CC 72000

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CC 72000
Description de cette image, également commentée ci-après
La CC 72084 en livrée bleue d'origine à Longueau.
Identification
Exploitant(s) SNCF, ONCF, CP Direção de Material
Désignation CC 72001 à 72092
Surnom Nez cassés / Grosses bleues
Type locomotive
Motorisation Diesel-électrique
Couplage inaptes au couplage en Unité Multiple
Construction 92 locomotives
Constructeur(s) Alsthom, SACM
Mise en service de 1967 à 1974
Effectif 3 (en 2022)
Service commercial depuis 1967
Retrait depuis 2003
Affectation Agence d'essais ferroviaire, cellule matériels radiés
Caractéristiques techniques
Disposition des essieux C'C'
Écartement standard (1 435 mm)
Carburant gazole
Moteur thermique SACM AGO V16 ESHR
2 650 kW
 Alternateur triphasé simple étoile
Alimentation courant continu 1 500 V
(redresseurs à diodes)
Moteurs de traction 2 * TAO 656 B1
1 500 V à ventil. forcée
Transmission anneau dansant
Puissance continue 2 650 kW
Capacité en carburant 5 500 L
Consommation 3,33 L/km
Masse en service 114 t
Longueur 20,190 m
Largeur 2,952 m
Hauteur 4,290 m
Empattement 11,990 m
Bogies Y 218
Empattement du bogie 3,216 m
Diamètre des roues Ø1140
Vitesse maximale 140 km/h
CC 72001-16, 18-20
160 km/h
CC 72017, 72021-92

[1],[2],[3],[4]

Les CC 72000 forment une série de locomotives Diesel-électriques, construites à 92 exemplaires, pour la Société nationale des chemins de fer français par Alsthom. Ce sont les locomotives Diesel les plus puissantes de la SNCF. Trente d'entre elles sont devenues des CC 72100, par remotorisation.

Description[modifier | modifier le code]

Elles ont été commandées le  ; la première a été mise en service le au dépôt de Rennes et la dernière le 21 juin 1974. Leur design est dû à Paul Arzens.

Les vingt premières de la série n’atteignaient que 140 km/h, la vitesse maximale des suivantes (ainsi que de la 72017 après une réparation à la suite d'un incendie[réf. nécessaire]) a été rehaussée à 160 km/h. Trente d’entre elles ont été remotorisées et renumérotées, entre 2002 et 2004, dans la tranche CC 72100 (en conservant leur numéro d'ordre initial) ; trente six autres ont été radiées, dont douze en 2005. Par ailleurs, les 72001 à 72020, plus lentes, ont été soit radiées soit affectées au Fret. Six d'entre elles (72003, 72009, 72018, 72020, 72027 et la 72085) ont été vendues à l'ONCF, les chemins de fer marocains. Les dernières CC 72000 françaises sont affectées à Nevers. Leur coût de maintenance élevé ainsi que leur limitation à 85 km/h sur le rapport de réduction marchandises ont accéléré la fin de leur carrière. La puissance de leurs moteurs SACM AGO était de 2650 kW avec 2250 kW aux jantes tout comme les CC 72100[5],[6].

En service international, les CC 72000 ont desservi régulièrement les villes suisses de Bâle et de Genève avec les dessertes Paris - Bâle via Mulhouse et Valence - Genève via Grenoble. Sur cette dernière relation les CC 72000 tractaient des compositions allant jusqu'à quatorze voitures Corail les vendredis et dimanches. Au service Fret, elles se sont rendues épisodiquement en Belgique et au Luxembourg. Elles ont également tracté en service intérieur les trains allers et retours Grenoble - Nantes ou Grenoble - Bordeaux (« Le Ventadour »), relations assurées de bout en bout qui comptèrent parmi leurs plus longs parcours en service voyageurs.

En décembre 2009, les CC 72000 ont effectué leurs dernières prestations commerciales régulières sur la transversale Nantes - Tours - Lyon, où elles furent remplacées par des X 72500. Toutefois, une des principales raisons de leur retrait, outre leur âge, est la pollution générée par leurs moteurs Diesel non compatibles avec les nouvelles normes UIC européennes. Depuis 2009, seules subsistent au parc les 72049, 72074 et 72084, versées à l'activité Matériel. Elles sont utilisées principalement pour l'acheminement dans un dépôt ou à la casse de matériel radié ou lors des campagnes d'essais de nouveau matériel. De façon plus rare, elles remplacent, sur la ligne 4, les CC 72100 défaillantes jusqu'au retrait complet des compositions tractées en avril 2017.

