Bruyères-le-Châtel

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Bruyères-le-Châtel
Bruyères-le-Châtel
L’hôtel de ville.
Blason de Bruyères-le-Châtel
Blason
Bruyères-le-Châtel
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Palaiseau
Intercommunalité Cœur d'Essonne Agglomération
Maire
Mandat
Thierry Rouyer
2020-2026
Code postal 91680
Code commune 91115
Démographie
Gentilé Bruyérois
Population
municipale
3 584 hab. (2021 en augmentation de 8,34 % par rapport à 2015)
Densité 278 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 37″ nord, 2° 11′ 33″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 168 m
Superficie 12,9 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Arpajon
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web ville-bruyereslechatel.fr

Bruyères-le-Châtel[1] (prononcé [bʁyjɛʁ lǝ ʃɑɛl] Écouter) est une commune française située à trente-deux kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

La commune accueille un site du Commissariat à l’Énergie Atomique, dans lequel a été fabriqué le cœur de la première bombe atomique française qui a explosé au Sahara le 13 février 1960.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Position de Bruyères-le-Châtel en Essonne.

Bruyères-le-Châtel est située à trente-deux kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, dix-neuf kilomètres au sud-ouest d'Évry[3], quatorze kilomètres au sud-ouest de Palaiseau[4], cinq kilomètres à l'ouest d'Arpajon[5], huit kilomètres au sud-ouest de Montlhéry[6], quinze kilomètres au nord-est de Dourdan[7], dix-sept kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais[8], dix-huit kilomètres au nord-est d'Étampes[9], vingt-et-un kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes[10], trente kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[11].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 291 hectares ; son altitude varie entre 46 et 168 mètres[12].

Occupation des sols.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 10,5 % 136,66
Espace urbain non construit 4,8 % 62,02
Espace rural 84,7 % 1 099,84
Source : Iaurif[13]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par la Charmoise, ainsi que par la Vidange, affluent de l'Orge de 3,7 km[14].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 665 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontenay-lès-Briis à 4 km à vol d'oiseau[17], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 696,0 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Statistiques 1991-2020 et records FONTENAY-LES-B. (91) - alt : 109m, lat : 48°36'42"N, lon : 2°09'57"E
Records établis sur la période du 01-01-1964 au 31-12-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,5 1,2 3,1 5 8,6 11,6 13,4 13,2 10,2 7,7 4,4 2,1 6,8
Température moyenne (°C) 4,4 4,9 7,9 10,7 14,3 17,5 19,8 19,6 16 12,1 7,6 4,8 11,6
Température maximale moyenne (°C) 7,3 8,5 12,6 16,3 20,1 23,5 26,1 26 21,8 16,6 10,9 7,6 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−18
17.01.1985
−13,5
07.02.12
−10,8
01.03.05
−6
06.04.21
−1,5
06.05.19
1,1
01.06.06
2
02.07.1966
3,7
30.08.1964
0,5
17.09.1971
−4,1
21.10.10
−10,4
24.11.1998
−16,5
29.12.1964
−18
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,5
27.01.03
20,7
27.02.19
24,9
31.03.21
29,2
20.04.18
32,5
25.05.1989
37,5
21.06.17
42,5
25.07.19
40,2
12.08.03
34,8
15.09.20
30
01.10.1985
21,5
07.11.15
17,3
07.12.00
42,5
2019
Précipitations (mm) 54,2 48,6 50,4 47,5 69 58 61,1 62,6 50,9 61,2 61,2 71,3 696
Source : « Fiche 91243001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bruyères-le-Châtel est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[21],[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[24] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[25],[26].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27],[28].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Outre le bourg, le territoire de la commune comprend deux hameaux : Verville et Arpenty ; ainsi que des résidences privées : Les Ormes, Les Hauts de Bruyères, Le Val de La Remarde, La Vigne-Dieu, Les Cajuns.

Logement[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente une comparaison du logement à Bruyères-le-Châtel et dans l'ensemble de l'Essonne en 2011, au travers de quelques indicateurs[29],[30] :

indicateurs de logement - Bruyères-le-Châtel, 2011.
Bruyères-le-Châtel Essonne
Part des résidences principales (en %) 94,4 93,2
Part des logements vacants (en %) 4,8 5,4
Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) 78,4 60,5

Par rapport à la situation moyenne de l'Essonne en matière de logement, Bruyères-le Châtel se distingue surtout par son taux de ménages propriétaires de leur résidence principale, supérieur de 18 points à la valeur départementale. Le parc immobilier a fortement progressé depuis la seconde Guerre mondiale, passant de 228 résidences principales en 1946 à 1 248 en 2009, ces constructions nouvelles tant pour les deux tiers des maisons individuelles[29].

Les résidences secondaires représentent 0,8 % des habitations de Bruyères-le-Châtel, valeur un peu inférieure à la moyenne de l'Essonne qui s'établit à 1,4 %[29],[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Elle fut citée sous le nom de Brocaria en 670[31], puis apud Brueras en 1156-57[32], Brueri castrum en 1204[31], Bruceti Castellum[31], Brueriae en 1467[31], Brières[31], Bruyère-le-Chastel[31]. La commune fut créée en 1793 sous le nom de Bruyeres et porta provisoirement, au cours de la Révolution française, celui de Bruyères-Libre. Le nom actuel a été introduit en 1801 dans le Bulletin des lois[33].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le nom de Bruyère est assez répandu, et plusieurs seigneurs en ont porté le nom, sans qu'on soit bien certain de l'identité de leur fief. Bruyères-le-Châtel entra dans l'histoire au début du XIIIe siècle. Une croisade va enrichir les barons de Bruyères, une autre manqua de les ruiner.

D'une croisade à l'autre[modifier | modifier le code]

En 1209, Thomas (dit Pons) de Bruyères décide de partir en croisade en Languedoc contre les Albigeois, à la suite de Simon de Montfort seigneur de Montfort-l’Amaury, accompagné de son beau-frère Guy de Lévis (seigneur de Lévis-Saint-Nom, et depuis de Mirepoix, etc.) et de Pierre de Voisins (sgr de Voisins-le-Bretonneux et depuis de Limoux, etc.), tous parents ou voisins, avec leurs vassaux.

Pons se distingue contre les hérétiques, et s’empare l’année suivante du château de Puivert (novembre 1210) et d’une partie du Razès, avec Chalabre, qui lui sera finalement attribuée avec 16 paroisses alentour.

Les seigneur portèrent longtemps les titres de barons de Bruyères, de Chalabre et de Puyvert, et comptèrent parmi les plus importantes familles du Languedoc, auxquelles ils s'allèrent (Lévis-Mirepoix, etc.). Ils portaient D’or au lion de sable, la queue fourchée et passée en sautoir, qui sont toujours les armes de la commune

Deux siècles plus tard, Guillaume des Bordes, baron de Bruyères par son épouse Marguerite de Bruyères, chambellan de Charles V, Porte-Oriflamme de France (reçu en 1383), participe à la Croisade de Sigismond de Hongrie, conduite par Jean de Nevers, futur Jean sans Peur, avec les maréchaux Jehan de Vienne et Boucicault, mais ils sont écrasés par Bajazet à la bataille de Nicopolis (16 septembre 1396), où Guillaume fut tué, et à l’issue de laquelle son fils unique Jean des Bordes fut fait prisonnier. Il obtint sursis d'hommage en 1397 « attendu sa prison, les grands frais qu'il lui convenait de faire, tant pour son état et payer sa rançon, qu'à cause des dettes, legs et obsèques de son père »[34] (libéré, mort après 1410). Il portait 3 molettes (ou étoiles), écartelé d'une bande.

On peut voir dans l’église les trois gisants (supposés ? car brisés à la Révolution, retrouvés en 2004[35]) de Marguerite de Bruyères (+ 1419), veuve de Guillaume des Bordes, dame de Bouillancourt et de Cayeux, qui testa le 30 juin 1416[36], de son fils Jean des Bordes, et de Jacqueline de Beauvais, sa bru, morte en 1413[37]. Ils se trouvaient au prieuré Saint Didier (dépendance de l’abbaye de Saint Florent), en la chapelle Notre-Dame, qu’elle avait demandé de reconstruire.et agrandir. Elle remit ses biens au Roi, à charge de les protéger, avant de décéder en décembre 1419. Mais ce fut en vain, car le faible Charles VI, devenu fol, fut évincé par les Anglo-Bourguignons (+ 1422). La châtellenie de Bruyères, dépendante de Montlhéry, fut concédée à Thomas de Voisins (janvier 1418 -probablement un cousin de Marguerite), mais bientôt confisquée en janvier 1422 au profit de David de Brimeu, sgr de Ligny, chambellan du duc de Bourgogne ; entretemps, le château avait été pillé et les meubles emportés[38].

