Culture de la Guinée

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Ballet national de Guinée (1962)

La culture de la Guinée, pays d'Afrique de l'Ouest, désigne d'abord les pratiques culturelles observables de ses 13 000 000 d'habitants (estimation 2018).


Histoire de l'évolution culturelle de la Guinée[modifier | modifier le code]

La diversité et la complémentarité de ses écosystèmes naturels, le brassage de populations ayant, à l’origine, des activités et des pratiques sociales et culturelles différentes et une singulière histoire politique expliquent la richesse exceptionnelle de la culture guinéenne.

La culture des communautés durant la période pré-coloniale[modifier | modifier le code]

Les hauts plateaux de la Haute Guinée furent à la fois le berceau et le foyer de l’expansion des grands empires et royaumes mandinguesGhana, Soso, Mali et, dans une moindre mesure en ce qui concerne la Guinée, Songhaï . Niani, la première capitale de l’empereur Soundiata Keïta, fondateur de l’Empire Mandingue, se trouvait dans la région de l’actuelle préfecture de Mandiana. La Charte du Manden (1212) figure parmi les toutes premières déclarations connues de l’histoire de l’humanité fondant l’État sur la personne humaine universelle.

Le Royaume théocratique peuhl, sous le couvert de l’islamisation des populations de la région, fit du Foutah Djallon au XVIIIe siècle le foyer d’une aire civilisationnelle et culturelle originale par ses modes d’expression institutionnelle, intellectuelle et spirituelle. Sa littérature en particulier y connaît un rayonnement aujourd’hui reconnu de portée universelle, avec ses maîtres dont de Thierno Mohammad Samba Mombéya et Tyerno Aliou Boubha Dyan.

En Guinée Maritime et en Guinée forestière, des États et Royaumes, fortement structurés et organisés sur des bases communautaires, parviendront, tout le long de l’histoire, à sauvegarder leur autonomie et une identité culturelle originale. Les savoirs locaux, les masques, statues et instruments de percussion des Baga, des Kissi et des autres communautés du littoral et de la Guinée Forestière ont une notoriété internationale et une source d’inspiration pour les artistes modernes, africains ou étrangers . Les polyphonies et les polyrythmies des musiques et danses des populations de ces régions, aujourd’hui partagées par toute l’Afrique de l’Ouest, enrichissent « la world music » internationale. C’est cette culture traditionnelle qui fait la richesse et la diversité de la culture nationale guinéenne. Elle reste vivante grâce aux communautés qui la conservent et qui continuent de s’exprimer par leur biais, en dépit de toutes sortes de contraintes sociales, politiques et économiques qui pèsent sur cet héritage et sa transmission.

La culture guinéenne durant la période coloniale[modifier | modifier le code]

En plaçant les communautés sous la même autorité administrative sur un territoire arbitrairement découpé, la colonisation va accélérer le brassage des populations et de leurs cultures spécifiques. Elle va surtout contribuer à l’émergence d’une autre composante de la culture guinéenne actuelle, d’inspiration européenne, à travers deux institutions majeures, l’Église et l’École. La culture traditionnelle était et reste encore très largement orale, bien que des formes d’expression écrite très élaborées n’en soient pas absentes. La colonisation va introduire, systématiser et développer une culture d’expression écrite. La culture traditionnelle, bien évidemment, avait pour véhicule de son oralité les langues parlées par les populations, bien qu’il ne faille pas, là également, oublier l’influence de l’arabe. La colonisation va introduire une langue étrangère de communication, écrite et parlée par une petite élite (le français). La culture traditionnelle était une culture essentiellement endogène, bien qu’il ne faille pas négliger les contacts de civilisations qui se sont développées durant la période pré-coloniale. La colonisation va introduire des valeurs, des formes, des modèles et des moyens d’expression culturelle radicalement différents, découlant de, et renforçant, la domination de la civilisation occidentale et du capitalisme européen. La poésie, le théâtre et le roman en langue française deviennent le mode d’expression culturelle des nouveaux intellectuels guinéens. La valse, la polka et la mazurka, jouées par des musiciens utilisant des instruments de musique d’origine européenne, en premier lieu la guitare, le banjo et l’accordéon, font danser dans des salles fermées l’élite européenne et indigène, habillée et coiffée selon les modes métropolitaines.

La culture guinéenne durant la Première République[modifier | modifier le code]

La Première République (1958-1984) saura utiliser cette richesse et cette diversité pour développer une politique culturelle visant l’affirmation de la personnalité et de l’identité de la nation guinéenne et la construction d’une nation dans le moule du Parti-Etat. De cette période datent les grandes institutions et organisations de masse qui seront le véhicule et le cadre d’expression à la fois de l’idéologie du Parti et de la culture populaire nationale. De grandes rencontres culturelles de masse, à l’occasion en particulier de Quinzaines Artistiques qui culminent, tous les deux ans, en un Festival National des Arts et de la Culture, mobilisent quasiment toute la population, du plus petit village jusqu’à la capitale, procédant par une sélection pyramidale des meilleurs : orchestres modernes et ensembles traditionnels, troupes d’art dramatique, ballets, peinture, artisanat, cinéma, etc., la quasi-totalité des formes, supports et genres d’expression culturelle sont ainsi solidement encadrés de la base au sommet et subventionnés par l’organisation politique du Parti-Etat. Cette organisation fait de la Guinée le foyer d’une effervescence culturelle dont le rayonnement dépasse rapidement le cadre du territoire national pour atteindre les scènes internationales. Les artistes guinéens remportent un grand nombre de prix, à l’occasion par exemple des festivals panafricains (Alger, Tunis, Lagos) et mondiaux (Berlin, Moscou, Cuba) tout en restant également très présents sur les scènes occidentales (New York, Paris, Tokyo, etc.). Il convient cependant de noter, face à cette effervescence des arts de la scène, un plus faible dynamisme des arts d’expression individuelle comme la littérature, en particulier le roman, phénomène qui s’explique probablement par la mission d’abord de mobilisation collective que le régime avait assignée à la culture.

La culture guinéenne durant la Deuxième République[modifier | modifier le code]

Le changement de régime en 1984, supprimant d’un seul coup les structures du PDG, et l’option pour un régime libéral et pluraliste, eurent pour conséquence, dans le domaine de la culture, de créer d’abord un vide institutionnel, juridique et organisationnel qui ne sera plus ou moins comblé que progressivement. Un nouveau champ culturel commence alors à se constituer sur la base de principes, de mode d’organisation et de modes de gestion fondés sur libéralisme économique et les libertés individuelles d’expression et d’association. Sous le couvert de la privatisation et des programmes d’ajustement structurel (PAS) mis en œuvre à partir des années « 90 ». Les quelques industries culturelles existantes, notamment les entreprises d’État du secteur de la culture (Syli Film, Syli Cinéma, pour le cinéma, Syli Photo pour la photographie, Syliphone (pour la production de disques), l’Imprimerie Nationale Patrice Lumumba et l’Imprimerie de l’Education et de la Culture, Libraport pour l’importation du livre) sont quasiment abandonnées.

Cependant, la constitution d’un secteur privé et associatif de la culture ouvre de nouvelles perspectives. L’écriture poétique et romanesque connaît un plus grand dynamisme par le nombre d’ouvrages édités à l’extérieur ou par des maisons d’édition installées dans le pays ; la liberté d’expression admise par le nouveau régime stimule un esprit plus critique même dynamisme dans l’industrie du spectacle, de la musique en particulier, avec l’émergence d’un grand nombre d’artistes, de producteurs, de diffuseurs et managers qui, malgré de nombreuses difficultés, parviennent pourtant à s’implanter sur un marché national de la culture en voie de constitution, plus rarement sur les marchés sous-régionaux et internationaux. Les domaines considérés comme peu « rentables », par exemple la conservation et la valorisation du patrimoine matériel et immatériel des communautés. Quelques entrepreneurs privés étrangers ou guinéens expatriés commencent à jouer un rôle d’impulsion important, qui a contribué soit à la renaissance culturelle de certains artistes des périodes précédentes (Bembeya Jazz, Ballets Africains, Mory Kanté, Momo Wandel, Mamadi Keita Djembefola, Sékouba Bambino etc.), soit à l’émergence d’une nouvelle génération d’artiste (théâtre moderne, acrobates, humoristes, musique urbaine, etc.). Avec la diminution drastique des subventions de l’État, l’essentiel des appuis vient de la coopération culturelle internationale, principalement de la France et de la Francophonie, de l’Union Européenne, de l’UNESCO et du Canada.

Peuples, langues, cultures[modifier | modifier le code]

Langues[modifier | modifier le code]

La langue officielle de la République de Guinée est le français. Il s'agit de la langue de l'État et des institutions officielles. Après le régime de Ahmed Sékou Touré, le français est redevenu la langue unique d'enseignement à l'école.

La langue française est une langue en forte expansion en Guinée d'après les derniers rapports. En 2002, le nombre de locuteurs de langue maternelle française était estimé à 2 % de la population totale[1]. D'après les autorités guinéennes, une nouvelle estimation de 2007 revoit ce chiffre fortement à la hausse par rapport à celle de 2002 : le nombre de francophones atteindrait 21,1 % et le nombre de francophones partiels 42,1 %. L'ensemble cumulé représente 6 millions de personnes, soit 63,2 % de la population totale ayant une maîtrise partielle ou complète de cette langue[2]. L'arabe est fortement utilisé pour des besoins religieux. L'anglais est présent dans les régions frontalières avec le Liberia et la Sierra Leone, et est une langue universitaire et commerciale.

Les trois principales langues d'origine africaine sont (d'après Diallo, 2004) :

  • le poular ou peul écrit en ADLAM, parlé majoritairement en Moyenne-Guinée, soit plus de 35 % de la population guinéenne, possède de nombreux locuteurs dans les autres régions;
  • le malinké écrit en N'KO, parlé majoritairement en Haute-Guinée, soit environ 35 % de la population guinéenne, possède de nombreux locuteurs dans les autres régions;
  • le kissi, le koniaké (la version malinké de la Région de N'zérékoré), le Kono, le Kpelle ou guerzé, le Kouranko et Lélé (la version malinké de Kissidougou et Guékédou), le Mano et le Toma sont parlés en Guinée forestière, possèdent de nombreux locuteurs dans les autres régions..
  • le soussou, parlé majoritairement en Basse-Guinée est la langue dominante de la capitale Conakry, possède de nombreux locuteurs dans les autres régions.

Mais on rencontre également des locuteurs dans d'autres langues qui sont :

La Guinée est membre de l'Organisation internationale de la francophonie.

De plus, les villes de Gueckédou, Kindia, Mamou, Conakry, Kankan, Labé et Télimélé sont membres de l'Association internationale des maires francophones[3],[4].

Peuples[modifier | modifier le code]

Traditions[modifier | modifier le code]

Religion(s)[modifier | modifier le code]

Masque Sande (1940-1965).

Symboles[modifier | modifier le code]

Folklore et Mythologie[modifier | modifier le code]

Croyances[modifier | modifier le code]

Pratiques[modifier | modifier le code]

Fêtes[modifier | modifier le code]

Vie sociale[modifier | modifier le code]

Groupes humains[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

Noms[modifier | modifier le code]

Société[modifier | modifier le code]

  • Palabre, Arbre à palabres
  • Poro (rituel) et société initiatique Mande, au Liberia, en Côte d'Ivoire, en Guinée et en Sierra Leone
  • Société Sande, société initiatique, masques, excision,
  • Diaspora guinéenne : Émigrants, Émigrés, Expatriés, Exilés
  • Immigrants en Guinée, Expatriés en Guinée

Éducation[modifier | modifier le code]

Étiquette(s)[modifier | modifier le code]

Divers[modifier | modifier le code]

État[modifier | modifier le code]

Stéréotypes[modifier | modifier le code]

Arts de la table[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Activités physiques[modifier | modifier le code]

Activités non lucratives populaires[modifier | modifier le code]

  • Divertissement en Guinée
  • Jeux
  • Football, Basketball, Volley-Ball
  • Plongée, pêche,
  • Athlétisme

Sports[modifier | modifier le code]

Arts martiaux[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

En 2016, le classement mondial sur la liberté de la presse établi chaque année par Reporters sans frontières situe la Guinée au 108e rang sur 180 pays[6]. L'exercice du métier de journalisme y a subi le contrecoup de l'épidémie de maladie à virus Ebola en Afrique de l'Ouest. Depuis, les médias sont périodiquement censurés sous divers prétextes administratifs ou juridique[7].

Presse écrite[modifier | modifier le code]

Radio[modifier | modifier le code]

RTG (radio télévision guinéenne) est une société publique de production et diffusion de programmes diffusés à la radio et à la télévision en République de Guinée.

Télévision[modifier | modifier le code]

Internet (.gn)[modifier | modifier le code]

Littérature[modifier | modifier le code]

Sites[modifier | modifier le code]

Artisanat[modifier | modifier le code]

Masque d'épaule nimba, représentant un esprit de la fertilité

Arts graphiques[modifier | modifier le code]

Design[modifier | modifier le code]

Textiles[modifier | modifier le code]

Cuir[modifier | modifier le code]

Papier[modifier | modifier le code]

Bois[modifier | modifier le code]

Métal[modifier | modifier le code]

Poterie, céramique, faïence[modifier | modifier le code]

Verrerie d'art[modifier | modifier le code]

Joaillerie, bijouterie, orfèvrerie[modifier | modifier le code]

Espace[modifier | modifier le code]

Arts visuels[modifier | modifier le code]

La sculpture sur bois, ancienne ou récente, particulièrement baga, est relativement bien connue[9],[10],[11],[12],[13],[14],[15].

La peinture est remarquée, pour Ibrahima Keïta[16], Jean Louis Mantaud, Baba Djogo Barry, Ibrahim Thiam[17], Bangoura Aboubacar Demba Papus[18]

Arts du spectacle[modifier | modifier le code]

Acrobates du cirque Tinafan.

Musique(s)[modifier | modifier le code]

Danse(s)[modifier | modifier le code]

  • Musiques, danses et chants traditionnels
  • Musiques et danses contemporaines
  • Danseurs guinéens
  • Chorégraphes guinéens
  • Troupes
  • Danses rituelles
    • Dunumba, danse des hommes forts,
    • Mandiani[22], danse de rite de passage, féminine,
    • Fête Annuelle de la Danse Soli à Kindia, danse de rite de passage, masculine,
    • Kakilembe, cérémonie d'invocation sacrée[23],[24]
  • Personnages

Théâtre[modifier | modifier le code]

Autres : marionnettes, mime, pantomime, prestidigitation[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Autres[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Le programme Mémoire du monde (UNESCO, 1992) n'a rien inscrit pour ce pays dans son registre international Mémoire du monde (au 15/01/2016).

Patrimoine[modifier | modifier le code]

Musées et autres institutions[modifier | modifier le code]

Liste du Patrimoine mondial[modifier | modifier le code]

Le programme Patrimoine mondial (UNESCO, 1971) a inscrit dans sa liste du Patrimoine mondial (au 12/01/2016) : Liste du patrimoine mondial en Guinée.

Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité[modifier | modifier le code]

Le programme Patrimoine culturel immatériel (UNESCO, 2003) a inscrit dans sa liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité (au 15/01/2016) :

  • 2008 : L’espace culturel du Sosso-Bala (balafon sacré historique)[28]

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Nadine Bari et Josée Maka-Ingenbleek, Cuisines de Guinée, L'Harmattan Guinée, Paris, Conakry, 2012, 164 p. (ISBN 9782296966314)
  • Culture et civilisation islamiques : La Guinée, ISESCO, Casablanca, 1988
  • Muriel Devey Malu-Malu, « Artisanat, art et culture », in La Guinée, Karthala, Paris, 2009 (nouvelle éd.), p. 257 (ISBN 978-2-8111-0037-7)
  • Alpha Mamadou Diallo, « Usage et images des langues en Guinée », Le français en Afrique, no 19 « Recueil d’articles »,‎ (lire en ligne)

Discographie[modifier | modifier le code]

  • Guinée : musiques des Kpelle : chants polyphoniques, trompes et percussions, Maison des Cultures du Monde, Paris ; Auvidis, Antony, 1998
  • Guinée : percussions et chants Malinké, Buda musique, Paris ; Universal, 1998
  • Guinée : percussions et chants Baga, Buda musique, Paris ; Universal, date?
  • Guinée : concert de percussions, Buda musique, Paris ; Universal, 2001
  • Griots de Guinée : Balante, Bambara, Malinké, Peul (collec. Charles Duvelle), Universal, Antony, 2004
  • Guinée : flûte peule du Fouta Djallon, Buda musique, Paris ; distrib. Universal, 2006