Les CC 72000 sont reconnaissables au bruit de leur moteur, qui donne la mesure de leur puissance.

Histoire et service[modifier | modifier le code]

Les premières locomotives diesels de lignes françaises des années 1960 ne permettent pas de remplacer de façon économique la traction vapeur : la puissance fournie est trop faible, ce qui complique le service sur les lignes non électrifiées qui voient passer des trains de passagers express de 850 tonnes et de marchandises de 1 500 tonnes. Il y a aussi le problème du chauffage des trains de voyageurs : pour augmenter la température de la rame de 15° par rapport à l’extérieur, il faut parfois abaisser la vitesse de 82 à 78 km/h. C’est pour satisfaire à ces problèmes que la CC 72000 fut mise en service. Le , la CC 72002 est venue à Grenoble pour y effectuer des essais sur la ligne des Alpes de Grenoble à Veynes.

Les CC 72001 à 72016 et 72018 à 72020 étaient aptes à 140 km/h, les CC 72017 et 72021 à 72092 étaient aptes à 160 km/h. On les voyait ainsi en tête de trains rapides, bien adaptées à prendre le relais de la traction vapeur sur les lignes non électrifiées. Cependant, elles furent surtout utilisées pour des trains de longue distance, comme Quimper - Toulouse via Nantes et Bordeaux, Lyon-Perrache - Marseille via Grenoble et Veynes (ligne des Alpes), Valence - Genève via Grenoble (ligne de Grenoble à Montmélian), Genève - Marseille et Genève - Nice via Grenoble (de Genève à Valence), Saint-Gervais - Nice (avec traction des trains de Chambéry à Valence), Grenoble - Nantes et Lyon - Nantes, Grenoble - Bordeaux et Lyon - Bordeaux, Reims - Dijon via Châlons-en-Champagne, Paris-Montparnasse - Nantes, Paris-Est - Belfort, Paris-Est - Bâle ou encore Paris-Austerlitz - Clermont-Ferrand.

Les CC 72000 ne connurent pendant leurs carrières que les dépôts de Rennes, Chalindrey, Vénissieux et Nevers. Les CC 72100 sont toutes basées à Chalindrey. En 2009, seuls les dépôts de Nevers et de Chalindrey étaient encore dotés de ce type de locomotives dont certaines ont été revendues au Maroc. Les CC 72000 connurent leurs heures de gloire avec la traction des Trans-Europ-Express (TEE) « Jules Verne » Paris-Montparnasse - Nantes (395,1 km) créé le 28 septembre 1975, et « L’Arbalète » Paris-Est - Zurich jusqu’à Bâle à partir du 28 septembre 1969 et jusqu’au 26 mai 1979, ainsi que du train « Ventadour » Bordeaux - Grenoble via Brive-la-Gaillarde et Lyon. Avant l’électrification, les CC 72000 assuraient la traction des grands rapides de la ligne Paris Gare de Lyon - Clermont-Ferrand : l’Arverne, le Bourbonnais, le Thermal et le Cévenol. En service international, les CC 72000 ont desservi régulièrement les villes suisses de Bâle et de Genève.

La CC 72000 avait quand même ses limites. Aux heures de pointe du vendredi soir et dimanche soir, où les trains sont généralement plus lourds car complets, il y avait un manque de puissance et il fallait fréquemment la remplacer par deux locomotives des séries BB 67400, avec pour conséquence le ralentissement de la marche de 160 à 140 km/h, en partie compensé par la nervosité plus importante des 67400, et une consommation accrue de carburant pour les deux machines. Aux mêmes heures de pointe, elles quittaient à certaines époques Lyon en direction de Nantes, par St Etienne ou le Col des Sauvages, assistées d'une locomotive diesel ou électrique en double traction.

À titre d’essai en 1987, le moteur fut remplacé sur quelques-unes des locomotives par un SEMT Pielstick de type V12 PA 6, qui peut fournir 3 100 kW à 1 050 tr/min. Seules les 72044 et 72075 ont été modifiées de la sorte.

