, voituriers. La Route Impériale n°11 deviendra la Route Royale n°11, puis n°10, et, République oblige, la Route Nationale 10. Au XXe siècle, près de 15 hôtels, restaurants, cafés ou buvettes, jalonnent les 4 kilomètres de sa traversée, depuis l'auberge de l'Artoire jusqu'à la Halte Saint-Jacques, près d'une dizaine de postes de distribution d'essence verront le jour. Mais la route devient dangereuse : de nombreux accidents, de nombreux morts, notamment après 1950. En 1976, la déviation de la RN 10 modifie la vie et le destin du Perray qui devient un espace"rurbain" et résidentiel aux Portes de la forêt.
C'est pour alimenter en eau le château de Versailles en 1685 que Louis XIV fit creuser au Perray-en-Yvelines un étang de dix hectares (L'Etang du Perray) alimenté par un système de rigoles (Parfond, Roseau et Coupe-Gorge) et la chaîne des Etangs (Saint-Hubert, Pourras, Corbet, Bourgneuf, Hollande) sur le tracé du rû Peissonnier. Cela permit d'assainir le territoire plutôt marécageux de la commune, d'obtenir de bonnes terres agricoles, de créer de grandes fermes et donc de développer le village, grâce aux hameaux agricoles (Roseau, Touche, Herse, Fourneaux, Mare Neuve,Rue Verte, Grimace, Barantonnerie).
En 1849, la ligne de Chemin de fer Paris-Orléans passe par Le Perray : l'étang du Perray est coupé en deux et il faut attendre 1862 pour qu'une gare s'installe au Perray et développe le transport des marchandises locales (céréales, bois et pierre meulière) qui devient une activité essentielle au début du XXe siècle.
L’histoire du Perray-en-Yvelines a été retracée par l’abbé Jules Violette (curé au Perray de 1886 à 1919) dans son Histoire de la commune du Perray et plus récemment par le docteur Alphonse Marest (maire du Perray de 1971 à 1978 et de 1985 à 1989) dans « Perray et Perrotins » et « Le siècle de l’enseignement primaire ». Elle est régulièrement actualisée par sa société d'Histoire : HMPY qui publie des articles mensuels ou bimestriels depuis 2007 [10].
Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
Le Docteur Israël Garfunkel, né le 28/08/1904, médecin installé au Perray en 1935, est déporté parce qu'il est juif, le 07/10/1943, convoi No 60, et meurt après son retour le 29/12/1946. Son épouse, Mary née le 06/11/1905, et leurs enfants Bernard, né le 24/09/1930, et Irène née le 19/03/1936, sont tous trois déportés sans retour, exécutés dès leur arrivée à Auschwitz le 10/10/1943 [11].
Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[13].
En 2018, la commune comptait 6 656 habitants[Note 3], en diminution de 0,85 % par rapport à 2013 (Yvelines : +1,83 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,7 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 49,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,3 %, 15 à 29 ans = 17,6 %, 30 à 44 ans = 23,4 %, 45 à 59 ans = 22,6 %, plus de 60 ans = 16,1 %) ;
- 50,4 % de femmes (0 à 14 ans = 19,1 %, 15 à 29 ans = 17,5 %, 30 à 44 ans = 22,9 %, 45 à 59 ans = 21,1 %, plus de 60 ans = 19,4 %).
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Le Perray-en-Yvelines est rattaché à la Communauté d'Agglomération Rambouillet Territoires, depuis le 1er janvier 2017.
Auparavant, elle appartenait depuis 2004 à la Communauté de Communes des Etangs (Auffargis, le Perray-en-Yvelines, Les Bréviaires, Les Essarts-le-Roi, Saint-Léger-en-Yvelines, jusqu'en 2013 ; Le Perray-en-Yvelines, Les Bréviaires, Les Essarts le Roi, puis au 1er janvier 2014, Coignières et Maurepas, qui rejoignirent la Communauté d'Agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines au 1er janvier 2016).
Enseignement[modifier | modifier le code]
Le Perray-en-Yvelines dépend de l'académie de Versailles et compte une école maternelle (école du Pont-Marquant) et deux écoles élémentaires (école des Platanes et école de la Barantonnerie).
La commune qui compte deux écoles primaires (Les Platanes, ouverte en 1976 et La Barantonnerie, ouverte en 1979) et une école maternelle (ouverte en 1976) ne compte ni collège, ni lycée, et dépend du collège "Les Molières" aux Essarts-le-Roi et du lycée "Louis-Bascan" à Rambouillet.
Sports[modifier | modifier le code]
La commune comporte de nombreuses associations sportives pour tous les âges et toutes les conditions physiques, et cela dans de nombreux domaines : tennis de table, tennis, danse, football, basketball, cyclisme...
Presque chaque année depuis 2010, la commune de Perray organise, en partenariat avec l'association Ellipse, une journée d'échange et de solidarité autour du sport entre des personnes en situation de handicap et des sportifs membres des associations et clubs de la ville, visant à renforcer le lien social entre différents publics à travers la pratique sportive.
