Courtauly

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Courtauly
Courtauly
Blason de Courtauly
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Limoux
Intercommunalité Communauté de communes des Pyrénées audoises
Maire
Mandat
André, Gérard Penando
2020-2026
Code postal 11230
Code commune 11107
Démographie
Gentilé Courtaulins et Courtaulines
Population
municipale
79 hab. (2021 en augmentation de 12,86 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 02′ 27″ nord, 2° 02′ 38″ est
Altitude Min. 380 m
Max. 581 m
Superficie 7,72 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Haute-Vallée de l'Aude
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Courtauly
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Courtauly

Courtauly Écouter (en catalan ou occitan Cortaulin) est une commune française située dans l'Ouest du département de l'Aude et la région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Courtaulins.

Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Razès, un pays historiquement très étendu, qui ne se résume aujourd'hui qu'aux collines de la Malepère et au bas Razès au centre et au sud, limité par le pays de Sault. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Ambronne et par divers autres petits cours d'eau.

Courtauly est une commune rurale qui compte 79 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 324 habitants en 1836. Ses habitants sont appelés les Courtaulins ou Courtaulines.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La ville se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Ambronne à Courtauly.

La commune est drainée par l'Ambrone, le ruisseau de Carage, le ruisseau de Portefeuille, le ruisseau de Rivel, le ruisseau du Mont-Falcou et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[3],[Carte 1].

L'Ambronne, d'une longueur totale de 22,38 km, prend sa source dans la commune de Saint-Benoît et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif à Moulin-Neuf, après avoir traversé 5 communes[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 895 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Benoît à 3 km à vol d'oiseau[7], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 900,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[11],[12],[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Courtauly est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65 %), zones agricoles hétérogènes (26,7 %), prairies (4,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,6 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Courtauly est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Courtauly.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 64 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 64 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Jacques Lemoine écrit dans La Toponymie et la frontière franco-wisigothe du VIe et VIIe siècles sur l’origine de l’ancien village de Courtaulin (Cortaulin en occitan) :

Le mot bas-latin cortis (domaine rural) est propagé par les Francs ; les noms en court sont en grande majorité situés dans la partie franque. Dans la partie franque de l'Aude, les noms suivants sont à retenir : Cortaulin, la Courtète (canton d'Alaigne). La frontière franque est jalonnée par des noms en « court » (Cortaulin), « garde » (Bellegarde), « force » (La Force).
Les Francs ont opéré dans les confins occidentaux de l'Aude d'importants défrichements (...). Il n'est nullement hardi de présumer que les Francs qui furent partout de grands défricheurs, aient attaqué cette vaste région : Feuerville, Fourville, les Bordes, Cortaulin et Villefort, sont les premières étapes du défrichement.
Dans certaines vallées, comme l'Ambronne, le défrichement amorcé par les Gaulois, progresse sous les Mérovingiens (à Courtaulin) et s'achève au Moyen Âge par la main des ecclésiastiques (à Saint-Benoît)[20].

En 1179, Courtaulin devient la seigneurie d'Alaigne : « Acte de 1179 contenant serment de fidélité fait au sieur Rogier, vicomte de Béziers, par dame Escharrone et Rougier Izarn, son mari pour raison des lieux d'Alaigne, Courtaulin, Gaytas et Peyrafitas, qu'ils tenaient de lui en fief. »[21]

Sous l'Ancien Régime, le village est placé dans le diocèse de Mirepoix (Ariège) et la sénéchaussée de Limoux : en 1229, le village, confisqué comme bien hérétique au moment de la croisade contre les Albigeois, est attribué à la seigneurie de Mirepoix, Guy de Lévis, qui en fait un fief familial. En 1300, lors du partage de la seigneurie de Mirepoix, Courtaulin revient à Thibaud de Lévis (baronnie de Lapenne et Montbrun).

