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Étienne (martyr)

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Étienne
Saint chrétien
Image illustrative de l’article Étienne (martyr)
Icône de saint Étienne tenant un encensoir dans la main droite symbolisant le diaconat et de sa main gauche un voile rouge relatif au martyre avec une pyxide[1] reposant dessus.
Protodiacre et Protomartyr
Décès Entre 29 et 36 
Jérusalem, (Empire romain)
Autres noms Stéphanos
Vénéré par Église orthodoxe
Église catholique
Églises des trois conciles
Églises luthériennes
Communion anglicane
Fête 26 décembre en Occident
27 décembre en Orient
Attributs Dalmatique, encensoir, drap rouge, cercueil, palme du martyre, pierres de lapidation, etc.
Saint patron Diacres, pavetiers, Arte della Lana, Serbieetc.

Saint Étienne est un prédicateur juif du Ier siècle considéré a posteriori comme le premier diacre (protodiacre) et le premier martyr (protomartyr) de la chrétienté[2],[3].

Étienne est un personnage des Actes des Apôtres (Ac), œuvre de Luc l'Évangéliste qui forme le cinquième livre du Nouveau Testament. Comme Philippe le Diacre[4], Étienne est présenté dans le récit, au début du chapitre 6 des Actes, dans l'épisode dit de l'Institution des Sept (Ac 6,1-7)[5]. Étienne et Philippe sont les deux principaux personnages des trois chapitres suivants[6]. Étienne est connu comme « Étienne le Protomartyr »[7],[8],[9], « (le) protomartyr Étienne »[10] ou « Étienne protomartyr » car il est regardé, par les chrétiens, comme le premier martyr[11]. Il fait aussi partie des Septante disciples choisis par Jésus-Christ.

Anthroponymie

Son nom vient du grec Στέφανος (Stephanos) « couronne ». Il se présente sous diverses formes dans l'histoire du français (Stéphane, Steven, Esteven, Esteban, Estienne...) ; toutes sont issues du grec latinisé Stephanus[12].

Le récit des Actes des Apôtres

Fresque de la chapelle Nicoline réalisée par Fra Angelico : L'ordination de saint Étienne comme diacre par l'apôtre Pierre.

Les récits relatifs à Étienne dans les Actes 6, 1-8 et 3 soulèvent des problèmes « pouvant porter la suspicion sur son historicité », selon l'historien Simon Claude Mimouni[13].

Premier diacre

Étienne apparaît au chapitre 6 des Actes, où il est présenté comme un Juif helléniste[14] qui a reconnu en Jésus le Messie et été choisi avec six autres « hommes de bonne réputation, d'Esprit Saint et de sagesse »[15] pour devenir les diacres chargés d’assister les apôtres au bénéfice de la communauté.

« En ces jours-là, comme le nombre des disciples augmentait, les Hellénistes se mirent à récriminer contre les Hébreux parce que leurs veuves étaient oubliées dans le service quotidien. Les douze convoquèrent alors l’assemblée plénière des disciples et dirent : « Il ne convient pas que nous délaissions la parole de Dieu pour le service des tables. Cherchez plutôt parmi vous, frères, sept hommes de bonne réputation, remplis d'Esprit et de sagesse, et nous les chargerons de cette fonction. Quant à nous, nous continuerons à assurer la prière et le service de la Parole. » Cette proposition fut agréée par toute l'assemblée : on choisit Étienne, un homme plein de foi et d'Esprit Saint, Philippe, Prochore, Nicanor, Timon, Parménas et Nicolas, prosélyte d'Antioche ; on les présenta aux apôtres, on pria et on leur imposa les mains. »

— Actes[16], 6, 1-6

Ses discours

Selon les Actes des Apôtres, Étienne accomplit des « prodiges et des signes remarquables parmi le peuple » (Ac 6:8). Érudit, il vient facilement à bout d'un débat qui se tient à la « synagogue des affranchis », lieu de culte des descendants de Juifs réduits en esclavage et déportés par Pompée, puis libérés[17].