Depuis 2000, des semaines sportives destinées aux jeunes Perrotins âgés entre 10 et 14 ans, sont organisées par le service des sports en partenariat avec les associations sportives locales, trois fois par an.
Culture[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- L'église paroissiale Saint-Éloi date de la seconde moitié du XIIIe siècle mais a été très souvent réhabilitée et rehaussée par deux fois dans la première moitié du XIXe siècle par Philibert Caziot. Ce rehaussement momentané entrait dans le cadre des calculs géodésiques. Le clocher-tour a été restauré en 1778[19].
- La Croix Saint-Jacques, croix marquant le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, dont la forme actuelle en obélisque date de Louis XV qui l'a sauvegardée ainsi en son temps, a été classée monument historique le 15 mai 1952.
- Parc de l'ancien château de Saint-Hubert : parc d'un ancien château royal construit par Ange-Jacques Gabriel pour Louis XV entre 1755 et 1759, puis agrandi entre 1763 et 1774. Il était décoré de sculptures de Guillaume Coustou (fils) ou Jean-Baptiste Pigalle Le château, abandonné par Louis XVI, est totalement démoli en 1855[20]. Le site, propriété privée composée actuellement d'une berge sur l'étang, d'un potager et d'une conciergerie est inscrit[21].
- Le pont Napoléon, dit aussi pont Royal ou chaussée de Pourras, construit entre l'étang de Pourras et l'étang de Saint-Hubert a été commandé par Louis XVI. Réparé vers 1808 à la demande de l'empereur, comme le mentionne une plaque, il est inscrit à l'inventaire des monuments historiques. Il a été restauré en 1967[22].
- Le Rendez-Vous de Chasse de l'Empereur ou Pavillon Pourras situé au lieu-dit Pourras, construit inutilement, puisqu'il n'y vint jamais, pour l'empereur Napoléon Ier en 1808 par l'architecte Auguste Famin, tombé en ruines dès 1840 a été partiellement restauré en 1967. Il a été classé monument historique en 1978[23].
Équipements culturels[modifier | modifier le code]
- La médiathèque, adjacente aux ateliers culturels, sur le site de la Mare au Loup.
- La salle "Les Granges du Parc" : espace culturel et salle polyvalente.
- Le champ de Foire : c'est un grand espace extérieur qui peut être utilisé à diverses occasions.
- La salle des fêtes de la Mare au Loup.
Économie[modifier | modifier le code]
La commune du Perray-en-Yvelines compte une vingtaine de commerces de proximité. Répartis principalement en centre-ville.
Le vendredi matin et le mercredi toute la journée, un marché est installé à la Place de la Mairie.
Au-delà des commerces installés en centre-ville et dans la zone commerciale de la Forêt Verte, la commune du Perray-en-Yvelines recense une forte activité économique sur quatre autres zones principales :
- La zone industrielle de la Croix de Saint-Jacques
- La zone de l'Antenne
- La zone industrielle de la Rougerie
- La zone industrielle du Chemin Vert
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Charles de Valois, fils du roi de France Philippe III le Hardi, frère de Philippe IV le Bel et père de Philippe VI est peut-être mort dans la ville.
- Jean-Roger Caussimon (1918-1985), habitait Le Perray, auteur-compositeur-interprète et acteur.
- Macha Béranger (1941-2009), morte au Perray-en-Yvelines, animatrice de radio française.
- Christian-Louis Eclimont (1953-2020), natif du Perray-en-Yvelines, écrivain, journaliste et parolier.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Sous l'Ancien Régime, le nom de Pays d'Yveline est donné à une subdivision du Gouvernement général d'Île-de-France. Le Gouvernement de l'Isle de France par Damien de Templeux, 1663.[1]
- Le nom de Pays d'Yveline apparaît également dans plusieurs ouvrages de l'époque comme le Dictionnaire universel de la France ancienne & moderne, publié en 1726.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- Climat des Yvelines sur le site de Météo-France
- Histoire et Mémoire du Perray.
- Auguste MOUTIÉ, Recueil des chartes et pièces relatives au prieuré des Moulineaux et à la châtellenie de Poigny, 1846.
- Marianne Mulon, Noms de lieux d’Île-de-France, Paris, Bonneton, , 231 p. (ISBN 2862532207).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Page 1288.
- Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997.
- Dans une délimitation qui fut faite en 1249.
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak, J.-M. Bordessoules, Origine des noms de lieux de Paris et grande couronne, page 264.
- (en) « Hmpy », sur www.hmpy.fr (consulté le 19 avril 2020)
- Anonymes, Justes et Persécutés durant la période Nazie dans les communes de France
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Le Perray-en-Yvelines en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 27 avril 2011)
- « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le 27 avril 2011)
- Geoffroy Bax de Keating, plus jeune maire d'IDF, victorieux face à « l’indétrônable » Paulette Deschamps au Perray-en-Yvelines - Le Perray-en-Yvelines (78610), L'Echo Républicain, 29/07/2020 (Consulté le 07/09/2020)
- Notice no IA00051997, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA00052020, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA78000748, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA00052018, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IA00052019, base Mérimée, ministère français de la Culture