Suite des barons de Bruyères[modifier | modifier le code]

Les Hommages rendus à la Chambre des Comptes[39] retracent les propriétaires suivants : Après Marguerite de Bruyères, dame des Bordes et de Saint-Yon (hommage le 20 juin 1402, n° 423), qui "se démet entre la main du roi", se présentent Thomas de Voisins, chambellan du Roi (1418), puis Philippe de Voisins (1437) et Jean de Voisins (1455). Ensuite vient Louis de Bouhan, dit la Rochette (ou la Rochelle, en1460 et 1470). En 1502, le domaine est grevé d'une rente de quarante livres pour l'Amiral (Louis Mallet) de Graville (n° 430-431), puis Louis de la Rochette en est seigneur (1518) et Jacques de la Rochette, seigneur d'Ollainville (mort avant 1556, n°1690).

C'est alors qu'a lieu un partage : Jean de Bohan dit La Rochelle en possède la moitié, comme fils aîné et principal héritier de Jacques (1556) tandis que Jean de Baillon, sgr de Marmeaux et Janvry, trésorier de l'Épargne et secrétaire du Roi, fait hommage "des trois quarts de la moitié" (1564). Son fils Guillaume lui succède (1568) ; il en fait échange avec Pierre de Fite, trésorier de l'Épargne (1570), Charles de Fite, maître ordinaire en la chambre des Comptes, rend hommage de sa moitié en 1605, "en son nom et celui de ses frères et sœurs", avec Roinville, le Colombier, Anserville, Malassis, Poignant, relevant de Dourdan, etc. (n° 440).

De son côté, Claude d'Aubray (1526-1609), secrétaire du Roi, successeur des Bohan de la Rochette (?), en fait l'hommage en 1584, 1587 et 1596, avec Verville, Saint-Yon et autres terres. Il mourut à Paris le 31 mai 1609, en son vivant chevalier, seigneur et baron (?) de Bruyères, de Saint-Sulpice, Mauchamps, Saint-Chéron, la Repose et Le Coudreau, âgé de 83 ans. Il est inhumé en l'église Saint-André-des-Arts, près de la muraille du chœur. Ses armes sont : "D'argent à trois trèfles de sable, accompagnés d'un croissant de gueules en abîme"[40].

Les marquis de Bruyères[modifier | modifier le code]

En 1641, Bruyères-le-Châtel fut vendu par Marie d'Aubray (sa fille ?), veuve de Louis Le Cirier, sieur de Neufchelles, à Jean-Louis Lespinette, dit Le Mairat (par substitution à cette famille parlementaire originaire de Troyes, qui avait acquis la baronnie de Lustrac en Agenais)[41]. Jean-Louis Lépinette-Le Mairat (+ 1662), devenu un riche financier par l'héritage de son demi-frère utérin Le Mairat, fut baron de Lustrac, conseiller du Roi et maître des comptes ; il avait acheté un hôtel à Paris en 1640, et rendit hommage de Bruyères-le-Châtel le 7 janvier 1642[42] . Il avait épousé en 1633 Charlotte Lesné (ou Laisné ?), fille d'Aubert (ou Aubin) et de Catherine Passart, d'où 3 fils ; 1) L'aîné (?) Antoine (ca 1634-1710), baron de Lustrac et seigneur de Nogent-sur-Aube, épousa en 1668 Louise Bourgoin, dont Jean-Louis III (+ SPM) qui hérita de son oncle, et Joachim, qui hérita après son frère ; 2) Jean-Jacques, Sr de Verville, conseiller au grand conseil, n'eut qu'une fille Charlotte (épouse de Louis Le Pelletier, marquis de Mortefontaine, président au Parlement) ; 3) le cadet (mais Popoff le croit l'aîné[43] ?), Jean-Louis II Lépinette-Le Mairat (1637- 1713), fut conseiller (21 mai 1660) puis conseiller d'honneur en la Grand Chambre du Parlement, et vit ériger sa terre de Bruyères en marquisat, par lettres d'août 1676, enregistrées au Parlement le 4 septembre[44].