Devant le sanhédrin, on confronte alors Étienne à des témoins qui l'accusent de quatre blasphèmes : contre Dieu, contre Moïse, contre la Loi et contre le Temple de Jérusalem, lieu saint. Étienne se disculpe de ces accusations en résumant l'histoire d'Israël. Il présente d'abord une triple louange du « Dieu de gloire » ; il loue ensuite Moïse pour sa ferveur, ses miracles et pour la qualité de son accès à Dieu ; il poursuit en louant triplement la Loi, qui vient de Dieu, est transmise par Moïse et donne la vie ; enfin il loue le Temple, commandé par Dieu et construit par Salomon (Ac 7:2-50).

L'exécution d'Étienne

Paolo Uccello, La Lapidation de saint Étienne, cathédrale de Prato.

Les causes

Selon Simon Claude Mimouni, Étienne est condamné à la lapidation pour blasphème non pas contre le Temple, mais contre Dieu, car il prononce le Nom divin, par définition imprononçable [dans la religion juive] dans l'expression suivante : « les cieux ouverts et le Fils de l'Homme debout à la droite de Dieu »[18].

Le procès et la mort de Jacques [frère de Jésus] sont proches de ceux d'Étienne : pour l'un comme pour l'autre de ces deux martyrs, il est question de blasphème, puis d'un procès au Sanhédrin, puis d'une lapidation. Les récits des Actes des Apôtres pourraient avoir subi l'influence de cet événement, à moins que le récit de l'exécution de Jacques ne soit calqué sur celui des Actes des apôtres[19]. Les commentateurs soulignent également certaines ressemblances entre le récit de la mort d'Étienne et celui de la mort de Jésus dans les évangiles[19], parallélismes « qui ne relèvent pas d'un contact fortuit : le narrateur a consciencieusement modelé le procès d'Étienne sur celui de Jésus »[20], selon l'exégète et bibliste Daniel Marguerat.

Mais le discours d'Étienne, mettant en œuvre une rhétorique jusque là difficile à critiquer par le Sanhédrin, change brutalement d'orientation pour s'en prendre violemment à l'assemblée du Sanhédrin. Interpellés comme des hommes au « cou raide », « incirconcis »[21] dans leurs cœurs et leurs oreilles, ses juges se jettent sur Étienne, le traînent hors les murs de Jérusalem et le lapident, exécution à laquelle Saul assiste comme témoin[22]. Les Actes racontent que Saul, plus tard converti et devenu apôtre sous le nom de Paul, garde les vêtements des meurtriers et approuve alors ce meurtre[23].

Personne ne doute que Luc [le rédacteur des Actes] ne fasse écho ici à une tradition relative à Étienne et qu'il l'a remaniée. Mais dans quelle proportion l'a-t-il réécrite ? ; la tenue d'un procès ne paraissant pas très compatible avec une scène de lynchage, certains postulent deux traditions concurrentes (mal) assemblées par le narrateur[24].

Le lieu

Bien que le site de sa lapidation ne soit pas mentionné dans les Actes des Apôtres, les archéologues et dominicains Louis-Hugues Vincent et Félix-Marie Abel[25] mentionnent une tradition ancienne qui fixe le lieu du martyre d'Étienne sur le site de la basilique Saint-Étienne de Jérusalem au nord de la porte de Damas (appelée par les croisés porte de Saint-Étienne, au nord de la vieille ville de Jérusalem). Ils évoquent aussi une tradition plus récente qui apparaît à partir du XIIe siècle lors de la disparition de la basilique Saint-Étienne et la prise de Jérusalem par l'armée de Saladin en 1187. La porte de Damas (point faible de l'enceinte fortifiée) étant inaccessible aux pèlerins, les guides locaux privilégient une tradition locale concurrente qui fixe le lieu du supplice dans une grotte attenante au couvent grec orthodoxe, situé en contrebas de la porte des Lions à l'Est (appelée à son tour porte de Saint-Étienne à partir du XVIe siècle)[26],[27].

La date

La date de la mort d'Étienne est inconnue et les historiens qui se penchent sur le sujet sont partagés : certains argumentent en faveur des années 31 ou 32 ; d'autres en faveur de 36, voire de 39[28].

Légendes ultérieures

Un thaumaturge

Scène de l'enlèvement d'Étienne le jour de sa naissance, fresque de Fra Filippo Lippi dans la cathédrale de Prato.