  • En 1972, des CC 72000 du dépôt de Vénissieux effectuent la traction d’un train quotidien entre Lyon-Perrache et Marseille via Grenoble et Veynes par la ligne des Alpes. Ce service resta exceptionnel et n’aura duré qu’un seul été. En effet, en raison du grand gabarit des CC 72000, lors de leur passage dans le tunnel du Grand Brion (long tunnel en « S » et à gabarit étroit) au-dessus de la gare de Vif, les gaz d’échappement refoulaient à l’intérieur des engins en étouffant le moteur thermique.
  • En 1974, la construction des CC 72000 est stoppée en raison du choc pétrolier de 1973. Les prix du kWh ont trop augmenté, passant de 4 centimes avant 73 à 12, 20, puis 30 centimes.
  • Le 1er octobre 1978, la CC 72084 pavoisée (et basée au dépôt de Vénissieux) a assuré la traction du train spécial du centenaire de la ligne des Alpes avec un aller-retour entre Grenoble et Veynes.
  • Le , la locomotive diesel CC 72067, en livrée bleue et blanche, tracte le train Corail Grenoble - Nantes via Lyon-Part-Dieu, Bourges, Vierzon, Tours, Saumur et Angers.
  • Le , la locomotive diesel CC 72070, en livrée bleue et blanche, tracte le train Corail Genève - Valence via Bellegarde, Aix-les-Bains, Chambéry et Grenoble.
  • Le , la locomotive diesel CC 72059, en livrée bleue et blanche, tracte le train 4490/1 « Le Ventadour » Bordeaux - Grenoble via Clermont-Ferrand et Lyon-Part-Dieu.
  • En 2009, les dernières CC 72000 en service sont utilisées pour le fret et les Intercités ; les CC 72100 tractent encore les Intercités sur Paris - Mulhouse via Troyes et Belfort ainsi que des TER Reims - Dijon via Châlons-en-Champagne.
  • Le , les CC 72000 restantes ont assuré leurs derniers trains réguliers sur la transversale Nantes - Lyon et ne sont plus utilisées à ce jour (août 2011) que comme machines de réserve.
  • À l’automne 2011, pour pallier l’indisponibilité des BB 15000 et CC 72100 sur les trains Intercités au départ de Paris-Est, les CC 72074 et 72084 effectuent un retour aussi remarqué qu’inattendu en tête de trains sur l’axe Paris - Mulhouse via Troyes et Belfort.

Avec les nouvelles réglementations UIC antipollution, les dernières CC 72000 sont retirées du service, la plupart d’entre elles ont été revendues à l'ONCF (Office National des Chemins de fer Marocains). Ne devraient subsister que les CC 72100 remotorisées.

  • Le , la CC 72084 assure à Paris un train exceptionnel composé d’une voiture Club 32 sur la Petite Ceinture. Acheminée depuis Juvisy par les voies du RER C, elle marque un arrêt à la station Invalides afin d’embarquer les membres de l'association propriétaires des voitures à dégarer et les agents de manœuvre et de sécurité SNCF. Au boulevard Victor-Pont du Garigliano, elle manœuvre pour emprunter la Petite Ceinture. Sa mission sera alors de récupérer les 4 voitures BAR Corail stationnées dans le tunnel de la gare de Vaugirard. Ces 4 voitures seront ensuite acheminées vers la gare de la Glacière-Gentilly. La CC 72084 et sa voiture Club 32 repartiront ensuite sur la Petite Ceinture vers le boulevard Victor avant d’emprunter de nouveau les voies du RER C afin de rentrer à son dépôt. Les quatre voitures Corail seront à terme repositionnées dans le tunnel de la porte d'Ivry[7].

Machines particulières[modifier | modifier le code]

Moteur Diesel AGO V16 ESHR.
  • CC 72006 : cette machine est la seule locomotive de la série à avoir reçu la livrée Isabelle à la suite d'un passage en grande révision générale en novembre 1995. En mars 2002, elle a été repeinte en livrée Fret, avec laquelle elle finit sa carrière.
  • CC 72030 (blasonnée Chalindrey et devenue CC 72130) a reçu 4 livrées : la livrée bleue d'origine, la livrée Bleu Blanc Rouge (livrée unique sur un engin à l'occasion du bicentenaire de la Révolution française, l'été 1989), la livrée Multiservices rouge et enfin la livrée En voyage en devenant CC 72130. Elle est également la locomotive diesel française totalisant le plus de kilomètres parcourus depuis sa mise en service (plus de 9 millions de km lors de sa radiation le [8]).
  • CC 72046 : cette machine fut la première CC 72000 retirée du service. Elle fut détruite lors d'une collision avec un convoi exceptionnel sur un passage à niveau à Ancenis[9]. Malgré les dégâts très importants (locomotive pliée et cabine avant enfoncée) le conducteur eut la vie sauve en se réfugiant dans le compartiment moteur. Le blason "Amplepuis" qu'elle portait fut alors apposé sur la CC 72061, puis la CC 72084[9].
  • CC 72061, 72062, 72064 : ont été équipés pour la traction du TGV Atlantique pour la desserte « TGV Vendée » des Sables-d'Olonne (attelage Scharfenberg…) qui a été supprimée le 11 décembre 2004. Du fait de leur moindre utilisation, ces trois machines ont fait partie du dernier carré de la série en service commercial le 13 décembre 2009.
La CC 72064, préservée par l'ARCET.
  • CC 72064 : dernier 72000 à moteur AGO à avoir roulé en service commercial régulier[10] entre Lyon et Tours.
  • CC 72049 et 72074 : ces machines servent uniquement pour les trains de l'AEF (Agence d'Essais Ferroviaire) et font des acheminements spéciaux et des essais dans toute la France.
  • La 72075 : équipée du moteur 12PA6 280 de chez Pielstick d'une puissance de 4800CV. Remise au type avec le moteur AGO V16 elle servira de banc d'essai pour le moteur 16PA4-200. Elle sera de nouveau remise au type AGO V16. Lors de la transformation en 72100 elle recevra à nouveau un moteur 16PA4-200. Elle a donc eu 5 motorisations successives au cours de sa carrière.
  • CC 72084 : toujours en circulation et conservée en état d'origine, avec le macaron peint en rouge, seules les plaques latérales et le blason ont été ôtés. Cette machine a tracté le 1er octobre 1978 le train du centenaire de la ligne des Alpes entre Grenoble et Veynes. Affectée aux acheminements spéciaux, elle a également tracté le Train du Rugby, train-expo faisant la promotion de la Coupe du Monde 2007, pendant l'année 2006 dans toute la France, profitant de cette occasion pour être remise en peinture mais avec poses du nouveau logo SNCF et d'autocollants du rugby de façon transitoire, avant de retourner à l'état d'origine. Elle est affectée à la Cellule des matériels radiés (CMR). À terme, elle devrait intégrer les collections de la Cité du Train de Mulhouse à la fin de son service[11].

Les dépôts titulaires[modifier | modifier le code]

Répartition des 3 locomotives au 3 janvier 2018

STF Désignation Ville Nombre de machines
SLI STF Infrarail Chalindrey 3 locomotives

Lignes desservies[modifier | modifier le code]

Anciens services de voyageurs[modifier | modifier le code]

Anciens services de marchandises[modifier | modifier le code]

Préservations[modifier | modifier le code]

  • CC 72029 : préservé en livrée Fret à la Cité du train de Mulhouse. Il est exposé dans l'espace extérieur, ouvert au public tous les jours d'avril à septembre.
  • CC 72064 : préservé par l'Association Rhône-Alpine de Conservation d’Engins Thermiques (ARCET) depuis Août 2010. Après plus de cinq années d'arrêt, son moteur a été redémarré pour la première fois le 3 mars 2015[12]. Les travaux pour obtenir son habilitation à effectuer des circulations historiques sont en cours.

Hommage architectural[modifier | modifier le code]

À Sotteville-lès-Rouen, ville ayant un important passé ferroviaire, un immeuble a été construit en forme de CC 72000. Il est d'ailleurs nommé résidence CC[13].

Culture[modifier | modifier le code]

La gare de La Souterraine apparaît dans le film de Patrice Chéreau Ceux qui m'aiment prendront le train. A la 25e minute de ce film, la première vue complète du train permet de constater qu'il est tracté par une CC 72000. Pourtant, à la 39e minute de ce film, l'unique vue complète du train qui repart de la gare de La Souterraine est tracté par une BB 67400 (gros plan sur la locomotive à la 40e minute sans que le numéro de série soit lisible).

Une CC 72000 bleue est visible en tête d'un train TEN dans le vidéoclip du titre Tes yeux noirs du groupe Indochine.

Versions dérivées[modifier | modifier le code]

DF 100[modifier | modifier le code]

Les DF 100 sont des locomotives Diesel-électriques dérivées des CC 72000 et destinées à l'ONCF.

CP Série 1900 et 1930[modifier | modifier le code]

Les séries 1900 et 1930 sont des locomotives Diesel-électriques dérivées des CC 72000 et destinées aux CP.

Modélisme[modifier | modifier le code]

Ces locomotives ont inspiré plusieurs fabricants :

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Jacques Defrance, Le matériel moteur de la SNCF, N.M. La Vie du Rail, .
  2. Denis Redoutey, Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La Vie du Rail, , 399 p. (ISBN 978-2-915034-65-3), p. 257.
  3. Revue bimestrielle Voies Ferrées, Le matériel moteur de la SNCF, en plusieurs articles sur plusieurs numéros par année.
  4. Revue mensuelle Rail Passion, État trimestriel du matériel moteur SNCF, un article par trimestre.
  5. « Fiche CC 72000 ».
  6. Frederic, « L’histoire de la CC 72064 », sur ARCET, (consulté le ).
  7. « Ce matin, la Petite Ceinture reprend du service », sur Le Parisien, (consulté le ).
  8. « CC72100 » [PDF], sur Trains du Sud-Ouest (consulté le ).
  9. a et b « CC 72046 à Saint Germain des Fossés (03) » (consulté le ).
  10. ARCET, « Bienvenue sur le site de l'ARCET, l'Association Rhône-alpine de Conservation d'Engins Thermiques! » (consulté le ) : « La première locomotive que nous sommes en train de sauvegarder est la CC 72064, dernière représentante de la série à avoir roulé en service commercial régulier. »
  11. « Après 50 ans de service, les CC 72 000 tirent leur révérence | SNCF », sur www.sncf.com (consulté le ).
  12. ARCET, « Demarrage » [vidéo], sur dailymotion.com, (consulté le ).
  13. « L'immeuble entre en gare », sur paris-normandie.fr, (consulté le ) : « L'immeuble respecte la forme et les couleurs la locomotive CC 72000 ».
  14. « CC72080 », Le Train, no 33,‎ , p. 14-15
  15. « CC72056,CC72071,CC72080 », Voies Ferrées, no 45,‎ , p. 80-83

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Denis Redoutey, "Le matériel moteur de la SNCF", Paris, La Vie du Rail, , 399 p. (ISBN 978-2-915034-65-3).
  • Jacques Defrance, Le matériel moteur de la SNCF, N.M. La Vie du Rail, 1969, 1978 (réédition).
  • Denis Redoutey, Le matériel moteur de la SNCF, Paris, La Vie du Rail, , 399 p. (ISBN 978-2-915034-65-3).
  • Alain Blot, 72000, Grenoble, Presses & éditions ferroviaires, , 312 p. (ISBN 978-2-905447-31-9 et 2-905447-31-1).
  • Denis Redoutey, Le matériel moteur SNCF en 2012, Saint-Étienne, La Vie du rail, , 400 p. (ISBN 978-2-918758-60-0).
  • Olivier Constant, « Les CC 72000, tome 1, spécial 84 », Le Train,‎ (ISSN 1267-5008).
  • Olivier Constant, « Les CC 72000/72100, tome 2, spécial 88 », Le Train,‎ (ISSN 1267-5008).
  • Olivier Constant, « Les Diesel de ligne », Le Train,‎ (numéro spécial incluant les CC 72000).
  • Jean Tricoire, « Les trains des Alpes », Le Train, no 57,‎ (numéro spécial)
  • Olivier Constant, « L’encyclopédie du matériel moteur, tome 7, les locomotives diesels », Le Train,‎ (ISSN 1296-5537) dont les CC 72000.
  • Alain Blot, livre "72000", Presses et Editions ferroviaires, Grenoble, 2012.
  • Livre: Clive Lamming, Au cœur des trains, Hachette Collections, Mateu Crosso, 2004.
  • Livre : Maurice Mertens et Jean-Pierre Malaspina, La Légende des Trans Europ Express, LR Presse, 2007.
  • Revues : Voies ferrées (plusieurs articles concernant les CC 72000 et 72100), Le Train (n° spécial CC 72000), La Vie du Rail (plusieurs articles), Rail Passion (plusieurs articles).
  • Quotidien : Dauphiné Libéré, éditions Isère et Hautes-Alpes (article sur le centenaire de la ligne Grenoble à Veynes paru le 02/10/1978).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]