Étant mort sans alliance, il fit hériter son neveu, Jean-Louis III (Lépinette) Le Mairat (1670-1729), 2e marquis, Conseiller sur résignation de son oncle (en 1693), maître des requêtes en 1700[45]. Mais après son décès le 30 décembre 1729 (ne laissant de ses deux mariages qu'une fille, Marie-Renée, épouse de Félix Aubery, marquis de Vatan), par substitution masculine, c'est son frère Joachim Le Mairat (1681-1755), président en la Chambre des Comptes en 1718, qui devint l'héritier et 3e marquis de Bruyères ; dont hommage le 11 août 1732, ayant fait confirmer son titre de marquis par lettres de mai 1731, enregistrées au parlement le 29 mai 1732[46], et (à la CCP ?) le 21 juillet 1733[47]. Il épousa Edmée-Geneviève Vallier, fille d'un président aux requêtes, dont : Louis-Charles Le Mairat (1729-1773, mort à Bruyères), 4e marquis de Bruyères et de Nogent-sur-Aube, Conseiller au Parlement en 1749 avec dispense d'âge et de parenté[43], puis Président de la Chambre des Comptes après son père (1755), qui épousa Marie-Geneviève Pecquot de Saint-Maurice, fille d'un autre président en la CCP ; ils eurent trois filles, et un fils : Antoine, 5e marquis de Bruyères, comte du Saussay, fut d'abord officier, puis Président après son père (1773), marié (en secondes noces ?) en 1788 avec Marie-Angélique Aubry, vota en 1789, et mourut sans enfants, le dernier mâle de son nom (sans doute en émigration, sort et date inconnus). Bruyères aurait été vendu dès 1785 ?. Les armes sont : "D'or au chevron d'azur accompagné de trois têtes (et col) de paon arrachées d'azur (Le Mairat) ; le chevron chargé d'un écusson d'or à l'arbre (ou buisson d'épines) de sinople (Lespinette)"[48] .

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

En 1204, Philippe Auguste donne aux frères de l'Hôpital tout ce qu'il possède à Bruyères : « maisons, terres, justice et seigneurie »[49]. Un siècle plus tard, en 1297, les Hospitaliers vendent la terre à Thomas de Bruyères en échange d'une rente annuelle et perpétuelle de 56 livres et cinq sols[49].

Le membre de Bruyères relevait de la commanderie de Chauffour rattachée au prieuré hospitalier de Saint-Jean de Latran. Elle trouve son origine dans un échange fait, en 1307, entre Thomas, seigneur de Bruyères et le commandeur du Déluge[50].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Politique locale[modifier | modifier le code]

La commune de Bruyères-le-Châtel est rattachée au canton d'Arpajon, représenté par les conseillers départementaux Dominique Bougraud (UDI) et Alexandre Touzet (DVD), à l'arrondissement de Palaiseau ; Bruyères-le-Châtel fait partie de la quatrième circonscription de l'Essonne, représentée par la députée Marie-Pierre Rixain (LREM).

L'Insee attribue à la commune le code 91 3 01 115[51]. La commune de Bruyères-le-Châtel est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 101 151. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[52].

Conseil municipal de Bruyères-le-Châtel (mandature 2020-2026).
Liste Tendance Président Effectif Statut
« Donnons des couleurs à Bruyères » SE Thierry Rouyer 18 Majorité
« Bruyères-le-Châtel ensemble » SE Hervé Dejoux 5 Opposition

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? ? Joël Fréhaut    
mars 2001 En cours
(au avril 2014)
Thierry Rouyer SE Biologiste[53]
Réélu pour le mandat 2008-2014
Réélu pour le mandat 2014-2020
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances et résultats politiques[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours[modifier | modifier le code]

Élections législatives, résultats des deuxièmes tours[modifier | modifier le code]

Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores[modifier | modifier le code]

Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores[modifier | modifier le code]

Élections cantonales et départementales, résultats des deuxièmes tours[modifier | modifier le code]

Élections municipales, résultats des deuxièmes tours[modifier | modifier le code]

Référendums[modifier | modifier le code]

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune dispose sur son territoire d'un centre de première intervention des sapeurs-pompiers[69], d'une agence postale[70].

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune de Bruyères-le-Châtel n'a développé aucune association de jumelage.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Bruyérois[71].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[73].

En 2021, la commune comptait 3 584 habitants[Note 3], en augmentation de 8,34 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
566652705819738675720760771
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
799746822688718716688649690
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7007457518008888518378261 704
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0781 5212 1032 1992 5363 0133 0153 0973 187
2015 2020 2021 - - - - - -
3 3083 5943 584------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[74].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 625 hommes pour 1 774 femmes, soit un taux de 52,19 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[75]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,7 
5,8 
75-89 ans
7,8 
14,5 
60-74 ans
14,7 
22,5 
45-59 ans
21,8 
18,4 
30-44 ans
18,1 
19,5 
15-29 ans
17,6 
18,8 
0-14 ans
19,3 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2020 en pourcentage[76]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,3 
75-89 ans
7,1 
12,9 
60-74 ans
13,8 
20,1 
45-59 ans
19,6 
19,9 
30-44 ans
20,1 
19,9 
15-29 ans
18,3 
21,4 
0-14 ans
19,8 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les élèves de Bruyères-le-Châtel sont rattachés à l'académie de Versailles. La commune dispose de l'école maternelle Les Bleuets et de l'école élémentaire Les Coquelicots[77].

Culture[modifier | modifier le code]

Dans le parc du château de Bruyères-le-Châtel se trouve la résidence de création artistique La Lisière[78]. Lieu d'aide à la création porté sur les arts en espace public sous toutes ses formes, La Lisière accueille tout au long de l'année des artistes, des compagnies, et organise de temps à autre des sorties de résidence, des rencontres avec le public. En partenariat avec la compagnie La Constellation[79], basée à Grigny, elle organise également le festival essonnien « De jour // de Nuit »[80].

Santé[modifier | modifier le code]

Il y a dans la commune deux médecins et deux dentistes en centre-ville, une pharmacie et deux kinésithérapeutes.

Sports[modifier | modifier le code]

Football, Judo, tennis, taekwondo, gymnastique, danse, Saisho Enkei Budo / MMA.

Loisirs[modifier | modifier le code]

Parc Floreval

Le Parc Aventure Floreval propose de nombreuses activités dans la forêt : parcours accrobranche, tyroliennes, catapulte mais également balade à poney, aire de jeux et promenade ludique.

Lieux de culte[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Didier.

La paroisse catholique de Bruyères-le-Châtel est rattachée au secteur pastoral des Trois-Vallées-Arpajon et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Didier[81].

Le mouvement des focolari est présent sur la commune, dans le domaine d'Arny[82] depuis 2000[83], dans le but d'offrir un lieu « [fondé] sur la fraternité et l’accueil »[84]. Malgré des relations parfois tendues avec la municipalité[85], la « cité-pilote » accueille des familles, plusieurs entreprises de l'économie de communion, les éditions Nouvelle Cité et organise des rassemblements divers[84].

Médias[modifier | modifier le code]

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie[modifier | modifier le code]

À Bruyères-le-Châtel se trouve le centre de recherche CEA de Bruyères-le-Châtel de la direction des applications militaires du Commissariat à l'énergie atomique un centre de surveillance sismique et depuis 2006 le centre Teratec qui contient en particulier le superordinateur TERA-100 et les installations civiles liées.

Emplois, revenus et niveau de vie[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 45 597 , ce qui plaçait Bruyères-le-Châtel au 766e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[86].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Bruyères-le-Châtel 0,0 % 3,0 % 52,6 % 19,3 % 17,6 % 7,5 %
Zone d'emploi de Dourdan 0,7 % 6,0 % 18,9 % 28,5 % 26,3 % 19,6 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Bruyères-le-Châtel 0,6 % 6,6 % 1,8 % 1,7 % 77,2 % 3,9 %
Zone d'emploi de Dourdan 1,7 % 10,4 % 7,5 % 11,8 % 21,6 % 6,9 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[87],[88],[89]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Les berges de la Charmoise, les bois au nord de la commune et les carrières géologiques ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[90]. La commune est traversée par le sentier de Petite Randonnée (PR 25) qui débute à la gare d'Égly. Après le bassin de retenue de l'Orge le sentier traverse la ville en passant par le lavoir de la Fontaine-Bouillant datant de 1728. Il continue au nord par le sentier de Soucy pour rejoindre le GR 111 dans la forêt de la Roche Turpin. Il termine sa boucle de 13 km en passant par Ollainville et le long de l'Orge pour revenir à la gare d'Égly.

Patrimoine architectural[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.

Autrefois[Quand ?] il existait trois fontaines d'une eau particulièrement pure sur la commune. Deux lavoirs existent toujours: celui de la Fontaine-Bouillant était équipé d'une pompe élévatrice, vidé et curé tous les mois au XIXe siècle et celui de la Fontaine-Beurlin était alimenté par ces eaux.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Bruyères-le-Châtel :

Héraldique et logotype[modifier | modifier le code]


Blason de Bruyères-le-Châtel

Les armes de Bruyères-le-Châtel se blasonnent : D'or au lion de sable, la queue fourchée, nouée et passée en sautoir.

La commune s'est en outre dotée d'un logotype.