Les écrits postérieurs aux Actes font d’Étienne un thaumaturge. En particulier, saint Augustin, dans La Cité de Dieu, racontera nombre de miracles accomplis par le protomartyr, récits qu’on retrouve chez de nombreux hagiographes du Moyen Âge, notamment Jacques de Voragine, Jean de Mailly ou Vincent de Beauvais. Ainsi en est-il de fleurs qui étaient posées sur l’autel de Saint Étienne puis appliquées sur des malades, qui guérissaient miraculeusement. Ainsi en est-il aussi de dame Patronia, gravement malade, qui consulte un jour un juif qui lui remet un anneau orné d’une pierre, qu’elle doit porter. Le talisman n’améliore cependant pas son état. En désespoir de cause, Patronia se réfugie à l’église de Saint-Étienne qu’elle implore avec ferveur. L’anneau glisse à terre et elle est guérie.

Un manuscrit du Mont Cassin contient un texte, la Vita fabulosa sancti Stephani protomartyris (ca 1000), rapportant qu'Étienne est le fils d'Antiochus et Perpetua, un couple stérile. Enlevé à Jérusalem le jour de sa naissance par le diable, qui lui substitue dans son berceau un petit démon, il est confié par Satan à l'évêque Julien, qui l'adopte, le nomme Nathanael et l'élève comme son fils avant de l'ordonner diacre. Devenu adulte, Étienne retourne dans son premier foyer et expulse, d'un signe de croix, le démon qui avait pris sa place[29].

Invention et translation des reliques

Apparition de Gamaliel l'Ancien au prêtre Lucien.

« Des hommes pieux ensevelirent Étienne et lui firent de belles funérailles » (Ac 8:2). La figure d’Étienne prend une grande place pour les premières communautés chrétiennes et joue un rôle important dans la scission progressive d'avec le judaïsme et la montée de l'antijudaïsme chrétien, d'où le développement de traditions littéraires de l'invention et de la translation de ses reliques[30]. Ces traditions relèvent en grande partie du modèle des récits-types occidentaux, empruntant aux topoi hagiographiques classiques[31].

Une tradition chrétienne du Ve siècle évoque l'apparition de Gamaliel l'Ancien au prêtre Lucien, curé de Cafargamala (Kfar-Gamala, actuelle Beit Jamal) le vendredi , le rabbi indiquant où se trouvait sa relique qui aurait été alors retrouvée dans le même tombeau que celle de son fils Abibas, ainsi que Nicodème. Un vase de roses rouges à côté de la tête de saint Étienne permet d'identifier le corps du martyr[32].

L’évêque Jean de Jérusalem fait alors procéder solennellement à la translation du corps du martyr à l’église du Mont-Sion de Jérusalem, le , jour anniversaire de la mort d'Étienne. L’évêque Juvénal, successeur de Jean, commence la construction à Jérusalem d’une basilique destinée à recueillir la dépouille de saint Étienne[33].

Les travaux sont repris en 438 sous l’impulsion de l’impératrice Eudoxie (Eudocie), épouse de Théodose II. Les restes du martyr sont transférés dans la nouvelle basilique, qui ne sera d’ailleurs achevée que vingt ans plus tard, lors de la cérémonie de dédicace par saint Cyrille, patriarche d’Alexandrie, peut-être le [34]. L’actuelle basilique a été construite à l’emplacement de l’ancien ouvrage par les dominicains à la fin du XIXe siècle.

Les restes des martyrs Étienne et Laurent dans la basilique Saint-Laurent-hors-les-Murs.

Dès 416, des reliques du martyr sont emportées à Minorque et en Afrique (notamment à Hippone) par Paul Orose[35]. Une tradition médiévale évoque la translation des reliques du martyr à Rome par le pape Pélage II à la fin du VIe siècle. Les restes de saint Étienne et de saint Laurent seraient enfermés dans une caisse de marbre, qu'entourent de fortes grilles de fer, dans la Confession sous le maître-autel de la basilique Saint-Laurent-hors-les-Murs[36].

La fête de l’Invention des reliques de saint Étienne, ou Saint-Étienne d’été, était célébrée le 3 août. Elle fut supprimée du calendrier romain par Jean XXIII.

Des fouilles effectuées à Beit Jamal par Andrzej Strus ont mis au jour en 2003 une architrave ou un linteau en pierre avec une tabula ansata sur laquelle était inscrit « DIAKONIKON STEPHANOU PROTOMARTYROS ». Un diakonikon est une petite chapelle destinée à des objets cultuels et placée sous la responsabilité d'un diacre. L'inscription atteste l'ancienneté de cette tradition[37].

