Culture de l'Angola

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Centre culturel Agostinho Neto à Catete (en), dans la province de Bengo

La culture de l'Angola, pays d'Afrique australe, désigne d'abord les pratiques culturelles observables de ses 27 000 000 d'habitants (en 2017).

Langues et peuples[modifier | modifier le code]

Carte des peuples de l'Angola

L'article Langues en Angola synthétise les informations nécessaires sur les langues d'Angola.

À côté du portugais (71 %) officiel, et avec des spécificités (portugais d'Angola (pt)), une centaine de langues sont parlées en Angola, principalement des langues bantoues, mais également des langues khoïsan. Les langues africaines les plus répandues sont l'umbundu (23 %), le kikongo (8-9 %) et le kimbundu (8 %), langues des ethnies dominantes.

Les groupes ethniques en Angola les plus importants en nombre sont :

Traditions[modifier | modifier le code]

Religions[modifier | modifier le code]

Symboles[modifier | modifier le code]

Pratiques[modifier | modifier le code]

Les pratiques sociales, rituels et événements festifs relèvent (pour partie) du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.

Fêtes[modifier | modifier le code]

Fêtes et jours fériés
Date Nom français Nom local Remarques
1er janvier Nouvel An Ano Novo
4 janvier Jours des martyrs de la répression coloniale Dia dos mártires da repressão colonial
25 janvier Jour de Luanda Dia de Luanda Seulement à Luanda
4 février Début de la lutte armée Início da luta armada
8 mars Jour de la Femme Dia da Mulher
27 mars Fête de la Victoire Festa da Vitória
4 avril Jour de la paix et de la réconciliation nationale Dia da Paz e da Reconciliação Nacional
Vendredi saint Sexta-feira Santa
1er mai Fête du Travail Dia do Trabalho
25 mai Fête de l'Afrique Dia de África Le jour de la fondation en 1963 de l'Organisation de l'unité africaine
1er juin Fête des Enfants Dia das Crianças
17 septembre Anniversaire du Président Neto Aniversário do nascimento do Presidente Neto Agostinho Neto est le fondateur de la république d'Angola
2 novembre Jour des Morts Festa de Finados
11 novembre Fête de l'Indépendance Dia da Independência Fête Nationale
25 décembre Noël Natal

Lorsqu'un jour férié tombe un dimanche, le lundi suivant est chômé. (Ce système etait d'usage jusqu'à l'arrivée du président João Lourenço au pouvoir. Depuis lors, quand un férié tombe le dimanche, il ne se reporte plus pour le prochain lundi.)

Vie sociale[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

Société[modifier | modifier le code]

Historique[modifier | modifier le code]

Avant l'arrivée des Européens, les groupes humains vivent de manière traditionnelle. La propriété privée n'existe pas, le capital (agricole, minier) est entre les mains de la tribu. Lors d'une guerre, la tribu prend possession des captifs. Un esclave qui s'enfuit peut être recueilli par une autre chefferie, mais il est à leur merci. L'homme seul, sans clan, sans tribu, n'est rien. Les gens habitent dans des huttes.

Lors de la colonisation au XIXe siècle, les Portugais construisent les premières ville et aménagent de belles résidences en dur, réservées aux colons blancs. Les villes comprennent une cité européenne et une cité indigène. Les disparités entre quartiers dans les villes sont encore visibles aujourd'hui.

Les Portugais ont construit quelques écoles, mais c'est surtout pendant la guerre d'indépendance (1961) que s'accélère l'occidentalisation (taux de scolarisation passant de 4 % à 15 %), et l'indépendance renforce encore ce phénomène. Dans un des pays les plus pauvres du monde, nombreux sont encore les paysans et les femmes qui marchent pieds et seins nus, même à Luanda, tandis que les nouveaux riches qui ont hérité le pouvoir des colons font des études universitaires et suivent de plus en plus la mode brésilienne (radio, télévision, vêtement).

Comme dans beaucoup de pays du tiers-monde, les hommes travaillent (à l'extérieur) et les femmes s'occupent uniquement du foyer et de l'éducation des enfants. Les filles vont rarement à l'école. Les gens ont des familles nombreuses. Néanmoins les sociétés ont été brisées par la guerre civile, nombreux sont les orphelins, les blessés graves ou les ex-enfants soldats. Le système de formation est médiocre et repose sur l'aide internationale.

Depuis l'indépendance, le Mouvement populaire pour la libération de l Angola(MPLA) conserve le pouvoir politique, et certains membres de l'élite ont fait main basse sur l économie du pays. L'ethnie au pouvoir est composée à une large majorité d'Umbundu, d'une infime minorité de métis, et de quelques Bakongo.

Éducation[modifier | modifier le code]

École en Angola

Avant le XXe siècle, les Africains se transmettaient leur savoir-faire (médecine, menuiserie, agriculture) en famille, clan, village.

