Peyrat-le-Château

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Peyrat-le-Château
Peyrat-le-Château
Le château.
Blason de Peyrat-le-Château
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes des Portes de Vassivière
Maire
Mandat
Dominique Baudemont
2020-2026
Code postal 87470
Code commune 87117
Démographie
Gentilé Peyratois
Population
municipale
1 030 hab. (2021 en augmentation de 8,19 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 49″ nord, 1° 46′ 25″ est
Altitude Min. 390 m
Max. 776 m
Superficie 52,96 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Eymoutiers
Législatives Première circonscription
Localisation
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Peyrat-le-Château
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Peyrat-le-Château

Peyrat-le-Château (Pairac lo Chasteu en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Castel Peyratois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Peyrat-le-Château dans le département de la Haute-Vienne.

La commune est limitrophe du département de la Creuse.

Situé à 55 kilomètres au sud-est de Limoges, le chef-lieu de la commune est distant de 7 km du lac de Vassivière.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Relief et hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire abrite notamment un des plus hauts sommets de la Haute-Vienne, le puy de Crozat, atteignant 777 m. La commune de Peyrat-le-Château a une superficie de 53 km2. Le territoire communal est traversé par la rivière la Maulde.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 203 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Eymoutiers à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 170,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Peyrat-le-Château est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Vassivière, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53 %), prairies (21,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,5 %), eaux continentales[Note 2] (2,2 %), zones urbanisées (2,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Peyrat-le-Château est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Peyrat-le-Château.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[21]. 9,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Vassivière, un ouvrage de classe A[Note 4] situé dans le département de la Creuse, sur la Maulde. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[24].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Peyrat-le-Château est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

L’histoire de Peyrat-le-Château a sans doute débuté à l’époque gallo-romaine, comme en témoignent encore certaines voies d’accès.

Au Moyen Âge, Peyrat-le-Fort, dominé par la baronnie poitevine des Lusignan, connaît une période d’instabilité (11501450). Richard Cœur-de-Lion, Jean sans Terre, la guerre de Cent Ans… ont détruit une grande partie du patrimoine local.

Des édifices seront reconstruits : la tour Carrée (XVe siècle) et l’église dédiée à saint Martin (XIVe siècle).

Sous la Révolution, Peyrat-le-Fort devient Peyrat-la-Montagne, et est alors chef-lieu de canton. La commune absorbe celle de Beaulieu (entre 1790 et 1794). En 1801, la commune devient simple commune du nouveau canton d'Eymoutiers[26]. La commune de Saint-Amand-le-Petit est rattachée à Peyrat-le-Château par l'ordonnance du . Elle est rétablie par le décret du . Entretemps elle a perdu deux portions de son territoire ancien. D'abord la section de Neuvialle, la partie la plus à l'est de la commune, rattachée à Nedde par l'ordonnance du et la section de Serre, la partie la plus à l'ouest, qui elle est rattachée à Augne par la loi du [27].

Plus récemment, soulignons l’importance du tramway dans le développement local. La ville de Peyrat-le-Chateau accueille, de 1913 à 1949, la gare terminal d'une des lignes de tramway des Chemins de fer départementaux de la Haute-Vienne (CDHV). La région a également été propice au combat des maquisards pendant la Seconde Guerre mondiale La commune accueille d'ailleurs un musée de la Résistance[28] qui retrace l’histoire de la première brigade de Marche limousine des francs tireurs partisans du colonel Georges Guingouin.

Après guerre, le projet d’aménagement hydroélectrique de la Maulde, des années 1940 et 1950, et au premier chef du lac de Vassivière, dont la commune est riveraine, a relancé l’économie locale (commerces, artisanat, tourisme…).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1971 1979 Roger Lévêque   ingénieur EDF
1965 1971 Francis Guibert   Médecin
1979 2001 Denis-Jean Vialatou    
mars 2001 2008 Jacques Szamveber    
mars 2008 2014 Michel Ballot[30]    
mars 2014 mai 2020 Stéphane Cambou PS  
mai 2020 En cours Dominique Baudemont    

[27]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 1 030 habitants[Note 5], en augmentation de 8,19 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5551 6672 2811 7162 5722 6382 6592 8602 755
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 8502 8132 7132 8022 4572 5472 6222 5192 508
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5342 5422 5442 5232 5332 0431 9351 6831 686
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 5511 5941 5181 2941 1941 0811 0191 009928
2017 2021 - - - - - - -
1 0131 030-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Château de Peyrat-le-Château qui abrite le musée de la résistance.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jules Fraisseix, né le à Peyrat-le-Château et mort le à Eymoutiers, médecin, député puis sénateur de la Haute-Vienne.
  • Gilles Lalay, né le à Peyrat, pilote moto, vainqueur du Rallye Dakar 1989, décédé sur le rallye Paris-Le Cap le [36].
  • Raoul Hausmann (1886-1971)[37], artiste peintre et photographe autrichien, membre du mouvement Dada, fuyant le nazisme, était réfugié à Peyrat pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • Raymond Poulidor dit « Poupou », né le / , coureur cycliste français. Il s'est fait connaitre dans les années 1950 au Grand prix cycliste de Peyrat.

Peyrat-le-Château et le cinéma[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Peyrat-le-Château Blason
D'azur à deux chevrons ondés d'or, enté ondé en pointe du même chargé d'une tour d'azur ouverte et ajourée de trois pièces rangées en barre à dextre d'or; à la filière d'or[38].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre Cousseyroux, Histoire de la ville et de la baronnie de Peyrat-le-Château, Éditions Le livre d'histoire, 2004

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[23].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Peyrat-le-Château et Eymoutiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Eymoutiers » (commune d'Eymoutiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Eymoutiers » (commune d'Eymoutiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Peyrat-le-Château », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  23. Article R214-112 du code de l’environnement
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. a et b « Version cache du ficher DOC : Répertoire numérique de série O (Administration communales Haute-Vienne de 1800 à 1940) », sur Archives Départementales de la Haute-Vienne, Conseil général de la Haute-Vienne.
  28. « Musée de la Résistance à Peyrat-le-Château », sur tourisme-hautevienne.com (consulté le ).
  29. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  30. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Eglise paroissiale Sainte-Madeleine », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Eglise Saint-Martin et Saint-Martial », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  36. L'humanité, 08/01/1992, consulté le 30 avril 2008
  37. Katalog der Deutschen Nationalbibliothek consulté le 30 avril 2008
  38. « Peyrat-le-Château sur armorialdefrance.fr », sur armorialdefrance.fr.