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Savines-le-Lac

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Savines-le-Lac
Savines-le-Lac
Savines et le lac de Serre-Ponçon vus depuis le pic de Morgon.
Blason de Savines-le-Lac
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Gap
Intercommunalité Communauté de communes Serre-Ponçon
Maire
Mandat
Victor Berenguel
2020-2026
Code postal 05160
Code commune 05164
Démographie
Gentilé Savinois
Population
municipale
1 095 hab. (2021 en évolution de +3,01 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 31′ 37″ nord, 6° 24′ 20″ est
Altitude Min. 775 m
Max. 2 260 m
Superficie 25,13 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Embrun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chorges
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Savines-le-Lac
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Savines-le-Lac
Liens
Site web savines-le-lac.fr

Savines-le-Lac est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, sur les rives du lac de Serre-Ponçon, au pied du massif du Grand Morgon.

Ses habitants sont appelés les Savinois.

Géographie

Localisation

Savines-le-Lac est située à une trentaine de kilomètres de Gap (26,3 km à l'est à vol d'oiseau[1]), chef-lieu du département des Hautes-Alpes, au cœur des Hautes-Alpes, en zone périphérique du parc national des Écrins.

L'altitude de la commune est comprise entre 718 m (point immergé sous les eaux du lac de Serre-Ponçon) et 2 270 m (près du pic de Morgon). Le bourg lui-même est situé entre 782 et 840 m d'altitude. L'IGN fixe les limites altitudinales de la commune à 775 et 2 260 m[2].

Sept communes sont limitrophes[3] de Savines-le-Lac : Crots, Prunières, Puy-Saint-Eusèbe, Puy-Sanières, Réallon, Saint-Apollinaire dans le département des Hautes-Alpes ainsi que Pontis dans le département voisin des Alpes-de-Haute-Provence[4].

Communes limitrophes de Savines-le-Lac
Saint-Apollinaire,
Réallon
Puy-Saint-Eusèbe Puy-Sanières
Prunières Savines-le-Lac Crots
Pontis
(Alpes-de-Haute-Provence)

Climat

Climat de la région d'Embrun 1961-1990
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −3,2 −2,1 0,1 3,1 6,7 9,9 12,4 12,1 9,7 5,8 0,9 −1,9 4,4
Température moyenne (°C) 1,2 2,7 5,5 8,7 12,7 16,2 19,3 18,8 15,9 11,4 5,6 2,4 10
Température maximale moyenne (°C) 5,7 7,6 10,9 14,4 18,6 22,4 26,2 25,5 22,1 16,9 10,4 6,7 15,6
Humidité relative (%) 66 64 61 61 64 65 59 62 66 68 68 66 64
Source : Infoclimat[5]


Transports

La commune est traversée par la route nationale 94 reliant Gap à Embrun, à Briançon et à l'Italie par le col de Montgenèvre.

Plusieurs autres routes départementales traversent la commune, desservant un quartier[3].

En rive gauche de la Durance, la route départementale 954 relie la route nationale 94 au Sauze-du-Lac et à la vallée de l'Ubaye (Le Lauzet-Ubaye, Barcelonnette). Depuis cette route, une départementale 208T dessert le Pré d'Émeraude et un camping ; une RD 468T remonte un torrent au sud du chef-lieu de la commune.

En rive droite, la RD 41 continue vers Réallon, la RD 541 vers Saint-Apollinaire, et la RD 641 vers Puy-Saint-Eusèbe et Puy-Sanières. Une partie de la RD 9 (liaison de Chorges à Embrun par Réallon) passe au nord de la commune.

Urbanisme

Typologie

Savines-le-Lac est une commune rurale[Note 1],[6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Embrun, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Serre-Ponçon, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[12],[13].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,5 %), eaux continentales[Note 3] (17,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,8 %), zones urbanisées (4,5 %), terres arables (2,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Giraudus de Savina en 1173 dans le Cartulaire d'Oulx, Mandamentum Sabine en 1316, Cappellanus de Sabina en 1361[16], Locus de Lojis juxta Barnafred et Cugnum en 1428, Cognet de Savina en 1728 dans les archives du château Picomtal, La Charrièra en 1783.

C'est un toponyme récent lié à l'auberge qui marquait ce lieu et qui vit se développer un hameau dénommé le Cognet ; le Cognet devint la Charriéra (« la route »), pour se voir ultérieurement nommé Savina - Savines.

Ce nom peut venir de l'occitan sabina qui désigne une sorte de genévrier, ou du nom de la tribu gauloise des Savincatii qui habitèrent le lieu[17] ou une variante de sapine, « lieu planté de sapin »[16].

Savina dau Lau en occitan haut-alpin.

Le-Lac est un ajout récent lié à la création du lac de Serre-Ponçon.

Histoire

En sept siècles d'existence, Savines a changé deux fois d'emplacement.

En 1282, Rodolphe de La Font de Savines prêta hommage au Dauphin des terres du Mandement de Savines. À cette époque, le premier village était situé en rive droite de la Durance, au fond du torrent de Réallon, à l'actuel lieu-dit la Paroisse, où se trouvent encore les ruines de l'ancien château des comtes de La Font de Savines, et celles de la première église paroissiale. Ce premier village fut abandonné sous la Révolution à cause des ravages du torrent de Réallon.

Un bac permettant de traverser la Durance est attesté au XVe siècle[18].

Établi sur la rive gauche de la Durance, le second Savines fut détruit le pour les besoins de la construction de la retenue de Serre-Ponçon. Il était situé sur la rive gauche de la Durance au lieu-dit la Charrière. Il datait des années 1825.

Le nouveau village est ainsi renommé Savines-le-Lac.

La mise en eau de la retenue et l'évacuation des habitants de l'ancien village de Savines inspirèrent en 1958 le film L'Eau vive de François Villiers, d'après un scénario de Jean Giono. La chanson homonyme L'Eau vive, chantée par Guy Béart est devenue un classique de la chanson française.

Le mandement de Savines-le-Lac

Historique

Dans cet espace géographique, les co-seigneurs de Savines (puis le seigneur unique) exerçaient leurs pouvoirs. Les limites ne coïncident pas avec celles du canton actuel. Dans ce terroir, plusieurs communautés d’habitants sont, peu à peu, devenues indépendantes, gardant de la dépendance initiale une certaine utilisation comme des pâturages et des bois. De ce fait, les règles et usages communautaires résultent davantage des contraintes montagnardes et de la pesanteur historique que d’une volonté délibérée.

Savines au XIXe siècle illustrée par Alexandre Debelle (1805–1897).

Le « mandement de Savines », qui couvrait la totalité de la Seigneurie du même nom, érigée en Marquisat par Louis XIV en janvier 1715, comprenait les communes de Savines, Réallon, Prunières, Puy-Saint-Eusèbe et Saint-Apollinaire. Ces communes possédaient en indivis les montagnes pastorales et les forêts situées sur leur territoire. L’ancienneté du mandement est attestée par un acte du mois de mai 1235 par lequel il s’allie, vu l’insécurité des temps, aux habitants d’Embrun. Nous connaissons la vie de cette association de communes surtout par les luttes et les procès qu’il a mené pour conserver son originalité et ses propriétés contre ses voisins : Embrun en 1297, Les Crottes pour la forêt de la Magnane, le domaine royal en 1699, 1733, etc.

Cependant de nombreuses difficultés ayant surgi entre les communes associées pour la jouissance des pâturages, dès 1885 plusieurs projets de partages furent élaborés. Celui de 1884 n’ayant pas été accepté par toutes les communes, l’affaire fut portée devant le Conseil de préfecture puis devant le Conseil d’État, qui rendit son arrêté le . Un accord définitif intervint le qui règle le litige et fixe les « statuts mandementaux », les forêts restent en indivis au sein du mandement, mais les montagnes pastorales sont attribuées aux communes par tirage au sort.

La commune de Réallon reçoit les montagnes de Charges et de la Baume, les communes de Prunières, Puy-Saint-Eusèbe et Saint-Apollinaire les montagnes de la Gardette et Savines les montagnes de Vieille Selle et Reyssas. Ainsi s’explique le fait que Savines-le-Lac possède des pâturages sur le territoire de la commune de Réallon[19].

Aujourd’hui

Aujourd’hui, le Syndicat des communes du Mandement de Savines-Le-Lac possède environ 965 ha dans les forêts de Morgon, Sellette et Pré Martin, et la moitié de la forêt de la Magnane d’une superficie d’environ 432 ha, indivise avec la commune de Crots. Ces forêts exploitées et soumises au régime forestier sont gérées avec le concours de l’ONF. La répartition entre les communes des ventes de bois pour ces forêts se fait chaque année, selon la trésorerie disponible de la manière suivante qui n’a pas changée depuis les origines. Savines-le-Lac 4/12, Réallon 4/12, Prunières 2/12, Puy-Saint-Eusèbe 1/12 et Saint-Apollinaire 1/12. Pour la forêt de La Magnane la répartition se décompose ainsi: Crots 12/24, Savines-le-Lac 4/24, Réallon 4/24, Prunières 2/24, Saint-Apollinaire 1/24 et Puy-Saint-Eusèbe 1/24[20].

Héraldique

Blasonnement des armes de Savines-le-Lac : « De sinople, au cor d'or, lié, virolé et enguiché de gueules »

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Administration municipale

Le conseil municipal a désigné quatre adjoints et dix conseillers municipaux[21].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1965 mars 1971 Louis Imbert DVG-PCF  
mars 1971 mars 1983 André Soubsol DVG-PCF  
mars 1983 juin 1995 Léon Silve DVG Maire honoraire
juin 1995 mars 2008 Pierre Teissier DVG Maire honoraire
mars 2008 En cours Victor Berenguel[22],[23] DVD Ancien cadre

Intercommunalité

Savines-le-Lac a été le siège, jusqu'en 2016, de la communauté de communes du Savinois-Serre-Ponçon.

Depuis le , elle fait partie de la communauté de communes de Serre-Ponçon[24].

Politique environnementale

La commune possède une déchèterie.

La politique de fleurissement a permis à la commune d'obtenir deux fleurs au concours des villes et villages fleuris[25].

Jumelages

Savines-le-Lac est jumelée avec :

Population et société

Démographie

Les habitants de la commune s'appellent des Savinois ou des Savinoises[26].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 1 095 habitants[Note 4], en évolution de +3,01 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8859349481 0891 0521 1131 1551 1201 131
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1051 1281 0961 1071 1231 3081 0861 078994
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9329489449909201 0091 014818976
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
4085896637907598151 0611 0651 057
2021 - - - - - - - -
1 095--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Savines-le-Lac dépend de l'académie d'Aix-Marseille. Elle gère une école primaire publique, où 113 élèves sont scolarisés[31].

Sports

Le village se consacre aux sports nautiques.

Dans le Centre de Loisirs :

  • Terrain de football ;
  • Terrain de basket ;
  • Plateau d'éducation physique ;
  • Boulodrome ;
  • Skate park ;
  • Plage aménagée et surveillée du 1er juillet au 31 août ;
  • Trois pontons d'amarrage de bateaux ;
  • Un site d'escalade exceptionnel, exposé plein sud, accessible en 5 minutes, avec 31 voies équipées (du 4 au 7b) ;
  • Parcours de santé ;
  • Plusieurs kilomètres de circuits VTT balisés ;
  • Sentiers pédagogiques (botanique, exploitation de la forêt).

Économie

Équipements

  • Tous commerces
  • Zone artisanale
  • Bibliothèque-médiathèque municipale
  • Crèche halte-garderie intercommunale

Tourisme

Savines-le-Lac est le siège d'un office de tourisme intercommunal : « Entre Écrins et Serre-Ponçon ».

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église

L'église de Savines, vue extérieure.

Consacrée le 15 juillet 1962, l'église paroissiale de Savines-le-Lac a pour titulaire saint Florent, évêque d'Orange au VIe siècle, tout comme l'église médiévale (XIe - XIIIe siècles) située au lieu-dit la Chapelle, sur la rive droite de la Durance, et l’église du XIXe siècle, consacrée en 1834, rasée en 1961, rive gauche.

