Basville

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Basville
Basville
Mairie de Basville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine
Maire
Mandat
Daniel Ferrier
2020-2026
Code postal 23260
Code commune 23017
Démographie
Gentilé Bavillois, Bavilloises
Population
municipale
168 hab. (2021 en augmentation de 3,7 % par rapport à 2015)
Densité 7,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 52′ 20″ nord, 2° 23′ 52″ est
Altitude Min. 675 m
Max. 826 m
Superficie 22,57 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auzances
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Basville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Basville
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Voir sur la carte topographique de la Creuse
Basville
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Basville

Basville [bavil] est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Commune à l'est du département de la Creuse, dans le canton de Crocq, limitrophe du département du Puy-de-Dôme (commune de Giat). Les principales activités y sont l'élevage et le bois (avec une scierie). Plusieurs rivières, la Tardes, le Chavanon et le Tix, traversent la commune. La Tardes y prend d'ailleurs sa source.

La commune fait partie du parc naturel régional de Millevaches en Limousin.

Hameaux de la commune[modifier | modifier le code]

  • Beaume
  • Dimpoux
  • Lachaud (village détruit, à côté de l'étang du même nom)
  • La Gorsse (hameau détruit de la paroisse de Saint-Alvard)
  • La Mazerette
  • La Mazière aux Picauds
  • La Prugne (village détruit)
  • Larfeuille
  • Laudeux-Couturier
  • Laudeux-Piatoux
  • Lavaudemergue (Lavaud de Mergue, dispose d'un souterrain inexploré)
  • La Vilatte
  • Le Chez (Le Chier en 1713)
  • Le Layrit
  • Le Moulin de Basville
  • Le Rondet (village détruit)
  • Les Chaumettes
  • Les Farges
  • Les Huillards
  • Pompignat
  • Pompignaguet
  • Pindogne
  • Pompignat
  • Saint-Alvard

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 002 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Néoux à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 977,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Basville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,7 %), prairies (40,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %), eaux continentales[Note 2] (1,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Basville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Basville.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 36,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 161 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 25 sont en aléa moyen ou fort, soit 16 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Basville est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Basville est attesté sous la forme Basvila en 1373, Bassavilla en 1392.

Il s'agit d'une formation médiévale en -vil(l)a « domaine rural, village », précédée de l'adjectif féminin auvergnat bassa « basse » et de vila « village »[19] ou d'un nom de personne germanique comme c'est plus généralement le cas pour ce type de formation toponymique, ici peut-être Baso, d'où le sens global de « ferme de Baso »[20]. Remarque : Les formations anciennes en -ville (autrement -viale, -vielle, -fielle) sont rares dans le domaine de la langue d'oc, sauf autour de Toulouse.

Le territoire de la commune[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Alvard est rattachée à Basville par ordonnance royale du [21]. La commune de La Villeneuve est détachée de la commune de Basville le en raison de sa « garnison »[22],[23] — elle dispose d'une brigade de gendarmerie et d'un relais de poste entre Angoulême et Lyon[24]. Le , un décret retire à La Villeneuve les hameaux des Huillards et de Pindogne, qui sont réunis à la commune de Basville[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge et époque moderne[modifier | modifier le code]

Avant la Révolution, la paroisse de Basville faisait partie du Franc-Alleu et de l'élection de Combrailles[26]. De même, le prieuré appartenait à l'archiprêtré d'Herment et dépendait de l'abbaye des bénédictins de Saint-Alyre, à Clermont-Ferrand. Plusieurs noms de prieurs nous sont connus : Jean Bel (1278), Guillaume Mazier (1399), Jean Molle (1499), Nicolas Bruxe (1525), Antoine Bompard, moine de Saint-Alyre (1790). Parmi les vassaux du chapitre d'Herment, on signale le « mas de Prugne », dans la paroisse de Basville, possédé en 1350 par Hugues et Guillaume Roger, bourgeois d'Herment, et le « mas de la Gorsse », avec son étang et son moulin, dans la paroisse de Saint-Alvard, dont Pierre Roger est le seigneur en 1333, Pierre de Courtes en 1350[27].

En 1357-1358, le revenu fiscal était, dans le prieuré de Basville, de 60 livres tournois, pour un revenu brut évalué au XVe siècle à 93 livres tournois[28]. Dans les années 1358-1368, le montant de la dîme s'élevait en moyenne, dans la paroisse de Saint-Alvard, à 70 setiers, contre 31 setiers pour la taille royale — en adoptant comme valeur du setier 15 sous, valeur moyenne pour la seconde moitié du XVe siècle[29]. Parmi les impôts seigneuriaux, on signale à la fin du Moyen Âge et au début de l'époque moderne, un droit de « nopces » à « Arfeuille » (Larfeuille). De même, les habitants des Huillards devaient aller faire cuire leur pain au four banal de La Villeneuve, dépendance de la baronnie de Crocq ; d'après le terrier de 1521, ils ont racheté ce droit — qui représente une charge assez lourde — en payant 1 setier de seigle par an, un « chiffre relativement élevé par rapport à leur redevance totale »[30].

Lors de la fondation de la chapelle Sainte-Magdeleine de l'église d'Herment, en 1290, une rente fut assignée pour la desservir sur le village du Leyrit (Le Layrit)[31]. Une petite seigneurie, peut-être détachée d'Herment, y fut créée ; son revenu était évalué à 30 livres en 1551[32]. Propriété des marquis de Lestrange au XVIIe et au XVIIIe siècle[33],[34], elle fut vendue avant le 33 000 livres à Gaspard de Courtille[35].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1789, Basville fait partie des possessions de la famille du marquis Léonard d'Ussel[36], baron de Châteauvert et de Crocq.

Sous la Révolution, Basville prend le nom de Liberté-sur-Cher, à la suite du décret de la Convention nationale du 25 vendémiaire an II ()[37],[38] « relatif aux changements de noms de différentes communes »[39]. En 1801, elle a retrouvé son nom originel[40].

À la fin du XIXe siècle, la société Chapal crée une usine spécialisée dans le traitement des peaux de lapin au lieu-dit Le Point du jour, dans la commune de Crocq ; les responsables de cette entreprise bâtissent des maisons bourgeoises dans le bourg de Basville, tandis que les ouvriers logent à Crocq[41],[42].

Migrations[modifier | modifier le code]

La commune a participé au phénomène des maçons de la Creuse, comme en témoigne le cas de Pierre Meyrand, « maçon l'été et scieur de bois à l'occasion pendant l'hiver », qui parcourt le Périgord pendant six ans au XVIIIe siècle[43], ou celui de Jean Ramet, « forgeur » en 1836, « maître-maçon » en 1838, « entrepreneur » en 1843, et de Pierre Ramet, « maître-maçon », « entrepreneur de bâtiment » et « entrepreneur de travaux publics » en 1840, à Saint-Bonnet-le-Château[44].

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 1833, la loi Guizot organise l'enseignement primaire. Le , le conseil académique de Limoges décerne à l'instituteur de la commune de Basville, M. Dumazet, une « mention honorable » pour s'être distingué dans l'exercice de ses fonctions[45].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2014 Alain Pigeon[46] DVG[47]  
mars 2014 En cours Daniel Ferrier[48]
Réélu pour le mandat 2020-2026
SE Retraité Fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Basville comptait 39 feux en 1357, 131 en 1750, 140 en 1764[26].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].

En 2021, la commune comptait 168 habitants[Note 3], en augmentation de 3,7 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7837811 0901 1029579651 1801 1961 212
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1441 0621 093744704707682719657
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
601666673566547517490446366
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
323306300274224195184181174
2015 2020 2021 - - - - - -
162167168------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vestiges antiques[modifier | modifier le code]

Carte postale de l'église vers 1920.
  • Le dolmen d'Urbe, dans le bois d'Urbe, à mi-chemin entre le village de Laval (commune de Crocq), et le hameau de Dimpoux, dans la commune de Basville. Bien que la commune de Crocq le considère quelquefois comme faisant partie de son patrimoine, il est en fait situé dans la commune de Basville, et plus particulièrement sur le territoire de l'ancienne commune de Saint-Alvard. Ce dolmen était communément désigné dans le pays sous le nom de « la Pierre levée ». Le premier à l'avoir décrit, Jean-François Barailon l'a présenté dans ses Recherches sur plusieurs monuments celtiques et romains (1806, p. 46) comme le tombeau d'un général gaulois. De forme ovalaire, il est formé d'une table en granulite de forme hexagonale de 3 mètres de long sur 2,40 mètres de large et repose sur 7 supports plus ou moins déplacés de 1,15 à 1,25 mètre de hauteur sur 0,5 à 1 mètre de largeur, la chambre, plus basse que le sol environnant, étant de 1,25 mètre de hauteur[53],[54]. Les jeunes filles qui voulaient se marier dans l'année se jetaient du haut dolmen pour être sûres d'en trouver un[55].
  • Un four de potier gallo-romain à La Vilatte[56].
  • Pierre gravée des Quatre Evangélistes
    Pierre gravée des Quatre Evangélistes
    Une pierre en granit sculpté dite Tétramorphe est située au croisement de deux chemins à la sortie du bourg. D'une hauteur d'environ 70 cm, elle figure une croix autour de laquelle sont représentés sous leur forme allégorique les quatre évangélistes, dans un style du haut Moyen-âge.
  • Pierre gravée Basville
    Pierre gravée Basville
    Une autre pierre gravée en granit, d'une hauteur d'environ 80 cm est située au bord d'un chemin forestier. Cette pierre représente une croix sur toute sa hauteur ainsi que deux formes taillées en creux: un carré situé au-dessus de la croix, dont les deux côtés verticaux sont marqués d'un trait double et une forme de goutte surmontée elle-même d'une petite croix, à gauche de la croix principale. De facture moins détaillée que la précédente, cette pierre pourrait être aussi ancienne. Une légende raconte qu'un homme s'était arrêté pour boire de l'eau. L'eau, trop froide, l'aurait tuée. C'est en souvenir que la pierre aurait été installée à cet emplacement. Lors de travaux de consolidation, le poids de cette pierre a été estimé à plus d'une tonne.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

L'église Sainte-Anne.
  • Église romane de Saint-Alvard, donnée en 1249 au chapitre d'Herment, qui en a nommé le curé jusqu'en 1789. La paroisse de Saint-Alvard a été réunie à celle de Basville le .
  • Église Saint-Allyre-Sainte-Anne de Basville, datant du XIIe siècle et remaniée au XVe siècle, dans le bourg. On connaît plusieurs de ses curés : Pierre du Chier en 1625, Jacques Labas en 1641, Gorsse en 1687, Chinchaux en 1710. En 1641, il y avait une communauté de cinq prêtres. Deux tabernacles ont fait l'objet de descriptions[57]. La Façade et clocher ont été inscrits aux monuments historiques par arrêté du [58] . Cette église a la particularité d'avoir son chœur orné d'une mosaïque de Nevers réalisée en 1918, don de Henri et Daisy Chapal. Elle abrite également un baptistère monolithe. De fouilles archéologiques entreprises au début des années 2000 ont révélé, de chaque côté de l'église, des tombes constituées de sarcophages mérovingiens (actuellement enfouis).

Édifices et monuments civils[modifier | modifier le code]

  • Jean-François Barailon signale une pyramide de quatre mètres de haut « parfaitement taillée » au-dessus de la source de la Tardes, au hameau de Lavaudemergue[59].
  • Le château de Basville[60], ancienne construction largement remaniée au XIXe siécle par les propriétaires de la société Chapal.
  • Le château du Layrit[61].
  • Plusieurs moulins à eau.
  • Un souterrain-refuge est signalé au hameau de Lavaudemergue[62].
  • Le monument aux morts, comprenant 22 noms de soldats tués durant la Première Guerre mondiale[63].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Basville et Néoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Neoux » (commune de Néoux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Neoux » (commune de Néoux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Basville », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Basville », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  19. Ernest Nègre, Toponymie Generale de la France, Librairie Droz, 1990, p. 1432 (ISBN 2600028846).
  20. Marcel Villoutreix, Noms de lieux du Limousin, Christine Bonneton, 1995, 231 pages, p. 64-65 (ISBN 2862531650).
  21. Christian Poitou, Jean-Pierre Bardet, Claude Motte, Creuse, vol. 23 de Paroisses et communes de France: dictionnaire d'histoire administrative et démographique, CNRS Éditions, 2000, 865 pages, p. 249 (ISBN 2271057612).
  22. Christophe Jamain, Le Département de la Creuse: ses origines et sa pérennité, Presses universitaires de Limoges, 2000, 254 pages, p. 188 (ISBN 284287160X).
  23. Bulletin des lois de l'Empire français, vol. 29, Imprimerie nationale, (lire en ligne), « Décret impérial n°15 019 du  », p. 407.
  24. P.-M. Barbichon, Dictionnaire complet de tous les lieux de la France et de ses colonies : Ouvrage entièrement neuf, vol. 2, Paris, Tétot frères, (lire en ligne), p. 1048.
  25. Christian Poitou, Jean-Pierre Bardet (dir.) et Claude Motte (dir.), Paroisses et communes de France, vol. Creuse, CNRS Éditions, , 865 p..
  26. a et b Jean-Joseph Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, vol. 2, Desaint et Saillant, (lire en ligne), p. 398.
  27. Ambroise Tardieu, Histoire de la ville du pays et de la baronnie d'Herment, en Auvergne, Clermont-Ferrand, Charles Estienne, (lire en ligne), p. 90.
  28. Pierre Charbonnier, « L'impasse fiscale à la fin du Moyen Âge. Quelques exemples », Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, vol. 28,‎ , p. 185 (l'article va de la p. 173 à la p. 186) (lire en ligne).
  29. Pierre Charbonnier, Michel Aubrun Aubrun (dir.), Gabriel Audisio Audisio (dir.), Bernard Dompnier (dir.) et André Gueslin (dir.), Entre idéal et réalité : actes du colloque international finances et religion du Moyen Âge à l'époque contemporaine, Université de Clermont-Ferrand II, Presses universitaires Blaise Pascal, , 419 p. (lire en ligne), « Les prélèvements ecclésiastiques à la fin du XVe siècle », p. 126-127.
  30. Pierre Charbonnier, Une autre France : la seigneurie rurale en Basse Auvergne, du XIVe au XVIe siècle, Institut d'études du Massif central, , 1295 p., partie 2, p. 690 et 699.
  31. Ambroise Tardieu, Histoire de la ville du pays et de la baronnie d'Herment, en Auvergne, Clermont-Ferrand, Estienne, (lire en ligne), p. 63.
  32. Pierre Charbonnier, Une autre France : la seigneurie rurale en Basse Auvergne, du XIVe au XVIe siècle, Institut d'études du Massif central, , 1295 p., partie 2, p. 1230.
  33. Jean-Baptiste Bouillet, Nobiliaire d'Auvergne, vol. 3, Clermont-Ferrand, Imprimerie de Perol, (lire en ligne), p. 400-402.
  34. Pierre-Louis-Joseph Bétencourt, Noms féodaux ou noms de ceux qui ont tenu fiefs en France dans les provinces d'Anjou, Aunis, Auvergne, Beaujolois, Berry, Bourbonnois, Forez, Lyonnois, Maine, Saintonge, Marche, Nivernois, Touraine, Partie de l'Angoumois et du Poitou, depuis le XIIe siècle jusque vers le milieu du XVIIIe, extraits des archives du royaume, vol. 3 : « Jab-Quo », Paris, Librairie de Schlesinger frères, (lire en ligne), p. 38.
  35. Michel Peynot, Marcillat et ses environs, Honoré Champion, , 587 p., p. 499.
  36. Abbé Sorbier, « Les fiefs d'Auvergne et du Velay », Revue historique nobiliaire et biographique, Paris et Angers, J. B. Dumoulin,‎ , p. 346 (lire en ligne).
  37. Christian Poitou, Jean-Pierre Bardet (dir.) et Claude Motte (dir.), Paroisses et communes de France, vol. Creuse, CNRS Éditions, , 865 p., p. 143.
  38. « Les communes qui ont changé de nom à la Révolution ».
  39. Collection complète des lois, décrets d'intérêe général, traités internationaux, arrêtés, circulaires, instructions, etc., vol. 6, A. Guyot et Scribe, libraires-éditeurs, (lire en ligne), p. 233.
  40. « Relevés imprimables : état civil, actes notariés, dénombrements de Basville, sur gendep23 ».
  41. « Hervé Moisan, « Cause communes : Basville l'Auvergnate ne se remet pas de la fermeture des usines de peaux », dans lamontagne.fr, 5 octobre 2010 ».
  42. « Fernoël et la pelleterie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), tiré de Charles Rouchon, « L'Émigration, étude », Revue d'Auvergne, vol. 63, nos 5-6,‎ .
  43. Annie Moulin, Les Maçons de la Creuse : les origines du mouvement, Presses universitaires Blaise Pascal, , 564 p. (lire en ligne), p. 37.
  44. Gérard Berger et Philippe Castagnetti (dir.), Images et pratiques de la ville (vers 1500-vers 1840), Publications de l'université de Saint-Étienne, , 217 p. (lire en ligne), « Petite ville et croissance urbaine: l'immigration à Saint-Bonnet-le-Château (Loire) d'après les registres paroissiaux et d'état civil (fin du XVIIIe siècle - début du XIXe) », p. 119.
  45. Bulletin universitaire contenant les décrets, règlements et arrêtes relatifs a l'instruction publique, vol. 11, Paris, Imprimerie administrative de Paul Dupont et Cie, (lire en ligne), p. 36.
  46. Préfecture de la Creuse
  47. Annuaire des Mairies de Creuse (23), EIP/Les Éditions Céline, 2006, p. 21 (ISBN 2352581230).
  48. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  53. Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, Imprimerie Le Cante, 1930, volume 24, p. 706.
  54. De Cessac, « Liste des monuments mégalithiques de la Creuse » (p. 41-55), Revue archéologique, Société française d'archéologie classique, 1881, nouvelle série, A22, volume 42, p. 45-46.
  55. Salomon Reinach, « Les monuments de pierre brute dans le langage et les croyances populaires (suite et fin) » (p. 329-367), Revue archéologique, 1893, série 3, tome 21, p. 337.
  56. « Fichier céramique (1966 et 1967 fin) », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 7, nos 7-47,‎ , p. 366 (l'article va de la p. 363 à la p. 367) (lire en ligne).
  57. S. de Montessus de Ballore Lecointre, Retables et tabernacles des XVIIe et XVIIIe siècles dans les églises de la Creuse, Nouvelles Éditions Latines, , 213 p. (lire en ligne), p. 32-33.
  58. « Fiche de l'église paroissiale Saint-Allyre Sainte-Anne de Basville, sur culture.gouv.fr ».
  59. Mythologie française : bulletin de la Société de mythologie française, Société de mythologie française, , « 226 à 229 », p. 73.
  60. « Carte postale du château de Basville (1908) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  61. « Carte postale du château du Layrit (1919) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  62. Bulletin de la Societe d'etudes scientifiques du Limousin et de sa Section de radiesthésie, Limoges, Société d'études scientifiques du Limousin, , « 145 à 192 », p. 328.
  63. « Monument aux morts de Basville », sur MemorialGenWeb.org.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :