Quillan
Quillan | |
![]() Quillan vue du col du Portel. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Arrondissement | Limoux |
Intercommunalité | Communauté de communes des Pyrénées audoises (siège) |
Maire Mandat |
Pierre Castel 2020-2026 |
Code postal | 11500 |
Code commune | 11304 |
Démographie | |
Gentilé | Quillanais |
Population municipale |
3 141 hab. (2020) |
Densité | 91 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 52′ 34″ nord, 2° 10′ 57″ est |
Altitude | 291 m Min. 261 m Max. 1 122 m |
Superficie | 34,63 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de la Haute-Vallée de l'Aude (bureau centralisateur) |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
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Quillan Écouter (occitan : Quilhan Écouter ) est une commune française, située dans le département de l'Aude en région Occitanie.
Elle s'est agrandie le de la fusion avec sa voisine Brenac[1].


Quillan est une commune rurale qui compte 3 141 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Quillan. Ses habitants sont appelés les Quillanais ou Quillanaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le château, inscrit en 1954, et l'église Saint-Julien-et-Sainte-Basilisse, inscrite en 1987.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située au pied des Pyrénées sur l'Aude.
À l'entrée du défilé de Pierre-Lys, Quillan, située à un important carrefour routier, constitue un des meilleurs centres d'excursions pour toute la région peu fréquentée et très pittoresque des avant-monts pyrénéens.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Les communes limitrophes sont Val-du-Faby.
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
Située en plein contreforts pyrénéens, la commune a un sol composé de calcaires du Crétacé surélevés par la poussée de la plaque africaine qui a engendré la chaine pyrénéenne. Au relief profondément complexe tourmenté par la tectonique, ces calcaires forment des « nappes » qui auréolent les Pyrénées selon un angle globalement ouest-est, entre l'Aquitaine, et jusqu'en Provence. Ces boucliers qui forment les pré-Pyrénées sont particulièrement visibles dans cette partie de l'Aude ainsi qu'en Ariège, où ils forment des collines rectilignes cisaillant le paysage d'est en ouest.
Pour se frayer un chemin dans ces ensembles qui lui faisaient barrage, l'Aude a creusé des gorges étroites et raides dans le calcaire au fil des millénaires, déposant des alluvions le long de son cours.
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Accès SNCF gare de Quillan sur la ligne Carcassonne - Rivesaltes. La gare de Quillan est le terminus de la liaison ferroviaire la reliant à Carcassonne, en passant par Limoux.
Des bus à 1 € relient quotidiennement la ville à Chalabre (ligne 9), Carcassonne (ligne 2) et Perpignan. Castelnaudary est également desservi (ligne 11).
Hydrographie[modifier | modifier le code]
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par l'Aude, le ruisseau de Saint-Bertrand, le Coulent, le ruisseau de Saint-Ferriol, le ruisseau de Bitrague, le ruisseau de Carach, le ruisseau de la Carbasse, le ruisseau de la Jonquière, le ruisseau de Luc et le ruisseau de Mal Pas, qui constituent un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[5],[Carte 1].
L'Aude, d'une longueur totale de 223,59 km, prend sa source dans la commune des Angles et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans le golfe du Lion à Fleury, après avoir traversé 73 communes[6].
Le ruisseau de Saint-Bertrand, d'une longueur totale de 18,5 km, prend sa source dans la commune de Saint-Louis-et-Parahou et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Aude sur le territoire communal, après avoir traversé 3 communes[7].
