Pernant

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Pernant
Pernant
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Soissons
Intercommunalité Communauté de communes Retz-en-Valois
Maire
Mandat
Christophe Padieu
2020-2026
Code postal 02200
Code commune 02598
Démographie
Gentilé Pernantais(es)
Population
municipale
681 hab. (2021 en augmentation de 2,25 % par rapport à 2015)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 43″ nord, 3° 14′ 13″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 151 m
Superficie 9,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Soissons
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vic-sur-Aisne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Pernant
Liens
Site web pernant.fr

Pernant est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Pernant est située sur la rive gauche de l'Aisne à 7 km de Soissons, à 10 km de Vic-sur-Aisne et à 50 km de Laon, La commune occupe une cuvette en longueur formée par le ruisseau de Pernant, et se rétrécit au fur et à mesure. Si l'on avance dans le fond du village, en empruntant la route principale, on dépasse l'église, qui est alors masquée par une courbe, et l'on arrive ensuite à une rue permettant de monter au petit quartier de Poussemy et, niché sur sa colline, au donjon[1]. Contournant le château, le chemin passe devant le château d'eau, vaste réservoir, point culminant de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Braine à 22 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pernant est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Soissons, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 93 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,6 % en 2018), une proportion presque identique à celle de 1990 (68,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,4 %), forêts (13,7 %), eaux continentales[Note 3] (10,5 %), zones urbanisées (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), prairies (0,2 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Selon Auguste Matton, Pernant serait mentionné en 898 sous la forme latine Parnacus, puis on trouve la graphie Parnant dès 1063[Note 4] ; des variantes seraient Sparnant (1143) et Pernan (1589)[14].

Le premier élément est à rapprocher, vraisemblablement, d’un thème oronymique pré-celtique *pa-ar désignant une prairie.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'occupation du site est très ancienne et est attestée par la découverte de plusieurs sites préhistoriques, notamment au lieu-dit les Grevettes en 1961 d'une nécropole datant de la «Tène Ia» (Second âge du fer). Une tombe à char y a été étudiée[15],[16].

Dès le IXe siècle, Pernant appartenait à l'abbaye Saint-Crépin-le-Grand de Soissons et lui fut confirmé en 893 par Charles le Simple avec l'autel et le moulin[17].

En 1176 une charte traite d'un accord entre Guy, vicomte de Pernant, et l'abbaye Saint-Crépin-le-Grand. Ce chevalier Guy de Parnant est le premier seigneur connu du village. Il est le frère d'Ebalus (Ebale), seigneur de Berzy[18]. En 1182, une charte de Nivelon, évêque de Soissons, fait mention de Giletus de Pernant[19].

En 1255, le roi Saint Louis affranchit tous ses « hommes de corps » habitant Pernant, à la condition qu'ils ne pourraient se mettre, par mariage ou autrement, sous la domination d'un autre seigneur que lui sans retomber aussitôt en servitude, et de lui payer chacun la somme annuelle de 12 deniers parisis[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Pernant est membre de la communauté de communes Retz-en-Valois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Villers-Cotterêts. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[21].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Soissons, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[22]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vic-sur-Aisne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[22], et de la quatrième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[23].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 1989 André Lempereur    
mars 1989 mars 2001 Patrick Pichelin    
mars 2001 mars 2005 Jean Lahaye    
mars 2005 mars 2008 Geneviève Prevot    
mars 2008 avril 2014 Didier Fell    
avril 2014[24] En cours
(au 13 juillet 2020)
Christophe Padieu SE Commerçant
Réélu pour le mandat 2020-2026

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 681 habitants[Note 5], en augmentation de 2,25 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
451380397386415427408424397
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
407382370365359326341356336
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
356414342361423427446381388
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
398345446529621646684691708
2015 2020 2021 - - - - - -
666679681------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie associative culturelle et sportive[modifier | modifier le code]

La commune compte plusieurs associations culturelles et sportives : le comité des fêtes, le club des anciens, l'association pour la sauvegarde du château de Pernant et du patrimoine local, l'association de promotion des chemins verts, l’association de pêche du plan d’eau de Pernant, l'association des chasseurs, l'association gym et loisirs et le club de foot A.S. Pernant. les habitants participent également à des associations culturelles et sportives intercommunales.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Léger[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Léger.