Fêtes et célébrations

Saint Étienne est fêté par l'Église catholique le 26 décembre, et par les Églises chrétiennes d'Orient le 27 décembre, et encore le 2 août (translation de ses reliques) par l'Église catholique ainsi que par les Églises chrétiennes d'Orient.

Il est considéré comme un saint également par les Églises anglicane, luthériennes, ainsi que l'Église de l'Orient.

Sa fête, le 26 décembre, est fériée en Allemagne, en Autriche, en Irlande, en Italie, au Royaume-Uni, au Luxembourg ainsi qu'en Moselle, en Alsace, en Catalogne et dans plusieurs cantons suisses.

Les églises stéphaniennes sont exceptionnellement nombreuses dans tous les pays de l'Europe. Notamment en France où le protomartyr a donné son nom à la ville de Saint-Étienne, dans la Loire, et à soixante-douze autres communes françaises, sans compter les formes occitanes telles que Saint-Estèphe Ce lien renvoie vers une page d'homonymie ou Saint-Estève[32].

Le village de Saint-Ail en Meurthe-et-Moselle est placé sous sa protection.

Étienne a également donné son nom à la cathédrale de Vienne, à celles de Sens, de Metz, de Châlons, à une quinzaine d'autres cathédrales en France et à de nombreuses églises.

Une des cloches de la cathédrale Notre-Dame de Paris porte son nom.

À Florence, il a été, depuis le Moyen Âge, le saint patron de l'Arte della Lana, la « corporation de la Laine », et sa statue figure dans une des niches d'Orsanmichele.

