Braveheart

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Braveheart
Description de cette image, également commentée ci-après
William Wallace, personnage historique
sur lequel le film est basé.
Titre québécois Cœur vaillant
Réalisation Mel Gibson
Scénario Randall Wallace
Acteurs principaux
Sociétés de production Icon Productions
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Aventure
Biographie
Guerre
Historique
Durée 177 minutes
Sortie 1995

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Braveheart (également intitulé Cœur vaillant au Québec[1]) est un film américain produit, réalisé et interprété par Mel Gibson en 1995. Il raconte de manière romancée la vie de William Wallace, héros et symbole de l'indépendance écossaise, qui à la fin du XIIIe siècle, affronta, à la tête des clans écossais unis, les troupes du roi Édouard Ier d'Angleterre qui tentait d'envahir l'Écosse. Le film a remporté cinq Oscars à la 68e cérémonie, dont ceux du Meilleur film et du Meilleur réalisateur.

Résumé

Édouard Ier d'Angleterre, surnommé Longshanks (« aux longues jambes ») mais aussi The Hammer of Scots par les Anglais, occupe une bonne partie du sud de l'Écosse. Son oppression conduit à la mort le père et le frère du jeune William Wallace. Des années plus tard, après que Wallace a été élevé à l'étranger par son oncle, les Écossais continuent de vivre sous les lois cruelles d'Édouard Ier. Wallace revient dans son village natal avec l'intention de vivre comme paysan et d'éviter de s'impliquer dans les troubles qui agitent le pays. Il retrouve son amie et amour d'enfance, Murron MacClannough, à laquelle il montre le chardon, soigneusement préservé, qu'elle lui avait donné quand ils étaient enfants. Les deux jeunes gens se marient en secret afin d'éviter le décret du noctis primae que le roi a énoncé. Plus tard, quand un soldat anglais brutalise Murron et tente de la violer, Wallace vole à son secours. Il l'aide à monter à cheval pour qu'elle s'échappe pendant qu'il retient les soldats. Mais elle est finalement capturée et le shérif lui coupe la gorge en public, en proclamant : « une attaque contre les soldats du roi est pareille à une attaque contre le roi lui-même ». En représailles, Wallace, bientôt rejoint par les villageois, massacre la garnison anglaise et tranche la gorge du shérif à l'endroit même où celui-ci a tué Murron, et avec le même poignard. Ainsi débute la quête de Wallace pour l'indépendance de l'Écosse.

Quand Édouard Ier apprend la nouvelle de la rébellion de Wallace, il charge son fils, le premier Prince de Galles de l'Histoire, également prénommé Édouard, d'y mettre fin. Le prince Édouard est marié à Isabelle de France mais la délaisse car il est homosexuel. Pendant ce temps, Wallace et ses troupes multiplient les coups d'éclat et de nouvelles forces se joignent à lui au fur et à mesure que sa renommée grandit. Wallace inflige une cuisante défaite à l'armée anglaise envoyée contre lui lors de la bataille de Stirling. Il met ensuite à sac la cité d'York. Wallace cherche également à obtenir le soutien de Robert Bruce, solide prétendant au trône d'Écosse, mais celui-ci, malgré son admiration pour Wallace, est très influencé par son père, lépreux, qui le presse de soutenir Wallace officiellement tout en restant secrètement proche des Anglais.

Devant l'ampleur que prend la rébellion, Édouard Ier envoie la princesse Isabelle négocier la paix avec Wallace. Celui-ci refuse l'or les titres et les terres qui lui sont offerts en échange de sa soumission et fait forte impression sur Isabelle, qui s'attendait à rencontrer un barbare assoiffé de sang et non un homme cultivé. Plus tard, apprenant qu'Édouard Ier prépare une attaque surprise contre Wallace, Isabelle vient elle-même le prévenir du danger puis couche avec lui. Wallace tente d'unir les nobles écossais contre les Anglais mais, sur le champ de bataille de Falkirk, il est trahi par les nobles Lochlan et Mornay. Les Écossais sont vaincus et Wallace découvre que Robert Bruce était dans l'état-major anglais. Il refuse néanmoins de le tuer et Bruce, saisi de remords, lui permet d'échapper à la capture. Wallace tue ensuite Lochlan et Mornay en représailles et mène désormais une guérilla contre les Anglais.

