Néhou

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 1 janvier 2022 à 17:29 et modifiée en dernier par JessydeVilly (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Néhou
Néhou
Ancienne mairie de Néhou.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Dominique Jeanne
2020-2026
Code postal 50390
Code commune 50370
Démographie
Gentilé Néhouais
Population
municipale
609 hab. (2021 en diminution de 0,33 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 15″ nord, 1° 32′ 27″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 74 m
Superficie 15,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bricquebec
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Néhou
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Néhou
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Néhou
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Néhou

Néhou est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 609 habitants[Note 1] (les Néhouais).

Géographie

Le petit village de Néhou est au cœur de la Manche, avec sa végétation typique, ses champs entourés de haies bocagères, ses petits bois et ses marais.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 882 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bricquebec », sur la commune de Bricquebec-en-Cotentin, mise en service en 1969[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 1 207,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme

Typologie

Néhou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,7 %), terres arables (14,6 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), forêts (4 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

Héraldique

Armes de Néhou

Les armes de la commune de Néhou se blasonnent ainsi :
D'or à six macles de gueules, 3, 2 et 1.

Ce blason est inspiré des armoiries de la famille des Reviers-la-Beurrière[22]. Le nom de Néhou fut inspiré par son prénom[pas clair] et le village fut élevé en une baronnie importante[23].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Neahou / Nigellihulmus au XIIe siècle; Nigelli Humo en 1159 - 1181; Neauhou vers 1175 (Wace), Neahou / Nealhou vers 1212, Neauhou de manière récurrente[24].

L'explication du premier élément Né- par l'anthroponyme scandinave Njáll, emprunté au gaëlique Nial, emporte l'adhésion de tous les toponymistes modernes[25],[26],[27]. Il se perpétue dans le nom de famille normand Néel fréquent dans le Cotentin et dans le pays de Caux.

En revanche, si la plupart des sources s'accordent pour voir dans l'élément -hou un appellatif anglo-saxon hōh, variante « talon », puis « promontoire en forme de talon, dominant la plaine ou la mer; escarpement rocheux, rivage abrupt », ou encore « légère élévation »[28],[29], seuls René Lepelley et Jean Renaud considèrent qu'il s'agit du vieux norrois holmr « île, îlot », en se basant dans ce cas, sur les formes latinisées Nigellihulmus au XIIe siècle et Nigelli Humo en 1159. On remarque cependant que l'élément Nigelli- correspond à une latinisation erronée de Njáll, d'après l'ancien français neel « nielle » issu effectivement du bas latin nigellu, d'où le prénom anglais Nigel utilisé d'abord pour nommer les Néel normands.

Remarque : holmr utilisé en tant que second élément d'un toponyme a régulièrement abouti à -homme / -onne, comme dans Robehomme (Calvados; Raimberti Hulmus 1083, Ramberti Hulmus 1149) ; Suhomme, ancien hameau à Varaville (Calvados, Suhomme 1753/1785) ; les Échommes, hameau à Saint-Senier-sous-Avranches (Manche, Eschehoume 1517); Engehomme (Eure, Engo homme sans date) , nom d’une île de la Seine devant Martot; les communes de Grand-Couronne et Petit Couronne (Seine-Maritime, Corhulma 1032/1035 , Corone 1261/1270)[25]. En revanche, les formes en -hou sont strictement parallèles à l'emploi de l'anglo-saxon hōh dans la toponymie anglaise, devenu -hoo, -hoe ou -(h)ow, comme dans Northoo (Suffolk); Poddinghoo (Worcestershire); Millhoo (Essex); Fingringhoe (Essex); Rainow (Cheshire), etc[25].

Le Néel en question est probablement un Néel de Saint-Sauveur, prénom hériditaire des seigneurs de Saint-Sauveur-le-Vicomte[30].

On retrouve ce prénom dans Néville-sur-Mer (Manche; Neevilla XIIe siècle, Nigevilla XIIe siècle)[30] et Néville (Seine-Maritime), où un R. Neel tenait un fief vers 1210.

Histoire

Moyen Âge

Au Moyen Âge, Néhou est un gros village avec un château fort, édifice aujourd'hui disparu[31]. La paroisse disposait à la Clergerie d'une école, l'une des plus anciennes du Cotentin, fondée par le baron du lieu, Richard Ier de Reviers, et que tenait le chanoine, Raoul le Grammairien, qui y enseignait le latin, le grec ainsi que la théologie[32].

