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Blanche de Castille

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Blanche de Castille
Illustration.
Blanche de Castille, détail d'une miniature de la Bible moralisée de Tolède, 1240.
Fonctions
Régente du royaume de France

(8 ans, 5 mois et 17 jours)
Monarque Louis IX
Reine de France

(3 ans, 3 mois et 25 jours)
Couronnement ,
en la cathédrale Notre-Dame de Reims
Prédécesseur Ingeburge de Danemark
Successeur Marguerite de Provence
Biographie
Dynastie Maison d'Ivrée
Nom de naissance Blanca de Castilla
Date de naissance
Lieu de naissance Palencia (Castille)
Date de décès (à 64 ans)
Lieu de décès Melun (France)
Sépulture Abbaye de Maubuisson
Père Alphonse VIII de Castille
Mère Aliénor d'Angleterre
Conjoint Louis VIII
Enfants Louis IX
Robert d'Artois
Alphonse de Poitiers
Isabelle de France
Charles d'Anjou
Religion Catholicisme

Blanche de Castille Blanche de Castille
Reines de France

Blanche de Castille (née le à Palencia, en Castille ; morte le à Melun) est reine de France[1] par son mariage avec Louis VIII.

Fille du roi Alphonse VIII de Castille et d'Aliénor d'Angleterre (elle-même fille d'Aliénor d'Aquitaine et du roi d'Angleterre Henri II Plantagenêt), elle épouse le le prince Louis de France, fils et héritier du roi Philippe Auguste. Elle est la mère de Saint Louis, à qui elle donne une éducation très pieuse, et exerce la régence entre la mort de son mari, Louis VIII, et la majorité de son fils.

Fille d’Alphonse VIII de Castille et d’Aliénor d'Angleterre, petite-fille de la fameuse Aliénor d'Aquitaine (elle est donc la nièce des rois Richard Cœur de Lion et Jean sans Terre), Blanche de Castille est née le à Palencia dans une famille nombreuse qui connaîtra la perte de certains enfants. Les chroniqueurs et les historiens de son époque ne nous ont rien transmis à propos de son enfance et son éducation probablement raffinée. Nous savons cependant que la nourrice de Blanche s'appelait Sancie Lopez et pouvons supposer qu'elle suivait la cour itinérante de ses parents[2].

Couronnement de Louis VIII le Lion Grandes Chroniques de France, enluminées par Jean Fouquet.

Selon la volonté de sa grand-mère Aliénor d'Aquitaine, et pour sceller la paix entre la France et l'Angleterre, l'une de ses petites-filles devait épouser le prince Louis, fils et héritier du roi Philippe Auguste. Durant l'hiver de 1199-1200, Aliénor, quoique septuagénaire[3], se rend donc à la cour de Castille, où elle choisit Blanche plutôt que sa sœur aînée Urraque, probablement pour son caractère et son intelligence (et non pour la consonance plus douce de son prénom, comme le prétendent certaines sources)[4]. Le 9 avril 1200, Blanche et sa grand-mère arrivent à Bordeaux, escortées d'une nombreuse députation castillane.

Elles se rendent ensuite en Normandie auprès de leur fils et oncle Jean sans Terre, et de Philippe Auguste, puis au château de Boutavant, résidence de Jean sans Terre. Par le traité du Goulet, Jean sans Terre cède le Vexin, le comté d’Évreux jusqu'au Neubourg et Damville. Le mariage ne peut avoir lieu sur le domaine du roi de France car, à la suite des démêlés matrimoniaux de Philippe Auguste, le pape Innocent III l'a frappé d'interdit. Le mariage est donc célébré le [5], en Normandie, dans le royaume, mais hors du domaine royal de l'époque, en l'église Saint-Martin de Port-Mort[6]. En l'absence des deux rois, la cérémonie est présidée par l'archevêque de Bordeaux. Blanche a douze ans et Louis treize ans.

Naissance de Saint Louis, Grandes Chroniques de France de Charles V.

Elle donne au roi douze enfants, deux filles et dix garçons dont des jumeaux. Cinq seulement atteignent l'âge adulte, quatre meurent durant l'adolescence et les autres en bas âge. Quatre fils jouent un rôle plus ou moins considérable : Alphonse, Robert, Charles d'Anjou et surtout le futur Saint Louis. Cette nombreuse progéniture efface les attentes d'héritier mâle lors des règnes précédents de Louis VII et Philippe Auguste[7]. Cette descendance, couplée avec son esprit, sa grande piété et l'éducation attentive de ses enfants, font d'elle une reine très appréciée. Contrairement toutefois à une image répandue par les récits et l'iconographie, Blanche n'assure pas elle-même l'éducation de Louis, elle la confie à des gouvernantes et à des maîtres, essentiellement des dominicains et des franciscains[8].

