Sornac

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Sornac
Sornac
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Blason de Sornac
Blason
Sornac
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Ussel
Intercommunalité Communauté de communes Haute-Corrèze Communauté
Maire
Mandat
Jean-François Loge
2020-2026
Code postal 19290
Code commune 19261
Démographie
Gentilé Sornacois, Sornacoises
Population
municipale
764 hab. (2021 en diminution de 3,78 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 05″ nord, 2° 11′ 39″ est
Altitude Min. 660 m
Max. 958 m
Superficie 59,48 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Plateau de Millevaches
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sornac
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Sornac

Sornac (Saurnac en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située dans le nord du département de la Corrèze, la commune est limitrophe de la Creuse.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Sornac est une commune du Massif central située sur le plateau de Millevaches.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par la Diège.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 238 mm, avec 13,9 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Peyrelevade à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 9,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 338,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sornac est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,8 %), prairies (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,6 %), zones urbanisées (1,4 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Sornac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sornac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 30,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 424 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 117 sont en aléa moyen ou fort, soit 28 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[18].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1999, 2007 et 2021. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, d'Enchanet et de Hautefage, des ouvrages de classe A[Note 2] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[21].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Sornac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Saornacum (Xe siècle)[23]. Issu du nom propre Saturninus, propriétaire gallo-romain. D'autres formes existent en France comme Sadornac, Sadarnac, Sournac, Sornay ayant la même origine.

Histoire[modifier | modifier le code]

Époque médiévale[modifier | modifier le code]

Au XIVe siècle, durant la guerre de Cent Ans, le château de Rochefort et la petite châtellenie dont il est le chef-lieu dans la paroisse de Sornac, appartiennent à un dénommé Archambaud de Comborn, membre de l'une des plus anciennes familles de la noblesse limousine (la lignée des vicomtes de Comborn remonte au milieu du Xe siècle et donnera naissance aux nouveaux lignages corréziens des vicomtes de Ventadour à la fin du XIe siècle et des seigneurs de Treignac au XIIIe siècle).

En 1368, après la rupture du traité de Brétigny (1360) qui a cédé notamment l'Aquitaine, le Périgord et le Limousin à l'Angleterre, Archambaud reste fidèle au Prince noir d'Aquitaine (Edward de Woodstock, fils aîné du roi d'Angleterre Edward III) et confie la garde du château à un célèbre capitaine de « routiers » (mercenaires), Chopin de Badefol, suppléé plus tard par un certain Héliot.

Ce Héliot fut par la suite contraint par la force de remettre Rochefort aux mains de Jehan de Bourbon, Comte de la Marche, lequel se présente au nom et comme lieutenant du Roi de France. Le château passe ensuite entre plusieurs mains : Jehan de Châteaumorand, Tiercelet d'Eschelles, puis Jehan Brachet, seigneur de Péruce (ou Peyrusse), Giraud de Goulard et Bernard VIII d'Armagnac, comte de la Marche (par mariage avec Eléonore de Bourbon) et gouverneur du Limousin.

Finalement,ce dernier transige avec la maison de Comborn et lui cède tous ses droits, moyennant 2 000 royaux d'or. C'est ainsi que le château redevient, au XVe siècle, un bien de la lignée de ses propriétaires initiaux[24]. Le dernier du lignage à posséder Rochefort est Amanieu de Comborn, jusqu'à ce qu'Antoine de Pompadour en fasse l'acquisition en 1508. À cette date, il cède à son tour le château à Jean Chauveau (1480?-1546), bourgeois de Felletin qui le fait restaurer.

Le titre de seigneur de Rochefort se transmettra ensuite héréditairement sans interruption aux descendants mâles des Chauveau, et ce jusqu'en 1767.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1796 Antoine Xavier Desortiaux    
1796 1800 Claude Farges    
1800 1800 Léger Chamaron    
1800 1806 Jean-baptiste Mouloy    
1806 1809 Claude Farges De Rochefort    
1809 1828 Léonard Desortiaux    
1828 1832 François Dupeyrix    
1832 1835 Antoine Cliviere    
1835 1840 Jean Jacques Desortiaux    
1840 1849 Jean Auguste Dupeyrix    
1849 1851 Jacques Coudert    
1851 1856 Jean Baptiste Laliron    
1856 1860 Pierre Marcellin Moeuf    
1860 1870 Emile Rochefort (de)    
1870 1871 Jean Baptiste Forêt    
1871 1877 Jean Marius Aimé Penaud    
1877 1878 Jean Baptiste Murat    
1878 1882 Léonard Treuil    
1882 1884 Jean Baptiste Victorin Dupeyrix    
1884 1889 Jean Laboucheix    
1889 1900 Henri Monglond    
1900 1901 Louis Longevialle    
1901 1906 Léger Barthélémy Salagnac    
1906 1913 Charles Maugein    
1913 1918 Joseph Murat    
1918 1919 Léonard Rouchon    
1919 1920 Charles Maugein    
1920 1921 Jean Baptiste Murat    
1921 1923 Charles Maugein    
1923 1935 Jean Baptiste Murat    
1935 1939 Félix Péneloux    
1939 1945 Octave Coignoux    
1945 1945 Félix Péneloux    
1945 1945 Octave Coignoux    
1945 1947 Jean Louis Mempontel    
1947 1968 Louis Dezaly    
1968 1983 Marcel Guillaumot    
1983 1989 Edmond Thibaudeau    
1989 1995 Gaston Gioux    
1995 2008 Luce Mallepeyre DVD  
mars 2008 En cours Jean-François Loge[26] DVD Agriculteur

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28]. En 2021, la commune comptait 764 habitants[Note 3], en diminution de 3,78 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4001 4531 3291 5781 4081 5631 7161 7001 800
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8271 6521 6782 0381 9531 8601 8991 8402 013
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7621 8151 8121 5661 3211 5181 5101 3181 090
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 0521 0171 1021 125972851815840767
2021 - - - - - - - -
764--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Sornac Blason
D'argent au lion de gueules.
Détails
Ce blason reprend celui de la famille Farges de Rochefort-Sirieyx, propriétaire à Sornac du château de Rochefort au XVIIIe siècle, à la suite du mariage en secondes noces en l'église de Sornac le 13 octobre 1767 du sieur Jean-Baptiste Léonard Joseph Farges de Sirieyx (troisième conseiller de Treignac en 1769) avec Anne-Marie Chauveau de Balesme de Rochefort, fille de François Chauveau, seigneur de Balesme et baron de Rochefort à Sornac.
Au Moyen Âge, ce blason est déjà connu comme celui des Armagnac, lignée à laquelle appartient Bernard VIII, comte de Pardiac et de la Marche, dit Bernard d'Armagnac (1400-1462), qui est l'un des propriétaires du château de Rochefort à Sornac. Il s'efforce notamment d'incorporer politiquement et financièrement ce fief au comté de la Marche, le démembrant ainsi temporairement du Limousin[34].
Adopté le 29 novembre 1985.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[20].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Notes de type "Carte"
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Cartes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Sornac et Peyrelevade », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Peyrelevade » (commune de Peyrelevade) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Peyrelevade » (commune de Peyrelevade) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Sornac », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sornac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Article R214-112 du code de l’environnement
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  22. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  23. Maximin Deloche, « Pagi et vicairies du Limousin aux IXe, Xe et XIe siècles », Mémoires de l'Institut de France,‎ , p.51 (lire en ligne)
  24. Antoine Thomas, Le Comté de la Marche et le Parlement de Poitiers (1418-1436) - Recueil de documents inédits tirés des archives nationales, Paris, Bibliothèque nationale de France, , pages XX et XXI ; pages 64 et 65.
  25. « Les maires de Sornac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  26. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Voir sur tourisme-hautecorreze.fr..
  32. « Eglise Saint-Martin », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Le château de Rochefort » sur diesbach.com.
  34. « Voir « Héraldique » », sur diesbach.com (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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