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • Aoutara, jeunes filles baga, film documentaire de Laurent Chevallier, ADAV/Les films d'ici, Paris, 1996, 52 min (VHS)
  • Mögöbalu : les maîtres des tambours d'Afrique, film documentaire de Laurent Chevallier, ADAV, Les films d'ici, Paris, 1998, 59 min (VHS)
  • Le Sosso Bala Manding, film doucmentaire de Patrick Deval, 1999, 13 min (DVD)
  • On-Yaramá, documentaire du Groupe Yaramá sur les chants et danses en Afrique occidentale, en particulier au Sénégal et en Guinée, Espagne, 2008.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. La Francophonie dans le monde 2002-2003, Haut Conseil de la Francophonie, Larousse, Paris, 2003
  2. La Francophonie dans le Monde 2006-2007 Organisation Internationale de la Francophonie, Nathan, Paris, 2007, p. 17 accessible sur http://www.francophonie.org/Rapport-du-Secretaire-general-de.html
  3. asso.aimf.fr
  4. agora.qc.ca/francophonie.nsf/Dossiers/Francophonie_institutions_de_la
  5. « Account Suspended », sur guineeculture.org via Wikiwix (consulté le ).
  6. Reporters sans frontières : Les données du classement de la liberté de la presse 2016 [1]
  7. Reporters sans frontières : Guinée
  8. « Guinée : nombre d'internautes et chiffres-clés de l'Internet », sur journaldunet.com (consulté le ).
  9. franceinfo, « Les majestueuses sculptures du peuple Baga de Guinée exposées à Marseille », sur Francetvinfo.fr, Franceinfo, .
  10. http://vieille-charite-marseille.com/index/archives/baga-art-de-guinee-au-maaoa
  11. « Guinée culture », sur guineeculture.org via Wikiwix (consulté le ).
  12. « Le MASQUE AFRICAIN en Guinée », sur african-concept.com (consulté le ).
  13. Appia, B., « Masques de Guinée française et de Casamance », Journal des Africanistes, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 13, no 1,‎ , p. 153–182 (DOI 10.3406/jafr.1943.2546, lire en ligne, consulté le ).
  14. « Masques africains de guinée », sur artisanat-africain.com via Wikiwix (consulté le ).
  15. « Mondoblog, la plateforme des blogueurs francophones de RFI », sur Mondoblog (consulté le ).
  16. (en) « Guineeconakry.info », sur guineeconakry.info (consulté le ).
  17. https://archive.wikiwix.com/cache/19981130000000/http://www.guinee-culture.org/Expositions-des-peintres-au-Centre.html.
  18. (en) « Africartmodern, site de l'artiste Eugenie Conde. Bangoura Aboubacar Demba… », sur africartmodern.com (consulté le ).
  19. Alpha Camara, « Humanitaire : l’artiste Saïfond Baldé au chevet des démunis de Conakry », sur generations224.com (consulté le ) : « un artiste qui fait la une de l’actualité culturelle guinéenne, Saïfond Baldé, jeune artiste qui sut faire un cocktail entre le rythme pastoral et les sonorités afro »
  20. Youssef Haidara, « Saïfond Baldé dévoile "Ghari Djinna" son nouveau single », sur gnakrylive.com, (consulté le ) : « le titre « Ghari Djinna », nouveau single de l’artiste chanteur guinéen, Saïfond Balde est enfin disponible (...). Dans ce nouveau morceau, les fans de cette révélation pourront apprécier ses lyrics au sens romantique. »
  21. Eglantine  Chabasseur, « Ballet National Djoliba, au cœur de la Guinée », sur Rfi.fr, RFI Musique, .
  22. « Online West African Dance Lesson : West African Dance Vol 1 : Mandiani Lesson 1 - Introduction To Mandiani - Abdoulaye Camara » [vidéo], sur iDance.net (consulté le ).
  23. « Danse de Guinée », sur centre-momboye.com via Wikiwix (consulté le ).
  24. « Kakilembe », sur yoel.free.fr (consulté le ).
  25. « Ballets africains : quand la Guinée abandonne ses danseurs – Jeune Afrique », Jeune Afrique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Mohamed Kouyaté - danse africaine de Guinée », sur Facebook.com (consulté le ).
  27. « Le théâtre de rue et la sensibilisation en Guinée », sur opals.asso.fr via Wikiwix (consulté le ).
  28. « UNESCO - L’espace culturel du Sosso-Bala », sur Unesco.org (consulté le ).