Sa descendance compte :

Femme de caractère, elle ne ménage pas son soutien à son époux lorsque celui-ci veut se lancer à la conquête de l'Angleterre en 1216-1217.

Elle s'indigne notamment lorsque le roi de France Philippe II Auguste refuse de soutenir financièrement son mari qui est en difficulté. D'après les Chroniques du ménestrel de Reims, elle aurait eu un vif échange avec le roi durant lequel elle l'interpelle : « Laisserez-vous ainsi mourir mon seigneur en une contrée étrangère ? Sire, pour Dieu, il doit régner après vous. Envoyez-lui ce dont il a besoin, au moins les revenus de son patrimoine. »[9]. Face au refus du roi, elle se serait alors exclamée :

« Au nom de Dieu, je sais bien ce que je ferai. Par la bonne mère de Dieu, j’ai de beaux enfants de mon seigneur ; je les mettrai en gage et je trouverai bien des gens qui me prêteront sur eux[9]. »

Pour l'historien Georges Minois, cette scène peut paraître improbable, mais elle démontre en tout cas l’influence que Blanche de Castille exerçait alors à la cour et qui était de notoriété publique. Face à l'insistance de Blanche, le roi finit par céder et accepte de puiser dans une partie de son trésor pour l'aider à soutenir son mari[9].

En 1229, elle permet également le traité de Meaux-Paris qui met fin au conflit albigeois.

Parallèlement, elle relaie l'œuvre réformatrice de Bernard de Clairvaux († 1153) et fonde les abbayes de Royaumont (1228), de Maubuisson (1236) et du Lys (1244).

Thibaut de Champagne.

Aussi célèbre par sa beauté que par sa sagesse, on raconte qu'elle inspire une vive passion à Thibaut de Champagne, qui la seconde dans sa politique et la chanterait dans ses vers.

Elle installe en 1251 dans l'abbaye de Juilly un orphelinat pour les enfants de chevaliers morts en croisade.

La mort de Louis VIII

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Mort de Louis VIII, en 1226.

Malgré sa profonde douleur à l'annonce du décès de Louis VIII, en novembre 1226, la reine se ressaisit vite et soutient avec force les membres du gouvernement alors en place pour faire de son fils Louis le vrai et authentique roi de France. Elle le fait sacrer à la cathédrale Notre-Dame de Reims mais, conformément au testament de Louis VIII, exerce la régence du royaume jusqu'à la majorité du nouveau monarque[10].

Des accusations

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Enceinte d'un douzième enfant à la mort de son époux, Blanche de Castille voit se liguer contre elle de puissants barons qui commencent par mettre en doute sa vertu. C'est pourquoi des accusations infamantes sont lancées contre elle, affirmant qu'elle porte l'enfant du comte de Champagne, ou bien du légat pontifical Romain de Saint-Ange[11].

La régence de Blanche de Castille

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Saint Louis confiant la régence à sa mère Blanche de Castille (toile du XVIIIe siècle, par Joseph-Marie Vien.

Comme régente, Blanche de Castille peut compter sur quelques fidèles, mais la plupart des grands vassaux se liguent pour s'emparer du gouvernement. Femme de caractère, la reine ne s'en laisse pas conter. Elle négocie âprement le ralliement à la couronne de ceux qui hésitent, et impose son autorité aux autres. Certains toutefois refusent de voir un enfant de douze ans et sa mère régner. Parmi eux, Hugues X de Lusignan et le duc de Bretagne Pierre Mauclerc envisagent d'enlever le roi Louis IX de France. Réfugié avec Blanche dans la forteresse de Montlhéry, le roi ne doit son salut qu'à la population parisienne qui, alertée par Blanche, est venue le chercher et l'escorter jusqu'à Paris. Ce n'est qu'en 1229 que les insurgés, défaits par l'armée royale, accepteront de rentrer dans le rang. Blanche de Castille est parvenue à ses fins, et puisque son fils est encore trop jeune pour gouverner seul, c'est elle qui l'initiera à son métier de roi jusqu'en 1235. Choisissant pour lui les meilleurs précepteurs, elle ne néglige pas non plus son éducation spirituelle et lui inculque les préceptes de foi et de moralité qui contribueront par la suite à faire de lui le seul roi de France reconnu saint[11].

Le gouvernement du royaume de France

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Selon les chroniqueurs de l'époque, Blanche accomplit ses fonctions avec fermeté, supportant toutes les injures, les calomnies, les attaques inouïes contre sa vie privée et sa conduite du gouvernement du royaume. C'est sous le règne de son mari Louis VIII, qu’elle convainc d’intervenir, puis sous sa régence, et enfin sous le règne de son fils Louis IX qu'elle inspirait, qu'eurent lieu les massacres des Cathares.

Les soutiens politiques

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Ce n'est pas sans secours que Louis IX et sa mère se préparent à affronter le mécontentement des nobles du royaume. Le principal soutien de la reine et de son fils est cette équipe dirigeante rodée à l'exercice du pouvoir, à la tête de laquelle s'affirment encore le chancelier Guérin, premier conseiller de Philippe Auguste, évêque de Senlis, et le chambrier, officier de l'hôtel du roi et du trésor, Barthélemy de Roye, décrit comme un vieillard auprès de Blanche et de son fils.

Les premières révoltes

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Souveraineté royale et État : ces concepts sont encore récents dans la France du début du règne de Saint Louis. Affirmé seulement depuis Philippe Auguste, ce nouveau modèle n'est donc pas encore très solide. Les partisans de l'ancien système, celui de la féodalité triomphante, en sont d'autant plus dangereux. À la faveur de la minorité du roi, la grande et la moyenne noblesse multiplient les révoltes contre un pouvoir royal de plus en plus envahissant, sans jamais réussir.

Le temps des pardons

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Le , la reine Blanche, sur les suggestions de ses conseillers, libère Ferrand de Flandre, emprisonné après la bataille de Bouvines au cours de laquelle il avait commis une trahison. Elle élargit aussi d'autres hommes en signe de pardon.

Blanche s'efface

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Louis est probablement déclaré majeur en 1234 à 20 ans. Blanche le marie aussitôt à Marguerite de Provence. Sans cesser de respecter sa mère, il prend très vite la direction du gouvernement et Blanche s'efface progressivement. Louis dirige désormais les affaires. Il donne libre cours à ses talents militaires et politiques, tout en restant entouré des conseillers de sa mère qui étaient d'ailleurs souvent ceux de son père. Blanche reste néanmoins à ses côtés une conseillère avisée.

En août 1248, Louis IX quitte la France pour partir en croisade (la septième) et confie à sa mère la régence du royaume. Blanche de Castille n'était pas favorable à cette expédition que le roi a décidée à la suite d'un vœu fait pour demander à Dieu sa guérison. Elle s'acquitte de sa tâche avec prudence et sagesse. Quand Saint Louis est fait prisonnier en Égypte (1250), elle se dispose à réunir la somme exigée pour sa libération, ce qui ne sera pas nécessaire. Le roi ayant ensuite gagné la Terre sainte, Blanche lui envoie quelques troupes de renfort, mais insuffisamment pour renverser le rapport de force avec les chefs musulmans. Louis IX est encore en Orient quand il apprend la mort de sa mère à la fin de l'année 1252. Contre l'avis de ses conseillers, il décide malgré tout de ne pas rentrer tout de suite et ne regagne la France qu'en 1254.

Malade et retirée à Melun vers la fin de sa vie, elle meurt à Paris en novembre 1252[12] à l'âge de 64 ans, son fils étant encore en croisade. Elle sera enterrée selon son désir à l'abbaye de Maubuisson et son cœur transporté plus tard dans l'abbaye du Lys[13].

Vénération

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Blanche de Castille est parfois considérée comme sainte[14] ou comme bienheureuse[15], sans toutefois avoir été canonisée ni béatifiée (au Moyen Âge, il n'était pas rare que des fidèles vénèrent un vertueux personnage non officiellement béatifié et qui le devenait parfois de fait, jusqu'à figurer dans certains anciens martyrologes). Elle serait fêtée le 27 novembre ou le 2 décembre, suivant les sources.

Une reine poétesse ?

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On lui attribue Amours ou trop tard me suis pris[16].

Bibliographie

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  • Alexandra Gajewski, « Recherches sur l'architecture cistercienne et le pouvoir royal : Blanche de Castille et la construction de l'abbaye de Lys », dans Yves Gallet, Art et architecture à Melun au Moyen Âge, (lire en ligne), p. 223-254.
  • (en) Alexandra Gajewski, « The Patronage Question under Review : Queen Blanche of Castile (1188-1252) and the Architecture of the Cistercian Abbeys at Royaumont, Maubuisson, and Le Lys », dans Therese Martin, éditrice, Reassessing the Roles of Women as 'Makers' of Medieval Art and Architecture, vol. I, Brill, (ISBN 9789004185555 et 9789004228320, DOI 10.1163/9789004228320_007, lire en ligne), p. 197-244.
  • Jean Richard, « Les pouvoirs de Blanche de Castille », dans Éric Bousmar, Jonathan Dumont, Alain Marchandisse et Bertrand Schnerb, éd. Femmes de pouvoir, femmes politiques durant les derniers siècles du Moyen Âge et au cours de la première Renaissance, De Boeck, 2012, p. 91-100.
  • José Enrique Ruiz-Domènec, « Les souvenirs croisés de Blanche de Castille », dans Cahiers de civilisation médiévale, 42e année, no 165, janvier-mars 1999, p. 39-54, [lire en ligne].
  • Ursula Vones-Liebensten, « Une femme gardienne du royaume ? Régentes en temps de guerre (France-Castille, XIIIe siècle) », dans Philippe Contamine et Olivier Guyotjeannin (dir.), La guerre, la violence et les gens au Moyen Âge, vol. 2 : La violence et les gens, Paris, Éditions du CTHS, , 313 p. (ISBN 2-7355-0331-3), p. 9-22.

Tradition historiographique ancienne

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  • Charles de Combault Auteuil, Blanche infante de Castille, mère de St. Louis, reyne et régente de France, de Sommaville, (lire en ligne).
  • Blanche Vauvilliers, Histoire de Blanche de Castille, reine des Français, Paris, Paulin, (lire en ligne).

Télévision

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  1. Elie Berger, Histoire de Blanche de Castille reine de France, Paris, Thorin & fils, , XII-428 p. (OCLC 409447354, SUDOC 011856750).
  2. Philippe Delorme, Blanche de Castille. Épouse de Louis VIII, mère de Saint Louis, Pygmalion, , p. 17.
  3. Martin Aurell, Aliénor d'Aquitaine, Paris, PUF, , 147 p. (ISBN 978-2-13-081808-3), p. 5.
  4. Philippe Delorme, Blanche de Castille. Épouse de Louis VIII, mère de Saint Louis, Pygmalion, , p. 19.
  5. Philippe Delorme, Blanche de Castille : épouse de Louis VIII, mère de Saint Louis, dl 2022 (ISBN 978-2-204-14644-9 et 2-204-14644-7, OCLC 1319437691, lire en ligne).
  6. Gérard Sivéry, Blanche de Castille, Fayard, , p. 11.
  7. Respectivement grand-père et père de son époux.
  8. André Burguière, Robert Descimon, Jacques Revel, Alain Guéry, Jacques Le Goff, Histoire de la France, Seuil, , p. 93.
  9. a b et c Georges Minois, Blanche de Castille, Perrin, (ISBN 9782262070427, lire en ligne), Chapitre III - 1209-1223 : Blanche, femme d’influence, face à Philippe Auguste, , pages 95 à 151.
  10. Jacques Le Goff, Saint Louis, éditions Gallimard, , p. 110-111.
  11. a et b Gérard Sivéry, Saint Louis, Paris, 2007.
  12. Sébastien Rouillard, Melun, ou Histoire de la ville de Melun. Contenant plusieurs raretez, non descouvertes en l’histoire generalle de France. Plus la vie de Bourchard, comte de Melun, soubs le regne de Hues Capet. Traduicte du latin d’un autheur proche du temps. Avec le catalogue de plusieurs seigneurs, & dames illustres, de la maison de Melun. Le tout recueilly de diverses chroniques, et chartres manuscriptes. Par Mr. Sebastian Roulliard, de Melun, advocat en Parlement, p. 431 - 432.
  13. Charles de Combault Auteuil, Blanche infante de Castille, mère de St. Louis, reyne et régente de France, de Sommaville, (lire en ligne), « On déposa le Corps de la Regente dans l'Abbaye de Maubuisson avec les prières & les solennités accoutumées à ces rencontres. Mais au mois de Mars ensuivant le Cœur de la Princesse ce cœur généreux & magnanime fut reporté solennellement de Pontoise en l'Abbaye du Lys près Melun par Y Abbesse de ce Monastère iadis comtesse de Mascon à qui selon le témoignage de l'Evesque de Paris la Regente auroit accordé cette grace tant ».
  14. Simbología iconográfica de los santos, p. 337.
  15. Paroisse Saint-Martin-de-Porres, à Hermosillo, au Mexique.
  16. Data BNF.
  17. Dominique Bonnet, « Blanche de Castille, mère de Saint-Louis mais aussi de la Bienheureuse Isabelle », Paris Match,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Liens externes

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