Villers-Sire-Nicole
Villers-Sire-Nicole | |||||
Le centre du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Avesnes-sur-Helpe | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre | ||||
Maire Mandat |
Hervé Pourbaix 2020-2026 |
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Code postal | 59600 | ||||
Code commune | 59627 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villersois | ||||
Population municipale |
1 006 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 119 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 20′ 27″ nord, 4° 00′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 83 m Max. 142 m |
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Superficie | 8,45 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Maubeuge (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Maubeuge | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | villers-sire-nicole.fr/ | ||||
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Villers-Sire-Nicole est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Géographie
La commune est située sur la Trouille et forme sur sa partie nord, une frontière avec la Belgique.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 70 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Villers-Sire-Nicole est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,6 %), prairies (28,3 %), zones urbanisées (9,7 %), forêts (0,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom Villers-Sire-Nicole vient d'une villa romaine sur son territoire, Villare, et du sire Nicole de Barbançon, son seigneur au XIIIe siècle.
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Villers-sur-Nicole[21].
Ses habitants sont appelés les Villersois[22].
Histoire
- La terre et la seigneurie
Après les Romains qui ont laissé les vestiges de cette villa et d'un camp romain, les Barbares y passent, temps obscur par son manque d'écrits. Au VIIe siècle, la terre appartient à sainte Aldegonde, qui la passe par testament au chapitre de Maubeuge. Déjà au XIIe siècle des terres à Villers appartenaient à la famille Barbançon ; au XIIIe siècle, Nicolas III de Barbençon devient seigneur de Villers et commence une nouvelle lignée avec de nouvelles armes. C’est lui qui donne son nom à Villers-Sire-Nicole[23]. La seigneurie passe souvent par héritage en d'autres familles : celles d'Enghien, de Jeumont-Verchin, de Melun, d'Espinoit, de Ligne. En 1618, la seigneurie passe dans la famille de Nassau-Sieghen et de là au prince d'Orange-Nassau. À la fin du XVIIIe siècle, le château est vendu, puis vers 1809 il est démoli et utilisé comme chantier de pierres. Quelques vestiges en restent[24].
- La paroisse
Villare était une paroisse au XIIe siècle ou avant, et le bénéfice de la cure appartenait dès 1186 à l'abbaye d'Hautmont, qui à partir de 1244 et jusqu'à la Révolution partageait ce bénéfice avec l'abbaye de la Thure. L'église a été construite au XVe siècle et restaurée plusieurs fois.
- L'enseignement primaire à Villers-Sire-Nicole avant 1789
Englebert de Grez, vicomte de Rouveroy, fonda, à l'ermitage sur le bord de la Trouille au XIVe siècle, une charge d'écolâtre pour l'instruction des enfants du voisinage. Un acte de sépulture du 2 novembre 1690 rappelle le décès du frère Gaspard du Bois, ermite, écolâtre, à l'ermitage de Villers. Neuf écolâtres lui succédèrent jusqu'en 1789. L'un d'eux, décédé le 31 janvier 1776, était Jean-François Colson, Seigneur d'Hec, près de Solre-le-château, ermite, dit : frère Jean-Baptiste.
À partir de 1743, époque à laquelle les registres de l'état-civil commencent à être signés, on remarque très peu d'illettrés, les signatures annoncent même une instruction primaire assez avancée. Sur 181 mariages, de 1750 à 1790, 27 hommes seuls ne savent pas signer et 72 femmes. De 1815 à 1826, on compte 61 mariages, 18 hommes et 25 femmes ne signent pas, et de 1865 à 1875, 102 mariages, 7 hommes et 8 femmes ne signent pas.
Les bâtiments de l'ermitage existaient en 1878 à l'état de ferme[25],[26].
- Du XIXe siècle au XXIe siècle
Au XIXe siècle, le village connaît son apogée économique grâce à la présence de la Trouille, qui faisait tourner deux moulins à farine et un moulin à huile, une scierie de marbre, deux forges, une enclumerie et une filature[25]. La population atteint un maximum de 1 400 habitants vers 1880.
le projet d'un chemin de fer prend forme. Villers-Sire-Nicole devient le point de départ, de 1896 à 1951, de la ligne à écartement métrique de la Compagnie du Chemin de fer de Maubeuge à Villers-Sire-Nicole. Le parcours de 13 km avec 11 arrêts prenait 52 minutes. Elle a été déclarée d'utilité publique le 12 août 1893 également. La construction de la ligne connue sous le nom de train de Villers est confiée à Alfred Lambert, un ingénieur civil de Paris. La ligne démarre de Maubeuge depuis les usines "Sculfort & Fockedey" , dessert Mairieux, Bersillies, et Villers Sire Nicole. La majeure partie du parcours longe la RN49 puis la RN2, puis la route vers Mairieux[27],[28].
Au XXe siècle, Villers-Sire-Nicole ne sort pas indemne des guerres mondiales : le monument aux morts en témoigne. Le village, en signe d'espoir, y a ajouté un monument pour les forces de la Paix. Le déclin des industries de caractère artisanal et le dépeuplement général de la campagne a aussi touché Villers-Sire-Nicole, qui est entré dans le XXIe siècle avec moins de 1 000 habitants.
Politique et administration
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2021, la commune comptait 1 006 habitants[Note 8], en évolution de +2,55 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 511 hommes pour 482 femmes, soit un taux de 51,46 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Martin du XVe siècle a été partiellement détruite en 1914 .
- Dans l'église, la dalle funéraire de Bartholomé Descamps a été classée monument historique au titre objet en 1984[36].
- Plusieurs chapelles et oratoires, dont
- la chapelle de Notre Dame de Bonsecours, au lieu-dit Petit-Paris, érigée en 1840 en remerciement de la guérison d'un enfant et restaurée en 2010[37],
- la chapelle Notre-Dame de Grâce dans la rue du Château,
- la chapelle rue de Marpent,
- la chapelle rue des Caches,
- la chapelle rue de Maubeuge.
- L'ancienne brasserie-malterie Mathieu et l'ancienne brasserie-malterie Doué, sont enregistrées à l'inventaire général du patrimoine culturel[38],[39].
- L'ouvrage de La Salmagne est un ouvrage fortifié de la ligne Maginot, situé sur la commune voisine de Vieux-Reng.
- Le moulin de la Trouille, maintenant chambre d'hôtes.
- La kiosque à musique, type kiosque à concert, sur la place du village.
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L'église Saint-Martin et le kiosque à musique
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Statue de saint Martin, patron de la paroisse
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Chapelle Notre-Dame de Grâce, rue de Marpent
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Chapelle rue du Havay
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Chapelle rue du Château
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Le monument aux morts
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Monument des forces de la Paix
Personnalités liées à la commune
- L'auteur dramatique français Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais fut seigneur du lieu, pendant quelques années, de 1783 à 1788. Il fit à Villers-Sire-Nicole plusieurs séjours prolongés et y écrivit, dit-on, le livret de l'opéra d'Antonio Salieri, « Tarare ». Comme son prédécesseur, le prince d'Orange-Nassau, il eut maille à partir avec la population et revendit son bien.
- Francis Gillot, né à Villers-Sire-Nicole, il a fait ses premiers pas sur le terrain de foot de Villers, avant d'être joueur pro à Lens puis par la suite entraîneur de Lens, de Sochaux et de Bordeaux. Le stade de la commune porte désormais son nom.
Héraldique
Les armes de Villers-Sire-Nicole se blasonnent ainsi : |
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site de la commune
- Villers-Sire-Nicole sur le site de l'Institut géographique national
- Villers-Sire-Nicole sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Maubeuge - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Villers-Sire-Nicole et Maubeuge », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Maubeuge - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villers-Sire-Nicole et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
- La pairie de Barbençon sur le site du Cercle Heraldus Mons
- Zéphyr-Joseph Piérart, Recherches historiques sur Maubeuge et son canton, et les communes limitrophes, avec des notes sur les villages de l'ancienne prévôté de cette ville, etc., 1851
- Zéphyr-Joseph Piérart, op.cit. 1851
- Histoire de l'enseignement primaire dans les communes qui ont formé le département du Nord par M. le comte de Fontaine de Resbecq - 1878
- Liste des chemins de fer secondaires sur le site de la Fédération des amis des chemins de fer secondaires (FACS).
- Voir Carte Michelin de 1940 avec ligne de chemins de fer.
- « Les maires de Villers-Sire-Nicole », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Neuf Villersoises et Villersois honorés lors du 1er mai : Avant de remettre les diplômes, le premier magistrat a tenu à rappeler les valeurs du travail dans notre société », La Sambre La Frontière, no 1926, , p. 10.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villers-Sire-Nicole (59627) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Classement de la dalle funéraire de Bartholomé Descamps », notice no PM59001481, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- La chapelle Notre-Dame de Bon Secours sauvée d'une lente disparition , La Voix du Nord du 26 mai 2010.
- « Inventaire de la brasserie-malterie Mathieu », notice no IA59000168, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inventaire de la brasserie-malterie Doué », notice no IA59000169, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- La Banque du blason - 59627.