Feugères

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Feugères
Feugères
Le pressoir et l'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Coutances
Intercommunalité Communauté de communes Côte Ouest Centre Manche
Maire
Mandat
Nicolas Jeanson
2020-2026
Code postal 50190
Code commune 50181
Démographie
Population
municipale
345 hab. (2021 en augmentation de 0,29 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 06″ nord, 1° 19′ 09″ ouest
Altitude Min. 4 m
Max. 112 m
Superficie 8,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Agon-Coutainville
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web feugeres.fr

Feugères est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 345 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 908 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cerisy-la-Salle à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 112,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Feugères est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la[base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (55,1 %), zones agricoles hétérogènes (33,8 %), terres arables (7,6 %), zones urbanisées (3,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Filgeriae au XIIe siècle, Feugeriis en 1280[14], Felgerioe sans date.

Pluriel de l'oïl feugiére, feugére (« fougére »)[14].

Toponyme médiéval précoce (étant donné l'absence d'article défini) évoquant une végétation caractéristique du lieu. Feugères est en effet située dans la vallée humide d'un des ruisseaux qui forment la Vanloue sur le territoire de la commune contiguë de l'ancienne commune de Lozon traversée par la rivière le Lozon.

Le gentilé est Feugériais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les abbayes de Lessay et de Troarn avaient des droits à Feugères[15].

En 1796, des chouans de la région se réunirent à Lastelle et dressèrent une liste de personnalités à abattre. Tombèrent sous leurs balles, deux républicains de Feugères[16].

Les Davy du Perron[modifier | modifier le code]

Le premier membre de la famille Davy du Perron qui réside avec certitude au château du Bois, est Pierre-Jean Davy, écuyer, sieur du Bois, La Champagne, Rougefort et Muneville, né vers 1539, décédé le [17]. Mais certains de ses ancêtres ont déjà probablement habité Feugères. En effet, comme l'écrit Hubert Lamant, « la caractéristique de la famille Davy du Perron est d'être incroyablement embrouillée. Peu de familles se sont autant divisé leurs terres. Les titres de fiefs sont portés par plusieurs rameaux à la fois, sans doute par suite de la division de ces fiefs qu'on regroupait ensuite ; ainsi en est-il du Bois, de Virville, du Perron. Le Cardinal porte le nom de ce dernier fief sans en avoir eu la seigneurie qui était possédée à ce moment par son cousin Jean Davy, sieur de la Champagne ».

Les fiefs et les titres s'échangent, se dispersent et se regroupent au gré des événements, qu'ils soient heureux ou tragiques : le frère aîné de Pierre-Jean, sieur du Bois, Nicolas Davy, écuyer, sieur de Virville, du Bois (également), puis d'Angoville et Saint-Malo-de-la-lande, bailli de Saint-Sauveur-Lendelin « avait 25 ou 26 ans lorsqu'il obtint en , des lettres de grâce d'un homicide qu'il avait fait le (…). Il avait plongé sa dague dans le corps d'un contradicteur au cours d'une discussion relative à un héritage (sans doute avec la branche bâtarde), mais il avait invoqué l'excuse de la provocation et s'était prétendu en état de légitime défense, ce qu'apparemment, le roi avait admis »[18]. Mais les questions patrimoniales et féodales se règlent, la plupart du temps, de manière beaucoup moins violente, si l'on se fie à l'ascendance de Jean-Baptiste-Jacques Davy de Boisroger (arrière-petit-fils de Pierre-Jean), sieur de Feugères, du Bois et Saint-Hilaire, décédé à Feugères le  : ses grands-parents paternels, Jean Davy et Jeanne Davy de Boispinel, sont tous deux issus de la branche cadette de la famille (de Virville), tandis que sa grand-mère maternelle, Marie Geneviève Davy du Perron, est la propre sœur du Cardinal et l'héritière de la branche aînée (du Perron). Avant de se retrouver ainsi au XVIIe siècle, à l'occasion de cet heureux mariage, les deux branches s'étaient séparées au début du XVe siècle dans les personnes de Jean, sieur du Perron, et Simon, sieur de Virville, l'un et l'autre fils de Jean, premier ancêtre connu de la famille.