Dans L'Histoire de la Bezole de Jacques Lemoine, on lit aussi au sujet du hameau des Rabous, dépendant du village :

Le hameau des Rabous dépendait jadis de Saint-Benoît tout en étant une succursale de Pomy en ce qui concerne son église rurale.
L'étymologie des Rabous est difficile à établir ; vulgairement, c'est toujours la forme Raou, Rahou, qui est employée : s'agit-il d'un dérivé du provençal Raon, roseaux (haut-allemand Rohr) ?
L'état civil des Rabous est tenu par le curé de Pomy depuis 1706 ; les enterrements ont lieu dans le petit cimetière des Rabous ; en revanche, baptêmes et mariages ont lieu à Pomy. C'est une famille Raou qui habite au masage de Raou. Elle a donc pris le nom de l'endroit où elle habite.
Cette famille Raou, s'allie bientôt avec les Denoy. Puis une fille Raou contracte mariage avec Martial Faur, un fils du fermier de Mondésir. Plus tard, en 1757, Joseph Faur, de Courtauly, épouse Marguerite Denoy. Enfin en 1785, les Tisseyré font leur apparition : Jean-Baptiste Tisseyré épouse Jeanne Faur, fille de Martial Faur.

Courtaulin reste dans la mouvance des Lévis jusqu'au début du XVIIIe siècle, le nom de Courtaulin subsistant jusqu'au XVIIe siècle lorsque le village prend alors (avec le hameau des Rabous scellés au village par le jeu des mariages avec les seigneurs de Courtaulin) le nom de Courtauly. Puis, jusqu'à la Révolution, il s'administrera librement comme communauté.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Courtauly est membre de la communauté de communes des Pyrénées audoises [22], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Quillan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[23].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Limoux, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[22].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Haute-Vallée de l'Aude pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[22], et de la troisième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[24].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1989 2003 Jean-Marie Bergé    
2003 2008 Jean-Louis Costes    
2008 2012 (décès) Gérard Joulia    
2012   Gérard Pénando    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 79 habitants[Note 2], en augmentation de 12,86 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
296321319280317324287311323
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
278264215222222251209216196
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1811711611311181129811393
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
727666616473747472
2018 2021 - - - - - - -
7679-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 4] 4,2 % 9,8 % 13,3 %
Département[I 5] 10,2 % 12,8 % 12,6 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 45 personnes, parmi lesquelles on compte 60 % d'actifs (46,7 % ayant un emploi et 13,3 % de chômeurs) et 40 % d'inactifs[Note 3],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 7]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 4 en 2013 et 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 22, soit un indicateur de concentration d'emploi de 63,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,8 %[I 8].

Sur ces 22 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 12 travaillent dans la commune, soit 55 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 13,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et[I 10].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

13 établissements[Note 4] sont implantés à Courtauly au [I 11]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 38,5 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 13 entreprises implantées à Courtauly), contre 32,3 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010
Exploitations 11 7 4
Superficie agricole utilisée (ha) 428 303 nd[Note 5]

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Razès »[29]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 6] de 2010 (onze en 1988)[31].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Église de Courtauly en 2019.
Cimetière de Courtauly.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'or aux deux barres de sinople, au chef du même.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  4. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  5. nd : donnée non disponible.
  6. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[30].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Courtauly » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Courtauly » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Courtauly » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Courtauly » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Fiche communale de Courtauly », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  4. Sandre, « l'Ambrone »
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Courtauly et Saint-Benoît », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « St Benoit » (commune de Saint-Benoît) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « St Benoit » (commune de Saint-Benoît) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Courtauly », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Liste des ZNIEFF de la commune de Courtauly », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Liste des espaces protégés sur la commune de Courtauly », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Les risques près de chez moi - commune de Courtauly », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. Recherches sur l'origine du village effectuées par un journaliste (nom non-communiqué) de Midi libre à la demande de Jean-Marie Bergé (maire du village de 1989 à 2003).
  21. (Archives municipales de Narbonne, inventaire des Actes et Documents de l'archevêché de Narbonne).
  22. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Courtauly », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  23. « communauté de communes des Pyrénées audoises - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  24. « Découpage électoral de l'Aude (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  30. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  31. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Courtauly - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).