Du XIIe siècle[29], l'église de Pernant est un édifice d'aspect extérieur assez sobre (aucune statuaire) bâti sur une colline dominant le village, et est accessible par une rampe de pierre[30]. Le bâtiment en croix latine est composé d'une nef avec deux bas-côtés, et d'un transept dont la partie sud est prolongée par une petite salle réservée à l'abbé. La croisée du transept est surmontée par une basse mais imposante tour-clocher[31]. À l'est, au-delà du transept, le chœur peut faire penser, de par ses petites dimensions relatives, à un cul-de-four[32]. La façade orientée vers l'ouest est percée d'une lourde porte en bois[33] ne servant qu'aux grandes cérémonies. L'entrée se fait par une petite porte sur le côté sud[34],[35].

La municipalité de la commune a, par arrêté du maire, décrété la mise en place d'un sonneur de cloches communal dans le but de la préservation de la sonnerie manuelle et des éléments du clocher. Ainsi, Thomas Martin, villageois, s'est fait pourvoir à cette fonction[Quand ?].

Croix du cimetière[modifier | modifier le code]

La croix du cimetière date du XIVe siècle[36]. Elle se trouve sur l'ancien cimetière, dans l'enceinte de l'église.

La croix du cimetière.

Château fort, avec son fossé et ses carrières souterraines[modifier | modifier le code]

Donjon et reste d'un château royal des XIIIe et XVIe siècles[37]. Souvent appelé à tort « le Donjon de Pernant » dans le pays, le château fut construit au XIVe siècle, surélevé au XVe, profondément modifié au XVIe avec notamment la construction d'une aile attenante à l'ouest et de sa terrasse à l'est, pour devenir un château d'agrément dépossédé de ses attributs militaires initiaux : des murs d'enceinte et des nombreuses tours, il ne reste que le rempart entre la cour d'honneur et la terrasse.

L'essor de l'importante exploitation agricole qui l'entoure lui fait perdre insensiblement son statut de résidence nobiliaire à partir du XVIIIe siècle et au XIXe, il est le centre d'une intense vie agricole, pour laquelle de nombreuses constructions plus ou moins heureuses se sont accolées à la bâtisse initiale. Mais le château est demeuré intact jusqu'au XXe siècle, peu touché par les premiers épisodes de la Grande guerre : en 1914, il est encore intact et habité.

État des destructions après les bombardements de juillet 1918.

Le , il est bombardé cinq heures durant comme le reste de la vallée[38],[39] et largement ruiné. Si les vestiges de la forteresse médiévale sont encore bien visibles[40],[41],[42] et paradoxalement en assez bon état général (seule la façade est, les toitures et les planchers ont été soufflés par l'explosion des obus ayant percé la construction) le logis Renaissance, très endommagé, fut finalement rasé dans les années 1930.

Les propriétaires ont en effet délaissé cette construction unique, utilisant notamment les dommages de guerre pour construire en 1920 un manoir en pierre de taille. Le Patrimoine a donc inscrit le monument à l'ISMH en 1927 pour éviter sa destruction[29] mais celui-ci est resté à l'abandon pendant près d'un siècle, les intempéries faisant leur œuvre au point que le château commença à menacer de s'effondrer à la fin des années 1980.

Peu porté sur l'histoire et de toute façon incapable de mobiliser les fonds nécessaires pour le restaurer malgré la pression de la commune et des riverains, le propriétaire dépose au début des années 1990 un permis de démolir qui fit grand bruit dans le Soissonnais, suscitant la naissance d'une association villageoise de sauvegarde, qui grâce à la Société archéologique historique et scientifique de Soissons obtint le classement d'office du monument en 2007[43].

La mésaventure se termina fin 2011[44] par la vente du château à un avocat vénézuélien, aventurier talentueux, francophile et amateur d'histoire, qui entreprit la première campagne de consolidation du bâtiment avec le concours de la DRAC Picardie. C'est lui qui ouvrit le château à la visite pour la première fois en 2012, et qui célébra le septième centenaire de sa construction en 2013, avant de le mettre en vente à son tour en 2014.

Un nouveau propriétaire arrivé fin 2015, tentera de mener de front le triple projet de restaurer le château à partir de et d'y ouvrir des chambres d'hôtes, d'aménager les granges pour y ouvrir des gîtes ruraux, enfin d'organiser sur ce site exceptionnel des animations musicales et culturelles.

Le château et sa terrasse vus du village.

Autres monuments[modifier | modifier le code]

Depuis le milieu du mois de , une borne a pris place dans l'enclos du monument aux morts, près de l'église. Celle-ci fut placée par le Touring Club de France au lieu même où, pendant la Première Guerre mondiale, l'armée et les Pernantais ont arrêté l'armée allemande. Lors de l'Occupation, la borne ayant déplu aux nazis fut dynamitée. Ses restes ont été retrouvés et assemblés, puis placés auprès du monument aux morts sous la garde de la Fondation patrimoine.
  • Une tombe de guerre et un mémorial de guerre dans l'ancien cimetière (enceinte de l'église).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. villa Parnant vulgo nominata dans un acte de 1063 de Philippe I, « Charte Artem/CMJS n°2407»[lire en ligne].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Panorama hivernal sur le village
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Pernant et Braine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Braine » (commune de Braine) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Braine » (commune de Braine) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de la France, vol. 2, p. 212 [lire en ligne].
  15. Blaise Pichon, Carte archéologique de la Gaule: 02. Aisne, Les Editions de la MSH, 2002p. 347-349 [lire en ligne]
  16. Denise Bretz-Mahler, La civilisation de la Tène I en Champagne: le faciès Marnien, éd. Centre national de la recherche scientifique, 1971 - 295 pages
  17. Archives de l'Aisne, Pernant Monographie manuscrite de 1884 [lire en ligne].
  18. Acte n°212856 dans Chartae Galliae. Edition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). Date de mise à jour : 31/05/12. Première version : 10 juin 2010[lire en ligne]
  19. Acte n°205549 dans Chartae Galliae. Edition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). Date de mise à jour : 16/09/11. Première version : 10 juin 2010. [lire en ligne]
  20. (page 107) Maximilien Melleville, Dictionnaire historique, généalogique et géographique du département de l'Aisne, 1857
  21. « communauté de communes Retz-en-Valois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  22. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Pernant », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  23. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  24. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. a et b Notice no PA00115867, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  30. Photo de l'église surplombant la rue.
  31. Photo du clocher très massif
  32. Photo du chevet en "cul-de-four"
  33. Photo du portail ouest
  34. Photo de la façade sud de l'église
  35. Vue du Sud (transept, partie de la façade avec petite porte, et clocher).
  36. Notice no PA00115866, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 38 (cf. Pernant).
  38. anonyme, Journal de marche et d'opérations du 26e Régiment d'infanterie, 26N 600/11, page 31, ministère de la défense, , 68 p. (page 31)
  39. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  40. Photo de la forteresse de Pernant.
  41. Vue sur les vestiges du château.
  42. Photo montrant l'importance des vestiges du château fort.
  43. L'Union, article du mercredi 7 octobre 2009.
  44. L'Union, article du vendredi 30 septembre 2011.
  45. 2 photos du monument aux morts et liste des 20 soldats tués en 1914-1918

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • G. Lobjois, La nécropole gauloise de Pernant, dans Celticum XVIII, vol. I, 1969, 1-284.

Liens externes[modifier | modifier le code]