Déjà, à l'extrême fin du XIVe siècle, le trisaïeul de Pierre-Jean, Jean Davy, est dit « sieur du Perron, Virville et du Bois ». Jean, "premier ancêtre certain, qui fit la fortune de la famille, apparaît dans des chartes en 1391, 1393, 1394 et 1403, sans qualification de « noble » ou « d'écuyer », mais comme bailli de monseigneur le duc d'Orléans en ses terres de Normandie (…). Il est désigné, en 1399, comme « sieur du Perron et Virville », puis des fiefs de Guéhébert et du Bois, bailli de Saint-Sauveur-Lendelin. Il épousa Chardine Le Petiot (Le petit) et décéda le (…). D'eux sont nés : Jean Davy, sieur du Perron, Nicolas Davy, chanoine de Coutances et Bayeux, Marthe et Simon Davy, chef de la branche cadette de Virville et Boisroger."[19]

Simon Davy, sieur de Virville et du Bois, bisaïeul de Pierre-Jean Davy, épouse en 1424 Annette d'Anneville ; leur fils, Jean Davy, écuyer, sieur de Virville, du Bois et Saint-Hilaire-Petitville, licencié ès arts, conseiller du roi, bailli de Périers en 1465, 1482 et 1483 épouse Jeanne de Montaigu. Ils ont cinq enfants : Regnault, qui devient sieur de Virville ; Pierre, sieur de Thosville et de Languerie, bailli de Saint-Sauveur-Lendelin ; Jeanne ; Simon, prêtre, curé de Beuzeville et Jacques, écuyer, sieur de Boispinel, Boisrivet et Saint-Hilaire.

L'aîné de ces cinq enfants, Regnault, père de Pierre-Jean, a probablement résidé au château du Bois puisqu'il est dit « sieur du Bois », avant de devenir « sieur de Virville », par échange avec son cousin Pierre Davy, écuyer, sieur de Saint-Malo-de-la-Lande et du Homméel vers 1550 ; de l'union de Regnault avec Françoise du Mesnildot naissent quatre enfants - l'aîné, Nicolas, qui devient sieur de Virville, Pierre-Jean, donc, qui demeure à Feugères, Charles et Françoise - mais il a également un fils illégitime avec Gillette Bretel : Pierre Davy, sieur de la Monnerie, qui obtient, le , des lettres de légitimation sans anoblissement (on peut supposer que c'est cette dernière naissance qui est à l'origine de l'homicide du ).

Pierre-Jean du Perron épouse, vers 1558, Marthe du Bouillon. Ils ont six enfants, dont l'aîné, Jean, écuyer, est sieur de Feugères, du Bois, Montmartin, Boisrivet et Saint-Hilaire-Petitville. Il est pourvu, le , de la charge de bailli de Saint-Sauveur-Lendelin, qu'il garde jusqu'en 1597, et épouse, en 1585, Jeanne Davy de Boispinel[19]. Leur fils aîné, Jacques-Pierre Davy, né vers 1604, décédé à Saint-Aubin en 1661, écuyer, sieur de Mary et patron de Feugères et Saint-Hilaire, épouse, en 1628, sa cousine, Ursine de la Rivière, fille de Jean, conseiller du roi au siège présidial du Cotentin et premier médecin d'Henri IV, et de Marie Davy du Perron, sœur du Cardinal et poète Jacques Davy du Perron. De cette union naît, vers 1635, Jean-Baptiste-Jacques, sieur de Feugères, du Bois et Saint-Hilaire, bailli de Saint-Sauveur, qui épouse, en 1656, Anne Clérel de Tocqueville.

Jean-Baptiste-Jacques Davy et Anne Clérel de Tocqueville ont un fils : Jacques-Ursin, sieur du Bois, Saint-Hilaire, Quettreville et patron de Feugères, mais celui-ci meurt tôt, avant 1666, et ses propres fils, François et Jacques décèdent tous deux sans postérité (l'aîné, François, est décédé, à Feugères, le même jour que son grand-père Jean-Baptiste-Jacques : le ).