Les colons portugais ont construit les premières écoles primaires. À l'indépendance, le taux de scolarisation chez les jeunes se situait à 15 %. Depuis l'indépendance, les organismes d'aide internationale et surtout le Vatican ont construit de nombreuses écoles primaires et secondaires.

Divers[modifier | modifier le code]

État[modifier | modifier le code]

Arts de la table[modifier | modifier le code]

Vente de denrées alimentaires en bord de route.
Calafate grillé accompagné de patates douces et de bananes bouillies

Cuisine[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

  • Santé en Angola, fièvre jaune, choléra, malaria, HIV/AIDS, malnutrition, santé maternelle…

Jeux populaires[modifier | modifier le code]

  • Divertissement en Angola
  • Football, Basket-ball, Volley-ball
  • Plongée, pêche,
  • Athlétisme
  • Cyclisme

Sports[modifier | modifier le code]

Débuts au football.

Arts martiaux[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

En 2016, le classement mondial sur la liberté de la presse établi chaque année par Reporters sans frontières situe l'Angola au 123e rang sur 180 pays[1]. La quasi-totalité des médias angolais sont sous haute surveillance depuis près de quarante ans. Le contrôle des journalistes reste permanent, malgré une légère ouverture liée à la fin du monopole étatique sur la télévision[2].

Presse écrite[modifier | modifier le code]

  • Presse angolaise : Jornal de Angola, O País (Angola)

Radio[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Internet (.ao)[modifier | modifier le code]

Littérature[modifier | modifier le code]

La littérature de l'Angola (pt) [14] appartient à la littérature lusophone : lusophonie, communauté des pays de langue portugaise.

Écrivains[modifier | modifier le code]

Liste chronologique sélective (voir liste alphabétique d'écrivains angolais) :

Œuvres[modifier | modifier le code]

  • Mayombe (Pepetela)
  • Antologia da Poesia Negra de Expressão Portuguesa (1958) (Mário Coelho Pinto de Andrade)
  • As origens do Nacionalismo Africano (1997) (Mário Coelho Pinto de Andrade)
  • Sagrada Esperança (Agostinho Neto)
  • Yaka (Pepetela)
  • A Morte do Velho Kipacaça (Boa Ventura Cardoso)
  • A Geração da Utopia (Pepetela)
  • O Ano do Cão (Roderick Nehone)
  • Quem me Dera Ser Onda (Manuel Rui Monteiro)
  • Sobreviver em Tarrafal de Santiago (António Jacinto)
  • Terra Morta (Castro Soromenho)
  • Viriato da Cruz - Poemas
  • Espíritos e Ritos Angolanos (1958-1975) (Oscar Ribas)
  • Contos Tradicionais Angolanos (1967-1989) (Oscar Ribas)
  • O Vendedor de Passados (José Eduardo Agualusa)
  • Bom Dia Camaradas (Ondjaki)

Autres langues[modifier | modifier le code]

Artisanats[modifier | modifier le code]

Les savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel relèvent (pour partie) du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.

Arts graphiques[modifier | modifier le code]

Textiles[modifier | modifier le code]

Cuir[modifier | modifier le code]

Papier[modifier | modifier le code]

Bois[modifier | modifier le code]

Métal[modifier | modifier le code]

Poterie, céramique, faïence[modifier | modifier le code]

Verrerie d'art[modifier | modifier le code]

Joaillerie, bijouterie, orfèvrerie[modifier | modifier le code]

Espace[modifier | modifier le code]

Arts visuels[modifier | modifier le code]

Masque Pwo (Chokwe)[20]

Dessin[modifier | modifier le code]

Peinture[modifier | modifier le code]

Sculpture[modifier | modifier le code]

Architecture[modifier | modifier le code]

Graphisme[modifier | modifier le code]

Comme pour la majorité de l'art africain, les arts angolais des masques en bois et de la sculpture, en particulier l'art du masque bleu de l'Angola, ne sont pas des activités de création simplement esthétiques. Elles jouent un rôle important dans le cérémonial culturel, représentant la vie et le décès, le passage de l'enfance à la vie adulte, la célébration d'une nouvelle récolte et le commencement de la saison de chasse.

Les artisans angolais travaillent le bois, le bronze, l'ivoire, la malachite ou la céramique afin de faire de la sculpture. Chaque ethnie a son propre art. La sculpture la plus célèbre de l'art angolais est sûrement le Penseur de Cokwe, un chef-d’œuvre d'harmonie et de symétrie dans ses lignes. Le Lunda-Chokwe, au Nord-Est de l'Angola, est aussi renommé pour ses arts plastiques supérieurs. D'autres aspects typiques de l'art angolais incluent :

  • le masque féminin Mwnaa-Pwo consommé par les danseurs masculins dans leurs rituels de puberté
  • les masques polychromes de Kalelwa utilisés pendant les cérémonies de circoncision
  • les masques de Cikungu et de Cihongo qui conjurent des images de la mythologie de Lunda-Cokwe. Deux figures clés de ce panthéon sont la princesse Lweji et le prince civilisant Tschibinda-Ilunga.

Marchés[modifier | modifier le code]

L'art de la céramique noire de Moxico de tronc/eastern Angola avant la fin des années 1980, toute la mise en marché de l'artisanat était sous le contrôle d'Artiang, un bras du ministère de la culture. Néanmoins vu que ce monopole commercial sur la production de l'art a été enlevé, l'art en Angola a fleuri. Tant que les masques et les statues en bois d'Afrique ont grandi dans la popularité dans l'ouest, l'industrie de l'artisanat en Angola a cherché à se trouver avec l'exigence pour l'art africain. Les masques et bricoles stylisés qui sont créés pour arrêter l'œil d'un touriste sont généralement connus comme de « l'art d'aéroport ». Ce sont des pièces produites en série, au goût du touriste moyen, et elles manquent de toute la liaison réelle à des courants culturels plus profonds des peuples angolais.

Un des plus grands marchés d'artisanat en Angola est le marché de Futungo, au sud de Luanda. C'est le cube principal du commerce d'artisanat pour touristes et expatriés. Le marché est ouvert seulement dimanche. La majorité des vendeurs sont Bakongo, bien que les artisans eux-mêmes sont d'un peu tous les différents groupes ethno-linguistiques. Futungo a aussi l'avantage d'être près des jolies plages au sud de Luanda, où beaucoup de résidents de Luanda passent leurs fins de semaine pour apprécier le soleil et le sable de la baie de Mussulo. Bien qu'Alberto Bien dépeigne le marché de Futungo en disant que la majorité des articles trouvés sont « de la variété de l'art d'aéroport », un collectionneur sérieux de l'art africain peut trouver un trésor occasionnel.

Les bouleversements politiques et sociaux au Zaïre dans les années 1990 ont résulté en une augmentation dans la contrebande et dans le pillage de trésors de l'art des musées du pays. Certains de ces pièces trouvent leur acheteur en Angola et sont vendues à des prix très élevés. Même si on n'est pas dans le marché pour un souvenir africain, un détour au marché de Futungo peut être une aventure. Les vendeurs s'arrangent fréquemment pour avoir des instruments traditionnels du jeu des musiciens, tels comme les marimbas et kissanges, xingufos (grandes cornes de l'antilope) et cylindres pour donner sensation d'un festival du village. On y trouve aussi des tenues de guerriers, des vêtements en peau d'antilope et de puma. Des colliers, des boucliers et des hochets de cheville s'ajoutent à la saveur locale du marché.

Arts du spectacle[modifier | modifier le code]

Musique et danse[modifier | modifier le code]

La chanson angolaise la plus célèbre est kizuba (Viens par ici, mon Seigneur). Par contre, des linguistes débattent que cette chanson serait créole, plus précisément du langage gullah, du sud des États-Unis. Si c'était le cas, elle aurait été importée en Angola par des missionnaires, puis redécouverte.

Ce sont des esclaves d’origine angolaise déportés au Brésil qui ont développé la capoeira, art martial pratiqué en Angola, qui tire ses racines d'un combat-danse appartenant aux rituels de mariage bantous, N'golo ou « danse du zèbre ». Il en existe deux formes, la capoeira Angola plus traditionnelle et la capoeira regional. La capoeira se déroule au milieu d'un cercle d'hommes appelé le roda ; un instrument appelé berimbau commande la formation du roda et détermine le type de combat.

Parmi les musiques et danses plus modernes il y a notamment le semba, le kuduro et la kizomba.

Manifestations culturelles[modifier | modifier le code]

Chaque mois de février du 22 au 24, a lieu le carnaval de Luanda, pour célébrer l'anniversaire de l’indépendance du pays (11 novembre). Les habitants de la ville se déguisent, chantent et dansent dans les rues. Ce sont aussi des Bakongo d’origine angolaise déportés au Brésil comme esclaves dès 1500 qui fêtaient secrètement en l’honneur de leur ancien roi le Manikongo. C'est ce festival qui a ensuite donné naissance au Carnaval de Rio de Janeiro[réf. nécessaire].

Théâtre[modifier | modifier le code]

Autres : marionnettes, mime, pantomime, prestidigitation[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Des films ont été tournés à l'époque coloniale :

Autres[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Patrimoine[modifier | modifier le code]

Le programme Patrimoine culturel immatériel (UNESCO, 2003) n'a rien inscrit pour ce pays dans sa liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité (au 15/01/2016).

Musées et autres institutions[modifier | modifier le code]

Musée national de l'esclavage de Luanda

Liste du Patrimoine mondial[modifier | modifier le code]

Le programme Patrimoine mondial (UNESCO, 1971) a inscrit dans sa liste du Patrimoine mondial (au 12/01/2016) : Liste du patrimoine mondial en Angola.

Registre international Mémoire du monde[modifier | modifier le code]

Le programme Mémoire du monde (UNESCO, 1992) a inscrit dans son registre international Mémoire du monde (au 15/01/2016) :

  • 2011 : Arquivos dos Dembos / Archives des Ndembu[30].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Reporters sans frontières : Les données du classement de la liberté de la presse 2016 [1]
  2. Reporters sans frontières : Angola
  3. « angolatelecom.ao/AngolaTelecom… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  4. http://www.angop.ao/angola/fr_fr/index.html
  5. « Angola. Les autorités doivent protéger la libre expression, alors que de jeunes militants ont été agressés », sur amnesty.org (consulté le ).
  6. « La liberté bafouée en Angola », sur luso.fr (consulté le ).
  7. « La sophistication croissante de la censure en Angola · Global Voices en Français », sur Global Voices en Français, (consulté le ).
  8. « La censure et la répression contre la presse de retour », sur ANGOP (consulté le ).
  9. « Coordonnées des media angolais », sur ambafrance-ao.org via Wikiwix (consulté le ).
  10. a et b « radio.fr/pays/Angola/ »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  11. « Radio - Vivre en Angola », sur Vivre en Angola (consulté le ).
  12. « Angola : nombre d'internautes et chiffres-clés de l'Internet », sur journaldunet.com (consulté le ).
  13. « fr.africatime.com/angola/angol… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  14. « Littérature angolaise - Rameau », sur data.bnf.fr (consulté le ).
  15. « União dos Escritores Angolanos - José Luis Mendonça », sur União dos Escritores Angolanos (consulté le ).
  16. (th) « บาคาร่าเว็บไหนดี บาคาร่าออนไลน์ บาคาร่าเล่นยังไง เว็บแทงบาคาร่า », sur ueangola (consulté le ).
  17. « Littérature : José Eduardo Agualusa interroge le pouvoir des rêves pour connaître l’histoire de l’Angola », sur Jeune Afrique (consulté le ).
  18. « Angola Press - ANGOP », sur portalangop.co.ao via Internet Archive (consulté le ).
  19. (pt) « Adriano Mixinge », sur buala.org (consulté le ).
  20. Chazen Museum of Art, Université du Wisconsin à Madison
  21. « africafederation.net/Tchokwe_A… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  22. « Angolan Sculptures », sur blogspot.fr (consulté le ).
  23. « angola.org/index.php?page=cult… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  24. « Masque de l'ANGOLA - Congobo », sur eklablog.fr (consulté le ).
  25. « Le masque africain tchokwe. », sur masque-africain.com (consulté le ).
  26. « Maisons typiques en Angola », sur Douce Cahute, (consulté le ).
  27. « Luanda, tournée vers le futur, néglige son patrimoine architectural », sur buala.org (consulté le ).
  28. « jewanda-magazine.com/2012/10/a… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  29. « newangolatheater.com/ »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  30. http://www.unesco.org/new/fr/communication-and-information/flagship-project-activities/memory-of-the-world/register/full-list-of-registered-heritage/registered-heritage-page-1/arquivos-dos-dembos-ndembu-archives/#c214855

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (en) Adebayo O. Oyebade, Culture and customs of Angola, Greenwood Press, Westport, Conn., 2007, XV-180 p. (ISBN 978-0-313-33147-3)
  • Carlos Lopes, Éducation, science, culture et communication en Angola, Cap-Vert, Guinée-Bissau, Mozambique et São Tomé et Principe, UNESCO, Bureau d'Études et de Programmation (BEP), 1989

Discographie[modifier | modifier le code]

  • (en) Angolan freedom songs (enregistrés par des combattants de l'UPA en Angola), Smithsonian Folkways recordings, Washington, 1962
  • (en) Angola: victory is certain !, Smithsonian Folkways recordings, Washington, 1970
  • (en) Angola: forward, people's power!, Smithsonian Folkways recordings, Washington, 1978
  • Angola : Bonga, Productions Sunset-France, Boulogne, distrib. Auvidis, 1986
  • 1975-1995, indepencia ! (compil. François Post), Lusafrica, Paris, 1995
  • Angola (Lulendo, chant ; likembés, guit.), Buda musique, Paris ; distrib. Universal, 2005

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • Canta Angola, film de Ariel de Bigault, Bibliothèque publique d'information Centre Pompidou, Paris, 2006, 59 min (DVD)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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