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié de « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France en 2020, qui compte en première approche cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[8]. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune de Granès, située à 6 km à vol d'oiseau, permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,2 | 4,6 | 6,8 | 10,1 | 13,6 | 15,8 | 15,8 | 12,7 | 9,8 | 5,4 | 2,7 | 8,5 |
Température moyenne (°C) | 6,1 | 6,7 | 9,6 | 11,9 | 15,4 | 19,2 | 21,7 | 21,8 | 18,3 | 14,6 | 9,5 | 6,8 | 13,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,2 | 11,3 | 14,6 | 17,1 | 20,7 | 24,7 | 27,7 | 27,8 | 23,9 | 19,4 | 13,7 | 10,9 | 18,5 |
Record de froid (°C) | −8,7 | −10,8 | −10 | −2,1 | 0,3 | 5,6 | 8,6 | 7,3 | 4,6 | −1 | −6,7 | −10,3 | −10,8 |
Record de chaleur (°C) | 22,3 | 25,8 | 29,5 | 29,9 | 33 | 38,4 | 39,1 | 40,1 | 34,7 | 30,4 | 25,1 | 22 | 40,1 |
Précipitations (mm) | 70,4 | 50,8 | 56,4 | 74,7 | 69,3 | 50,6 | 34,7 | 44,2 | 61 | 69,9 | 76,2 | 66,4 | 724,6 |
En 2010, la commune ressortait du type « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui comptait alors huit grands types de climats en métropole[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[9].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales.
Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Granes », sur la commune de Granès, mise en service en 1991[13] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 718 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 40 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[17], à 14,1 °C pour 1981-2010[18], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[19].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Quillan est une commune rurale[Note 4],[20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Quillan, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[23] et 3 561 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[24],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26],[27].
Risques majeurs[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune de Quillan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel et la rupture d'un barrage[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].
Risques naturels[modifier | modifier le code]
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Glandes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1992, 1996, 2009, 2018, 2019 et 2020[30],[28].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 993 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1982 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 2].
Risques technologiques[modifier | modifier le code]
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[32].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[33].
La commune est en outre située en aval des barrages de Matemale et de Puyvalador, deux ouvrages de classe A[Note 5], situés dans le département des Pyrénées-Orientales. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[35].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Attestée sous la forme Quillianum en 782, du nom de personne latin Quelius suffixé en -anum.
Histoire[modifier | modifier le code]
Les informations contenues dans cette section sont la synthèse des données présentées dans les articles Quillan (ancienne commune) et Brenac.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Quillan (siège) |
11304 | CC des Pyrénées Audoises | 20,97 | 3 220 (2013) | 154
|
Brenac | 11050 | CC Pyrénées Audoises | 13,66 | 214 (2013) | 16 |
Administration municipale[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2020, la commune comptait 3 141 habitants[Note 6], en diminution de 7,18 % par rapport à 2014 (Aude : +2,66 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
Quillan dispose de plusieurs établissements scolaires :
- deux écoles maternelles
- l'école Paulin-Nicoleau
- l'école Louis-Pasteur
- deux écoles primaires
- l'école Paulin-Nicoleau
- l'école Albert-Calmette
- du collège Michel-Bousquié
- du lycée professionnel Edouard-Herriot
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
La commune accueille, chaque année, le critérium cycliste international de Quillan qui fut le 1er critérium de France et, qui accueillait les meilleurs champions du cyclisme. Carlos Sastre y est passé en 2008.
Santé[modifier | modifier le code]
Quillan dispose d'un centre hospitalier, le CH Limoux-Quillan.
Sports[modifier | modifier le code]
L'Union sportive Quillan Haute vallée a été championne de France de rugby à XV saison 1928-1929 et évolue en championnat de France de 3e division fédérale depuis la saison 2005/2006. En 2012, elle est repassée en 2e division.
De nombreux internationaux en furent joueur...Galia,Cutzach, Camiade...etc...la liste est longue
Un des rares clubs de rugby français à évoluer en division dite *fédérale-national* depuis plus de 100 sans interruption
Jean Bourrel et Christian Maugard, présidents et membre de la FFR
Le samedi , la ville accueille l'arrivée de la 14e étape du Tour de France 2021 entre Carcassonne et Quillan.
