Culture de l'Eswatini

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Habitat traditionnel.

La culture de l'Eswatini (Afrique australe) désigne d'abord les pratiques culturelles observables des 1 500 000 d'habitants du pays.

L'événement culturel le plus connu est la cérémonie annuelle Umhlanga, avec rituel d'abstinence sexuelle, umchwasho jusqu'au .

Langues et peuples[modifier | modifier le code]

Langues[modifier | modifier le code]

Peuples[modifier | modifier le code]

L'Eswatini est composé de différents peuples dont sawzis en majorité, les tchonga shangaan et les zulu.

Traditions[modifier | modifier le code]

Religions[modifier | modifier le code]

Symboles[modifier | modifier le code]

Croyances[modifier | modifier le code]

Pratiques[modifier | modifier le code]

Société[modifier | modifier le code]

Groupes humains[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

Polygamie[modifier | modifier le code]

La princesse Sikhanyiso Dlamini au Reed Dance Festival 2006

L'Eswatini est un pays profondément polygame. Mswati III, roi actuel, couronné à l'âge de 18 ans, s'est marié à quatorze reprises. Son père, Sobhuza II, qui régna de 1921 à 1982, eut 120 épouses. Mswati III déclara que la polygamie « ne contribuait pas à la propagation du VIH parmi la population », dans un pays où le nombre de personnes séropositives frôle les 40 %[1].

Société[modifier | modifier le code]

État[modifier | modifier le code]

Éducation[modifier | modifier le code]

Fêtes[modifier | modifier le code]

Arts de la table[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Médecine traditionnelle[modifier | modifier le code]

Il existe bien des dispensaires, hôpitaux et autres centres de soins médicaux. Mais beaucoup de Swazis préfèrent s'en remettre à la médecine africaine traditionnelle. Aussi le roi a-t-il décidé de créer une "mananga", établissement où un initié transmet à des femmes le savoir et les pouvoirs occultes qui guérissent les maladies.

Sports[modifier | modifier le code]

Artisanats[modifier | modifier le code]

Réalisation d'un éléphant en verre soufflé.

Arts visuels[modifier | modifier le code]

Dessin[modifier | modifier le code]

Peinture[modifier | modifier le code]

Sculpture[modifier | modifier le code]

Architecture[modifier | modifier le code]

  • Architecture traditionnelle
  • Architecture moderne

Autres[modifier | modifier le code]

Arts du spectacle[modifier | modifier le code]

Musique, danse, chant[modifier | modifier le code]

Théâtre et spectacles de rue[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

En 2013, le classement mondial sur la liberté de la presse établi chaque année par Reporters sans frontières situe l'Eswatini au 155e rang sur 179 pays[2]. Une « situation difficile » y a été observée[3].

Internet (.sz)[modifier | modifier le code]

Littérature[modifier | modifier le code]

L'Eswatini est le pays de nombreux écrivains écrivant en anglais, en swati ou en zoulou.

Les écrivains les plus connus sont :

Tourisme[modifier | modifier le code]

Patrimoine[modifier | modifier le code]

Art rupestre

Le programme Patrimoine culturel immatériel (UNESCO, 2003) n'a rien inscrit pour ce pays dans sa liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité (au 14/01/2016).

Le programme Mémoire du monde (UNESCO, 1992) n'a rien inscrit pour ce pays dans son registre international Mémoire du monde (au 14/01/2016).

Voir également : * Swaziland National Trust Commission (en).

Musées et autres institutions[modifier | modifier le code]

Liste du Patrimoine mondial[modifier | modifier le code]

Le programme Patrimoine mondial (UNESCO, 1971) a inscrit dans sa liste du Patrimoine mondial (au 12/01/2016) : Liste du patrimoine mondial en Eswatini.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (en) Alan R. Booth, Swaziland : tradition and change in a southern African kingdom, Westview Press, Boulder, Colo. ; Gower, Hampshire, England, 1983, 156 p. (ISBN 0865312338)
  • (en) Enid Gort, Changing traditional medicine in rural Swaziland : a world systems analysis, Columbia University, 1987, 266 p. (thèse)
  • (en) Jan Knappert, Myths and legends of Botswana, Lesotho, and Swaziland, E.J. Brill, Leyde, 1985, 254 p. (ISBN 9004074554)
  • (en) Edward Wilfrid Baxby Proud, The postal history of Swaziland & Zululand, Postal History Publications Co., Heathfield, East Sussex, 1996, 182 p. (ISBN 1872465137)
  • (en) Margaret Zoller Booth, Culture and education : the social consequences of Western schooling in contemporary Swaziland, University Press of America, Lanham, Md, 2004, 275 p. (ISBN 0-7618-2717-X)
  • (nl) Ferdinand J. de. Hen, Aspecten van muziek en dans in Swaziland, Koninklijke Academie voor Overzeese Wetenschappen, Bruxelles, 2000, 126 p. (ISBN 9075652216)

Discographie[modifier | modifier le code]

  • (en) The Nguni sound : South Africa & Swaziland : 1955 '57 '58 (collec. Hugh Tracey), International Library of African Music, Grahamstown, 2003

Filmographie[modifier | modifier le code]

  • Les Épouses du Swaziland, film documentaire de Gérard Perrier, RFO, Paris, 1999, 26 min (VHS)

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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