Œuvre de l'architecte Achille de Panaskhet, l'édifice de pierre, de béton et de dalles de verre, s'inscrit dans l'espace, au sommet de l'agglomération. Image d'un navire, croix à la proue, avec sa charge de symboles et de sens. De l'ensemble, marqué par l'évolution d'un art sacré, sans rupture totale avec le passé, certaines lignes de l'édifice héritées du passé, mais surtout l'utilisation discrète de la symbolique du triangle parfait pour la toiture et le plafond de la nef renvoie à la Sainte Trinité.

Vitraux de la Passion, vue partielle.

À l'intérieur, les vitraux sont la caractéristique essentielle de l'église savinoise : l'architecte en a fait les plans, les dessins et les gouaches. Sur l'une des parois de la chapelle d'hiver, les vitraux non figuratifs se réfèrent à la Genèse : du chaos primitif à la création de l'Homme. Sur l'autre paroi, qui jouxte la nef de l'église, les niches des Apôtres, hiératiques, face à l'autel, et c'est vers lui que convergent les épisodes figuratifs de la Passion du Christ, qui s'achève par la lumière de la Résurrection.

Le baptistère est un rappel de l'Antiquité tardive. C'est une construction ronde jouxtant l’église, avec laquelle il communique près de l'autel de la Vierge. L'extérieur est en pierres du Queyras, l'intérieur en pâte de verre bleue. Au clocher, on trouve d'anciennes cloches, dont celle de l'église du quartier et hameau de la Chapelle, connus dès le XIIIe siècle.

Témoin d'art et d'histoire, l'église de Savines-le-Lac, christo-centrique, s'inscrit dans un mouvement religieux et artistique dont on a d'autres exemples. Elle est le monument le plus visité de la commune.

Une salle du trésor a été aménagée, sous la conduite du maire Pierre Teissier avec le père Claude Armand, dans laquelle on peut admirer plusieurs pièces inscrites à l'inventaire départemental, dont deux tableaux : l'Adoration des bergers et l'Adoration des mages [32].

Barrage et lac de Serre-Ponçon

Vue depuis le pont de Savines.

Pont de Savines

Cet ouvrage d'art, d'une longueur de 924 mètres, relie les deux rives du lac. Il est le passage obligé pour traverser le département des Hautes-Alpes et se rendre en Italie via le col de Montgenèvre.

Personnalités liées à la commune

  • Laetitia Roux est originaire du village et y vit une partie de l'année.

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. « Orthodromie entre Savines-le-Lac et Gap », sur Lion 1906.
  2. « Répertoire géographique des communes », Institut national de l'information géographique et forestière.
  3. a et b Carte de Savines-le-Lac sur Géoportail.
  4. « Savines-le-Lac », sur Lion 1906.
  5. Infoclimat
  6. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « Les communes soumises à la loi littoral », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  12. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Loi relative à l’amenagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  16. a et b Adolphe Gros -Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie - Page 439 - (ISBN 284206268X).
  17. André Faure, Noms de Lieux & Noms de Famille des Hautes-Alpes, Gap, ESPACI OCCITAN, , 412 p. (ISBN 2-9131-3100-X).
  18. Catherine Lonchambon, « D'une rive à l'autre de la Durance : d'étranges bateaux », dans Guy Barruol, Denis Furestier, Catherine Lonchambon, Cécile Miramont, La Durance de long en large : bacs, barques et radeaux dans l’histoire d’une rivière capricieuse, Forcalquier, Les Alpes de lumière no 149, (ISBN 2-906162-71-X), p. 55.
  19. Article rédigé par M. TEISSIER Pierre (maire de Savines-le-Lac de 1995 à 2008)
  20. Article rédigé avec les données de l’ONF et de M. Robert BRES
  21. « Les élus », sur le site de la mairie (consulté le ).
  22. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
  23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  24. Direction des libertés publiques et des collectivités locales, « Création de la communauté de communes de Serre-Ponçon par fusion des communautés de communes de l'Embrunais et du Savinois Serre-Ponçon et extension aux communes de Chorges et Pontis » [PDF], Recueil des actes administratifs no 05-2016-015, Préfecture des Hautes-Alpes, (consulté le ).
  25. Source Villes et Villages Fleuris
  26. « Nom des habitants des communes françaises », sur Habitants.fr (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « École primaire publique », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  32. Article de Robert Bres, Société d'études des Hautes-Alpes[réf. incomplète]