Cap-d'Ail
Cap-d’Ail | |||||
Sentier du littoral Cap-d'Ail. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Intercommunalité | Métropole Nice Côte d'Azur | ||||
Maire Mandat |
Xavier Beck 2020-2026 |
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Code postal | 06320 | ||||
Code commune | 06032 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cap-d'Aillois | ||||
Population municipale |
4 508 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 2 210 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
69 134 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 43′ 19″ nord, 7° 24′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 540 m |
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Superficie | 2,04 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Menton-Monaco (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Monaco - Menton (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Beausoleil | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | cap-dail.fr | ||||
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Cap-d'Ail (Capo d'Aglio en italien, Cap d'Alh /kaw’day/ en provençal niçois) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, à la limite ouest de Monaco. Ses habitants sont appelés les Cap-d'Aillois. La commune tire son nom du cap homonyme (cap d'Ail), situé sur son territoire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Cap-d’Ail, jusqu’en 1860, était rattaché au comté de Nice. C’est en 1908 que Cap-d’Ail, qui dépendait de La Turbie, devint une commune à part entière[1].
Autour de Cap-d'Ail
[modifier | modifier le code]- Vers le nord : frontalier avec La Turbie. / Isola 2000, à 105 km. / Grenoble, à 340 km. / Lyon, à 492 km. / Paris, à 954 km.
- Vers l'est : frontalier avec le quartier de Fontvieille de Monaco. / Menton, à 16 km. / Vintimille (Italie), à 29 km. / San Remo (Italie), à 59 km. / Gênes (Italie), à 183 km. / Rome (Italie), à 694 km. Vers l'ouest : frontalier avec Èze. / Beaulieu-sur-Mer, à 9 km. / Nice, à 18 km. / Toulon, à 170 km. / Marseille, à 226 km.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune possède des plages réputées pour leur naturel, ainsi qu'un sentier littoral, que borde une végétation méditerranéenne typique. Le relief escarpé, caractéristique du bassin versant monégasque, fait plonger la commune depuis les pentes verticales de la Tête de Chien jusqu'aux criques sauvages des plages de la Mala[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]- La commune dispose de[3] :
- 6 forages,
- 2 sources,
- 1 puits.
La commune est raccordée à la station d'épuration intercommunale de Nice, d'une capacité de 650 000 équivalent-habitants[4].
Climat
[modifier | modifier le code]Le Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[5].
-
Sentier aménagé du littoral.
-
Sentier aménagé du littoral.
-
Parc Sacha Guitry.
-
Sentier aménagé du littoral.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le 25 octobre 2019[6].
Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Cap-d'Ail est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Menton-Monaco (partie française), une agglomération internationale dont elle est une commune de la banlieue[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Monaco - Menton (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (58,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (42,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (58,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (36,4 %), eaux maritimes (5,3 %)[14].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la RD 6098 (basse corniche) et la RD 6007 (anciennement RN7 - dite « moyenne corniche » dénommée avenue Prince-Rainier-III-de-Monaco) sur sa périphérie septentrionale. En bord de mer, le sentier littoral est un ancien parcours réaménagé de 3 600 m rejoignant les plages de la Mala et Marquet en passant par la pointe des Douaniers.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- La Commune est desservie par le réseau Lignes d'Azur.
Lignes SNCF
[modifier | modifier le code]Transports aériens
[modifier | modifier le code]Ports
[modifier | modifier le code]- Le port artificiel de Cap-d'Ail[15], à l'extrémité est du territoire de la commune, a son quai nord-est en frontière avec Monaco, à Fontvieille comme toute la partie est de la commune[16].
- Port Hercule (Port de Monaco),
- Port Lympia (port de Nice).
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Le 2 octobre 2020, de nombreux villages des vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, Saint-Martin-Vésubie, Tende...) sont dévastés par la tempête Alex, un épisode méditerranéen de grande ampleur[17]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'arrêté du 7 octobre 2020 portant reconnaissance de l'État de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Cap-d'Ail, au titre des « Inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020 »[18].
La commune est située dans une zone de sismicité moyenne[19].
Qualité de l'environnement
[modifier | modifier le code]La volonté de valoriser son environnement permet à la commune d'être détentrice depuis 1995 du label « Pavillon bleu ».
Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF Marine de type 2) Pointe Mala et plateau du Cap-d'Ail[20], avec un remarquable sentier de découverte sur le littoral (panneaux pédagogiques sur la faune et la flore marine ou terrestre).
Toponymie
[modifier | modifier le code]Origine du nom
[modifier | modifier le code]Le nom de Cap-d'Ail vient de Cap d'Aglio, que l'on trouve sur la carte de Monaco de 1602[21]. D'après Jacques Astor[22], Ail vient de AL qui est une base pré-indo-européenne, rattachée à KAL, pierre, par Trombetti[23] et Pierre Fouché[24]. D'autres hypothèses ont été proposées[25], par exemple Cau Daï, par André Compan, qu'il traduit par « Cap en forme de faux »[26], ou une provenance du nom d'homme latin « Alius » par Dauzat et Rostaing[27].
Quant à la tour sarrasine, qui est un ancien poste de garde de la principauté de Monaco, elle porte sur la carte de 1602 le nom abeglio, dont l'étymologie n'est pas très claire. Certains y voient le dieu Apollon en ligure[28].
Le rapprochement d'Abeglio avec abeille (apis en latin, abiho en provençal), a donné les trois abeilles d'or des armoiries. Mais l'on sait que les armes parlantes peuvent être basées sur un rébus ou un à-peu-près. En tout état de cause, ce rapprochement semble assez fantaisiste, ainsi que le fait de considérer Aglio comme un diminutif d'Abeglio[29],[30]. N'oublions pas non plus que la toponymie n'est devenue une science qu'au XIXe siècle, et qu'antérieurement l'origine des noms de ville était basé sur des rébus ou des calembours[31].
Prononciation
[modifier | modifier le code]En langue occitane niçoise (Georges Castellana), on dit Caup d'Alh et pour ses habitants lu capolhencs (norme classique) ou bien Cau d'Ai et lu Capouienc (norme mistralienne). Le Petit Larousse indique la prononciation « Cabdail » notée [kabdaj] mais on peut aussi bien s'en tenir à [kap daj].
Histoire
[modifier | modifier le code]Un premier document de 1078 fait mention du domaine de La Turbia. La Turbie, dont dépend le hameau de Cap-d'Ail, devient savoisienne en 1388[32].
Dans un acte de 1407, les Richieri, qui possédaient des droits sur Levens, les cédèrent aux Grimaldi de Beuil, en échange du fief d'Eze et du rivage maritime entre Eze et Monaco. L'acte, sanctionné par lettres patentes du seigneur suzerain, qui était le comte de Savoie, désigne ce rivage sous le nom de Caput Dalphini[30],[33].
Cap-d’Ail était, sous le nom de La Turbie-sur-Mer[34], la façade maritime de la commune de La Turbie, avant de s’en détacher et d'être érigée en commune le , quatre ans après que la commune de Beausoleil ait fait de même. Cette fondation est un effet de la croissance urbaine monégasque de la fin du XIXe siècle[35]. En 1921, la commune est classée comme étant une station climatique.
La conclusion des accords de Munich fin septembre 1938 suscite un soulagement et une joie profonde : contrairement aux usages, le conseil municipal attribue le nom du président du Conseil en exercice et encore en vie, Daladier, à une rue, le même Daladier qui l’année suivante organise la chasse aux noms de rues évoquant le communisme[36].
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Cap-d'Ail est libérée le [37].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Finances communales
[modifier | modifier le code]En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[39] :
- total des produits de fonctionnement : 8 530 000 €, soit 1 805 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 8 339 000 €, soit 1 764 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 1 525 000 €, soit 323 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 1 903 000 €, soit 403 € par habitant ;
- endettement : 203 000 €, soit 43 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 9,58 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 18,69 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 48,61 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 210 €[40].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1911. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].
En 2021, la commune comptait 4 508 habitants[Note 2], en évolution de −4,27 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[45] :
- Écoles maternelle et primaire[46],
- Collège à Beausoleil,
- Lycées à Monaco.
En juillet 2021, la commune devient la première à baptiser un établissement scolaire (l'école Saint-Antoine) du nom de Samuel Paty[47].
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[48] :
- Médecins,
- Pharmacies,
- Hôpital à Monaco (Centre Hospitalier Princesse Grace)
- EHPAD dit Villa Sanitas, puis Hôtel du Cap Fleuri, actuellement maison de retraite dite Résidence du Cap Fleuri[49].
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Saint-Esprit[50], Diocèse de Nice.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Tourisme
[modifier | modifier le code]En 1921, la ville fut classée station climatique.
- Station de villégiature de Cap-d'Ail[55].
- Hôtels :
- Restaurants.
Commerces et services
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité[59].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Cap d'Ail, cap situé sur la commune.
- Le territoire de la commune est réputé pour ses villas « Belle Époque » luxueuses, qui virent arriver de nombreuses vedettes et personnalités dans la première partie du XXe siècle :
- Villa Primavera (du Sphinx) construite entre 1911 et 1914 pour Alphonse Lenoir par l'architecte Arthur Demerlé et le décorateur Jules Wielhorski (1875-1961)[60],[61],[62] ;
- Château Malet ou château de l'Ermitage[63] ;
- Château Les Terrasses construit pour William Mendel, banquier à Londres, vers 1885[64] ;
- Villa Mirasol construite par Gabrielle Réval vers 1908[65] ;
- Villa Lumière ou Perle Blanche, construite par Antoine Lumière en 1902[66] ;
- Villa Hélios, construite en 1901 pour Louis Lumière[67] ;
- Villa Logre puis villa Les Funambules construite en 1904 pour Madame Mareus, achetée en 1911 par Sacha Guitry[68] ;
- Villa The Rock, construite en 1910 pour l'américain d'origine russe George Shlee. Greta Garbo y a vécu[69] ;
- Villa La Capponcina construite en 1926 pour le capitaine Édouard Molyneux[70] ;
- Villa Les Camélias, aujourd'hui musée ;
- Villa Les Violettes[71] ;
- Villa Marizzina, bâtie en 1901 à la demande de la Comtesse de Morla[72] ;
- Villa Paloma[73] ;
- Villa Léa ;
- Villa Les Roses[74] ;
- Villa Castellamar construite vers 1905[75]
- La commune de Cap-d'Ail propose également à la location, le château des Terrasses, sorti de terre en 1896, qui a accueilli en ses murs les grands de ce monde, comme le prince Albert Ier de Monaco. Racheté en 2001 par la municipalité de Cap-d'Ail.
- Le château de l'Ermitage ou château Malet. Aux alentours de 1892, le diplomate britannique Edward Malet, qui possède déjà le domaine de Saint-Laurent à Èze, acquiert un terrain de 5,8 ha au Cap-d'Ail et charge l'architecte danois Hans-Georg Tersling d'y construire une villa, achevée en 1896. D'une superficie d'environ 1000 m², elle donne sur Monte-Carlo et la mer Méditerranée. Elle possède notamment une salle de bal dont les plafonds peints atteignent 15 mètres de haut (le panneau central aurait été, dit-on, inspiré de celui de la salle des Empereurs de la résidence de Wurtzbourg en Allemagne, œuvre du peintre Giambattista Tiepolo) et un parc de 6 ha réalisé par le paysagiste Russell Page, qui comprend de nombreux éléments végétaux et architecturaux (roseraie, palmeraie, arbres séculaires, oliviers, pins maritimes, cascade, bassins aux nénuphars, piscine). La reine Victoria et l'impératrice Eugénie y ont notamment séjourné[76]. Le château appartient de nos jours à l'oligarque russe Nikolay Sarkisov[77].
- Musée La Villa les Camelias[78]
- Théâtre Cocteau, Centre méditerranéen d'études françaises[79].
- Monument aux morts[80].
Édifice religieux
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame-du-Cap-Fleuri, construite en 1909. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[81],[82].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Winston Churchill, le premier ministre britannique, a été maire honoraire de la commune.
- Didier Deschamps, sélectionneur de l'équipe de France de football, habite la commune. Le stade municipal a été renommé à son nom.
- Greta Garbo a séjourné à de nombreuses reprises à la villa The Rock.
- Sacha Guitry.
- Les frères Auguste et Louis Lumière, qui ont possédé une magnifique demeure dans l'avenue Charles-Blanc.
- André Malraux et Josiane Clotis firent un séjour à la moitié de l'année 1941 à la villa Les Camélias.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D’azur à la tour d’argent terrassée de sinople, accompagnée de trois abeilles d’or, ordonnées deux en flancs et une en chef[83]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Un lieu touristique créé ex nihilo
- La Riviera
- L'eau dans la commune
- Description de la station NICE-HALIOTIS
- Table climatique
- Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Menton-Monaco (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Monaco - Menton (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Port Cap d'Ail
- Port de Cap d'Ail
- Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
- « Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor », sur idcite.com.
- « Tremblements de terre et séismes en France », sur ecologie.gouv.fr.
- Pointe Mala et plateau du Cap-d'Ail
- Annales monégasques, Monaco, Publication des archives du palais princier, , 324 p. (ISBN 2-903147-21-3), p. 195.
- Jacques Astor, Dictionnaire des noms de familles et noms de lieux du midi de la France, Millau, Éditions du Beffroi, , 1296 p. (ISBN 2-908123-59-2), p. 825.
- (it) A. Trombetti, Saggio di antica onomastica mediterranea, Firenze, Rinascimento del libro, .
- Pierre Fouché, Quelques considérations sur la base toponymique : À propos du pré-indo-européen, KAL, pierre, Revue des langues romanes. LXVIII, 1937-1939, p. 401-411.
- L’histoire de Cap d’Ail est étroitement liée à celle de sa tour dite « sarrazine ».
- André Compan, Étude sur l'origine des noms de communes dans les Alpes-Maritimes, Nice, CDDP des Alpes-Maritimes, , 90 p. (ISBN 2-86629-264-2, lire en ligne), p. 67.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 128.
- Archeo Alpi Maritimi
- E. Onimus, L'hiver dans les Alpes Maritimes et dans la principauté de Monaco, Paris, , 588 p., p. 157
- Philippe Casimir, Guides des pays d'azur: Monaco, Monte-Carlo et les environs, Nice, Société de publicité des pays d'Azur, , p. 313
- La Vieille Carcas de Carcassonne. Florilège de l'humour et de l'imaginaire des noms de lieux en France
- Cap-d'Ail
- Louis Durante, Chorographie du comté de Nice, Turin, Frères Favale, (lire en ligne), p. 109-110
- Jules Monod, Aux pays d'azur, Nice, Monaco et Menton, Nice, L. Gross, (lire en ligne), p. 183.
- Sites historiques Grimaldi de Monaco
- Richard Vassakos, « Une revanche symbolique dans le Royaume du maréchal. La toponymie urbaine sous Vichy : premiers bilans d’une recherche », Nouvelle revue d’onomastique, 2019, no 61, p. 243.
- Memorialgenweb.org - Cap-d'Ail : Stèle commémorative place de la libération (relevé no 133357).
- Notice ALBRAND Pierre, Louis, Lucien par Jacques Girault, version mise en ligne le 10 octobre 2008, dernière modification le 5 avril 2022
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- École maternelle et élémentaire
- « Une école rebaptisée Samuel Paty, une première en France », sur Le HuffPost, (consulté le ).
- Professionnels et établissements de santé
- « Maison de retraite dite Résidence du Cap Fleuri », notice no IA06000786, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Paroisse Saint-Esprit
- Les plantes aromatiques : condiments et remèdes thérapeutiques, par Carina Parke Journaliste
- Plantes médicinales et aromatiques
- À propos des Sauvages
- Huile essentielle de Lavande vraie
- « station de villégiature de Cap-d'Ail », notice no IA06001560, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « hôtel de voyageurs dit Hôtel Radium », notice no IA06000824, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « hôtel de voyageurs dit Hôtel Neptune », notice no IA06000820, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « hôtel de voyageurs dit Hôtel Eden », notice no IA06000825, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Commerces et services de proximité
- Henri Lavagne, « La villa Primavera à Cap-d’Ail (1911-1914) : témoignage d’une culture ou déclaration de grécité ? », Monuments et mémoires de la Fondation Eugène Piot, no 92, , p. 177-247 (lire en ligne)
- Henri Lavagne, « Une autre villa Kérylos ? La villa du Sphinx (Primavera) à Cap d’Ail (Alpes-Maritimes) : Actes du 23e colloque de la Villa Kérylos à Beaulieu-sur-Mer les 5 et 6 octobre 2012 », Cahiers de la villa Kérylos, no 24, , p. 153-172 (lire en ligne)
- Patrimages : Cap-d'Ail, monographies : La villa Primavera
- Patrimages : Cap-d'Ail, monographies : La Château Malet ou Château de l'Ermitage
- Inventaire Région Sud : maison dite Château des Terrasses
- « Inventaire général : Maison dite Villa Mirasol », notice no IA06000804, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Patrimages : Cap-d'Ail, monographies : La villa Perle Blanche
- Inventaire Région Sud : maison dite Villa Hélios
- « Inventaire général : maison dite Villa Logre, actuellement Villa Les Funambules », notice no IA06000788, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Inventaire Région Sud : maison dite Villa The Rock
- Inventaire Région Sud : maison dite Villa La Capponcina
- Patrimages : Cap-d'Ail, monographies : La villa Les Violettes
- Inventaire Région Sud : maison dite Villa Morla, puis Villa Marizzina
- « Inventaire général : maison dite Villa Paloma », notice no IA06000787, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Patrimages : Cap-d'Ail, monographies : La villa Les Roses
- Patrimages : Cap-d'Ail, monographies : La villa Castellamar
- « Une propriété royale aux portes du Rocher, Cap-d'Ail », sur Le Figaro (consulté le ).
- Yann Philippin et Antton Rouget, « Les millions russes de Nicolas Sarkozy », sur Mediapart, (consulté le ).
- Musée La Villa les Camelias
- Théâtre Cocteau
- Monument aux morts. Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954) - AFN-Algérie (1954-1962)
- « Église paroissiale Notre-Dame-du-Cap-Fleuri », notice no IA06000815, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Patrimoine religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux
- Dominique Cureau, « Nice Côte d'Azur. 3 : Cap-d'Ail », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Un peu d'histoire
- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 1077 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Villefranche-sur-Mer : pp. 1015 à 1020 : Cap-d'Ail
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
- Sentier de Cap d'Ail
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Cap-d'Ail sur le site de l'Institut géographique national
- Cap-d'Ail sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes