Culture en Guyane

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La culture en Guyane englobe une diversité des pratiques culturelles, en raison de sa population pluriethnique, d'environ 300 000 Guyanais en 2022. Il existe plus d'une vingtaine de communautés sur ce territoire français d’Amérique du Sud, et tout autant de cultures, de langues et de dialectes (créoles).

Chaque communauté contribue au métissage de la culture guyanaise à travers ses patrimoines culinaires, humains, historiques, naturels et artistiques (musique, conte, danse, littératureetc.).

Langues et populations[modifier | modifier le code]

Langues[modifier | modifier le code]

Kriyòl Gwiyannen.

Tout comme la culture en Guyane est multiculturelle, la langue est également pluriculturelle[1].

Langues en Guyane, Langues de Guyane, dont :

Populations[modifier | modifier le code]

La société guyanaise a connu une augmentation démographique considérable depuis les années 1960, et cette augmentation est directement liée au grand nombre de migrants qui se trouvent en Guyane, qui ont collaboré non seulement à la croissance démographique mais aussi à la croissance économique[2].

La société guyanaise est constituée de peuples autochtones des communautés amérindiennes, de Créoles guyanais, de populations immigrées des Caraïbes (antillais, sainte-luciens, haïtiens), de populations européennes (la plupart originaire de France métropolitaine) ou d'autres parties du monde (chinois, Hmong du Laos, libanais), ainsi que de populations des pays transfrontaliers et du plateau des Guyanes (les Surinamais, les Guyaniens, les Brésiliensetc.).

Parmi les peuples autochtones, on trouve :

Marronnage[modifier | modifier le code]

Les Marrons étaient les esclaves qui fuyaient leurs maîtres et se réfugiaient dans la forêt, où ils formaient ensuite leurs communautés. Ces peuples existent également au Brésil, au Pérou, aux États-Unis, en Jamaïque, en Colombie, au Belize, au Suriname et en Guyane[3]. Les peuples marrons, dénommés Bushinengué en Guyane, sont les Saramaka, Aluku, Djuka, Paramaka, Matawai et Kwinti.

Religion[modifier | modifier le code]

Cathédrale Saint-Sauveur de Cayenne.

La Guyane est formée par des gens très religieux, il y a donc beaucoup de pratiques religieuses. La majorité de la population est catholique, elle co-existe avec la tradition chamanique, les religions et rites africains, les évangéliques, les témoins de Jéhovah et plus récemment quelques musulmans. Cette convivialité permet la croyance populaire en l'efficacité de la magie et cela donne une originalité à la formation culturelle religieuse des Guyanais[4].

Croyances[modifier | modifier le code]

  • Soucougnan, Soucouyant ou Asema, équivalent de Lougarou
  • Obeah, sorcellerie surtout en milieu marron, avec sortilèges wisi
  • "Wisi", sorcellerie, pratiquée par un "wisiman"
  • Baclou, créature légendaire créole (Guyanes), responsable d'une forme de possession

Manifestations et festivités[modifier | modifier le code]

Carnaval de Guyane[modifier | modifier le code]

Défilé du Carnaval dans les rues de Cayenne en 2007.
Les Touloulous personnages typiques du carnaval guyanais.

Le Carnaval est l'un des événements majeurs de Guyane[5]. Il se déroule, les après-midi de dimanche, entre l'Épiphanie au début de janvier, et le Mercredi des Cendres en février ou mars. Des groupes déguisés selon la thématique de l'année, y défilent autour de chars décorés, au rythme des percussions et des cuivres. La préparation des groupes dure des mois avant le carnaval. Les groupes défilent devant des milliers de spectateurs qui s'amassent sur les trottoirs et les gradins aménagés pour l'occasion.

Puis, au début de soirée, les Touloulous et Tololos se rendent dans les dancings pour participer aux Bals paré-masqués.

Pratiques amérindiennes[modifier | modifier le code]

Costumes traditionnels[modifier | modifier le code]

Les femmes créoles portent de nombreuses robes (selon les différents rythmes), le Kanmza, noué a la taille et une coiffe appelée : Lachat. Les hommes portent une chemise et un pantalon et une ceinture de tissu appelée Matchoukann pour danser.

Les femmes bushinenge portent un pangui et les hommes portent un calimbé appelé Kamiza.

Les femmes amérindiennes portent un costume composé de tissu et de perles, les hommes portent un calimbé.

Sport[modifier | modifier le code]

Florent Malenda, footballeur international français.

Parmi les sports les plus prisés : rugby, football, cyclisme, athlétisme...

Sports traditionnels[modifier | modifier le code]

Sportifs et entraîneurs[modifier | modifier le code]

Arts martiaux[modifier | modifier le code]

Le djokan[6],[7],[8]est une discipline martiale née des pratiques guerrières amérindiennes, créole guyanaises, et bushinenges.

Gastronomie[modifier | modifier le code]

Galettes de cassave mises à sécher sur une claie.
Boucanage traditionnel de « vyann-bwa » (pécari à collier et macaque noir), en forêt guyanaise.

La gastronomie guyanaise est riche des différentes cultures qui se mélangent en Guyane, les restaurants créoles côtoient les restaurants chinois dans les grandes villes comme CayenneKourou et Saint-Laurent-du-Maroni. La gastronomie guyanaise à l'origine concernait les cuisines créoles, bushinengues, et amérindiennes[9]. Toutes ces cuisines ont plusieurs ingrédients en commun :

  • le manioc
  • le poulet et le poisson boucanés.
  • les fruits et graines de palmiers amazoniens

Il y a aussi de nombreux mets typiquement guyanais tels que le bouillon d'awara, la galette créole, les œufs de mulets, les comtesses, le gâteau cramanioc, le kalawanng, le gratin et la salade de couac, la fricassée d'iguane ou encore la fameuse pimentade.

La bière traditionnelle est le cachiri, à base de manioc.

Savoir-faire et artisanat[modifier | modifier le code]

Artisanat[modifier | modifier le code]

Sculptures faites par les peuples Noirs marrons.

L'artisanat guyanais continue à se développer[10],[11],[12].

Les Guyanais vivent sur un territoire recouvert à environ 90% de forêt tropicale humide, au cœur de l 'Amazonie : le rapport à la nature est très fort, et l'artisanat du bois très présent.

L'extraction des huiles de palmiers et de certaines arbres à graines, est un savoir-faire qui se transmet de génération en génération.

La construction de carbets : techniques de construction d’ossatures et charpentes à partir de bois ronds (carbets, cases aluku) ou bois sciés (carbets aluku et créoles), assemblages avec des lianes (carbets amérindiens), couvertures en feuilles de palmiers (carbets, cases aluku) ou bardeaux en wapa (carbets créoles), construction de cloisons en gaulette.

La confection du couac, la vannerie, l'orfèvrerie, la fabrication de pirogues et le métier de piroguiers.

  • Pratiques culturales liées à la gestion des abattis (parcelles agricoles défrichées par le feu en milieu tropical).
  • Jardin créole
  • Pratique de la chasse et de la pêche, reposant sur des connaissances fines de l’environnement : pêche à la nivrée, tir à l’arc…
  • Artisanat wayampi, un patrimoine culturel de l'humanité à préserver
  • Musée des arcs premiers des Guyanes

Médias[modifier | modifier le code]

Éducation[modifier | modifier le code]

Littérature et oralité[modifier | modifier le code]

Atipa, roman guyanais, d'Alfred Parépou (1885).

La littérature guyanaise est la littérature qui comprend l'ensemble des œuvres, écrites et orales, d'auteurs guyanais ou de personnes liées à la Guyane. Elle s'exprime aussi bien en langue française qu'en créole guyanais.

De ce département ou territoire vient le premier roman écrit dans une langue créole : Atipa.

En Guyane beaucoup de festivals de conteurs sont organisés : ce sont souvent des contes traditionnels racontés en créole guyanais.

Arts visuels[modifier | modifier le code]

Architecture[modifier | modifier le code]

Maison créole réhabilitée à Cayenne (Guyane).

Peinture[modifier | modifier le code]

Maluwana, un ciel de case Wayana.
Porte peinte à Apatou.
Fresque peinte par un bagnard, Église Saint-Joseph d'Iracoubo.

L’art Tembé fait partie des arts guyanais les plus appréciés par la population. Beaucoup sont réalisés à la main.

  • Artistes : José Legrand (1955-)[17], Roseman Robinot, Thierry Tian Sio Po, Fabrice Loval[18], Franky Amété[19]...
  • Aïmawale Opoya, artiste wayana, spécialisé en ciels de case[20]
  • Art Tembé (marron)[21],[22],[23]

Sculpture[modifier | modifier le code]

Artistes : Makosi, Kafé[24], Kenneth Solega[25]

Musées[modifier | modifier le code]

Arts de scène[modifier | modifier le code]

Musiques[modifier | modifier le code]

Auteurs, compositeurs, musiciens, chanteurs et interprètes[modifier | modifier le code]

Danses traditionnelles[modifier | modifier le code]

Chaque communauté en Guyane possède son propre répertoire de danse.

Danses traditionnelles Créoles Guyanaises

On distingue deux catégories de danses.

Il y a tout d'abord les danses de salon. Elles sont exécutées lors de grandes occasions telles que les mariages, les baptêmes, les événements importants dans la communauté. Elles sont généralement en tenues d'apparat. Les femmes sont vêtues de longues robes en tissu uni, ou avec des motifs madras ou fleuris. Les hommes portent un costume composé d'une chemise blanche, d'un pantalon pincé et d'une paire de chaussures de ville.

Danse Origine Signification / Thème Pas caractéristiques
Léròl Vallée de l'Oyapock

(Saint-Georges, Ouanary...)

Présentation et salutation Pas "léròl"
Grajé[27] Plateau des Savanes,

(Sinnamary, Kourou, Iracoubo...)

Tristesse, douleur, mésaventures de la vie Pas "glisé", pas "tournen",

Pas valsé

Grajé-valse Cayenne, Montjoly, Rémire Célébration de la grâce et de la prestance Pas valsé

Il y a ensuite les danses "d'abattis". L'abattis en Guyane désigne les plantations que possédait chaque famille et qui permettaient de cultiver les denrées alimentaires nécessaires à sa survie. Ces danses représentent le travail de la terre, la souffrance des anciens, la tristesse de la vie d'antan. Néanmoins, elles restent une célébration de la force des habitants de ces temps anciens. Elles se pratiquent en tenues courtes et avec très peu de bijoux. Les femmes sont vêtues de robes courtes (avec ou sans jupon) et de "kanmza". Le "kanmza" est un morceau de tissu rectangulaire qui se noue à la taille afin de maintenir les reins. Les vêtements des hommes sont réalisés en bleu de travail.

Danse Origine Signification / Thème Pas caractéristiques
Labasyou Guyane Séduction et hommage à l'amour
Béliya Guyane Plantation et travail de la terre "Ti pa Soté"

"Gran pa soté"

Ladjanbèl Guyane Plantation et travail de la terre Pas "Djanbèl"
Kanmougwé Esclave africain de Guyane d'origine bantoue Travail de la terre, préparation de l'abattis
Kasékò Vallée de l'Oyapock

(Saint-Georges, Ouanary...)

Joie et célébration. Elle se dansait à la fin de la journée de travail.

C'est aussi une danse de séduction à travers laquelle le cavalier pourra effectuer des nikas (acrobaties) afin de séduire la cavalière.

Hommes :

- Nikas

Laboulanjèr Esclave africain de Guyane Préparation du pain
Danses traditionnelles bushinenge (bushikondesama) guyanaises
  • Awasa
  • Songhé
  • Aléké
Danses traditionnelles amérindiennes guyanaises
  • Sanpula,
  • Malaka

Carnaval guyanais[modifier | modifier le code]

Image de Touloulou du samedi soir à Cayenne
"Au soleil couchant M'en allant danser" Touloulou rejoint son université pour plusieurs heures de mazurka et biguine dans les nuits du carnaval à Cayenne.

Le carnaval de Guyane dure entre 6 et 9 semaines, et est l'occasion d'assister à certains types de danses et de déguisements[28].

Théâtre[modifier | modifier le code]

  • Centre dramatique Kokolampoe
  • Théâtre de Macouria, scène conventionnée de Guyane
  • Conservatoire Musique Danse Théâtre de Guyane (CMDT)
  • (en) Bridget Jones, Paradoxes of French Caribbean Theatre. An annotated Checklist of Dramatic Works: Guadeloupe, Guyane, Martinique from 1900, London, Roehampton Institute, 1997

Cinéma[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Isabelle LÉGLISE, Bettina MIGGE, Pratiques et représentations linguistiques en Guyane, Paris, INSTITUT DE RECHERCHE POUR LE DÉVELOPPEMENT, (ISBN 978-2-7099-1630-1)
  2. Serge Mam Lam Fouck, La société guyanaise à l'épreuve des migrations du dernier demi-siècle 1965-2015, Guyane française, IBIS ROUGE ÉDITIONS, , 154 p. (ISBN 978 - 2 - 84450 - 490 - 6)
  3. Richard Price et Sally Price, LES MARRONS EN GUYANE, éditions Vents d'Ailleurs,
  4. Serge MAM LAM FOUCK, Histoire religieuse de la Guyane française aux XIXe et XXe siècles: La dimension de la religiosité des Créoles, Matoury, Guyane, Ibis Rouge éditions, (ISBN 978-2-84450-353-4)
  5. Le carnaval de Cayenne: Le jeux carnavalesque: une esthétique de proximité, Blodwenn Mauffret, Guyane, Ebis Rouge éditions, (ISBN 2844502466)
  6. « Le Djokan, un art martial amazonien né en Guyane - Guyane la 1ère », sur francetvinfo.fr, Guyane 1ère, (consulté le ).
  7. https://www.erudit.org/fr/revues/as/2018-v42-n2-3-as04040/1052652ar.pdf
  8. « LE DJOKAN », sur Site officiel du djokan art martial amazonien (consulté le ).
  9. La cuisine en Guyane
  10. « Go Entrepreneurs - L'événement incontournable pour créer et développer son entreprise », sur Go Entrepreneurs (consulté le ).
  11. « Artisanat », sur Site internet du CTG (Comité du Tourisme de Guyane), (consulté le ).
  12. http://web.archive.org/web/20211125210057/http://artisansdeguyane.com/.
  13. « Presse de Guyane », sur bnf.fr (consulté le ).
  14. « Académie de Guyane - Académie Guyane », sur ac-guyane.fr (consulté le ).
  15. Zoé Courtois, « « Allons enfants de la Guyane », d’Hélène Ferrarini : les « primitifs » de la République », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  16. Marie José Jolivet, De "l'habitation" en Guyane : éléments de réflexion sur la question identitaire créole. In : Rey-Hullman D. (ed.). Jeux d'identités : études comparatives à partir de la Caraïbe, Paris, L'Harmattan, (ISBN 2-7384-2133-4), p. 141-165
  17. « Bio », sur Jose Legrand (consulté le ).
  18. Véronique Bedz/CL, « Quatre artistes peintres guyanais vont participer à une exposition sur le thème de l'Amazonie aux Pays-Bas - G », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  19. « Franky Amété, artiste peintre guyanais : de l’art traditionnel Tembé à l’art moderne », sur Sur les pas d'Albert Londres, (consulté le ).
  20. « Rencontre avec Aimawale Opoya, artiste des maluwana et gardien des savoirs Wayana », sur naturerights.com (consulté le ).
  21. « Arts Marrons : focus sur l’art tembe », sur Boukan & Une Saison en Guyane (consulté le ).
  22. http://ekladata.com/Lk0GDOUAwHQezwXHkx3BM8ANEGg/fiche-exercice-4eme.pdf
  23. Eric Léon/CL, « Saint-Laurent : un atelier d'initiation à l'art tembé - Guyane la 1ère », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  24. « Kafé, le sculpteur sur bois de Madjo Kampu - Guyane la 1ère », sur francetvinfo.fr, Guyane 1ère, (consulté le ).
  25. « Charvein : L'art de la sculpture sur bois - Chronique du Maroni », sur Chronique du Maroni, (consulté le ).
  26. Hélène  Lee, « La Musique de Guyane », sur rfi.fr, RFI Musique, (consulté le ).
  27. Marie-Françoise PINDARD, Le grajé de Guyane : musique traditionnelle créole, Guyane, Ibis rouge Editions, , 122 p. (ISBN 978-2-84450-303-9), p. 19 à 29
  28. « Et si le carnaval de Guyane était un peu plus inclusif ? », sur The Conversation (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Yves Géry, Alexandra Mathieu et Christophe Gruner, Les abandonnés de la République : vie et mort des Amérindiens de Guyane française, A. Michel, Paris, 2014, 341 p. (ISBN 978-2-226-25695-9)
  • Catherine Le Pelletier, Littérature et société : la Guyane, Ibis rouge, Matoury, 2014, 348 p. (ISBN 978-2-8445-0441-8) (texte remanié d'une thèse)
  • Bernard Montabo et Léon Sanite, Guide encyclopédique de la Guyane : découvrir, comprendre, venir, Éd. Orphie, Chevagny-sur-Guye, 2013, 511 p. (ISBN 978-2-87763-781-7)
  • Huguette Tibodo (et al.), Costumes traditionnels créoles guyanais : Entre histoire & mémoire, Éditions Plume Verte, Madrid, 2014, 176 p.
  • Didier Blaizeau, Béatrice Céleste, Pierre-Adrien Bayart, N’Ouara Yahou-Dauvier, Benoît Hurpeau (Insee). (s. d.). Territoire guyanais l’exploitation des matières premières et du tourisme : L’avenir de la Guyane. Insée.
  • Hauger, J. (1957). La population de la Guyane française. Annales de géographie, 66(358), 509‑518.
  • Léglise, I. Migge, B. Bergouniou .G, Alby, S. , Launey, M. et Lescur, O. (s. d.). Langues et cité no 28 : Les langues de Guyane. 28, 16.
  • Hurault, J. (s. d.). Africains de Guyane (editions guyane presse diffusion).
  • Crouzier,M. (s. d.). Page 1 Actualité de la Recherche en Éducation et en Formation, Strasbourg 2007 1 Programme « Intervenants en langue et culture maternelles » en Guyane : Une efficacité à confirmer Première évaluation d’un dispositif novateur sur le territoire français.
  • Maurel, É. (1841-1918). (2007). Histoire de la Guyane française. 76.
  • Papy, L. (1955). La Guyane française. Premier article. Les Cahiers d’Outre-Mer, 8(31), 209‑232.
  • Léglise, I. & Migge, B. Pratiques et représentations linguistiques en Guyane : Regards croisés. (2014). In (Éds.), Pratiques et représentations linguistiques en Guyane : Regards croisés. IRD Éditions.
  • Thurmes, M. (2006). les métropolitains en Guyane : Une intégration sociale entre individu et groupe culturel [Phdthesis, Université Paul Valéry - Montpellier III].

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Culture en Guyane.

Liens externes[modifier | modifier le code]