Ghetto house
Origines stylistiques | Chicago house, hip-house |
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Origines culturelles | Début des années 1990 ; États-Unis (Chicago, Illinois)[1] |
Instruments typiques | Échantillonneur, boîte à rythmes, synthétiseur, séquenceur |
Sous-genres
Genres dérivés
La ghetto house (G-house ou booty house)[1],[2] est un genre de Chicago house reconnu comme genre distinct aux alentours de 1992[1]. Il se caractérise par des chansons minimalistes utilisant une boite à rythme 808 et 909 drum machine-driven tracks[3] et parfois de paroles à caractère sexuel.
Le modèle classique de la house de Chicago (en particulier It's Time for the Percolator de Cajmere) est utilisé en plus des paroles à caractère sexuel[1]. Il se caractérise notamment par un kick à quatre temps[4].
Chicago Juke[modifier | modifier le code]
Les années 2000 voient paraître une montée du Chicago Juke[3], une variante plus rapide du ghetto house qui se forme à la fin des années 1980. Les chansons de Chicago Juke mesurent généralement entre 150 et 170 BPM[4]. Le style de production est souvent low-fi, comme le Baile funk.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- John McDonnell, « Scene and heard: The ghetto house revival », The Guardian Music Blog, (consulté le 28 septembre 2013).
- Nick Barat, « Feature: On the Floor with Chicago’s Juke DJs », Fader, The Fader, Inc., (consulté le 11 février 2013).
- Michelangelo Matos, « How Chicago house got its groove back », Chicago Reader, (lire en ligne, consulté le 28 septembre 2013).
- Hazel Sheffield, « Footwork takes competitive dancing to the Chicago streets », The Guardian, (lire en ligne, consulté le 11 février 2013).