Lafare

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Lafare
Lafare
Blason de Lafare
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin
Maire
Mandat
Philippe Soard
2020-2026
Code postal 84190
Code commune 84059
Démographie
Gentilé Farisiens, Farisiennes
Population
municipale
125 hab. (2021 en diminution de 0,79 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 08′ 52″ nord, 5° 03′ 08″ est
Altitude 150 m
Min. 129 m
Max. 528 m
Superficie 4,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vaison-la-Romaine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Lafare
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Lafare

Lafare est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située à 4 km de Beaumes-de-Venise[1] et 38 km d'Avignon.

Communes limitrophes de Lafare
Suzette
Gigondas Lafare la Roque-Alric
Beaumes-de-Venise

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La route départementale 90 qui vient du sud est une petite route sinueuse qui escalade la montagne pour permettre l'accès au village puis continue son chemin vers la commune voisine de Suzette. À noter aussi la route départementale 90a qui va à l'est vers La Roque-Alric.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La chaîne des Dentelles de Montmirail est la partie la plus occidentale du massif des Baronnies et constitue la première avancée des Alpes dans la vallée du Rhône. Il s'agit d'une série de dalles rocheuses du Tithonien (Jurassique) reposant sur des sols calcaires.

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[2] :

  • Lafare est arrosée par une rivière qui a la particularité d'être salée : la Salette, ainsi que par un de ses affluents, la Combe ;
  • ruisseaux de salette, la combe ;
  • ravin du vallat de l'aiguille ;
  • vallat de fenouillet.

Lafare dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 220 équivalent-habitants[3].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en Zone 3 : sismicité moderée[4]. Tous les autres cantons du département de Vaucluse, dont celui de Carpentras auquel appartient la commune, sont classés en Zone 3 : sismicité moderée. Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[5],[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 834 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 3,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaumont-Mt Serein », sur la commune de Beaumont-du-Ventoux à 10 km à vol d'oiseau[9], est de 7,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 317,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 33,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Si aucune trace d'occupation lors de la préhistoire n'a été encore trouvée, la présence autour de Saint-Christophe, de nombreuses poteries grises prouve que ce lieu servit de refuge, à la fin de l'Antiquité, lors de grandes invasions.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Raymond VIII de Turenne par Girolamo di Benvenuto.

Au XIIe siècle, l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait deux églises, Saint-Christophe, et l’église paroissiale, dont elle percevait les revenus[14].

La seigneurie fut acquise en août 1246 par Pons Astouaud et Rostang de Libra pour la somme de 20 sols raymondins. Le village était alors à mi-côte sur la colline d'en face, où se situe toujours la chapelle Saint-Christophe. Ce fut là que Raymond de Turenne installa une partie de ses troupes en . La ville de Carpentras, menacée par cette présence, fait le siège de la ville par courtes périodes, avant de s’en emparer en . Le village est aussitôt détruit[15].

Renaissance[modifier | modifier le code]

Devenue déserte, cette seigneurie fut achetée le , par Françoise de la Salle et son époux Jean de Lopis. Ils firent venir des colons par acte d'habitation et reconstruire un nouveau village autour de leur château.

Période moderne[modifier | modifier le code]

Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Vers 1914, l'on a essayé d'extraire le sel de la Salette mais sans succès commercial. Cette rivière peut avoir des débordements catastrophiques, ce fut le cas en 1992, lors de ce qui a été appelé les Inondations de Vaison, puisque la commune a été fortement touchée par la crue.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ce nom est attesté en 1274, sous la graphie de Lafara. Il s'agirait d'un toponyme d'origine germanique fara, signifiant famille et passé au sens de domaine d'une famille[16].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Lafare

Les armes peuvent se blasonner ainsi[17] :

De gueules au château d'or, ouvert du champ, maçonné de sable, soutenu d'un loup passant aussi d'or[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1991 en cours Jean-Paul Anres UMP  

La commune de Lafare, qui était du comtat Venaissin dans les états pontificaux en 1789, est passée dans le département de la Drôme en 1792, puis dans celui de Vaucluse en 1793, dans le district de Carpentras et le canton d'Aubignan puis en 1801 sous le nom de La Fare dans l'arrondissement d'Orange et le canton de Beaumes, devenu Beaumes-de-Venise en 1954.

Budget et fiscalité 2017[modifier | modifier le code]

En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :

  • total des produits de fonctionnement : 138 000 , soit 1 053  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 124 000 , soit 949  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 231 000 , soit 1 765  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 224 000 , soit 1 706  par habitant ;
  • endettement : 235 000 , soit 1 794  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 7,31 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,25 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 84,97 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 473 [20].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lafare est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[21],[22],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24],[25].

La commune dispose d'une Carte communale[26],[27].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,1 %), cultures permanentes (30,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,4 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 125 habitants[Note 3], en diminution de 0,79 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
162184149213180150160177186
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
179188181182171153127122132
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
115107111977492887081
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
676355757397101102117
2017 2021 - - - - - - -
116125-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Le village et ses vignes.

On y produit des côtes-du-rhône, du beaumes-de-venise et du Muscat de Beaumes-de-Venise[33].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Le tourisme joue aussi un rôle dans l'économie local (motel).

  • Gîtes d'étapes[34].
  • Chambres d'hôtes[35].

Commerces[modifier | modifier le code]

Bistrot de pays de Lafare sur la place du Château.

Un bistrot de Pays est ouvert depuis juin 2012, avec un service d'épicerie[36],[37].

Vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les collèges et lycées (classique ou d'enseignement professionnel) se trouvent sur Vaison-la-Romaine, Carpentras et Orange[38].

Cultes[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Le cadre des dentelles de Montmirail est propice aux randonnées pédestres, cyclotouristiques et à VTT, ainsi qu'à la pratique de l'escalade.

Santé[modifier | modifier le code]

Les spécialistes, hôpitaux et cliniques se trouvent sur Vaison-la-Romaine, Carpentras et Orange[40].

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

Collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et protection et mise en valeur de l'environnement dans le cadre de la communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Lieux et itinéraires
  2. L'eau dans la commune
  3. Description de la station
  4. Zonage sismique 2011
  5. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  6. Aléa sisique en Vaucluse
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Lafare et Beaumont-du-Ventoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Beaumont-Mt Serein », sur la commune de Beaumont-du-Ventoux - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Beaumont-Mt Serein », sur la commune de Beaumont-du-Ventoux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  14. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 219
  15. Germain Butaud, « Villages et villageois du Comtat Venaissin en temps de guerre (milieu XIVe-début XVe siècle) », in Christian Desplat, Les villageois face à la guerre : XIVe – XVIIIe siècle, Actes des XXIIe Journées internationales d’histoire de l’abbaye de Flaran, 8, 9, 10 septembre 2000, Toulouse, Presses universitaires du Mirail, 2002, (ISBN 2-85816-603-X), p. 60.
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1707.
  17. Ventoux - Comtat Venaissin (ouest) : Lafare, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  18. Armorial des communes de Vaucluse
  19. Les comptes de la commune
  20. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. Carte Communale
  27. Documents consultables
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine
  34. Gîtes d'étapes
  35. Chambres d'hôtes
  36. La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
  37. Fédération nationale des bistrots de pays
  38. Établissements d'enseignements
  39. Culte catholique
  40. Professionnels et établissements de santé
  41. Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)
  42. Plaque commémorative
  43. Les fontaines du Vaucluse
  44. Fontaine de Lafare
  45. Le couronnement de la vierge de Simon de Châlons : A l’initiative de la commande de ce retable se trouve une personnalité de premier plan, le doyen du chapitre de Saint-Agricol Elzéar Genêt

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]