Partition administrative

Une partition géographique et administrative de l'importante commune de Néhou, votée par la Chambre des députés et ratifiée, le , par le président de la République, Émile Loubet, donne naissance à deux entités administratives distinctes : les communes de Saint-Jacques-de-Néhou et de Saint-Georges-de-Néhou. En 1903, la commune de Saint-Georges-de-Néhou reprend le nom de Néhou (décret du du président du Conseil des ministres, ministre de l'Intérieur et des cultes, Émile Combes).

Seconde Guerre mondiale

Après le débarquement en , le général Patton est placé à la tête de la 3e armée américaine, composante, sur l'aile droite, du 12e groupe d'armées américain, celui-ci sous les ordres d'Omar Bradley. Patton mène cette armée durant l'opération Cobra dont le but est de percer le front allemand dans le Cotentin. Il prépare les plans de cette fameuse percée d'Avranches en , à côté du hameau Blandamour, à 2 km du bourg de Néhou.

Politique et administration

La mairie de Néhou.
L'ancienne poste de Néhou (fermée le 31 décembre 2002).
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1987 mai 1994 Jean Lechevallier (1) SE Retraité
mai 1994 mars 2001 Louis Doguet SE Retraité,
maire par intérim de mai 1994 à mars 1995
mars 2001 janvier 2008 Jean-Marie Carton (1) SE Retraité EDF
janvier 2008 mars 2008 Ferdinand Lelaidier SE Retraité SNCF
maire par intérim
mars 2008 En cours Dominique Jeanne[33] SE Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.
(1) : Décédé au cours de son mandat.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[34].

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 609 habitants[Note 9], en diminution de 0,33 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). En 1899, Néhou se scinde en deux communes : Saint-Jacques-de-Néhou et Saint-Georges-de-Néhou. Saint-Georges-de-Néhou se fait renommer Néhou (1903), et Saint-Jacques reste depuis indépendante.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1042 2722 3832 7122 6262 4002 2722 2202 133
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9972 0072 0481 8771 9011 7151 7481 6251 430
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
653684708653702689677724650
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
590544461445443440510521553
2015 2020 2021 - - - - - -
611608609------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,0 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 327 hommes pour 293 femmes, soit un taux de 52,74 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,79 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,7 
4,7 
75-89 ans
9,4 
15,9 
60-74 ans
19,5 
18,1 
45-59 ans
16,4 
17,8 
30-44 ans
20,6 
18,7 
15-29 ans
14,3 
24,6 
0-14 ans
19,2 
Pyramide des âges du département de la Manche en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,7 
75-89 ans
12,1 
20 
60-74 ans
20,4 
20,9 
45-59 ans
20 
17 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,5 
16,9 
0-14 ans
15,5 

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Notes et références

Notes

  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes[42].
  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Bricquebec - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Néhou et Bricquebec-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Bricquebec - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Néhou et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  22. Abbé Michel Lebrédonchel, Histoire de la paroisse de Néhou depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, Cherbourg, Noblet, (lire en ligne).
  23. Histoire de Néhou, voir archives de Néhou
  24. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 167.
  25. a b et c ibidem
  26. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 185.
  27. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 72.
  28. F. de Beaurepaire, op. cit.
  29. Dominique Fournier, Élément -hou, Wikimanche (lire en ligne)
  30. a et b François de Beaurepaire, op. cit.
  31. Histoire du château disparu.
  32. Maurice Lecœur, Le Moyen Âge dans le Cotentin : Histoire & Vestiges, Isoète, , 141 p. (ISBN 978-2-9139-2072-9), p. 82.
  33. Réélection 2014 : « Dominique Jeanne réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  34. « Néhou (50390) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Néhou (50370) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Manche (50) », (consulté le ).
  41. « Œuvres mobilières à Néhou », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. Site de l'IGN.

Bibliographie

  • Abbé Michel Lebrédonchel, Histoire de la paroisse de Néhou depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, Cherbourg, Noblet, (lire en ligne)
Ouvrage réédité par "Le Livre d'histoire-Lorisse",en 2006, à l'initiative des Amis de l'ancienne baronnie de Néhou. Préface Yves Marion.

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :