Génicourt

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Génicourt
Génicourt
La mairie.
Blason de Génicourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC Sausseron Impressionnistes
Maire
Mandat
Olivier Deslandes
2020-2026
Code postal 95650
Code commune 95271
Démographie
Gentilé Génicourtois
Population
municipale
513 hab. (2021 en diminution de 2,1 % par rapport à 2015)
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 00″ nord, 2° 04′ 00″ est
Altitude 103 m
Min. 68 m
Max. 106 m
Superficie 6,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pontoise
Législatives 1re circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Génicourt
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Génicourt
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Génicourt
Liens
Site web https://genicourt.fr/

Génicourt est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France, sur une vaste plaine agricole. Ses habitants sont appelés les Génicourtois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Sentier au nord du village.

Le village se situe sur le plateau agricole du Vexin français et dans le Parc naturel régional du même nom, au nord de l'agglomération de Cergy-Pontoise, à 40 kilomètres au nord-ouest de Paris.

L'aérodrome de Pontoise-Cormeilles jouxte le territoire communal à son extrémité nord-ouest.

Génicourt est desservi par :

Plusieurs lignes du réseau de bus du Vexin desservent le village :

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Il est bordé par les communes de Livilliers, Osny, Boissy-l'Aillerie, Épiais-Rhus, Grisy-les-Plâtres et Cormeilles-en-Vexin. Génicourt touche en outre à Ennery en un quadripoint, mais ne possède pas de limites communes avec cette ville.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 687 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records PONTOISE - AERO (95) - alt : 87m, lat : 49°05'25"N, lon : 2°01'42"E
Records établis sur la période du 01-11-1946 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,4 3,2 4,8 8,2 11 12,9 12,8 10 7,7 4,4 2,1 6,7
Température moyenne (°C) 4,3 4,8 7,6 10,2 13,6 16,7 18,9 18,8 15,5 11,9 7,5 4,7 11,2
Température maximale moyenne (°C) 7 8,2 12 15,6 19 22,3 24,9 24,9 21 16 10,7 7,4 15,8
Record de froid (°C)
date du record
−17,8
17.01.1985
−15,4
07.02.12
−11,1
13.03.13
−4,6
12.04.1986
−1,6
06.05.19
1
05.06.1991
4
01.07.1960
3,1
26.08.18
−0,6
20.09.1952
−5,2
28.10.03
−10,2
24.11.1998
−16
07.12.1969
−17,8
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
05.01.1999
20
27.02.19
25,6
31.03.21
29,3
18.04.1949
32,5
27.05.05
37,1
27.06.11
41,6
25.07.19
39,2
12.08.03
35,5
08.09.23
28,8
01.10.11
21,7
01.11.14
17,4
07.12.00
41,6
2019
Précipitations (mm) 54,1 45,9 46,9 43,9 59,8 50,2 51,6 55,4 46,7 58,2 54,8 68,3 635,8
Source : « Fiche 95078001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Génicourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Jherincurt, Gainericorth, Jerincuria au IXe siècle, Gerincorth au XIIe siècle, Gerincort, Genicourt au XIIIe siècle[13].

Il s'agit, selon les formes anciennes, d'une formation toponymique médiévale en -court au sens ancien de « domaine rural » (terme issu du gallo-roman *CORTE ou *CURTE), précédé d'un nom de personne germanique, comme dans presque tous les cas.

Ernest Nègre propose l'anthroponyme germanique Gerinus, devenu Genin par attraction de ce dernier nom de personne[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Il est difficile de déterminer depuis quand le territoire de Génicourt est habité, et ce à cause d'un manque de documents sérieux. Des silex taillés et polis ont néanmoins été retrouvés dans les champs environnants le village[réf. nécessaire].

Génicourt a toujours été un lieu de passage important, voire de campement pour les troupes ennemies qui se dirigent vers Pontoise ou Paris aux XVe et XVIe siècle. Le «Château» de Génicourt, voit des personnalités plus ou moins importantes se relayer à sa porte, comme Nicolas Brûlart en 1605, marquis de Sillery, vicomte de Puisieux, conseiller du Roi et seigneur de Génicourt, Gérocourt et Marines ; ou encore son fils, Pierre Brûlart, négociateur du mariage de Louis XIII avec Anne d'Autriche. Les Brûlart de Sillery donnent à Génicourt son blason[réf. nécessaire].

En 1691, le village est transféré de l'élection de Gisors à celle de Pontoise, comme de nombreuses autres paroisses de la région. À cette époque, Génicourt est un village agricole prospère qui alimente le moulin de Pontoise en céréales.

Le , Gérocourt est rattachée à Génicourt[15], petit village situé au nord-ouest de Génicourt sur la RD 22, ce qui augmente la population de la commune de 30 %[16].

Génicourt connait un essor remarquable au début du XXe siècle. Le village est équipé d'un réseau de distribution d'électricité dès 1914[17]. L'artisanat y est alors relativement développé, la commune accueillant des cultivateurs, un maréchal-ferrant, un tonnelier, un charron, un menuisier et un maçon. La ferme de Gérocourt posséde même sa distillerie et transforme les betteraves en alcool. On peut également y voir à cette époque une petite activité commerciale, avec deux bistrots, un épicier, un débit de tabac et un marchand de lait. Les autres commerçants (boulanger, boucher, charcutier et poissonnier) sont ambulants.

Fait étonnant pour une si petite commune, la première piscine publique du Val-d'Oise est installée à Génicourt : les bassins sont aménagés en 1947 et sont couverts en 1982. La piscine accueille alors jusqu'à 6 000 visiteurs par mois. L'apprentissage de la natation et l'agrément d'un lieu de loisirs sont ses attributs majeurs, mais elle est aussi utilisée pour la kinésithérapie en milieu aquatique. Cependant, à la fin du XXe siècle l'établissement ne respecte plus les nouvelles normes européennes, et le coût des travaux étant trop lourd, l'avenir de la piscine est compromis. La tempête de décembre 1999 cause des dégâts importants au bâtiment et précipite sa fermeture[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[18], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie de 1801 à 1976 du canton de Pontoise, année où elle rejoint le canton de la Vallée-du-Sausseron[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Pontoise

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Génicourt est membre fondateur de la communauté de communes Sausseron Impressionnistes, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1795 1795 André Lavocat   Cultivateur
1795 1797 Henri Ogier   Agent municipal
1797 1798 Nicolas Aubin Guillard   Agent municipal
1798 1798 Nicolas Fournier   Agent municipal
1798 1799 Pierre Etienne Maitre   Agent municipal, cultivateur
1799 1800 Pierre Roch Caffin   Agent municipal
1800 1821 Claude Séjourné    
1821 1825 Pierre Etienne Maitre    
1825 1831 Claude Séjourné    
1831 1836 Jean François Deaubonne   Cultivateur
1837 1860 Jean Pierre Deschamps    
1861 1891[19] André Rousselle   Décédé en fonction
1891[20] 1911[21] Gustave Rousselle   Président de la Société d'agriculture et d'horticulture de Pontoise, fils du précédent
Décédé en fonction
1911 1912 Marcel Benard   Élu à la suite du décès du précédent[22]
1912 1929 Henri Durand    
1929   Charles Jorel    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 juillet 2020 Annie Poucet[23] SE  
juillet 2020[24] En cours
(au 2 décembre 2020)
Olivier Deslandes    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 513 habitants[Note 3], en diminution de 2,1 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
177148155198192171189194217
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
228223219218214222228231266
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
222228262268299301324341373
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
331345335373520544528520489
2015 2020 2021 - - - - - -
524514513------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 1801, Génicourt compte 148 habitants et Gérocourt 42.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants du village sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les communes de Génicourt, Livilliers et Hérouville. L'école communale Pierre-Lefevre accueille en 2020 les élèves du groupement pour les classes de CE1, CE2, CM1 et CM2[28]

Culture[modifier | modifier le code]

Une bibliothèque est ouverte depuis janvier 1993 dans les locaux du centre socio-culturel et est gérée par une équipe de bénévoles ; elle offre aux habitants du village ainsi qu'à ceux des communes avoisinantes un accès à plus de 4 000 livres ainsi qu'à des documents multimédias (cassettes, CD, CD-ROM)[29] dans une surface de 50 m2. Elle est un point de dépôt de la bibliothèque départementale de prêt (BDP) du Val-d'Oise.

Économie[modifier | modifier le code]

Le siège et le dépôt du réseau de bus Cergy-Pontoise Confluence et auparavant de la STIVO, société de transport en commun exploitant les lignes de bus de l'agglomération de Cergy-Pontoise, sont implantés sur le territoire de la commune. Le village possède également un hôtel des Ventes.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Portail sud Renaissance de l'ancienne église du XIIe siècle.

Génicourt compte un monument historique sur son territoire :

  • Portail de l'ancienne église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, rue des Fossettes, près du carrefour avec la RD 79 (classé monument historique par arrêté du [30]) : Cette église a été démolie en 1905, hormis le portail du bas-côté sud richement sculpté dans le style de la Renaissance, remontant au XVIe siècle. L'église datant des XIIe et XVIe siècles était de plan cruciforme avec nef, chœur rectangulaire, transept plus étroit que le vaisseau central et deux travées formant deux chapelles latérales. Mais le manque d'entretien provoqua des désordres dans la toiture et dans les murs de cet édifice dus au poids du clocher central. Dès 1830, elle doit être fermée au culte pour cause de danger. Du fait que Génicourt ne soit alors pas une paroisse, la restauration ne peut être financée ni par l'État, ni par le diocèse. Au bout d'une séance animée, le conseil municipal décide unanimement de sa destruction en 1904, ce qui ne reste pas sans susciter des polémiques. En effet, ni l'administration départementale, ni la commission des antiquités et des arts ne sont prévenues. La nouvelle église, sans caractère, coûte vraisemblablement beaucoup plus cher que n'aurait coûté la restauration de l'ancienne. - Outre le portail Renaissance déjà bouché au moment de la démolition de l'église, ne restent qu'un contrefort et divers éléments récupérés à l'intérieur tels que des statues, une pierre tombale, les fonts baptismaux (XVe ou XVIe siècle), les cloches, etc.[31],[32],[33].

On peut également signaler :

  • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul : Bâtie en remplacement de l'église précédente, elle est consacrée en 1905 et aura occasionné davantage de frais à la commune que n'aurait coûté la restauration de l'ancienne église. Le nouvel édifice occupe à peu près l'emplacement de l'ancien. Il est de plan rectangulaire avec un chevet plat. Le clocher en charpente s'élève au-dessus de la façade occidentale, avec une haute flèche couverte d'ardoise. Deux baies abat-son gémelées sont percées dans la façade, en dessous du clocher, ce qui donne l'impression de la superposition de deux petits clochers[33].
  • Ancien relais de poste dit la Maison Blanche, près de la RD 15 à l'entrée ouest du village : Établi sur l'ancienne route nationale 15, il date du XVIIIe siècle et était considéré comme écart de Génicourt, avant que l'extension du village ne le fasse fusionner avec de dernier. L'atelier du maréchal-ferrant jouxtait directement le relais de poste.
  • Petit pont de l'Arche, à mi-chemin entre Génicourt et Gérocourt, à l'est de la RD 22 actuelle : Ce pont du XVIIIe siècle enjambe un ruisseau et provient encore de l'ancienne route royale de Poissy à Beauvais[33].
  • Chapelle Notre-Dame-des-Neiges de Gérocourt : Chapelle privative de la famille Bénard, cultivateurs à Gérocourt, elle remplace une ancienne église elle aussi disparue, à l'instar de celle de Génicourt. Elle est construite en 1856 dans le style néoroman d'après les plans de l'architecte Charles Brouty, qui lui donne toutefois une décoration intérieure de style néo-Renaissance. La statue de la Vierge à l'Enfant datée du (XVIe siècle) provient sans doute de l'ancienne église. La chapelle abrite également le caveau familial des Bénard. Après une période d'abandon, l'édifice est racheté par la commune qui la fait restaurer[33].
  • Ferme de Gérocourt, 6 rue Saint-Mellon (RD 22) : Grande ferme construite en 1862 pour son propriétaire M. Rousselle, selon des principes architecturaux modernes pour leur époque. Ainsi, la grange possède à l'intérieur l'une des premières charpentes à longue portée, en appliquant une technique d'assemblage des grands arcs mise au point par le colonel Emy. Dans un bâtiment d'exploitation, une structure porteuse en fonte avec une riche ornementation a été réemployée, provenant peut-être de l'une des expositions universelles[33].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Génicourt Blason
De gueules à la bande d'or chargée d'un sarment de vigne ondé de sable, auquel sont liés par un anneau cinq barillets du même ordonnés 2 et 3[34].
Détails
Armes de la famille Brulart (XVIIIe siècle).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Génicourt au cinéma et à la télévision[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Catherine Crnokrak, Agnès Somers et Jean-Yves Lacôte (photographies), La vallée du Sausseron : Auvers-sur-Oise — Val d'Oise, Cergy-Pontoise, Association pour le patrimoine Île-de-France et Conseil général du Val d'Oise, coll. « Images du patrimoine / Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France », , 84 p. (ISBN 2-905913-09-6), p. 41-46.
  • Louis Régnier, Excursions archéologiques dans le Vexin français, première série : Génicourt, Évreux, Imprimerie de l'Eure, , 278 p. (lire en ligne), p. 37-43, lire en ligne sur Gallica.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Communes limitrophes de Génicourt » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Génicourt et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne) [1]
  14. ibidem.
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Jean Aubert, La grande histoire du Val-d'Oise, p. 84
  17. « Génicourt », L'Echo Pontoisien, no 29,‎ , p. 3 (lire en ligne).
  18. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  19. Décédé en fonctions le 12/03/1891 : « Nécrologie - M. André Rousselle », L'Echo Pontoisien, no 12,‎ , p. 1 (lire en ligne)).
  20. « Génicourt », L'Echo Pontoisien, no 25,‎ , p. 2 (lire en ligne).
  21. Décédé en fonctions le 07/10/1911, et inhumé dans un caveau familial à Gérocourt (« Nécrologie », L'Echo Pontoisien, no 41,‎ , p. 2 (lire en ligne)).
  22. « Génicourt », L'Echo Pontoisien, no 49,‎ , p. 3 (lire en ligne).
  23. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, (consulté le ).
  24. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Frédéric Naizot, « Comme certains villages du Val-d’Oise, Génicourt retrouve ses écoliers : Les locaux ont permis à la commune d’accueillir dès lundi 35 élèves. Les écoliers sont également de retour à Villiers-Adam et Chauvry », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. [2]
  30. Notice no PA00080070, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Génicourt, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 157.
  32. « Inventaire général du patrimoine culturel - église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00122318, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. a b c d et e M. Amiot, Yves Breton, Jean-François Humbert, Amélie Marty et Laure Schauinger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Génicourt », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 890-894 (ISBN 2-84234-056-6).
  34. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.