Robert Bruce est désormais désireux de joindre ses forces à celles de Wallace mais, lors d'une rencontre organisé entre eux deux, le père de Bruce et d'autres nobles écossais les trahissent. Wallace est capturé et livré aux Anglais alors que Bruce renie son père. Wallace est emmené à Londres et est condamné à mort pour trahison, tandis qu'Édouard Ier est désormais gravement malade et proche de la fin. Isabelle, venue voir Wallace en prison, lui offre de s'empoisonner pour échapper à la torture mais il refuse. Isabelle apprend au roi, désormais incapable de parler, que l'enfant qu'elle attend, a priori le futur Edouard III d'Angleterre, est de Wallace, et lui promet de mettre un terme à sa lignée. Wallace subit publiquement une terrible torture mais refuse d'implorer la grâce du roi. Au lieu de crier « Pitié » pour que cessent ses tourments, il hurle « Liberté », ce qu'entend le roi d'Angleterre, et les deux personnages meurent en même temps, Wallace décapité à la hache et le roi sur son lit.

Des années plus tard, Robert Bruce refuse de se soumettre à une armée anglaise et, invoquant la mémoire de Wallace, mène les Écossais à la victoire à la bataille de Bannockburn, assurant l'indépendance de l'Écosse.

Fiche technique

Mel Gibson, réalisateur et acteur principal du film

Distribution

Sophie Marceau joue Isabelle de France
Sources et légende : Version française (VF) sur AlloDoublage[3] et Voxofilm[4]. Version québécoise (VQ) sur Doublage Québec[5]

Conception

Le scénario de Braveheart se base principalement sur The Actes and Deidis of the Illustre and Vallyeant Campioun Schir William Wallace, un poème épique de Blind Harry, auteur du XVe siècle. Face aux critiques, le scénariste Randall Wallace s'est défendu ainsi : « Est-ce que Blind Harry a raison ? Je ne sais pas. Je sais que cela parlait à mon cœur et c'est ce qui m'importait[N 1] »[6].

Production

Icon Productions, la société de production de Mel Gibson, a des difficultés à trouver des investisseurs, même en mettant en avant Mel Gibson comme tête d'affiche du film. Warner Bros. est prêt à apporter des fonds au projet si Mel Gibson accepte de signer pour un nouvel épisode de L'Arme fatale, ce que refuse l'acteur. Paramount Pictures est d'accord pour distribuer le film aux États-Unis et au Canada, à condition que la 20th Century Fox se porte comme partenaire pour les droits internationaux[7]. Le projet de Braveheart prend tellement de temps à Mel Gibson que Luc Besson finit par abandonner l'idée de lui donner le rôle principal du Cinquième Élément, malgré l'accord de l'acteur pour tourner dans ce film[8]. Entre temps, Mel Gibson a fait appel à Terry Gilliam pour diriger Braveheart, mais ce dernier a décliné la proposition et il a donc décidé de le réaliser lui-même[9].

Durant le tournage, l'équipe passe six semaines en Écosse alors que les principales scènes de bataille sont tournées en Irlande, avec la participation de membres de la réserve de l'armée irlandaise, auxquels il a été accordé exceptionnellement le droit de se faire pousser la barbe[10]. Pour minorer les coûts, Mel Gibson utilise les mêmes figurants pour jouer les soldats des deux camps. Le nombre de figurants monte jusqu'à 1 600 pour certaines scènes[10]. Mel Gibson a par la suite adouci les scènes de bataille pour éviter que le film soit classé NC-17 par la MPAA[11]. Les séquences d'intérieur furent filmées dans les studios Ardmore et de nombreuses scènes ont été tournées au château du Roi Jean à Limerick, qui fut déjà utilisé pour des scènes de Au-delà de la gloire de Samuel Fuller. Mel Gibson a dit s'être inspiré des grandes épopées cinématographiques qu'il aimait dans son enfance, comme Spartacus de Stanley Kubrick ou Les Grands Espaces de William Wyler. Dans le making-of du DVD, il raconte qu'il a beaucoup appris de George Miller et Peter Weir, deux réalisateurs qui l'ont dirigé au début de sa carrière. L'atmosphère celtique du film est en partie expliquée par les origines irlandaises de Mel Gibson[12].

Accueil

Box-office

Braveheart a rapporté au total 210 409 945 $ au box-office mondial (dont 75 609 945 $ aux États-Unis), se classant ainsi au treizième rang des plus grands succès cinématographiques de 1995[13]. En France, il a réalisé 1 231 534 entrées[14]. Il est actuellement le 527e plus grand succès de l'histoire du cinéma[15].

Accueil critique

Braveheart recueille 81 % de critiques positives, avec une note moyenne de 7,1/10 et sur la base de 53 critiques collectées, sur le site internet Rotten Tomatoes[16]. Il obtient un score de 68/100, sur la base de 20 critiques, sur Metacritic[17]. En 2008, le magazine Empire l'a classé à la 320e place dans sa liste des 500 meilleurs films de tous les temps[18].

Controverses

Braveheart a créé la polémique à cause de son caractère extrêmement violent. Mel Gibson a eu des démêlés avec des organismes de protection des animaux qui ont cru que les chevaux utilisés dans les violentes scènes de combat étaient réels, alors qu'ils étaient en réalité faux. Une version longue a été réalisée avec une scène principalement allongée de la torture de William Wallace, censée représenter la sentence médiévale hanged, drawn and quartered et montrer toutes les tortures que cet homme avait endurées, mais elle fut coupée car jugée « choquante »[9].

Le film fut également pointé du doigt pour ses invraisemblances historiques. La véritable bataille de Stirling a pour élément principal un pont, lequel n'apparaît absolument pas dans le film[19]. La bataille telle qu'elle apparaît présente plus de ressemblances avec celle de Bannockburn, citée à la fin du film. De plus, William Wallace n'a jamais rencontré Isabelle[20]. En 1305, année de la mort de Wallace, elle n'était pas encore mariée à Édouard II d'Angleterre (les noces n'ont lieu que 3 ans plus tard) et n'était âgée que de 13 ans. Aucun Écossais ne portait de kilt à l'époque, en effet c'est un vêtement plus tardif[21], vers le XVIe siècle. La révolte des Écossais aurait, elle, débuté suite à la pratique du droit de cuissage par les seigneurs anglais, d'après le film. En réalité, il n'existe aucune preuve que cette pratique ait existé au Moyen Âge.

Enfin, le film a été qualifié d'anglophobe [22],[23],[24],[25],[24],[26].

Influences

Braveheart a suscité un intérêt considérable pour l'Écosse et l'histoire écossaise, non seulement à travers le monde, mais aussi en Écosse elle-même. Les fans viennent de partout dans le monde pour voir les endroits en Écosse, où William Wallace s'est battu pour la liberté écossaise, et aussi pour voir les lieux de tournage en Écosse et en Irlande. Une convention Braveheart s'est tenue en 1997 à Stirling le jour suivant le vote de la dévolution écossaise et en présence de 200 délégués du monde entier, dont l'auteur Randall Wallace, Wallace Seoras du Clan Wallace, l'historien écossais David Ross et Bláithín FitzGerald d'Irlande qui ont donné des conférences sur divers aspects du film. Plusieurs des acteurs y ont également assisté, dont James Robinson (William jeune), Andrew Weir (Hamish Jeune), Julie Austin (la jeune mariée) et Mhairi Calvey (Murron jeune). Le film est considéré par Lin Anderson (en), auteur de Braveheart: From Hollywood to Holyrood, comme ayant joué un rôle significatif en affectant le paysage politique écossais du milieu vers la fin des années 1990.

Dans le milieu de la musique apparentée au genre punk hardcore ou metalcore, où le public anime un pogo très violent, l'une des phases (souvent amenées par le chanteur du groupe se produisant sur scène) s'appelle le « braveheart » (ou mur de la mort (wall of death) ou encore le war). Il s'agit, dans la fosse, de séparer le public en deux : une partie à gauche de la scène, l'autre à droite, et au moment d'un top départ (souvent donné par le chanteur depuis la scène), les deux parties se ruent l'une sur l'autre avec violence. Cette appellation vient de la scène du film où les deux armées opposées se ruent l'une sur l'autre lors d'une bataille.

Musique

La musique originale de Braveheart a été composée et dirigée par James Horner, et interprété par l'Orchestre symphonique de Londres. La bande originale a été éditée dans le commerce en 1995 par le label Decca, puis un autre album, intitulé More Music from Braveheart et édité en 1997, également par Decca, proposait d'autres extraits et comportait des dialogues du film.

Liste de titres des albums :

Braveheart: Original Motion Picture Soundtrack (1995) :

  1. Main Title (2:51)
  2. A Gift of a Thistle (1:37)
  3. Wallace Courts Murron (4:25)
  4. The Secret Wedding (6:33)
  5. Attack on Murron (3:00)
  6. Revenge (6:23)
  7. Murron’s Burial (2:13)
  8. Making Plans/ Gathering the Clans (1:52)
  9. “Sons of Scotland” (6:19)
  10. The Battle of Stirling (5:57)
  11. For the Love of a Princess (4:07)
  12. Falkirk (4:04)
  13. Betrayal & Desolation (7:48)
  14. Mornay’s Dream (1:15)
  15. The Legend Spreads (1:09)
  16. The Princess Pleads for Wallace’s Life (3:38)
  17. “Freedom”/The Execution/ Bannockburn (7:24)
  18. End Credits (7:16)

More Music from Braveheart (1997) :

  1. Prologue/ "I Shall Tell You of William…" (dialogue-Robert the Bruce) (3:35)
  2. Outlawed Tunes on Outlawed Bag Pipes (2:03)
  3. The Royal Wedding (dialogue-Robert the Bruce) (2:12)
  4. "The Trouble with Scotland" (dialogue-King Edward the Longshanks) (0:40)
  5. Scottish Wedding Music (1:14)
  6. Prima Noctum (1:46)
  7. The Proposal (dialogue-Wallace and Murron) (1:35)
  8. "Scotland Is Free!" (dialogue-Wallace) (0:17)
  9. Point of War/JonnyCope/Up in the Morning Early (traditional) (2:59)
  10. Conversing with the Almighty (dialogue-various) (1:20)
  11. The Road to the Isles/ Grendaural Highlanders/ The Old Rustic Bridge by the Mill (traditional) (3:52)
  12. "Son of Scotland!" (dialogue-Wallace) (12:09)
  13. Vision of Murron (1:45)
  14. "Unite the Clans!" (dialogue-Wallace) (0:23)
  15. The Legend Spreads (dialogue-Storytellers) (1:07)
  16. "Why Do You Help Me?" (dialogue-Wallace and Princess Isabelle) (0:37)
  17. For the Love of a Princess (previously released score) (4:05)
  18. "Not Every man Really Lives" (dialogue-Wallace and Isabelle)
  19. "The Prisoner wishes to Say a Word (dialogue-The Executioner and Wallace) (3:43)
  20. "After the Beheading" (dialogue-Robert the Bruce) (1:48)
  21. "You Have Bled for Wallace!" (dialogue-Robert the Bruce) (1:22)
  22. Warrior Poets (dialogue-Wallace) (0:29)
  23. Scotland the Brave (traditional) (2:47)
  24. Leaving Glenurquhart (traditional) (3:32)
  25. Kirkhill (traditional) (4:08)

Distinctions

Le , Braveheart a remporté cinq Oscars sur dix nominations. Parmi les autres récompenses obtenues par le film, les plus importantes sont trois BAFTA Awards et un Golden Globe.

Récompenses

Sauf mention contraire ou complémentaire, les données sur les récompenses et les nominations sont issues du site IMDb[27]. L'année fait référence à la tenue de la cérémonie ou la remise du prix.

Année Cérémonie ou récompense Prix Lauréat(es)
1996 Oscars Meilleur film Mel Gibson, Alan Ladd Jr., Bruce Davey
1996 Meilleur réalisateur Mel Gibson
1996 Meilleure photographie John Toll
1996 Meilleur montage sonore Lon Bender, Per Hallberg
1996 Meilleur maquillage Peter Frampton, Paul Pattison, Lois Burwell
1996 Golden Globes Meilleur réalisateur Mel Gibson
1996 BAFTA Awards Meilleure photographie John Toll
1996 Meilleurs costumes Charles Knode
1996 Meilleur son Per Hallberg, Lon Bender, Brian Simmons, Andy Nelson, Scott Millan, Anna Behlmer
1996 Empire Awards Meilleur film -
1996 MTV Movie Awards Meilleure scène d'action[N 2] -
1996 NBR Award Prix spécial de réalisation Mel Gibson
1996 WGA Award Meilleur scénario original Randall Wallace
1996 Eddie Award Meilleur montage de long métrage Steven Rosenblum
1996 Golden Reel Award Meilleur montage son
section effets spéciaux et bruitage[N 3]
-
1996 E Pluribus Unum Award Meilleur long métrage -
1996 ASC Awards Performances exceptionnelles en cinématographie John Toll
1996 Critics Choice Awards Meilleur réalisateur Mel Gibson
1996 Prix du cercle des écrivains de cinéma (Espagne) Meilleur film étranger[N 4] -
1996 SEFCA Award Meilleur film : seconde place -

Nominations

Année Cérémonie ou récompense Prix Nommé(es)
1996 Oscars Meilleure musique James Horner
1996 Meilleur scénario original Randall Wallace
1996 Meilleure création de costumes Charles Knode
1996 Meilleur montage Steven Rosenblum
1996 Meilleur son Andy Nelson, Scott Millan, Anna Behlmer, Brian Simmons
1996 Golden Globes Meilleur film dramatique -
1996 Meilleure musique de film James Horner
1996 Meilleur scénario Randall Wallace
1996 BAFTA Awards Prix David Lean du meilleur réalisateur Mel Gibson
1996 Prix Anthony Asquith de la meilleure musique James Horner
1996 Meilleure direction artistique Thomas E. Sanders
1996 Meilleurs maquillages et coiffures Peter Frampton, Paul Pattison, Lois Burwell
1996 Saturn Award Meilleur film d'action/aventures/thriller -
1996 Meilleurs costumes Charles Knode
1996 Meilleure musique James Horner
1996 MTV Movie Awards Meilleur film -
1996 Meilleure performance masculine Mel Gibson
1996 Camerimage Grenouille d'or John Toll
1996 CAS Award Performances exceptionnelles en mixage son (long métrage) Andy Nelson, Scott Millan, Anna Behlmer, Brian Simmons
1996 DGA Award Performances exceptionnelles en réalisation Mel Gibson

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Citation originale : « Is Blind Harry true? I don't know. I know that it spoke to my heart and that's what matters to me, that it spoke to my heart. »
  2. Prix attribué à la scène dans laquelle les Écossais battent les Anglais pour la première fois.
  3. Prix partagé avec USS Alabama
  4. Prix partagé avec Ed Wood

Références

  1. « http://www.cmontmorency.qc.ca/~vgauthier/films/coeur_vaillant.htm »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le )
  2. (en) « Braveheart », sur The Numbers (consulté le )
  3. « Fiche du doublage français du film » sur AlloDoublage, consulté le 30 novembre 2014
  4. « Fiche du doublage français du film » sur Voxofilm, consulté le 30 novembre 2014
  5. « Fiche du doublage français du film » sur Doublage Québec, consulté le 30 novembre 2014
  6. L. Anderson, Braveheart: From Hollywood to Holyrood, p. 27
  7. (en) « http://www.variety.com/article/VR1117926430.html »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le )
  8. Luc Besson, L'histoire du Cinquième Élément, Intervista, 1997, p. 11
  9. a et b http://www.allocine.fr/film/anecdote_gen_cfilm=10080.html
  10. a et b (en) « Braveheart 10th Chance To Boost Tourism In Trim », sur Meath Chronicle, (consulté le )
  11. (en) « Mel talks to Seoras Wallace », sur Magic Dragon Multimedia (consulté le )
  12. (en) « Mel Gibson », in The Movie Book, Phaidon Press Ltd., 1999, p. 165
  13. « (en) Braveheart », Box Office Mojo (consulté le )
  14. « Braveheart », sur JP's Box-Office (consulté le )
  15. http://www.imdb.com/boxoffice/alltimegross?region=world-wide
  16. « (en) Braveheart », Rotten Tomatoes (consulté le )
  17. « (en) Braveheart », Metacritic (consulté le )
  18. (en) « The 500 Greatest Movies of All Time », Empire (consulté le )
  19. "Film Braveheart - Page 2" sur Erreurs de films
  20. (en) Alex von Tunzelmann, « Braveheart: dancing peasants, gleaming teeth and a cameo from Fabio », sur The Guardian, (consulté le )
  21. (en) Sharon L. Krossa, « Braveheart Errors: An Illustration of Scale », sur medievalscotland.org (consulté le )
  22. « Economist.com », Economist.com, (consulté le )
  23. « John Sutherland », The Guardian, London,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. a et b « Braveheart battle cry is now but a whisper », London, Times Online, (consulté le )
  25. (en) McArthur Colin, Brigadoon, Braveheart and the Scots: Distortions of Scotland in Hollywood Cinema, Londre u, I.B.Tauris, (ISBN 978-1-86064-927-1, LCCN 2004298452, lire en ligne), p. 5
  26. Ian Burrell, « Most race attack victims `are white': The English Exiles - News », London, The Independent, (consulté le )
  27. (en) « Awards for 'Braveheart' (1995) », sur IMDb (consulté le )

Source de la traduction