Ce sont donc les enfants de la sœur de Jacques-Ursin, Joséphine, dame du Bois et de Quettreville, qui hérite des fiefs familiaux. Celle-ci avait épousé Pierre Le Trésor, seigneur de la Bazière (1649-1689).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
août 1795 décembre 1800 Léonor Dameuve[20]    
1801 août 1805 Pierre Ursin Le Trésor de la Bazière[21]    
août 1805 décembre 1815 Léonor Dameuve    
décembre 1815 octobre 1830 Alexandre Ferrand de la Conté[22]    
1830 1868 Jean-Pierre-Désiré Rauline[23]    
1868 1873 Charles Joseph Rauline[24]    
1873 août 1875 Jean Baptiste François Langeard    
août 1875 septembre 1879 Jean Florent Grould    
octobre 1879 mai 1884 Jean Baptiste François Langeard    
mai 1884 1924 Gaston Ferrand de la Conté[25]    
1924 1940 Auguste Lepastourel    
1940 1945 R. Ferrand de la Conté    
1945 1957 Albert Leforestier    
1957 1971 Aimable Lecluze    
1971 1989 André Lepastourel    
1989 mars 2008 Michel Ruffault SE  
mars 2008 mai 2020 Jacques Vantomme[26] SE Chef d'entreprise
mai 2020[27] En cours Nicolas Jeanson SE Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[27].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 345 habitants[Note 3], en augmentation de 0,29 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7728219791 004863975990951908
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
838827778735760705720687649
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
625574547446471462451443434
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
392344290288302274344332340
2021 - - - - - - - -
345--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[32].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre.
Chapelle Notre-Dame de l'Huis-Ouvert.
  • Manoir du Bois édifice des XVIe – XIXe siècles inscrit au titre des monuments historiques par décret du [33], avec une double porterie. Jacques Davy (XVIe siècle), chevalier et seigneur du Bois à Feugères, obtiendra en 1538, par lettre de François Ier, l'office de conseiller chambellan du roi et grand bailli du Cotentin. En 1559, le parlement de Rouen le priva de l'office de bailli, qu'il tenta de transférer, sans succès, à son fils Adrien Davy[34].
  • Château ou maison de Feugères (XVIIIe siècle).
  • Château du Pont-samson ou le Campgrain (XVIe – XIXe siècles).
  • Église Saint-Pierre (XIIe, XIXe – XXe siècles) avec voûtes gothique. Elle abrite un maître-autel du XIXe, une Vierge de la Pitié du XVIIIe, les statues de saint Jacques le Majeur du XVIIIe, de saint Nicolas du XVIIe, et une verrière (XXe) de Mauméjean. Devant le porche, deux ifs.
  • Chapelle Notre-Dame de l'Huis-Ouvert (XIIIe – XVIe siècles) avec petit clocher ajouré et à l'intérieur une statue Vierge à l'Enfant du XVIIe.
  • Ancien pressoir à cidre sous abri.
  • L'Isba, ancienne maison de journalier en terre.
  • La roche branlante. Selon une légende, tout jeune homme qui parvenait à la remuer était bon à marier dans l'année ! Depuis une cinquantaine d'années, il n'est plus possible de la bouger[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Son épouse fut aussi une personne brillante qui a vécu les différentes affectations de son mari. Alger, Rio, l'Indochine, Paris. Elle a volé avec Mermoz au Brésil assise dans la carlingue sur des sacs postaux[Note 4].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 82.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 200.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Pour plus d'informations sur la carrière du Général Fay, notamment sur la période du conflit indochinois 1945-1954[35]

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[36].
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Feugères et Cerisy-la-Salle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cerisy La Salle » (commune de Cerisy-la-Salle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Cerisy La Salle » (commune de Cerisy-la-Salle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1240.
  15. Delattre, 2002, p. 82.
  16. Stéphane William Gondoin, « Balades aux portes des marais du Cotentin : Les petits trésor du Plessis-Lastelle », Patrimoine normand, no 119,‎ octobre-novembre-décembre 2021, p. 94 (ISSN 1271-6006).
  17. Hubert Lamant, Armorial général et nobiliaire français, Tome V, fascicules 3 et 4.
  18. Hubert Lamant, Op. Cit., p. 291, qui s'appuie lui-même sur Carrés d'Hozier 224, pièces 299 et 200.
  19. a et b Hubert Lamant, Op. Cit.
  20. La mère de Léonor Dameuve est Marie Le Trésor (1736-1814), arrière-petite-fille de Pierre Le Trésor de la Bazière (1649-1689) et de Joséphine Davy.
  21. Pierre Ursin Le Trésor de la Bazière (1744-1807) est un cousin germain de Marie Le Trésor évoquée ci-dessus.
  22. L'épouse d'Alexandre Ferrand de la Conté, Hélène Louise Charlotte Duprey, fille de Joseph Duprey et de Louise Hélène Le Trésor, est la nièce de Pierre Ursin Le Trésor de la Bazière précédemment cité.
  23. Annuaire du département de la Manche, 12e année 1840, p 224. Jean Pierre Désiré Rauline est le père de Gustave Rauline (Feugères, 1822 - Paris, 1904), maire de Saint-Lô et député de la Manche.
  24. Charles Joseph Rauline (Feugères, 1803 - Feugères, 1884) succède à son cousin germain.
  25. Gaston Ferrand de la Conté (Feugères, 1843 - Feugères, 1931) est le fils d'Alexandre Ferrand de la Conté (Saint-Sauveur-Lendelin, 1775 - Feugères 1862), le maire de la Restauration.
  26. Réélection 2014 : « Feugères (50190) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. a et b « Municipales à Feugères. Nicolas Jeanson succède à Jacques Ventomme », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
  33. « Manoir du Bois », notice no PA50000081, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. a b et c Gautier 2014, p. 200.
  35. Revue historique des armées, numéro 3, 1996, Arnaud Corvisy.
  36. « Feugères sur le site de l'Institut géographique national » (archive Wikiwix).