Gognies-Chaussée

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Gognies-Chaussée
Gognies-Chaussée
La mairie et les écoles.
Blason de Gognies-Chaussée
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre
Maire
Mandat
Bruno Masolini
2020-2026
Code postal 59600
Code commune 59264
Démographie
Gentilé Gognisiennes, Gognisiens
Population
municipale
727 hab. (2021 en diminution de 6,68 % par rapport à 2015)
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 20′ 25″ nord, 3° 56′ 43″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 158 m
Superficie 7,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Maubeuge
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Gognies-Chaussée
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Gognies-Chaussée
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Gognies-Chaussée
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Gognies-Chaussée

Gognies-Chaussée est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à 15 kilomètres de Maubeuge au sud et à 12 kilomètres de Bavay, au sud-ouest. C'est une agglomération constituée de la commune française de Gognies-Chaussée et du village belge de Gœgnies-Chaussée (commune de Quévy), séparés par la frontière franco-belge.

La rue centrale, dont la partie française constitue la route départementale 31[1], est une des sept branches de la chaussée Brunehaut, anciennes voies romaines autour de Bavay.

Traité des Limites[modifier | modifier le code]

La rue centrale est binationale : les maisons situées au sud sont en France, celles du nord, en Belgique (Gœgnies-Chaussée). Cette division existe depuis le « traité des Limites », signé le à Courtrai, qui détermine la frontière entre la France et la Belgique, alors une partie des Pays-Bas[2],[3]. Ce traité fut signé par le sieur Dusart, mayeur de Gœgnies-Chaussée (alors aux Pays-Bas) et le sieur Lotteau, maire de la commune de Gognies-Chaussée (France), en présence du comte d'Auxy, gouverneur de la province de Hainaut et de monsieur Lhomme, délégué du préfet du département du Nord.

Procès-verbal en application du traité des Limites.
Signataires du procès-verbal.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Gognies-Chaussée
Quévy
(Drapeau de la Belgique Belgique)
Gognies-Chaussée Bettignies
La Longueville

Feignies

Maubeuge Mairieux

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le village est drainé par la Wampe, le ruisseau de Gueulard et le ruisseau de Petit-Prés.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 865 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 10,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 23 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gognies-Chaussée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,1 %), zones urbanisées (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), forêts (4,1 %), prairies (2,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2024, par la ligne transfrontalière 41 des réseaux Stibus et TEC Hainaut assurant la liaison entre Maubeuge et Mons[16]. Cette liaison avait été suspendue pour des raisons administratives en 2014 avant d'être rétablies en 2016[17].

Gognies-Chaussée est également desservie par la ligne 976 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 4[18] et par le Bus local de Quévy du TEC Hainaut[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Gognies contient la terminaison « gnies » d'origine tudesque, qui signifie « demeure de » ; la signification de la racine « go² n'est pas connue. Chaussée réfère à la Chaussée Brunehaut.

Le village se trouve mentionné dans des actes médiévaux à partir de 1185.

Histoire[modifier | modifier le code]

Gognies relevait de la prévôté et le décanat de Maubeuge, mais sa cure relevait de l'abbaye de Liessies.

Dans la période féodale, la division territoriale est complexe : plusieurs familles nobles, l'Abbaye d'Hautmont et le chapitre de Maubeuge se partageaient trois seigneuries: Gognies, Gontreuil et Rogeries, quelques fiefs en dehors des seigneuries et plusieurs sous-fiefs, parfois enclavés.

Au sujet d'un de ces fiefs se trouve dans les archives du chapitre de Maubeuge de 1190 une triste histoire d'amour entre la belle Aliénor de Pierre-Fontaine et le brave Arnould du Mesnil, qui se donnaient des rendez-vous secrets dans une forêt à Roteleux. L'hiver venu, Arnould se trouve devant une meute de loups, en tuera trois avant de trouver la mort. La fille affligée, entrée au chapitre, meurt peu de temps après et c'est d'elle que le chapitre a hérité la cense de Roteleux (leu : loup) [20].

Le puzzle territorial est aujourd'hui d'autant plus complexe par le fait que le , au traité de Nimègue, Gognies est divisé en une partie belge et une partie française[21] et qu'il y a eu en 1820 au traité des Limites une correction de frontières.

Pendant le blocus de Maubeuge en 1793, le jeune prince d'Orange, futur roi Guillaume Ier des Pays-Bas, séjourna au château de Gontreuil[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription du Nord.

Elle faisait partie de 1801 à 1910 du canton de Maubeuge, année où celui-ci est scindé par la loi du et Gognies -Chaussée intègre le canton de Maubeuge-Nord[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée à un nouveau canton de Maubeuge.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du Nord Maubeuge, créée fin 1993.

Celle-ci fusionne le au sein de la communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire de 1802 à 1807 : Blanchard[24],[25].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988   Roland Liénard PS  
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 José Verdonckt    
mars 2008 mai 2020 Jean Meurant   Chef d'entreprise
Réélu pour le mandat 2014-2020[26],[27],[1]
mai 2020 En cours Bruno Masolini   Professeur du second degré

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 727 habitants[Note 3], en diminution de 6,68 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
430326428521610723766792837
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
839883921830795810762735695
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
693713717758747787797725834
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
886907756807820796798798781
2018 2021 - - - - - - -
738727-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 358 hommes pour 380 femmes, soit un taux de 51,49 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,6 
6,4 
75-89 ans
8,2 
19,0 
60-74 ans
21,6 
23,2 
45-59 ans
20,8 
18,7 
30-44 ans
17,6 
13,1 
15-29 ans
11,8 
19,6 
0-14 ans
18,4 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monument aux morts.
  • L'église Saint-Quentin de 1843. Elle contient une chaire du début du XVIIIe siècle[33], ainsi qu'un tableau du début du XVIIe siècle dédié à l'Adoration des bergers[34].
  • Le château de Gontreuil avec le parc du château[35]
  • La ferme Rogeries
  • Le château et la ferme du Roteleux
  • La chaussée romaine (Chaussée Brunehaut)
  • Le Petit Roteleux
  • Le pont Guillaume
  • Le « chemin des exilés », qui permettait autrefois aux Belges ou aux personnes interdites du territoire français de se rendre à l'église paroissiale, située sur la frontière et qui est un édifice franco-belge. Ce chemin de 25 m, pavé, a été restauré en 2015[36].
  • Le monument aux morts, déplacé en 2015[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • La plaque funéraire de Rémy Broudehom, mayeur de Goegnies Cauchie, mort en 1578 et de Blandine Mathieu, sa femme morte en 1583, se trouve dans l'église paroissiale[38].
  • Anthony Prahl, lieutenant au 16e d’infanterie de l'armée américaine, dont l'unité libéra le village binational à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le et permis l'avancée des Alliés. Une stèle portant son nom a été édifiée au village en 2016[39].

Gognies-Chaussée dans les arts[modifier | modifier le code]

Michel Vergaelen.

En , Michel Vergaelen édite un roman dans lequel il met en scène des personnages fictifs de Gognies-Chaussée, que le destin entraîne à Bruxelles[40]...

  • Léopold Levert (1819-1882), peintre français, est né à Gognies-Chaussée.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Gognies-Chaussée se blasonnent ainsi : « D’azur à la croix ancrée d’argent. »

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Travaux de la Départementale 31 : fin annoncée au 15 septembre : D'autres projets dans les cartons », La Sambre La Frontière, no 1930,‎ , p. 18.
  2. Georg Friedrich von Martens, Friedrich Wilhelm August Murhard, Nouveaux supplémens au recueil de traités et autres actes remarquable, vol. 1, Goettingue, Libr. de Dieterich, (présentation en ligne).
  3. Procès-verbal de la remise par les Pays-Bas et de la prise de possession par la France et réciproquement des territoires de Gœgnies-Chaussée du 11 octobre 1820
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Gognies-Chaussée et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Plan du réseau Stibus 2023-2024 » [PDF], sur stibus.fr, (consulté le ).
  17. Claire De Vregille, « La ligne de bus entre Maubeuge et Mons reprend du service le 1er septembre : Deux ans après avoir été interrompue, la ligne internationale entre Maubeuge et Mons va de nouveau fonctionner en continu à partir de la rentrée. Les voyageurs désireux de se rendre outre-Quiévrain n’auront plus à changer de bus à Gognies-Chaussée », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Plan du périmètre Avesnois », sur arcenciel.hautsdefrance.fr (consulté le ).
  19. « Proxibus Quevy » [PDF], sur letec.be (consulté le ).
  20. Zéphyr-Joseph Piérart, op. cit. en bibliographie, p. 5-7.
  21. La Voix du Nord, 15 janvier 2010
  22. Zéphyr-Joseph Piérart, op. cit. en bibliographie[source insuffisante].
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
  25. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », sur LillOnum Bibliothèque numérique, p. 132-133 (image 162-163).
  26. « Bilan des maires: Jean Meurant, maire de Gognies-Chaussée presque par hasard, proche des petites et grandes préoccupations : Il ne s’était pas préparé à être maire. Mais les électeurs et son conseil en ont décidé autrement. Après une phase de mise en route, Jean Meurant est pourtant prêt à repartir pour un second mandat avec la même équipe, la même « bande de copains du village ». Enfant de Gognies-Chaussée, le chef d’entreprise de 59 ans dit avoir trouvé le bon tempo et souhaite continuer à mener les projets, dont certains n’ont pu aboutir, lors de ces six dernières années », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Gognies-Chaussée: Jean Meurant a présenté sa liste : Jean Meurant a présenté, jeudi, sa « Liste d’action et d’union pour la défense des intérêts communaux ». Sans étiquette, elle est la seule », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gognies-Chaussée (59264) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  33. « chaire à prêcher », notice no PM59000599, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  34. « Tableau : l'Adoration des bergers », notice no PM59000600, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  35. « Le parc du château de Gontreuil-Gognies Chaussée », notice no château de Gontreuil, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Gognies-Chaussée: une grande partie du chemin des Exilés refait surface : Cette petite commune transfrontalière voit en ce moment sa place métamorphosée à l'occasion des travaux de rénovation de celle-ci. Et c'est justement à l'occasion de ces travaux que les pavés qui composaient autrefois le chemin des Exilés ont été mis à jour. Ils se trouvaient enfouis sous une couche de macadam », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Gognies-Chaussée (59600) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Les monuments aux morts (France - Belgique - Autres pays), sur monumentsmorts.univ-lille.fr, (consulté le ).
  38. « Pplaque funéraire de Rémy Broudehom Mayeur de Goegnies Cauchie, mort en 1578 et de Blandine Mathieu, sa femme morte en 1583 », notice no PM59000598, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  39. « À Gognies-Chaussée, une stèle en l’honneur du lieutenant Anthony Prahl : Une stèle portant le nom du lieutenant a été officiellement dévoilée dimanche, les hymnes nationaux des États-Unis, de la France et de la Belgique ont retenti », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le 3 septembre, Anthony J. Prahl, alors âgé de 34 ans, réalise près du village un tir de barrage. Des véhicules de tête d’une colonne alliée sont pris pour cible par l’ennemi, le lieutenant Prahl organise alors rapidement un tir de barrage et un assaut sur les troupes allemandes. Par ses actions héroïques, le lieutenant Prahl et son unité permettent l’avancée des Alliés, libérant ainsi Gognies-Chaussée. Pour ses actions, il a d’ailleurs été décoré de la Bronze Star Medal ».
  40. Michel Vergaelen, Départ et arrivée en gare de Bruxelles-Midi : saga d'une famille de Gognies Chaussée, Paris, Éd. Edilivre Aparis, , 239 p. (ISBN 2812106964, présentation en ligne).

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Zéphyr-Joseph Piérart, Recherches historiques sur Maubeuge et son canton, et les communes limitrophes, avec des notes sur les villages de l'ancienne prévôté de cette ville, etc, Maubeuge, Ed. Lévècque, , 284 p. (lire en ligne), p. 1-8, sur Google Books.