Grand Prix cycliste ou Critérium de Quillan, plus ancien de France sans interruption. A accueilli les plus grands champions cyclistes et vedettes des Tours de Frances respectifs
Économie[modifier | modifier le code]
L'économie de la ville de Quillan dépendait jadis de son activité manufacturière : chapellerie, industrie de la chaussure (cuir et toile) et des matières plastiques, fabriques de meubles. Le tourisme est désormais une des principales sources d'emploi et d'activité de la ville.
La société "Domitia Granulats" exploite une carrière de quartzite à Laval depuis 1979.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Les informations contenues dans cette section sont la synthèse des données présentées dans les articles Quillan (ancienne commune) et Brenac.

Lieux et Monuments[modifier | modifier le code]
- Le château de Quillan;
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Quillan, église de style roman édifiée au XIVe siècle mais mentionnée dès , restaurée au XVIIe et agrandie et transformée au XIXe siècle[37].
- L’église Saint-Julien-et-Sainte-Basilisse de Brenac à Brenac[38]. Les Façades et toitures et le décor peint ont été inscrits au titre des monuments historiques en 1987[39].
- Église Saint-Nazaire-et-Saint-Celse de Laval.
- Chapelle Saint-Antoine de Brenac
Les rives de l'Aude autour du pont vieux sont inscrites au titre des sites naturels depuis 1945[40].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Félix Armand (1742-1823) : né à Quillan, a percé la route de la Pierre-Lys (curé) (une rue de Quillan lui est dédiée, une statue de pierre le représente dans le jardin des bains-douches)
- Louis Amiel (1800-1862) : né et enterré à Quillan - Feuilletoniste de renom (une rue de Quillan lui est dédiée).
- Bertrand Benezech (1804-1852) : sculpteur né à Quillan.
- Jules Blancard (1815-1891), helléniste né à Quillan.
- William Dessaint (1930-2013), ethnologue, a vécu à Quillan.
- Joachim Estrade (1857-1936) : ingénieur ayant électrifié la région et dirigé la construction de la ligne de chemin de fer jusqu'à Quillan ;
- Jean Guiraud (1866-1953) : historien né à Quillan ;
- Charles Marx (1903-1946) : médecin à Quillan et résistant
- André Desseilles (1914-1999) : homme d’affaires ayant vécu à Quillan ;
- Louis Cardaillac (1933-2015) : auteur et professeur-chercheur en lettres, né et enterré à Quillan ;
- Jean-Claude Rouan (1933-) : joueur de rugby à XV né à Quillan ;
- Laurent Reverte (1971-) : auteur-compositeur-interprète né à Quillan ;
- Robert Punzano (1973-) : auteur et comédien ayant grandi et vécu à Quillan.
- Bienheureux Père Louis-Antoine Ormières (1809-1890) : prêtre catholique et éducateur français, connu pour être le fondateur de la congrégation des Sœurs de l'Ange Gardien (une rue de Quillan lui est dédiée).
Héraldique[modifier | modifier le code]
![]() |
Blasonnement :
D'azur au besant d'or accompagné de trois quilles du même.
|
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Thierry Meynier et Robert Baraybar, Quillan et son canton, A. Sutton, Joué-lès-Tours, 1999, 128 p. (ISBN 2-8425-3435-2)
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Liste des communes de l'Aude
- Armorial des communes de l'Aude
- District de Quillan
- Liste des sites inscrits de l'Aude
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Site de l'office de tourisme
- Quillan sur le site de l'Institut Géographique National
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Quillan (ancienne commune) » (voir la liste des auteurs).
- « recueil des actes administratifs de l'Aude » (consulté le )
- Carte IGN sous Géoportail
- « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
- « Fiche communale de Quillan », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Aude »
- Sandre, « le ruisseau de Saint-Bertrand »
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Granes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Quillan et Granès », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Granes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Quillan et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Quillan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Quillan », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise de Quillan : Notre Dame de l'Assomption », sur Quillan (consulté le ).
- Notice no PA00102575, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Eglise Saint-Julien et Sainte-Basilisse », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Aude et ses rives (Quillan) »
Notes et cartes[modifier | modifier le code]
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[34].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Quillan » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2021).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )