Cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes

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Cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes
Façade de la cathédrale
Façade de la cathédrale
Présentation
Nom local Cathédrale Saint-Pierre
Culte Catholique romain
Type Cathédrale
Rattachement Diocèse de Nantes (siège)
Début de la construction XVe siècle
Fin des travaux XIXe siècle
Style dominant Gothique
Protection Logo monument historique Classée MH (1862)
Site web www.cathedrale-nantes.cef.frVoir et modifier les données sur Wikidata
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Ville Nantes
Coordonnées 47° 13′ 06″ nord, 1° 33′ 03″ ouest
Géolocalisation sur la carte : Nantes
(Voir situation sur carte : Nantes)
Cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes
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Cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes
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Cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes

La cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul (appelé aussi localement « cathédrale Saint-Pierre ») est une cathédrale catholique romaine située sur la place Saint-Pierre, à Nantes (Loire-Atlantique). Elle est la cathédrale du diocèse de Nantes, siège de l’évêque de Nantes. Sa construction s’est étalée sur 457 ans, de 1434 à 1891, mais ces délais n’altèrent en rien la qualité ni la cohérence de son style gothique. Elle est classée monument historique depuis 1862[1].

Histoire

Les édifices antérieurs

Le site aurait été initialement occupé par un temple druidique dédié à Janus ou « Bouljanus »[2],[3].

Par la suite, trois édifices religieux chrétiens[L 1] ont précédé l'actuelle cathédrale sur les mêmes lieux :

  • une basilique bâtie au IVe siècle[L 1] ;
  • une première cathédrale, bâtie au VIe siècle ;
  • une deuxième cathédrale romane, bâtie au XIe siècle.

L'édifice actuel est bâti à l’emplacement de cette dernière, en l’absorbant peu à peu.

Saint-Clair et la première église

Une tradition légendaire fait remonter au IIIe siècle l'arrivée de saint Clair, premier évêque de la ville, venu de Rome en possession d’un clou qu'il affirme provenir de la croix qui supporta le martyre de saint Pierre. Il aurait fait édifier une chapelle pour abriter la relique qu’il dédie à saint Pierre et saint Paul[R 1]. Historiquement, on trouve effectivement trace d'un oratoire à l'ouest de la ville, sur les coteaux de Saint-Similien[4].

Mais c'est au IVe siècle qu'une première véritable église est implantée, cette fois à l'est, là où les futurs bâtiments de la cathédrale se succèderont. Cet édifice est implanté près de l'enceinte gallo-romaine, et ce choix va en conditionner le développement ultérieur : le chevet de l'église étant très proche des remparts, l'extension de la future cathédrale a été par la suite en butte à ce problème[L 1]. Sous cette basilique sont creusées trois petites cryptes. Elle durera jusqu'au VIe siècle, où le besoin d'accueillir des fidèles plus nombreux poussera à l'établissement d'une première véritable cathédrale[R 1].

La première cathédrale

Église Saint-Jean-du-Baptistère

La cathédrale diffère de l'église paroissiale nommée « Saint-Jean-du-Baptistère » édifiée au IVe ou Ve siècle sur son côté nord, et dont les vestiges furent mis au jour lors des fouilles menées par le chanoine Durville, entre 1910 et 1913. Cette église, qui était aussi le siège du doyenné de la « chrétienté », c'est-à-dire de la partie du diocèse qui s'étendait entre la Loire, le diocèse d'Angers et le cours de l'Erdre, se composait d'une nef coupée par un transept débordant, sans abside, mais était de dimension suffisante pour recevoir durant le Xe siècle « tout le peuple chrétien de la cité ».

Comme son nom l'indique, l'édifice renfermait un baptistère et, de fait, deux piscines baptismales ont été retrouvées dans la nef. L'une de ces piscines, datant du IVe siècle, formait un bassin octogonal de côtés inégaux de 0,60 à 0,71 mètre de longueur, pour un diamètre de 1,56 mètre et une profondeur d'environ 1 mètre. L'autre, du VIe siècle, consistait en un bloc circulaire de maçonnerie d'un diamètre de 3,65 m pour 0,70 m de profondeur, dans lequel s'enfonçait une excavation octogonale, en briques, qui constituait, à proprement parler, la cuve baptismale.

Le chevet de l'église fut détruit, vers la fin du IXe siècle, tandis que la nef disparut avant la fin du XVe siècle, entre 1469 et 1486, pour faire place au collatéral nord de la cathédrale[R 2].

La cathédrale

La construction de la première cathédrale débute au VIe siècle, à l’initiative de l’évêque Evhemerius, Evhémérus ou Eumélius II (527-549). Elle est consacrée en 567 ou 568[5],[6] ou même le 30 septembre 580[2] par son successeur, Félix Ier (550-582)[L 1].

Cet édifice avait trois nefs, avec trois portiques correspondant en façade, et était surmonté d'une tour carrée surmontée d'une lanterne en forme de dôme[R 3]. La cathédrale fait alors l’admiration de Venance Fortunat, évêque de Poitiers, qui la décrit en ces termes[L 1] :

D’une hauteur élevée s’étend une triple nef
dédiée à Dieu, sous le vocable des Apôtres.
Autant parmi les saints leur gloire prédomine,
Autant dépasse les autres le faîte de cette église.
En son milieu se dresse en hauteur une tour élancée.
L’ouvrage d’abord carré s’élève en forme de rotonde.
On dirait une forteresse, soutenue par des arcs,
qui monte à une hauteur stupéfiante.
Elle domine l’édifice, comme le sommet d’une montagne.
Des figures de pourpre y représentent des êtres vivants :
Peintures qui semblent vivre par un effet de l’art
Quand le soleil mouvant vient les colorer à travers la toiture d’étain…

Fortunat évoque par ailleurs la lumière des toits « couverts de métal » ; les lambris intérieurs et le toit étaient couverts d'étain[2], issu probablement des mines proches de Piriac et Pénestin[R 4].

Outre les descriptions dithyrambiques d'observateurs (Fortunat, Albert le Grand), diverses fouilles aux XIXe siècle et XXe siècle attestent également de la richesse et de la magnificence de l'église d'Evhémérus et de Félix, ce qui en fit sans doute une cible de choix pour les Normands au cours des IXe et Xe siècles.

Ainsi le , lors d'une invasion normande, l’évêque Gohard y est massacré avec ses paroissiens[R 5]. L'évêque Fulquerius ou Foucher procède à une restauration et à un renforcement entre 897 et 906[L 1], mais en 919 l'église est à nouveau pillée lors d'un nouveau raid, et cette fois considérablement incendiée[R 5]. Il faut attendre la fin du XIe siècle pour que l'édifice soit reconstruit, à l'initiative du duc Guérec. De cette époque daterait le noyau de la crypte médiévale. Un ambitieux projet de reconstruction, probablement dû à l'évêque Benoît de Cornouaille entre 1079 et 1111, est abandonné après la construction de départs d'un bras sud du transept[L 1].

La cathédrale romane

Pour rebâtir la cathédrale, le choix est fait de ne pas détruire la crypte de Guérec. Celle-ci n'étant pas souterraine il faut alors surélever le sol pour établir le chœur. La nef, probablement dotée de collatéraux, aurait été couverte de trois coupoles faites de blocages, à l'image de la cathédrale du Puy. L'hypothèse généralement retenue établit la période de construction après 1130. Il n'y a pas de certitudes concernant l'aspect extérieur et les détails de cette cathédrale. À la fin du XIIe siècle le chœur est modifié, étape la plus achevée de l'église romane. En 1415, un incendie entraîne la démolition d'une tour carrée, au XVIe siècle puis au XVIIe siècle les ébauches du bras sud du transept sont supprimées, en 1733 le chœur roman est aplani, l'ensemble est détruit en 1876[L 2]. De cette époque, il ne subsiste au XXIe siècle que la crypte située sous le chœur, et quelques chapiteaux conservés au musée Dobrée.

La cathédrale actuelle

Première phase de construction

La construction de l’édifice actuel est initialement conduite par Guillaume de Dammartin, dont les liens avec Guy de Dammartin ou Jean de Dammartin (architecte de la cathédrale de Tours) ne sont que suppositions[G 1], puis par Mathurin Rodier, sous l'impulsion du duc de Bretagne Jean V et de l’évêque Jean de Malestroit, qui posent la première pierre le .

Le milieu du XVe siècle est en effet une période propice au lancement de tels projets, la Bretagne ayant retrouvé une prospérité commerciale suffisante grâce à une politique diplomatique opportuniste et habile qui lui permet de rester relativement à l’écart des déchirements européens de l’époque, notamment entre les royaumes de France et d’Angleterre.

Blason du chapitre de la cathédrale de Nantes

De plus, l’établissement d’une aussi imposante cathédrale, et l’implication qu’y met le pouvoir ducal, participent à la légitimation de ce pouvoir dans un contexte difficile suite aux guerres de succession du duché de Bretagne[G 2]. On notera d’ailleurs que Nantes n’est pas la seule ville à bénéficier de cette volonté politique de Jean V : citons par exemple le chantier similaire de la façade de la cathédrale de Quimper, initié dix ans plus tôt en 1424.

Le portail central qui orne la façade est achevé en 1481, pour les grand-messes. Henri IV la franchira en 1598, lors de son passage à Nantes pour y signer l’Édit de Tolérance.

Si la façade est achevée dès la fin XVe siècle, les tours ne le sont qu'en 1508, la nef et les collatéraux le sont également au début du XVIe siècle, la voûte gothique de la nef, le bras sud du transept et les arcs-boutants sont terminés au XVIIe siècle. Un projet d'achèvement du XVIIe siècle (dont il reste une maquette) envisageait d'ajouter un transept ainsi qu'un chevet court, adossé aux remparts[7].

Révolution et Empire

Lors de la Révolution, la cathédrale est utilisée comme poste d'observation militaire lors du siège de Nantes en 1793. Une tour de bois de 10 mètres de hauteur est construite sur la tour sud, et la surveillance est assurée au moyen d'un télescope. Les décisions militaires sont prises en fonction des renseignements ainsi obtenus[8].

Dans cette période, elle est transformée en arsenal et en écurie, puis un arrêté départemental de 1794 la consacre officiellement à la célébration des fêtes publiques (ce à quoi doit également servir le grand-orgue)[R 6].

La cathédrale est menacé de destruction en 1796, et il est envisagé de prolonger la « rue du Département » (devenue rue du Roi-Albert) en droite ligne jusqu'à la « rue Brutus » (rue Prémion) face au château. L'intervention, en tant qu'expert, de Mathurin-Julien Grolleau, évite la destruction de l'édifice. Il rédige un rapport où il stipule que la cession de l'église ne peut se faire qu'à la condition que le bâtiment ne subisse aucune modification de structure extérieure, et rappelle l'importance d'un observatoire aussi élevé à Nantes, qu'il aurait été coûteux de construire si la cathédrale était détruite[9].

Le l'explosion d'une poudrière dans la tour des Espagnols du château des ducs de Bretagne entraîne d'importants dommages sur l'aile sud de la cathédrale[R 6].

Par la suite, l'observatoire est maintenu, pour les études astronomiques, et pour les besoins de l'école d'hydrographie, qui forme les officiers de marine aux nouvelles techniques de navigation. La tour en bois présente rapidement des signes de vétusté[10], et, la cathédrale ayant retrouvé sa vocation religieuse, n'est pas située à un endroit adapté à un usage civil intensif[11]. L'observatoire est déplacé en 1823 dans la tour de la « maison Graslin », rue Molière[12].

Achèvement

La démolition des murailles à l'est de la ville permit l'achèvement de la cathédrale au XIXe siècle: le bras nord du transept et le chevet sont entrepris en 1840, le vieux chœur roman est abattu à partir de 1876 et l'ancienne tour de la croisée du transept en 1886[13]. Après 457 années de travaux, la cathédrale est enfin inaugurée le par Mgr Le Coq.

Les lustres de la nef sont réalisés vers 1870 par François Evellin, et classés en 1994 au titre objet des Monuments historiques[14].

Restauration

La façade restaurée de la cathédrale

Les violents bombardements du 15 juin 1944 conduisent également à des travaux de restauration de l’édifice qui sont presque achevés lorsque, le , se déclenche dans les combles un gigantesque incendie (dû à un chalumeau qu’un ouvrier a malencontreusement oublié d’éteindre[15]) qui embrase la toiture. Les pompiers parviennent à maîtriser le sinistre, mais la charpente est largement détruite, et de nombreux autres dommages sont à déplorer.

Suite à ce sinistre, auquel il ne faut pas oublier d'ajouter les dégradations dues à la pollution urbaine, des travaux sont entrepris. Ceux-ci constituent sans doute la plus complète restauration intérieure et extérieure d'une cathédrale en France. Ainsi, on profite des travaux pour reconstituer le décor de la façade ouest, telle que celle-ci se présentait à l'origine au XVe siècle (cette opération prend fin en septembre 2008). Cette restauration est par ailleurs loin d'être achevée, puisqu'il est envisagé d'effectuer après cette phase des travaux similaires, notamment sur la façade est de la tour sud, puis sur le portail du transept nord (côté Porte Saint-Pierre), et enfin sur le chevet[16].

L’édifice

Architecture

Plan au sol de la cathédrale

La cathédrale présente les dimensions suivantes :

  • hauteur de l'édifice : 63 mètres (Notre-Dame de Paris : 69 mètres) ;
  • longueur intérieure : 103 mètres (Paris : 130 mètres) ;
  • hauteur de la nef sous voûtes : 37,5 mètres (Paris : 33 mètres).

La façade de la cathédrale de Nantes est encadrée de deux tours assez massives, au sommet en terrasse. Elle présente quelques particularités remarquables, comme la présence d’une chaire extérieure prévue pour prêcher aux foules assemblées sur la place, ou encore l’organisation en cinq portails aux voussures richement décorées, trois centraux et deux latéraux. Les portails sont respectivement dédiés, du nord au sud, aux Enfants Nantais (les martyrs Donatien et Rogatien), à Saint Pierre, au Jugement Dernier, à saint Paul et enfin à saint Yves ; les sculptures des voussures ont une fonction historiographique, en fonction du personnage auquel le portail est dédié.

Si la façade n’a pas, dans son ensemble, l’élégance ni la noblesse architecturale d’autres bâtiments gothiques de la même époque, cette faiblesse se trouve largement compensée par la beauté de l’intérieur du bâtiment : on y remarque particulièrement la blancheur du tuffeau calcaire, encore accentuée par les récents travaux de restauration, ainsi que les imposantes dimensions du vaisseau (103 m de longueur, hauteur de la grande nef à 37,5 m).

Éléments remarquables

Événements

Cryptes

La cathédrale comporte deux cryptes :

  • une crypte romane du XIe siècle datant de l’époque de la deuxième cathédrale. Dotée de piliers, elle dévoile les origines de l’architecture romane. Des objets de culte y sont exposés : ciboires, calices, encensoirs. On peut y voir la crosse de Mgr Fournier, évêque de Nantes de 1870 à 1877, réalisée par François Evellin en 1870, et classée en 1982 au titre objet des monuments historiques[21] ;
  • la crypte des évêques, évoque les évêques de Nantes par leur tombeau.

Plus bas, quatre salles ouvertes au XIXe siècle retracent l’histoire de la cathédrale.

Orgues

Le Grand Orgue

  • Les documents témoignent de la présence d’un orgue dans la cathédrale dès le XVe siècle, époque à laquelle l’édifice est érigé. L’orgue à l’origine de l’instrument actuel est l’œuvre de Jacques Girardet pour la partie centrale et le positif, et date de 1619. Les parties latérales sont dues au facteur Adrien Lépine au siècle suivant (1768), puis c'est François-Henri Clicquot, facteur du Roi, qui refait cet orgue à neuf en 1784. Il est alors doté de 49 jeux, répartis sur 5 claviers manuels et un pédalier.
  • À la Révolution française, l'organiste Denis Joubert sauve l’orgue neuf de la vente ou de la destruction en le faisant participer aux fêtes révolutionnaires qui se déroulent à la cathédrale. En 1833, le Chapitre confie à Geiger, facteur de Nantes, le soin de relever le Grand Orgue. Mais le travail reste incomplet, avant d’être achevé en 1893.
  • Le 15 juin 1944, l’orgue subit des dégâts à la suite d’un violent bombardement sur Nantes. Un dommage de guerre affecté à l’instrument permet d’envisager une restauration. La manufacture Beuchet-Debierre, de Nantes, s'occupa du chantier et l’inauguration du nouvel instrument a lieu le 21 novembre 1971. Le nombre de jeux est alors porté à 74[22].
  • Lors de l'incendie qui se produit en 1972, Joseph Beuchet, alors à la tête de la manufacture, et ses ouvriers risquent leur vie pour bâcher l'instrument afin d'éviter des dégâts trop importants : cette opération permit d'abriter l'instrument de l'eau des pompiers qui, si elle s'était introduite dans les tuyaux, aurait rendu l'orgue hors d'usage. Des travaux doivent néanmoins être réalisés suite à cet incendie.

L'orgue de chœur

Les cérémonies ordinaires sont généralement accompagnées par l'orgue de chœur, aussi appelé « petit orgue », qui n'en est pas moins le plus grand orgue d'accompagnement de France. Achevé par Louis Debierre en 1897, il est doté de 33 jeux. Également endommagé par les bombardements de 1944 puis par l'incendie de 1972, il est restauré puis rendu à ses fonctions en 1985. La partie instrumentale de l'orgue est classée au titre des monuments historiques depuis le 2 décembre 1987[23].

Cinéma

La cathédrale de Nantes apparaît dans plusieurs scènes du film Une chambre en ville de Jacques Demy, réalisé en 1982.

Accès

Ce monument est desservi par la Ligne 4 du Busway de Nantes à la station « Foch-Cathédrale ».

Photos

Modèle:Message galerie

Compléments

Notes et références

  • Jean-Marie Guillouët, Les Portails de la cathédrale de Nantes, .
  1. p. 227-232
  2. p. 117-145
  • Jean-Michel Leniaud, Gilles Bienvenu, Pierre Curie, Véronique Daboust, Dominique Eraud, Catherine Gros, François-Charles James et Odette Riffet, Nantes, la cathédrale - Loire-Atlantique, .
  1. a b c d e f et g Leniaud et al. Eraud, p. 4-5
  2. Leniaud et al. Eraud, p. 6
  • Russon et Duret, La cathédrale de Nantes
  • Autres références.
  1. « Classement de la cathédrale de Nantes », notice no PA00108654, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 31 août 2009
  2. a b et c Girault de Saint-Fargeau 1829, p. 103
  3. L'existence même du dieu Bouljanus est remise en question : il peut s'agir d'une erreur d'interprétation d'une attribution au Janus romain. Voir à ce sujet le dictionnaire de Trévoux.
  4. Marie-Christine Bocquet, Une autre façon de découvrir...la cathédrale de Nantes, Éditions Patrimoine des Têtes-en-l'Air, , 103 p. (ISBN 978-2-9538137-0-8), p. 6.
  5. Henri de Berranger, Évocation du vieux Nantes, Éditions de Minuit, , 300 p. (ISBN 2-7073-0061-6), p. 18
  6. Jean Liénard, La cathédrale de Nantes, Imprimerie de la Presse de l'Ouest, , 30 p., p. 8
    Liénard avance la date du 30 septembre 568, Berranger celle de l'année 567
  7. Les cryptes de la Cathédrale de Nantes
  8. Sauzereau 2000, p. 21.
  9. Sauzereau 2000, p. 21-22.
  10. Sauzereau 2000, p. 24.
  11. Sauzereau 2000, p. 25.
  12. Sauzereau 2000, p. 26.
  13. Ville de Nantes : La cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul
  14. Notice no PM44000819, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  15. L’incendie de la cathédrale sur le site de l’INA
  16. Xavier Boussion, « Saint-Pierre n'en a pas fini avec les échafaudages », Presse-Océan,‎ (lire en ligne)
  17. Jean-Joseph Julaud, L'Histoire de France pour les Nuls, First Editions, 2004, p. 321
  18. André Perraud-Charmantier, Le Drame du Maquis de Saffré, Éditions du Fleuve, Nantes, , 154 p., p. 19
  19. « Le lycée Saint-Stanislas rend hommage au résistant nantais Michel Dabat », sur Maville.com, (consulté le )
  20. Fiche de l'Amicale de Châteaubriant-Voves-Rouillé
  21. Notice no PM44000347, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  22. Orgue Nantes
  23. Notice no PM44000878, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture. Consulté le 1er mars 2012.

Bibliographie

  • Marie-Christine Bocquet, La cathédrale de Nantes, Patrimoine des Têtes en l'air, .
  • Eusèbe Girault de Saint-Fargeau, Histoire Nationale et Dictionnaire Géographique de toutes les communes du département de la Loire-Inférieure, Paris, Nantes, Baudouin Frères, , 147 p.
  • Sous la direction de Louis Grodecki, Vitraux du Centre et des Pays de la Loire, Corpus vitrearum : Recensement des vitraux anciens de la France, volume II, p. 281, Éditions du CNRS, Paris, 1981 (ISBN 2-222-02780-2).
  • Jean-Marie Guillouët, Les Portails de la cathédrale de Nantes : un grand programme sculpté du XVe siècle et son public, Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. « Art et société », , 303 p. (ISBN 2-86847-791-7).
  • Jean-Paul James (dir.), Jean Bouteiller, Hervé Chouinard, Marcel Launay et Michel Leroy (directeurs scientifiques) et al., Nantes, La Nuée Bleue/DNA, coll. « La Grâce d'une Cathédrale », , 393 p. (ISBN 978-2-8099-1073-5, présentation en ligne)
  • Jean-Michel Leniaud, Gilles Bienvenu, Pierre Curie, Véronique Daboust, Dominique Eraud, Catherine Gros, François-Charles James et Odette Riffet, Nantes, la cathédrale - Loire-Atlantique, Nantes, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Commission régionale Pays de la Loire., coll. « Images du patrimoine », , 64 p. (ISBN 2-906344-36-4[à vérifier : ISBN invalide]).
  • Martial Monteil, « Les édifices des premiers temps chrétiens (IVe – VIIe siècle de notre ère) à Nantes », dans Hélène Rousteau-Chambon (dir.) et al., Nantes religieuse, de l'Antiquité chrétienne à nos jours, Département d'histoire et d'archéologie de l'université de Nantes, coll. « Bulletin de la Société archéologique et historique de Nantes et de la Loire-Atlantique » (no hors série), , 268 p. (ISSN 1283-8454), p. 29-38.
  • Félix Moreau, Le Grand-Orgue de la Cathédrale de Nantes, Nantes, brochure auto-éditée, , 81 p.
  • J.B. Russon et D. Duret, La cathédrale de Nantes, Roumegoux, Savenay, , 145 p.
  • Olivier Sauzereau (préf. Jacques Gapaillard), Nantes au temps des observatoires, Nantes, Coiffard éditions, , 120 p. (ISBN 2-910366-29-4).

Articles connexes

Liens externes

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