Notes et références

  1. Catherine Jolivet-Lévy, Les Églises byzantines de Cappadoce, Éditions du Centre national de la Recherche scientifique, , p. 153.
  2. Piccirillo 1998, p. 266.
  3. Jean-Paul II 2002.
  4. Mimouni 2012, § 21 et 23.
  5. Mimouni 2012, § 21-23.
  6. Mimouni 2012, § 21.
  7. Stanislas Dockx, « Date de la mort d'Étienne le Protomartyr », Biblica, vol. 55, no 1,‎ , p. 65-73 (JSTOR 42609862) [consulté le 1er mai 2017].
  8. Enzo Lucchesi, « À propos d'un enkomion copte sur Étienne le protomartyr (BHO 1093) », Analecta Bollandiana, vol. 101,‎ , p. 421-422.
  9. Enzo Lucchesi, « Un fragment sahidique du premier panégyrique d'Étienne le Protomartyr par Grégoire de Nysse », Analecta Bollandiana, vol. 124,‎ , p. 11-13 (résumé) [consulté le 1er mai 2017].
  10. Benjamin Moulet, Évêques, pouvoir et société à Byzance (VIIIe au XIe siècle) : territoires, communautés et individus dans la société provinciale byzantine (texte remanié de la thèse de doctorat en histoire préparée sous la codirection de Michel Kaplan et Jean-Marie Sansterre et soutenue en à l'université Paris-I – Panthéon-Sorbonne sous le titre Évêques, pouvoirs et société à Byzance (début du VIIIe siècle-milieu du XIe siècle) : territoires, communautés et individus dans la société provinciale de l'Empire byzantin), Paris, Publications de la Sorbonne, coll. « Byzantina Sorbonensia » (no 25), (réimpr. 2016), 1re éd., 1 vol., 613, 24 cm (ISBN 978-2-85944-651-2 et 2-85944-651-6, OCLC 758499966, BNF 42461344, SUDOC 153339799, lire en ligne [fac-similé]), p. 354 (lire en ligne [fac-similé]) et p. 380 (lire en ligne [fac-similé]) [consulté le 1er mai 2017].
  11. Entrée « protomartyr », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, t. 3 : I – P, Paris, Hachette, , 1396 p., gr. in-4o (BNF 30824717, lire en ligne [fac-similé]), p. 1366 (lire en ligne [fac-similé]) [consulté le 1er mai 2017].
  12. (en) Fernando Lanzi et Gioia Lanzi, Saints and their symbols, Liturgical Press, (lire en ligne), p. 74.
  13. Simon Claude Mimouni et Pierre Maraval, Le Christianisme des origines à Constantin, PUF, , p. 187.
  14. Les Juifs hellénistes avaient vécu hors de Palestine. Ils avaient à Jérusalem leurs propres synagogues, où on lisait la Bible en grec.
  15. « (…) ἄνδρας ἐξ ὑµῶν µαρτυρουµένους ἑπτὰ πλήρεις πνεύµατος καὶ σοφίας » - ándras ex humỗn marturoménous heptà plếreis pneúmatos kaì sophías.
  16. Les extraits des Actes des Apôtres proviennent de la Traduction œcuménique de la Bible (TOB), éditions Le Cerf, seconde édition, 1986. Les extraits en langue grecque proviennent du site de l'université de Colombie-Britannique, The New Testament & The Septuagint.
  17. « Alors intervinrent des gens de la synagogue dite des Affranchis, des Cyrénéens, des Alexandrins et d’autres de Cilicie et d’Asie. Ils se mirent à discuter avec Étienne, mais ils n’étaient pas de force à tenir tête à la sagesse et à l’Esprit qui le faisaient parler. » (Ac 6:9-10)
  18. Simon Claude Mimouni et Pierre Maraval, Le Christianisme des origines à Constantin, Paris, PUF, 2006, p. 188. Cette expression est donnée dans les Actes 7, 55-56.
  19. a et b Simon Claude Mimouni et Pierre Maraval, Le Christianisme des origines à Constantin, Paris, PUF, 2006, p. 189.
  20. Daniel Marguerat, Les Actes des Apôtres, Genève, Labor et Fides, , 449 p. (lire en ligne), p. 216.
  21. « Σκληροτράχηλοι καὶ ἀπερίτµητοι (...) » - Sklerotrácheloi kaì ảperítmetoi....
  22. Dominique Bernard et Alain Le Boulluec, Les disciples juifs de Jésus du Ier siècle à Mahomet, Éditions du Cerf, , 1232 p. (lire en ligne).
  23. Actes, 7, 54-60.
  24. Daniel Marguerat, Les Actes des Apôtres, Genève, Labor et Fides, 2007, p. 217.
  25. Hugues Vincent et Félix-Marie Abel, Jérusalem : recherches de topographie, d'archéologie et d'histoire, J. Gabalda, , p. 760.
  26. (en) Hannah M. Cotton, Leah Di Segni, Werner Eck, Benjamin Isaac, Alla Kushnir-Stein, Haggai Misgav, Jonathan J. Price, Ada Yardeni, Jerusalem, Part 2 : 705-1120, Walter de Gruyter, (lire en ligne), p. 275.
  27. (en) Jerome Murphy-O'Connor, The Holy Land : An Oxford Archaeological Guide from Earliest Times to 1700, OUP Oxford, (lire en ligne), p. 21.
  28. Simon Claude Mimouni et Pierre Maraval, Le Christianisme des origines à Constantin, PUF, 2006, p. 188
  29. (es) Louis Goosen, De Andrés a Zaqueo, Ediciones AKAL, , p. 54.
  30. Peter Brown, Le culte des saints. Son essor et sa fonction dans la chrétienté latine, Cerf, , p. 102.
  31. Edina Bozoky, La politique des reliques de Constantin à Saint Louis, Éditions Beauchesne, (lire en ligne), p. 211.
  32. a et b Louis Réau, Iconographie de l'art chrétien, Presses universitaires de France, , p. 445.
  33. (de) J. Martin, « Die Revelatio Sancti Stephani und Verwandtes », Historisches Jahrbuch, vol. 77,‎ , p. 419-433.
  34. Jean-Marie Mayeur, Luce Pietri, André Vauchez, Marc Venard, Histoire du christianisme. Les Églises d'Orient et d'Occident (432-610), Desclée, , p. 31.
  35. Yvette Duval, Loca sanctorum Africae. Le culte des martyrs en Afrique du IVe au VIIe siècle, Ecole française de Rome, , p. 624-628.
  36. Augustus J. Hare, Promenades à Rome, Graphics LLC Adegi, , p. 93-95.
  37. Émile Puech, Un mausolée de saint Étienne à Khirbet Jiljil - Beit Gimal (Pl. I), Revue Biblique 113/1 (janvier 2006) p. 100-126.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

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