Bruyères-le-Châtel dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Monnerville », p. 52–54
  • Pierre Marly, Le Hurepoix : Arpajon Et Son Canton. Avrainville, Bruyères-Le-Chatel, Cheptainville, Égly, Guibeville, Leuville-Sur-Orge, La Norville, Ollainville, Saint-Germain-Lès-Arpajon, t. II, J.-P. Bourgeron, (ISBN 978-2-903097-01-1)
  • Collectif d'auteurs, Bruyères-Le-Châtel. D'hier et d'aujourd'hui, Association historique du vieux Bruyères, (ISBN 978-2-9509558-0-7)
  • Eugène Mannier, Les commanderies du grand prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux archives nationales à Paris, Paris, (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Fiche de Bruyères-le-Châtel dans le Code officiel géographique sur le site de l'Insee. Consulté le 31/07/2012.
  2. Orthodromie entre Bruyères-le-Châtel et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  3. Orthodromie entre Bruyères-le-Châtel et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  4. Orthodromie entre Bruyères-le-Châtel et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  5. Orthodromie entre Bruyères-le-Châtel et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  6. Orthodromie entre Bruyères-le-Châtel et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  7. Orthodromie entre Bruyères-le-Châtel et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  8. Orthodromie entre Bruyères-le-Châtel et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  9. Orthodromie entre Bruyères-le-Châtel et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  10. Orthodromie entre Bruyères-le-Châtel et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  11. Orthodromie entre Bruyères-le-Châtel et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 06/09/2012.
  12. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  13. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 07/11/2010.
  14. [Fiche de la Vidange sur le site du SANDRE]
  15. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  17. « Orthodromie entre Bruyères-le-Châtel et Fontenay-lès-Briis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Fontenay-les-B. » (commune de Fontenay-lès-Briis) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Station Météo-France « Fontenay-les-B. » (commune de Fontenay-lès-Briis) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  21. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  26. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  29. a b et c « Chiffres clés - Logement en 2011 à Bruyères-le-Châtel », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  30. a et b « Chiffres clés - Logement en 2011 dans l'Essonne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  31. a b c d e et f Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  32. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, présentation en ligne), partie 3947, p. 264.
  33. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Père Anselme, Histoire... de la maison royale de France, tome 8 (1733), p 706 (biographie de Guillaume des Bordes).
  35. Voir : pagesperso-orange.fr/amie.vieux.bruyeres/ (Christiane Balufin) - 1 Argumentaire sur les gisants (pagesperso-orange.fr) ;
  36. Mélanges historiques, choix de documents, to 3, Impr. Nationale, 1880, p 577-586 - Testaments.
  37. Les épitaphes (détruites) ont été relevées par l'Abbé Jean Lebeuf, Histoire de la ville et du diocèse de Paris, 1754, rééd. 1893, to 3.
  38. Mélanges historiques, opus cité (1880), p. 577.
  39. Léon Mirot, Hommages rendus à la Chambre de France, 1932 (rééd. 1982), tome I, n° 423 à 440.
  40. Émile Raunié, Epitaphier du vieux Paris, Imprimerie nationale, 1890-1901, 3 vol, chapitre des épitaphes de l'église, p. 16.
  41. Woelmont de Brumagne, Notices généalogiques, tome 2 (1923), p 624-627 (base de cette généalogie)
  42. Babelon, Nouveaux Hommages (1988), tome I, n° 177
  43. a et b Popoff, Prosopographie des gens du Parlement de Paris (1996), n° 1560 (d'après un ancien manuscrit).
  44. Expilly, Dictionnaire des Gaules et de la France, tome 1 (1762), p 866 b (non localisé) ; Éric Thiou, Dictionnaire des Titres (2003), p 79, le confond avec la vicomté de Bruyères-sur-Oise, aux Maupeou.
  45. dont hommage le 13 mai 1728 : Babelon, Nouveaux Hommages...(1988), tome I, n° 179.
  46. Babelon, Nouveau Hommages 1, n° 180.
  47. Éric Thiou, Dict. des Titres (2003), p 79, qui ne précise pas (c'est la Chambre des Comptes par déduction).
  48. Voir Olivier, Hermal et Roton, Manuel... de reliures armoriées, to 4, n° 379.
  49. a et b Eugène Mannier, Les commanderies de Gran-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux archives nationales a paris par E. Mannier, A. Aubry, (lire en ligne)
  50. CVM voir Marivaux.
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  53. %5BFREETEXT%5D=bruy%E8res&cHash=62fec9ff8d Fiche de la commune sur le site du conseil général de l'Essonne (consulté le 10 mai 2010)
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